Pippili-2
***Pippili-2 **Rubrique consacrée à des infos et commentaires divers-
***Le brouillard empêche l’atterrissage de trois avions d’Air Algérie à Alger Trois vols de la Compagnie Air Algérie n’ont pas pu atterrir jeudi 25.07.2013- à l’aéroport international d’Alger, Houari-Boumediene, à cause d’un brouillard opaque, a-t-on appris auprès de la compagnie. Les vols AH 5001 A en provenance de Niami, AH 4015 en provenance de Nouakchott ainsi que le AH 2701 venant de Montréal n’ont pu atterrir à l’aéroport Houari Boumediene en raison du brouillard dense qui a contraint les pilotes à changer de trajectoire. Ces vols devraient atterrir respectivement à 4H15, 4H35 et 7H10. Les passagers de ces trois vols déroutés vers l’aéroport de Constantine ont dû attendre plusieurs heures avant de joindre l’aéroport d’Alger.Le trafic aérien en provenance des autres destinations est resté normal, a souligné la même source.*APS-25.07.2013.
**Déraillement d’un train d’hydrocarbures à Skikda Dix wagons-citernes d’un train d’hydrocarbures composé de 16 wagons ont déraillé, dans la nuit de mercredi à jeudi-25.07.2013- au lieudit Zaouia, dans la commune d’Azzaba à l’est de Skikda. Selon la protection civile une partie des dix wagons du convoi qui devait assurer la liaison Skikda Berrahal, dans la wilaya d’Annaba, s’est totalement renversée pour déverser sa contenance. La même source précise par ailleurs que plus de 20 000 litres de gas-oil ont déjà été récupérés et que l’opération de transvasement se poursuivait encore pour minimiser l’impacte de cette pollution accidentelle. L’incident, dont l’origine n’a pas encore identifié a occasionné la dégradation de plus de 100 m de la voie ferrée.*El Watan-25.07.2013.
**Accident de train en Espagne : vitesse et sécurité mises en cause 80 morts et plus de 143 blessées
**Vidéo: Grabación Accidente de Tren Galicia, España
Un excès de vitesse était jeudi l’hypothèse privilégiée pour expliquer l’accident de train de Saint-Jacques de la Compostelle, qui a fait 80 morts et plus de 143 blessées , mais les systèmes de sécurité de la voie étaient également mis en cause. « J’ai déraillé, qu’est-ce que je peux y faire ! », a déclaré, selon les médias locaux, le conducteur, juste après le drame. Quelques minutes plus tôt, d’après El Pais, il a avoué dans une communication radio avoir abordé le dangereux virage, à l’entrée de la ville, à 190 kilomètres/heure. Mais « la zone où s’est produit l’accident a une limitation de vitesse de 80 kilomètres/heure, a rappelé jeudi, sur la radio Cope, le président de la compagnie ferroviaire publique Renfe, Julio Gomez-Pomar Rodriguez, refusant de se prononcer sur les raisons de la catastrophe. Le secrétaire d’Etat aux Transports Rafael Catala s’est, quant à lui, voulu plus direct, soulignant sur la radio Cadena Ser que « la tragédie qui est survenue hier soir à Saint-Jacques de Compostelle paraît liée à une infraction, (un excès) de vitesse », une hypothèse largement reprise jeudi par la presse espagnole. « Mais nous devons encore attendre les résultats de l’enquête judiciaire et de celle menée par la commission d’enquête du ministère » des Transports, a-t-il ajouté. Toutefois, « on dit généralement que les accidents de tous types, pas seulement ferroviaires, ne sont pas dus à une seule cause, mais à un concours de circonstances », a rappelé Inaki Barron, directeur du département voyageurs de l’Union internationale des chemins de fer (UIC), sur la radio nationale. Donc, « il est très possible que d’autres facteurs soient intervenus ». Le président de Renfe s’est empressé d’écarter toute défaillance technique du train : « ce que nous savons, c’est que le train n’a eu aucun problème opérationnel, le train avait subi une révision le matin même », a-t-il assuré. « Le dossier d’entretien et de contrôle du train était parfait », a-t-il insisté. La sécurité sur les voies semble, pour sa part, mise en cause, d’après les premières déclarations d’experts : il s’agissait d’un train traditionnel, circulant sur une ligne à grande vitesse. La voie, en raison du passage régulier de TGV, est équipée d’un système de contrôle automatique de la vitesse, baptisé ERTMS (European Rail Traffic Management System).
« Le système de sécurité ERTMS, quatre kilomètres avant Saint-Jacques, n’est pas installé, malheureusement », a indiqué Juan Jesus Garcia Fraile, secrétaire général du syndicat espagnol des conducteurs de trains, sur la radio nationale. Le système en vigueur sur ce tronçon est le système ASFA (Anuncio de Senales y Frenado Automatico), qui contrôle surtout le respect des signaux de signalisation, ce qui en fait « un système de sécurité un peu plus dépendant du facteur humain », a-t-il noté. Inaugurée en décembre 2011, la ligne à grande vitesse Ourense-Saint-Jacques-La Corogne est l’une des plus récentes en Espagne, pays qui se présente régulièrement comme le champion européen dans ce domaine. Dans le monde, c’est le numéro deux en nombre de kilomètres de grande vitesse, derrière la Chine, avec 3.100 kilomètres. « La construction de cette ligne n’est pas terminée, elle est seulement réalisée d’Ourense à Saint-Jacques, mais quatre kilomètres avant Saint-Jacques, la ligne (à grande vitesse) se termine » et redevient une ligne classique, affirme Juan Jesus Garcia Fraile. « Il faudrait demander à ceux qui ont effectué la construction (de la ligne) pourquoi cela a été fini sur un tronçon et pas jusqu’à la gare », dit-il. L’accident de jeudi s’est justement produit à quatre kilomètres de l’entrée dans la ville.*AFP-25.07.2013
**Séisme de magnitude de 5,1 à Blida- Une vingtaine de blessés **Mille (1.000) décisions d’aides pour la réhabilitation des habitations endommagées par le séisme ayant secoué mercredi au petit matin l’est de la wilaya de Blida ont été signées et envoyées à la wilaya, a indiqué le ministre de l’Habitat et de l’urbanisme, M. Abdelmadjid Tebboune.
**Un tremblement de terre d’une magnitude de 5,1 sur l’Echelle de richter a eu lieu mercredi à 04h00 (heure locale) dans la wilaya de Blida, a annoncé un communiqué du Centre de Recherche en Astronomie Astrophysique et Geophysique (CRAAG).
**Une grand-mère obtient son master à 60 ans
Tipaza-Algérie-17.04.2013- À l’âge de 60 ans révolus, Mme Fatima Zohra Douali, déjà six fois grand-mère, attend avec impatience l’obtention, cette année, de son master à l’université d’Alger, après une longue aventure accompagnée d’une volonté de fer motivée par un amour fou pour le savoir et l’apprentissage. C’est en 1968 à la mort de son père que Fatima Zohra, fragile et adolescente, quitta, les bancs de l’école. Toute sa vie, elle garda cet amour inassouvi pour les études et le savoir. Cette grand-mère symbole naquit en 1953 dans une famille de révolutionnaires. Petite fille, elle était très liée à son père dont la mort fut un choc pour elle puisqu’elle abandonna ses études en pleine année scolaire au collège Mohamed Abdou de Khmis Miliana (Aïn Defla). Elle se maria et se consacra à l’éducation de ses 9 enfants à Menacer (Tipaza), en croyant avoir oublié à jamais son rêve de continuer ses études interrompues. Un deuxième triste évènement (la mort de son mari), vint bouleverser sa vie. Mais ce choc ne fera que réveiller en elle son rêve d’antan, et la poussa à renouer avec les études, en 1996, en s’inscrivant aux cours d’enseignement à distance. Douleur de perdre un compagnon et volonté d’aller de l’avant Après la mort en 1993 de son conjoint Mahmoud, un homme qui consacra toute sa vie à l’enseignement, Fatima Zohra du faire preuve de courage face à la tristesse et aux dures épreuves de la vie. Après trois années de lutte acharnée elle décida de donner un tournant décisif à sa vie et, par là même, à celle de ses enfants. S’inscrivant aux cours à distance, elle décrocha son brevet d’enseignement moyen en 1998. Plus tard, après 6 vaines tentatives, elle obtint son diplôme du baccalauréat en tant que candidate libre en 2008, un bonheur pour Fatima Zohra, qui a vu aussi la réussite au baccalauréat de son benjamin, Mohamed Amine, la réussite à l’examen du primaire de son petits-fils Mohamed Badji et le passage au lycée de sa petite-fille Fidaâ. Après le baccalauréat, cette dame courage opta pour l’institut des langues étrangères de l’université d’Alger, où elle obtint sa licence de langue française en 2011, en choisissant pour mémoire de fin d’études une “étude de texte” qui lui valut une note de 15/20 du jury. En dépit de son âge, Fatima Zohra qui a décidé de poursuivre sa quête du savoir attend de décrocher cette année son master, au niveau de la même université, dans “l’espoir d’obtenir le maximum de diplômes et distinctions”, assure-t-elle à l’APS. Outre le fait d’enrichir la longue liste des réalisations grandioses de la femme algérienne, dans tous les domaines, la réussite de cette dame dans ses études devrait constituer un facteur incitatif pour les jeunes pour faire prévaloir la volonté et la foi dans leurs entreprises et “ne jamais baisser les bras, quel que soit ce que leur réserve la vie”, comme le souligne l’intéressée.*Le Courrier d’Algérie-17.04.2013.
**La Société des courses hippiques et du pari mutuel au bord de la faillite
- un marché douteux et des milliards dilapidés
Décidément, la SCHPM (Société des courses hippiques et du pari mutuel), qui se trouve déjà au creux de la vague à cause d’une mauvaise gestion désormais endémique, vient encore une fois de défrayer la chronique. Il s’agit en effet, d’une sulfureuse affaire, vieille de quelques années déjà, dans laquelle cette société a subi des préjudices financiers de l’ordre de plusieurs milliards de dinars, a-t-on pu apprendre hier au niveau du tribunal d’Hussein-Dey où cette affaire devait être traitée en première instance par la chambre pénale, avant d’être reportée à cause de l’absence de la partie civile. La date du procès lié à cette affaire a donc été fixée pour le 22 mai prochain. Il s’agit d’un contrat passé entre la SCHPM et PMC, une société française spécialisée en solutions informatiques. Il devait être question d’informatiser le PMU où « il y a à boire et à manger », nous ont dit certains, parmi les onze cadres convoqués par la justice, soit en tant qu’accusés, soit comme témoins. Nos interlocuteurs, qui vont jusqu’à reconnaître qu’ « il s’agit d’un projet mort-né », vont jusqu’à nous confirmer que « 30 % du montant de ce contrat ont déjà été versés à la société française en question qui, en contrepartie, n’a entrepris aucun travail». Le marché, pour rappel, est d’un montant de 13 milliards de dinars, apprend-on encore. Manque de pot pour l’actuel DG, Retiti Mohamed Tayeb, il était DFC (directeur des finances et de la comptabilité) au moment des faits. Il se retrouve, par voie de conséquence, en tête de file des accusés, même s’il était absent hier à l’audience. Il en va de même pour la partie civile, un ancien patron de cette même société, M. Hadji. Les suspects et témoins présents au box des accusés, et secondés par deux avocats qui ont refusé de faire la moindre déclaration à la presse, paraissaient visiblement « désarçonnés » par cette sordide affaire (et c’est le cas de le dire, puisqu’on parle ici de chevaux). Et, comment en aurait-il été autrement lorsque l’on se rappelle que la SCHPM traîne un nombre effrayant de casseroles, et qu’elle se trouve littéralement au bord de la faillite à cause de la mauvaise gestion et des magouilles érigées désormais en règles usuelles. Nos interlocuteurs, cependant, ont tenté de rattraper le coup en indiquant que « le projet est sur le point d’être relancé ». L’un deux s’aventurera même jusqu’à nous annoncer qu’une délégation représentant cette société française est attendue à Alger en date du 29 avril courant. Il semble en tout-cas que ce soit la tutelle ministérielle, qui vole souvent au secours de cette société, qui se trouve derrière une initiative qui vise en apparence à tuer dans l’œuf ce scandale en devenir. Nos sources nous parlent en effet d’une instruction adressée par le département ministériel de Rachid Benaïssa à la SCHPM, lui intimant l’ordre de réactiver ce projet dans les meilleurs délais. Il est à relever, en tout cas, que l’éventualité d’informatiser le PMU ne fait pas que des heureux, car cela pourrait sinon faire cesser, du moins réduire pour une bonne part, les détournements massifs de l’argent des parieurs à cause de la gestion « aléatoire » qui est pratiquée au niveau du PMU depuis un grand nombre d’années. Cela ferait également gagner à la SCHPM la bagatelle de 5 ou 6 milliards par an en supprimant les marchés contractés avec plusieurs fournisseurs de billetterie. Nos interlocuteurs, sont formels : « La SCHMP est au bord de la faillite, et avec elle les courses hippiques ainsi que l’élevage équin. » Or, l’informatisation du PMU, dont le retard est particulièrement condamnable et dommageable pour cette société, pourra-t-elle y remédier à elle seule, lorsque l’on constate que c’est toute la gestion, ainsi que la politique suivie qui doivent être repensées avant qu’il ne soit définitivement trop tard…*Le Courrier d’Algérie-17.04.2013.
*19 millions de centimes pour un faux passeport américain
Des passeports américains, français et autrichiens volés en Europe et vendus en Algérie *Leurs acquéreurs les ont utilisés pour quitter le pays en direction de la Turquie C’est ce qu’a révélé, hier, le commandant Tarek Aatallah, au cours d’un point de presse animé au siège de la section de recherches de Bab Djeddid, relevant du groupement de la wilaya d’Alger de la Gendarmerie nationale. L’enquête menée par la section de recherches de la Gendarmerie nationale a duré plus d’un mois et a abouti, en premier lieu à l’arrestation de C.H., âgé de 47 ans et la découverte d’un atelier à La Casbah où les faussaires produisaient ces faux documents administratifs et officiels, a expliqué le commandant. Les enquêteurs de la section de recherches ont découvert dans cet atelier un scanner, deux photocopieuses, des cachets humides des APC de Sidi M’hamed, d’Alger-Centre et de La Casbah, mais aussi des imprimantes et des griffes afin de pouvoir falsifier de faux documents, précise le commandant. Les membres de ce réseau «produisaient selon la commande de leur clientèle». Ce réseau a été démantelé il y a trois jours. «Oui, nous avons entamé notre enquête voilà plus d’un mois, dès que nous avons été informés sur la présence d’une bande activant aux alentours d’Alger-Centre et qui serait derrière un vaste trafic de faux documents officiels», a expliqué, hier, le Commandant Aatallah, qui a ajouté que «nous avons pu localiser et identifier le cerveau de la bande qui n’est autre qu’un récidiviste. Ce dernier réside à La Casbah et c’est en le surveillant que nous sommes arrivés à identifier le reste du réseau et procéder à son démantèlement». En effet, une fois la localisation du chef présumé de la bande a été faite, les gendarmes enquêteurs ont surveillé de plus près les mouvements et les appels téléphoniques de ce dernier. La bande était active depuis l’année 2011 et, durant toute cette période, plusieurs faux passeports et autres documents officiels ont été vendus au profit des clients. Les tarifs se diffèrent selon l’importance du document. Par exemple, le prix d’un faux passeport étranger tournait autour de 19 millions de centimes, alors que celui des attestations de travail allait de 10 000 à 20 000 DA, selon le métier. Et comment les malfaiteurs livrent-ils les faux documents à leurs clients ? «C’est simple», explique le conférencier : «L’un des six membres de la bande utilise sa moto de marque T-Max afin de livrer les commandes des clients, cela dans le but d’éviter les embouteillages dans la ville et surtout de livrer les faux documents en temps réel», ajoute le commandant Aatellah. C’est une technique hors commun. Parmi les membres de ce réseau un ressortissant français d’origine tunisienne né en Algérie et qui est allé s’installer en France dans les années 1980. Il avait, ensuite, décidé de revenir s’installer en Algérie et, avait proposé en 2011, au chef de ce réseau de travailler ensemble en lui livrant des passeports étrangers volés en Europe dans le but d’en falsifier d’autres. Une proposition qui a été acceptée par le cerveau de ce réseau, et depuis, celui-ci produisait ces faux documents administratifs et officiels. Le nombre de ces faux documents falsifiés depuis est indéterminé, selon la Gendarmerie nationale. En utilisant ces passeports falsifiés, plusieurs acheteurs de ces faux documents avaient réussi à quitter le pays en partant vers la Turquie, est-il noté. Les six mis en cause ont été présentés, hier, devant le parquet compétent de Sidi M’hamed.*source: Le Temps d’Algérie-31.03.2013.
**la Trust Bank d’Hydra-Alger, ciblée par un plan d’assaut, comme dans un film américain
Derriére le hold-up avorté, on retrouve le caissier principal, l’agent de sécurité et d’autres C’est une première dans les annales de la Gendarmerie nationale. Une bande professionnelle tirant exemple du scénario d’un hold-up dans un film américain a été, fort heureusement, démantelée par les gendarmes enquêteurs de la section de recherches de Bab Jedid, à Alger, avant même que cette bande, composée de huit membres, ne passe à l’acte. Après sept mois de préparation, ils ont fini par tomber dans les filets des gendarmes. Voici les faits en détail. Les gendarmes de la section de recherches ont présenté hier, devant le parquet de Boufarik, une bande spécialisée dans les braquages de banques, composée de huit membres et dont le cerveau est un récidiviste âgé de 47 ans. La bande a planifié voilà sept mois déjà un plan d’assaut contre la banque privée Trust Bank dont le siège se trouve à Hydra. Le chef de la bande n’est autre qu’un agent de sécurité ayant travaillé plus de deux ans au sein de ladite banque et durant cette période cet homme avait, en parallèle, planifié un plan d’assaut pour braquer la banque. Selon le chef de la Section de Recherches d’Alger, le commandant Tarek Aâtalah, «l’affaire a été élucidée mercredi passé, soit le 27 mars dernier. Le jour où les membres de cette bande ont été arrêtés dans un barrage mobile dressé d’une manière inopinée par les gendarmes sur la route reliant Ouled Belhadj a Saoula». Ces huit membres de la bande ont été surpris par la présence des gendarmes sur cette route, alors qu’ils s’apprêtaient à attaquer la banque et vider ses caisses. Quel était leur plan ? Pour revenir au plan préparé par la bande, il faut remonter un peu dans le temps. Il y a sept mois, le chef de la bande, âgé de 47 ans et un agent de sécurité travaillant pour le compte d’une société privée de gardiennage, affecté à la Trust Bank et connaissant parfaitement les systèmes d’alarme installés dans les banques, comme il est un chevronné dans le métier. Jouissant d’une expérience dans la sécurité des banques il connaissait, surtout, tous les secrets de la Trust Bank y compris les heures de travail des agents de sécurité, leur nombre et les systèmes d’alarme. Partant de ces données, l’agent de sécurité avait contacté son frère pour lui proposer le plan hold-up visant la Trust Bank. Ce dernier va très vite accepter l’offre de son frère. Ce n’est pas tout, le frère de l’agent de sécurité a été chargé de recruter six autres membres afin de réussir le plan d’assaut. Un recrutement qui ne se fait pas par hasard puisque les membres qui sont recrutés étaient sélectionnés selon leurs âges et leurs «CV» dans ce genre de plan. Pour en dire plus, les six individus, âgés entre 21 et 22 ans et tous récidivistes, ont été recrutés au bout des entretiens tenus dans un lieu secret à Zéralda. Une fois l’équipe montée, le chef a fait louer deux véhicules de marque Clio Symbol et ce, auprès d’une agence de location de voitures sise à Zéralda. C’est avec ces deux véhicules que la bande a surveillé les va-et-vient des employés de la banque Trust Bank y compris le caissier principal. Ce dernier étant donné qu’il a en sa possession les clés et le code du coffre de la a été surveillé de plus près par la bande. Roulant avec sa Peugeot 206 et habitant a Saoula, les membres de la bande ont connu tous ses mouvements. Le but pour eux était de l’enlever pour qu’ils arrivent à forcer le coffre fort de la e Trust Bank et le vider de son contenu. Le Jour-J Après avoir surveillé les mouvements des employés de la Trust Bank , de surveiller le dispositif sécuritaire mis en place dans cette banque et appris parfaitement les itinéraires à prendre une fois leur plan mis en route, les membres de la bande sont passés à l’action mercredi passé. Le Jour-J. Ils ont pris le départ de Zéralda, lieu de leurs réunions, ici, les huit membres de la bande ont embarqué dans deux véhicules de marque Clio Symbol. Ils ont tout d’abord enlevé le caissier principal qui résidait à Saoula et ce, au niveau de l’entrée de la route rapide, suite à un braquage spectaculaire sur la même route. Ils ont fait ligoter leur otage avant de l’embarquer à l’arrière d’un des deux véhicules. Destination : la Trust Bank pour la braquer et voler des milliards. Toutefois, au cours de la route et en arrivant à hauteur d’Ouled Belhadj les criminels sont tombés nez-à-nez avec les gendarmes qui dressaient durant cet instant un point de contrôle inopiné. L’un des huit membres a commencé à crier en informant ses acolytes de la présence des gendarmes. C’était le moment opportun pour le caissier principal qui a bien agi en cassant la vitre du véhicule tout en criant à l’aide. C’est à ce moment-là que les huit individus sont descendus de leurs véhicules tout en prenant la fuite. Une course-poursuite est déclenchée rapidement par les gendarmes en vue d’arrêter les fuyards. Après cette traque l’un des huit commanditaires a été interpellé sur place. Suite à l’enquête les sept autres membres ont été, également, arrêtés l’un après l’autre. «Nous avons pu les interpeller en 36 heures seulement», explique le commandant Tarek Aâtellah. Les mis en cause ont été présentés hier au tribunal de Boufarik, ils ont été placés sous mandat de dépôt.*source: Le Jeune Indépendant-31.03.2013.
**Affaire du vol par effraction perpétré à la Cour d’Alger:
La base de données du procureur général concernant certaines affaires de corruption, subtilisée Les auteurs de cet acte ont détruit la trace de son contenu stocké dans le disque dur C’est le bureau du procureur général près la cour d’Alger, Belkacem Zeghmati, qui a été «visité» vendredi à l’aube par des inconnus qui ont accès à la base de données contenue dans son micro-ordinateur et détruit la trace de son contenu stocké dans le disque dur, avons-nous appris de source crédible. Les auteurs de cet acte semblent bien connaître les lieux ou bien informés puisque, ajoute cette source, «ils se sont dirigés directement au bureau du procureur général se trouvant à l’avant-dernier étage du siège de la Cour d’Alger se trouvant à El Annassers (ex-Ruisseau). Les auteurs de cet acte ont emporté avec eux les informations contenues dans cette base de données et concernant certaines affaires de corruption, selon cette source. Le procureur général près la Cour d’Alger a ordonné l’ouverture d’une enquête sur ce vol et des éléments de la police scientifique se sont déjà mis au travail pour relever tout indice pouvant les amener aux auteurs de ce vol. En l’absence de réaction du ministère de la Justice et d’un communiqué du procureur général, de folles rumeurs ont circulé, depuis, sur cette affaire. A noter que les magistrats travaillant ou siégeant à la cour d’Alger disposent, chacun, d’une base de données contenue dans son micro-ordinateur, et relative aux affaires dont ils ont la charge. Le procureur général, lui, dispose d’une base de données concernant l’ensemble des affaires prises en charge par cette cour, et en particulier les affaires se trouvant au niveau du pôle judiciaire spécialisé, explique-t-on. A noter que les activités du pôle judiciaire spécialisé du centre du pays, créé en 2009, et dont toutes les affaires atterrissent au bureau de Belkacem Zeghmati, s’étendent à huit wilayas du centre du pays. Depuis sa création, il y a quelques années, le pôle judiciaire spécialisé a pris en charge des dizaines d’affaires liées au terrorisme, au trafic de stupéfiants, aux scandales de corruption et autres affaires de criminalité sous toutes ses formes.*source: Le Temps d’Algérie-31.03.2013.
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**en tournée dans la région, le commandant d’Africom à Tamanrasset
Le général Carter Ham, commandant des forces américaines en Afrique (Africom), en tournée dans la région a effectué avant-hier une visite au siège du Comité d’état-major opérationnel conjoint (Cemoc) situé dans la 6e Région militaire (Tamanrasset), indique le communiqué du département de la Défense nationale. «Une réunion de travail a été tenue au siège du Cemoc, en présence de représentants des pays membres et de la délégation américaine qui a suivi une présentation sur l’organisation et les missions de cette structure créée en 2009 et regroupant l’Algérie, le Niger, le Mali et la Mauritanie dans le cadre du renforcement des relations de coopération et sécuritaires entre ces pays», précise le même document. Cette visite intervient à deux mois et demi après le début de l’intervention de l’armée française au Mali dont la région de Gao a vécu les deux derniers jours, de nouveaux accrochages entre l’armée malienne et des combattants islamistes, qui ont fait sept morts selon des sources concordantes. Cette visite intervient également deux mois après l’attaque de Tiguentourine et à quelques jours du coup dur porté aux groupes affiliés à Aqmi à Ifoghas et au lendemain de la désignation d’un successeur à Abou Zeid, abattu récemment. Accompagné d’une délégation diplomatique conduite par l’ambassadeur des Etats-Unis d’Amérique en Algérie, M.Henry S. Ensher, le général Carter Ham a été accueilli à son arrivée à l’aéroport de Tamanrasset par le commandant adjoint de la 6e Région militaire. Le général Carter Ham s’est également rendu mardi dernier à Nouakchott où il s’est entretenu avec le président Mohamed Ould Abdel Aziz et de hauts responsables militaires. Selon des sources diplomatiques à Nouakchott, la crise au Mali et le danger représenté par Al Qaîda au Maghreb islamique (Aqmi), ainsi que la coopération militaire entre les deux pays ont été passés en revue. Le lendemain, (mercredi…Ndlr), il a salué les soldats engagés dans des exercices militaires dans le sud de la Mauritanie, près de la frontière avec le Mali en guerre, selon la Radio nationale. Ces exercices sous le nom de «Flintlock 2013», lancés lundi dernier pour trois semaines ont été initiés par les Etats-Unis depuis 2000 au sud-est de la Mauritanie avec la participation de quelque 1 100 militaires de 20 pays, dont les Etats-Unis, la France et la Mauritanie.*L’Expression-26.03.2013
**Fait inédit en Algérie: Les imams auront leur syndicat
Un syndicat des imams affilié à l’UGTA sera créé dimanche prochain, a indiqué ce mercredi 13 mars à Hassi Messaoud, le secrétaire général de la Centrale syndicale, Abdelmadjid Sidi Saïd. «Une conférence constitutive de la coordination nationale des imams et personnels des affaires religieuses sera également organisée dans ce cadre », a précisé M. Sidi Said, cité par l’agence officielle APS. Selon le SG de l’UGTA, cette décision répond à la demande des imams des différentes régions du pays de créer un syndicat pour prendre en charge « leurs affaires professionnelles ». Cette annonce intervient au moment où le gouvernement est confronté à la montée de l’influence du salafisme au sein de plusieurs mosquées. Il y a quelques semaines, le ministre des Affaires religieuses avait pointé du doigt ce courant sans le citer nommément. Il a appelé lors d’une conférence à Dar El Imam à Mohamadia, « l’ensemble des imams, mourchidate et autres cadres du secteur à faire preuve de vigilance et de volonté pour prémunir la société des idées et courants de pensée « déviationnistes » qui perturbent les pratiques religieuses dans le pays ». Cette création d’un syndicat officiel, sous l’égide de l’UGTA, participe aussi de ce souci de renforcer le contrôle des autorités sur les lieux de culte devenus durant la décennie noire des temples de la subversion et de la propagation des idées extrémistes.*TSA-13.03.2013.
**Un ex-ministre britannique en prison
Chris Huhne, condamné le 12 mars 2013 à huit mois de prison pour entrave à la justice, a passé ses premières nuits derrière les barreaux. Comment un ex-ministre de l’Energie est « tombé de très haut ».
Chris Huhne, membre du parti libéral-démocrate et ex-ministre de l’Energie du gouvernement Cameron, a été admis à la prison de Wandsworth lundi 11 mars. Entré au gouvernement en mai 2010, il a démissionné le 3 février 2012 après l’ouverture de poursuites judiciaires contre lui. Reconnu coupable d’entrave à la justice, il a été condamné à huit mois de prison. Cependant, « il devrait n’effectuer qu’un quart de sa peine derrière les barreaux, et les six autres mois chez lui, muni d’un bracelet électronique », note The Guardian. Les faits remontent à 2003. Pris en flagrant délit d’excès de vitesse non loin de Londres, Huhne avait demandé à son épouse, Vicky Pryce, de déclarer qu’elle était au volant pour ne pas perdre son permis de conduire. L’affaire était restée secrète jusqu’à ce que Pryce la rende publique fin 2010, après que son ex-mari l’eut quittée pour l’une de ses collaboratrices, rappelle The Independent. Cette affaire de moeurs avait fait les grands titres des tabloids britanniques, qui avaient notamment mis en ligne un enregistrement sonore d’une dispute du couple au téléphone. Vicky Pryce a été condamnée à la même peine que son ex-époux. Les premières heures de Chris Huhne en prison n’ont pas été de tout repos. L’un des gardiens s’est moqué de lui lors de l’appel général pour le petit déjeuner, relayé par les hauts-parleurs de l’établissement. « De l’ordre, s’il vous plaît ! », a-t-il lancé en imitant le président de la Chambre des Communes lorsqu’il incite les députés au calme, avant d’appeler « l’honorable député de Wandsworth Nord – Au rapport ! », explique The Sun. Le tabloid raconte que les autres prisonniers « lui ont lancé des quolibets lorsqu’il a quitté sa cellule pour aller chercher son repas ». D’après le quotidien, il aurait même été placé dans la partie de l’établissement réservée aux prisonniers vulnérables, après s’être fait harceler par les autres prisonniers de sa cellule. Huhne « est tombé de très haut », a fait remarquer le juge lors de son procès. « Cette revanche tragique a détruit la carrière de deux personnes talentueuses », regrette Rachel Sylvester, du Times, pour qui cette affaire « a mis en lumière les sérieuses lacunes du système judiciaire [britannique]« . L’éditorialiste reconnaît que Huhne et Pryce « ont commis une faute, et doivent être punis pour cela. Mais est-il vraiment nécessaire de les mettre en prison, aux frais du contribuable, pour une chaîne d’événements qui a débuté par un excès de vitesse ? (…) Il doit y avoir une manière plus juste et plus efficace d’administrer la justice au XXIe siècle. » *Courrier international-13.03.2013.
**Bechar : peine capitale pour le commissaire assassin il avait tué une collégue policiére
Le verdict est tombé comme un couperet, ce mercredi 13.03.2013.. La cour criminelle de Béchar a condamné, l’ex commissaire à la sûreté de wilaya d’Adrar Boutrik Abdelkrim, à la peine capitale, pour meurtre avec préméditation. Le procès de cet officier de police avait duré toute la matinée et une bonne partie de la nuit de mardi. Plus d’une vingtaine de témoins se sont succédés à la barre. De nombreux citoyens lambda dont des femmes ont effectué le déplacement de la capitale du Touat à Béchar (600 km) pour assister à l’audience. Des parents de la jeune victime Hadj Brahim Chérifa étaient présents dans la salle, lorsque le président a prononcé le verdict. Un certain soulagement était perceptible sur quelques visages. Certains ont vertement exprimé leur satisfaction. «Cet assassin mérite d’être exécuté tout de suite, il a tué une fille adorable que tout le monde aimait à Adrar», a lancé une femme d’un certain âge à la sortie du palais de justice. Pour rappel, Chérifa 35 ans, était officier de police à Adrar, une wilaya située à l’extrême sud-ouest du pays. Elle exerçait sous les ordres du commissaire Boutrik. Le commissaire était impliqué notamment dans un vaste réseau de trafic de boissons alcoolisées. La jeune fille qui tenait des « preuves irréfutables » sur le comportement de son supérieur hiérarchique, constituait aussi, pour lui, une menace et une source d’inquiétude permanente qui pesait sur sa conscience. Craignant une éventuelle dénonciation, le commissaire s’est présenté le 16 juillet 2010 au matin,devant le domicile des parents de Chérifa. « Il a ordonné à Chérifa de l’accompagner pour une opération dans les environs. Elle s’est préparée puis elle est montée avec lui dans la voiture. Quelques heures plus tard, un citoyen a découvert le corps de notre fille dans le désert, non loin de la route », se rappelle un proche de la victime. *El Watan-13.03.2013.
**Constantine : Les auteurs du meurtre de Haroun et Brahim passent aux aveux
**Arabie Saoudite: sept hommes exécutés en public L’Arabie saoudite a exécuté mercredi 13.03.2013. en public sept jeunes hommes condamnés à mort pour attaque à main armée, ignorant les appels pressants de défenseurs des droits de l’Homme à les épargner. « Les sept hommes, reconnus coupables de plusieurs attaques à main armée, ont été exécutés mercredi dans la ville d’Abha », dans le sud du pays, et cela afin « qu’ils servent d’exemple », a annoncé l’agence officielle SPA. Selon un témoin joint au téléphone par l’AFP, ils « ont été fusillés sur une place publique de la ville en présence de Saoudiens et d’étrangers ». Ces sept personnes avaient été condamnées à mort en 2009 pour vol à main armée et braquage de boutiques de bijoux en 2005. Des organisations de défense des droits de l’Homme s’étaient mobilisées en leur faveur, appelant les autorités à surseoir à leur exécution, estimant que leur procès avait été entaché d’irrégularités et qu’ils avaient été torturés. « L’exécution des sept hommes serait un acte de pure brutalité », avait affirmé Amnesty International dans un communiqué publié peu avant l’exécution. Ils « auraient été torturés pour les forcer à avouer », avait affirmé l’ONG basée à Londres, soulignant par ailleurs que deux des condamnés auraient été mineurs au moment des faits. « Il serait choquant que les autorités saoudiennes mènent ces exécutions », avait également indiqué Human Rights Watch (HRW), estimant qu’il est « grand temps que les Saoudiens arrêtent d’exécuter des gens ayant commis des crimes en étant mineurs ». « Les sept jeunes gens avaient entre 16 et 20 ans lorsqu’ils ont été arrêtés », selon l’organisation basée aux Etats-Unis. Selon le site d’informations www.sabq.org, ils avaient entre 20 et 24 ans au moment de leur exécution. Fusillade plutôt que décapitation Des experts des droits de l’Homme à l’ONU avaient également demandé mardi à Ryad de surseoir à leur exécution imminente, faisant valoir que leur procès avait enfreint les normes internationales de la justice. La France a condamné ces exécutions, le porte-parole adjoint du Quai d’Orsay Vincent Floréani déclarant que « l’exécution de mineurs au moment des faits est contraire à la Convention internationale relative aux droits de l’enfant, que l’Arabie saoudite a ratifiée ». Le vol à main armée, tout comme le viol, le meurtre, l’apostasie et le trafic de drogue sont passibles de la peine capitale en Arabie saoudite, qui applique de manière extrêmement stricte la charia (loi islamique). Les condamnés à mort sont en général décapités. Mais la presse a rapporté cette semaine que le royaume comptait désormais recourir aux pelotons d’exécution, en raison d’une pénurie de bourreaux sachant manier le sabre. Selon le quotidien Al Yaoum, « une commission regroupant des représentants des ministères de l’Intérieur, de la Justice, de la Santé a été formée pour étudier le remplacement des décapitations par les exécutions par balle ». En attendant, le ministère de l’Intérieur a informé les gouverneurs des provinces qu’ils avaient désormais la possibilité de recourir à l’exécution par balle, qui n’est « pas contraire à la charia », selon ce journal. Depuis le début de l’année, 26 personnes ont été exécutées dans le royaume, selon un décompte de l’AFP. En janvier, l’exécution d’une jeune domestique srilankaise, condamnée à mort pour avoir tué par étouffement un bébé après une dispute avec la mère de l’enfant, avait suscité des réactions indignées dans le monde entier. En 2012, 76 personnes avaient été décapitées dans le royaume, selon un décompte établi par l’AFP à partir de communiqués du ministère de l’Intérieur, faisant de l’Arabie saoudite l’un des rares pays du monde à exécuter autant de condamnés à mort.*AFP-13.03.2013.
**13% de la mortalité masculine causée par l’alcool en France
Rien qu’en 2009, plus de 45.000 personnes ont perdu la vie à cause de la consommation excessive d’alcool. Les français boivent trop selon une étude récente éditée dans le European Journal of Public Health. D’après les recherches de l’équipe de Catherine Hill, biostatisticienne à l’Institut de Cancérologie Gustave Roussy de Villejuif en Val-de-Marne, les hommes sont plus touchés que les femmes avec 13% de mortalité masculine contre 5% de mortalité féminine. Les chercheurs ont pu également déterminer que les cancers et les maladies de cœur sont à l’origine des décès. On notera également la cirrhose, les accidents et les suicides. Pour entrer dans les détails, l’alcool est responsable de 22% de décès entre 15 et 34 ans, de 18% de décès entre 35 et 64 ans et de 7% de décès à partir de 65 ans. D’après les statistiques (La statistique (par opposition à une statistique) est l’ensemble des instruments et de recherches mathématiques permettant de déterminer les caractéristiques d’un ensemble de données (généralement vaste). Les statistiques (au pluriel) sont le…), les français sont en tête de liste parmi les pays (Pays vient du latin pagus qui désignait une subdivision territoriale et tribale d’étendue restreinte (de l’ordre de quelques centaines de km²), subdivision de la civitas gallo-romaine. Comme la civitas qui…) européens concernant la consommation d’alcool, avec 2,7 verres de boissons alcoolisées par adulte et par jour (Le jour ou la journée est l’intervalle qui sépare le lever du coucher du Soleil ; c’est la période entre deux nuits, pendant laquelle les rayons du Soleil éclairent le ciel. Son début (par…) en moyenne (Il y a plusieurs façon de calculer une moyenne d’un ensemble de nombres. Celle qu’il convient de retenir dépend de la grandeur physique que représentent ces nombres. Lorsque, dans…), ce qui équivaut à 27 grammes d’éthanol. Cette étude démontre que les français accusent 13% de décès liés à l’alcool, contre 5% en Suisse et 3% en Italie. Au Danemark ce taux est seulement de 1%. Dans certains cas, l’alcool a des effets protecteurs pour éviter les maladies cardio-vasculaires. Mais il faut s’en tenir à un demi-verre par jour, qui est l’équivalent de 5 grammes d’alcool pur.*techno-science.net-14.03.2013. Référence: « Alcohol-attributable mortality in France » ; Sylvie Guérin, Agnès Laplanche, Ariane Dunant et Catherine Hill ; European Journal of Public Health, 4 mars 2013.
**Des rats communiquent par « télépathie » à des milliers de kilomètres
Comment un rongeur qui se trouve au Brésil arrive-t-il à communiquer avec son alter ego américain, et qui plus est, se trouve à des milliers de kilomètres de lui ? Par « télépathie »… Des chercheurs en neuroscience de la Grande-Bretagne, des Etats-Unis et du Brésil y sont parvenus, avec l’aide de la technologie (Le mot technologie possède deux acceptions de fait . En effet, ils ont fait l’expérience sur deux rats qui arrivent à communiquer sans que ceux-ci ne soient en contact. L’étude a été publiée la revue britannique Nature Scientific Reports . Dans le cadre de cette étude scientifique (Un scientifique est une personne qui se consacre à l’étude d’une science ou des sciences et qui se consacre à l’étude d’un domaine avec la rigueur et les méthodes scientifiques.), des chercheurs ont montré qu’il est possible de transmettre des informations en temps (Le temps est un concept développé pour représenter la variation du monde : l’Univers n’est jamais figé, les éléments qui le composent bougent, se transforment et évoluent pour l’observateur qu’est l’homme. Si on considère l’Univers comme…) réel entre deux cerveaux connectés. Et pourtant, des kilomètres (Le mètre (symbole m, du grec metron, mesure) est l’unité de base de longueur du Système international. Il est défini comme la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1/299 792 458 seconde.) les séparent, l’un étant aux Etats-Unis et l’autre au Brésil. En effet, les deux rats réussissent à communiquer grâce aux électrodes implantées dans leur cerveau. Les chercheurs arrivent à transférer via Internet (Internet est le réseau informatique mondial qui rend accessibles au public des services comme le courrier électronique et le World Wide Web. Ses utilisateurs sont désignés par le…) l’activité (Le terme d’activité peut désigner une profession.) du cerveau du rat codeur (qui envoie l’information) dans le cerveau du rat décodeur (qui la reçoit). L’expérience que les chercheurs ont effectuée a consisté en la résolution d’une énigme. Le rat codeur doit activer un interrupteur (Un interrupteur (dérivé de rupture) est un dispositif ou organe, physique ou virtuel, permettant d’interrompre ou d’autoriser le passage d’un flux. Il ne faut pas confondre l’interrupteur qui permet…) parmi deux au choix, au moment où une lumière (La lumière désigne les ondes électromagnétiques visibles par l’œil humain, c’est-à-dire comprises dans des longueurs d’onde de 0,38 à 0,78 micron (380 nm…) s’allume au-dessus de celui-ci. Quand il réussit, le rat reçoit une récompense. Situé à distance, le rat décodeur se trouve face au même équipement, sauf qu’il n’y a pas la lumière indiquant sur quel bouton appuyer. Il lui est donc impossible de connaître la réponse… mais cette dernière lui est transmise directement dans son cerveau par le rat codeur. Le taux de réussite est de 70%. Un résultat qui pourrait ouvrir une porte sur le traitement des personnes souffrant de paralysie, mais aussi celles atteintes du syndrome d’enfermement. Une grande première mondiale ! Néanmoins, le chemin est encore long, puisque l’expérience sur l’être humain ne semblerait pas aussi facile à mener que pour celle faite sur les rats de laboratoire, notamment pour des raisons éthiques. L’implantation (Le mot implantation peut avoir plusieurs significations d’électrodes exigerait des interventions chirurgicales. Par ailleurs les signaux cérébraux envoyés pourraient ne contenir que des informations brutes, ce qui empêcherait d’avoir des pensées abstraites.*techno-science.net-14.03.2013.
**Les étapes menant à la migraine
La migraine est un type de mal de tête chronique, invalidante, qui se traduit par des maux de tête et des nausées. La migraine est trois fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes. Des chercheurs ont découvert une suite d’évènements localisés dans le cerveau qui pourrait permettre d’expliquer pourquoi l’activité (Le terme d’activité peut désigner une profession.) cérébrale pourrait engendrer une sensation terrible (Le Terrible était un vaisseau de ligne de 2e rang et de 78 canons, dessiné par François Coulomb, et lancé à Toulon en 1739. Il était long de 152 pieds français, large de 44,4 et profond de 21, déplaçant 1500 tonneaux. Son artillerie…) de douleur dans la migraine. L’origine et le développement de beaucoup de types de migraines sont mal connus mais un point (Graphie) de départ possible pour les auras et les douleurs migraineuses est une dépression progressive, une onde (Une onde est la propagation d’une perturbation produisant sur son passage une variation réversible de propriétés physiques locales. Elle transporte de l’énergie sans transporter de matière.) lente d’activation (Activation peut faire référence à de neurones avec une entrée rapide d’ions chargés dans ces cellules. Les chercheurs turcs Julya Karatas et ses collègues ont maintenant trouvé une voie moléculaire qui traduit le signal ( Termes généraux Un signal est un message simplifié et généralement codé. Il existe sous forme d’objets ayant des formes particulières. Les signaux lumineux sont employés depuis la nuit des…) nerveux de l’onde de dépression migrante en une libération de protéines pro-inflammatoires capable d’activer les terminaisons nerveuses dans le nerf trijumeau (Le nerf trijumeau est la cinquième paire des nerfs crâniens dont le rôle est moteur pour la mastication et sensitif des téguments de la face.) responsable de sensation pour le visage et la bouche. Ce mécanisme pourrait selon eux être une voie de communication(La communication concerne aussi bien l’homme (communication intra-psychique, interpersonnelle, groupale…) que l’animal (communication intra- ou inter- espèces) ou la machine (télécommunications, nouvelles…) importante capable de créer des maux de têtes lorsque les neurones sont stressés. Caractéristiques des migraines Une migraine dure habituellement de 4 à 72 heures (L’heure est une unité de mesure . Les symptômes sont constitués de nausées, vomissements, photophobie (grande sensibilité à la lumière), phonophobie (grande sensibilité au son). Les symptômes s’aggravent généralement en cas d’activités physiques. Environ un tiers des personnes souffrant d’une migraine font l’expérience d’une aura juste avant la céphalée (mal de tête), constitué d’une illusion visuelle ou autre trouble d’ordre sensoriel ou moteur (Un moteur est un dispositif transformant une énergie non-mécanique (éolienne, chimique, électrique, thermique par exemple) en une énergie mécanique ou…). L’état actuel de la science (La science (du latin scientia, connaissance) relève Historiquement de l’activité philosophique, et fut pendant longtemps un exercice spéculatif visant à élucider les mystères…) permet de déterminer que les migraines sont causées par l’association de facteurs environnementaux et de facteurs génétiques. Environ deux tiers des cas ont un contexte (Le contexte d’un évènement inclut les circonstances et conditions qui l’entourent; le contexte d’un mot, d’une phrase, d’un long énoncé ou d’un texte…) familial.*techno-science.net-11.03.2013.
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**Egypte: 18 touristes tués dans l’explosion d’une montgolfière
Dix-huit touristes, en majorité occidentaux et asiatiques, ont péri mardi 26.02.2013, dans l’explosion d’une montgolfière alors qu’ils survolaient Louxor, dans le sud de l’Egypte, le plus meurtrier des accidents de ce type depuis une vingtaine d’années. La montgolfière, qui s’était envolée à l’aube avec 21 personnes à son bord, a pris feu et explosé à 300 mètres d’altitude, a indiqué une source au sein des services de sécurité égyptiens. La police a bouclé le champ de canne à sucre où s’est écrasé l’appareil, tandis que policiers et habitants inspectaient les débris.
La montgolfière survolait la rive ouest de Louxor, à 700 km au sud du Caire, lorsqu’elle a explosé. Louxor, qui regorge de trésors de l’époque pharaonique, est l’un des sites archéologiques les plus célèbres d’Egypte. Selon la source de sécurité, 18 personnes sont mortes, dont des ressortissants de Hong Kong, du Japon, de Grande-Bretagne, de France et de Hongrie. Des témoins ont affirmé à France 24 avoir vu l’équipage lâcher du lest, juste avant l’accident, pour tenter de reprendre de l’altitude. En feu à cause d’une explosion de gaz selon CNN, l’engin est ensuite remonté de trente mètres de manière incontrôlée avant de s’écraser dans un champ. Le gouverneur de Louxor, Ezzat Saad, a interdit les excursions en montgolfière dans tout le gouvernorat, sans préciser la durée de cette interdiction, a rapporté l’agence officielle Mena. Le Premier ministre Hicham Qandil a de son côté ordonné une enquête sur l’accident. Le ministère français des Affaires étrangères a confirmé la mort de deux Français. « Malheureusement il y a deux de nos ressortissants qui sont décédés dans cet accident », a déclaré le porte-parole du ministère, Philippe Lalliot. « Nous sommes en contact avec les familles », a-t-il ajouté. Le voyagiste britannique Thomas Cook a indiqué que deux de ses clients avaient été tués et deux hospitalisés. Le ministère britannique des Affaires étrangères n’a pas confirmé le bilan. « Nous pensons qu’un petit nombre de Britanniques sont impliqués dans l’accident de Louxor », a simplement déclaré une porte-parole.
A Hong Kong, le voyagiste ayant organisé leur séjour a annoncé que neuf ressortissants de Hong Kong figuraient probablement au nombre des touristes tués. Les cinq femmes et quatre hommes étaient âgés de 33 à 62 ans, a indiqué un responsable de l’agence Kuoni, Raymond Ng, en ajoutant que leurs familles étaient attendues au Caire mardi, accompagnées par des représentants du voyagiste. Au Japon, le voyagiste JTB a par ailleurs indiqué que quatre de ses clients étaient impliqués dans l’accident et que deux d’entre eux au moins avaient trouvé la mort. Jointe par l’AFP, une employée de la société gestionnaire de la montgolfière, Sky Cruise, a indiqué que deux survivants, un touriste et le pilote de la montgolfière, avaient pu sauter du ballon à temps. « C’est terrible, vraiment terrible », a déclaré cette employée au téléphone à l’AFP sous le couvert de l’anonymat. « On ne sait pas exactement ce qui s’est passé » a-t-elle ajouté, en pleurs. Selon Philippe Buron-Pilâtre de Rozier, spécialiste français des montgolfières, l’explosion peut s’expliquer par une fuite du raccord d’une bouteille de propane au ballon, suivie d’une étincelle, par exemple provoquée par un briquet ou une cigarette. Elle peut être liée à « l’usure prématurée d’un tuyau, en raison d’un mauvais entretien ou parce que le pilote l’a mal mis », a ajouté le président de la plus grande manifestation d’aérostation au monde, le Mondial Air Ballon. Les montgolfières géantes du type de celle qui explosé mardi sont hautes de 40 mètres et peuvent transporter jusqu’à 25 passagers. En 2009, 13 touristes étrangers avaient été blessés lorsque leur montgolfière s’était écrasée en heurtant un poteau téléphonique à Louxor en raison d’une surcharge de l’appareil, selon les enquêteurs. D’ordinaire très fréquentée par les touristes, Louxor a été durement affectée par l’instabilité qui a suivi la chute en février 2011 du régime de Hosni Moubarak et a provoqué une nette baisse des revenus du tourisme, secteur phare de l’économie égyptienne.*AFP=26.02.2013.
**l’affaire des faux Bacs à l’université d’Oran Comment les bacs étaient falsifiés
**la source du trafic n’était autre que l’inspecteur de l’Académie universitaire, inculpé et placé sous mandat de dépôt A mesure que l’enquête judiciaire avance, l’affaire des faux bacs qui a éclaté à l’université d’Oran livre, peu à peu, ses secrets. On connaît maintenant, à quelques détails près, comment et à quel maillon du circuit d’inscription se faisait le trafic de diplômes de bac, le «sésame» pour accéder à l’Enseignement supérieur. En attendant la clôture de l’information judiciaire ouverte, il y a une semaine, par le juge d’instruction de la 5e Chambre du tribunal d’Oran, laquelle procédure n’en est encore qu’à la phase de la première présentation, force est de constater que le « passe-partout » qui permettait aux indus bacheliers d’accéder à une branche de choix n’était pas possible sans la (grosse) faille qui existait dans le dispositif d’inscription. Dans la chaîne mise en place pour le traitement des dossiers des nouveaux bacheliers, de la pré-inscription au centre unique, au niveau du vice-rectorat de l’université qui chapeaute 12 départements, jusqu’à l’inscription finale à l’institut vers lequel le candidat a été orienté, en passant par la vérification du bac, via l’OREC (Office régional des examens et concours), il y a lieu de relever qu’il n’y avait pas de coordination entre le premier maillon et le tout dernier. Selon le système adopté, le bachelier se présente au niveau du vice-rectorat de l’université, muni de l’attestation de réussite au bac (un document administratif délivré, à titre provisoire, au bachelier pour, entre autres, les besoins d’une pré-inscription, et ce, en attendant la délivrance du diplôme proprement dit au niveau central, à Alger, lequel prend beaucoup de temps), du relevé de notes (bulletin exhaustif des notes obtenues pour chaque module par le bachelier à l’examen du bac, avec la moyenne générale et la mention) ainsi que d’un dossier administratif. Le service, dépendant du vice-rectorat, garde à son niveau le dossier, y compris les originaux de l’attestation provisoire de réussite – qu’on appelle «le bac», tout court- et du relevé des notes, et oriente le candidat vers l’institut ou le département qui lui convient, en fonction d’un nombre de critères, dont en premier lieu, la moyenne générale et les notes obtenues au bac, dans les matières dites «essentielles». Du bac et du bulletin des notes, le bachelier n’en gardera que des photocopies légalisées. De plus, un papier en carton, rassemblant les cartes de tous les services annexes (oeuvres universitaires, carte d’abonnement à la bibliothèque, transport, internat, etc.), est remis au concerné. Un contrôle de l’authenticité du bac et du relevé de notes qui lui est rattaché, se fait par le vice-rectorat, en collaboration avec l’OREC, qui centralise toutes les données relatives à la liste des lauréats du bac, du BEM et de l’examen de Sixième. A ce niveau-là, pas moyen donc de passer sous le nez de l’administrateur, un bac ou un bulletin falsifiés. Ensuite, le bachelier se présente auprès de l’administration de l’institut, la faculté ou le département vers lequel il a été orienté et, au moyen des photocopies du bac et du relevé des notes, s’y inscrit. Autrement dit, la structure pédagogique d’accueil admet et inscrit le bachelier sur dossier présenté par lui. Et c’est là où réside, justement, la faille, accentuée par une communication trop lente, voire carrément absente, entre la structure d’accueil et le service centralisé au rectorat. C’est ce point de dysfonctionnement du mécanisme d’inscription qui a été exploité par les mis en cause, selon des sources proches du dossier. Avec ce dispositif, le rectorat, quant à lui, ne pourrait détecter le faux qu’en fin de cursus de l’étudiant, à l’occasion de l’examen du parcours pédagogique. Il y a deux types de falsification mis à nu par les enquêteurs: les faux bacs montés de toutes pièces et les bacs, des vrais certes, mais avec des notes «gonflées» pour se faire inscrire dans telle ou telle spécialité que les résultats, réellement obtenus, n’en permettaient pas l’accès. Pour cette catégorie de «vrais-faux» bacs, c’est-à-dire avec des notes gonflées, la source du trafic, remontée par les enquêteurs, n’était autre que l’inspecteur de l’Académie universitaire, inculpé et placé sous mandat de dépôt, la semaine écoulée, qui, selon les éléments de l’enquête, proposait aux parents des bacheliers mis en cause, de faire recours pour changer la filière d’inscription, en se chargeant lui-même de leur produire le faux bac pour appuyer le dossier du recours. Pour ce genre d’interventions «très exceptionnelles» le service centralisé du rectorat était carrément court-circuité, de sorte que les faux bacs injectés dans le recours échappaient à tout contrôle, en amont. Le cas le plus révélateur, à plus d’un titre, divulgué par notre source se rapporte à l’inculpation de trois personnes d’une même famille, résidant à Oran. Il s’agit de deux soeurs et leur frère. Deux parmi eux, avaient pu accéder à la faculté de droit au moyen d’un faux bac, totalement faux, dont une fille, avait même achevé son cursus et réussi à ouvrir, quelques années plus tard, un cabinet d’avocat, sur la place d’Oran, tandis que l’autre, un garçon, s’est fait renvoyer par l’institut après avoir été débusqué, alors qu’il était en 2e année du cursus de la licence en droit. La troisième, quant à elle, s’était inscrite à la faculté de médecine, en utilisant un bac dont les notes avaient été gonflées, selon la même source. Il y a lieu de noter que 107 personnes sont mises en cause, jusqu’ici, bien que le juge d’instruction ait toute latitude d’inculper d’autres, y compris parmi celles auditionnées comme témoins par la police judiciaire au cours de l’enquête préliminaire. La même source indique qu’après avoir entendu les mis en cause concernant les instituts de droit et des sciences économiques, le magistrat instructeur planchera, la semaine prochaine, sur les cas propres à la faculté de médecine et l’institut des langues étrangères. La même source rappelle qu’en plus d’une étudiante en droit, placée sous mandat de dépôt ainsi qu’un inspecteur de l’Académie universitaire, 40 personnes ont été inculpées et placées sous contrôle judiciaire, parmi elles le doyen de la faculté de droit et vice-recteur de l’université d’Oran, par ailleurs chargé des inscriptions. C’était suite à deux lettres de dénonciation anonyme, une écrite en arabe et l’autre en français, qu’une enquête avait été ouverte, il y a huit mois, par le parquet général de la Cour d’Oran. Dans un premier temps, l’enquête préliminaire se menait sur trois fronts différents, à savoir : le parquet d’Es Sénia, le Commissariat central et le groupement de la Gendarmerie d’Oran, avant que le PG n’ordonne une jonction des trois dossiers en un seul, qui sera confié, tout en bloc, à la section de recherches de la Gendarmerie nationale, qui jouit d’une compétence territoriale nationale.*21 Février 2013-Le Quotidien d’Oran
**déclarée morte, elle se réveille en plein milieu de son enterrement
Une septuagénaire originaire de la wilaya de Khenchela, située à plus de 500 Km à l’est de la capitale Alger, déclarée morte s’est réveillée en plein milieu de son propre enterrement ! Cet évènement insolite s’est produit vendredi dernier au niveau de la commune d’El Mahmal. Alors que ses proches se recueillaient devant son corps, la grand-mère a ouvert les yeux et a bougé sa tête. Au début, une véritable panique s’est emparée de l’assistance. Mais par la suite, un des enfants de la septuagénaire lui a retiré le linceul de son visage et a découvert qu’elle était bel et bien vivante, rapportent des sources locales. Surpris et bouleversés, les proches de la vieille femme l’ont extraite de la tombe pour la ramener chez elle au milieu de sa famille qui était en deuil depuis bientôt deux jours croyant que leur grand-mère était bel et bien décédée depuis qu’elle était entrée dans un profond coma. Selon le correspondant local du quotidien arabophone El-Khabar, cette « résurrection » a fait le tour de la région et les discussions des habitants ont tourné uniquement autour de cette histoire extraordinaire. La maison de la septuagénaire a été assaillie d’une foule nombreuse venue s’enquérir de l’état de santé de cette grand-mère qui est revenue de la mort. Il est à souligner qu’ailleurs dans le monde, on a enregistré des cas similaires où des personnes déclarées cliniquement mortes se sont réveillées dans la morgue ! Les scientifique qualifient ce phénomène d’expérience « de mort imminente » (EMI). Cela désigne un ensemble de « sensations » vécues par certains individus pendant un coma avancé ou une mort clinique avant qu’ils soient réanimés et dont ils témoignent souvent comme d’une possibilité que la conscience survive à la mort, explique l’association internationales pour l’étude des états proches de la mort (IANDS France). Selon cette association, on parle dans ce cas aussi d’«expérience aux frontières de la mort», d’«expérience de mort approchée» (EMA), « expérience de mort-retour» ou encore «near-death experience» (NDE).*Algérie.Focus-17.02.2013. ** météorites : l’Algérie est « exposée » à ce phénomène L’Algérie n’est pas à l’abri de chutes de météorites semblables à celles qui ont touché une région de Russie ce matin, a indiqué ce vendredi 15 février à TSA le professeur Loth Bonatiro, chercheur et astronome. « L’Algérie est aussi exposée à ce phénomène », indique-t-il dans une déclaration à TSA. « La Terre connaît pratiquement chaque jour [la chute] de météorites de petites tailles qui tombent généralement dans des endroits non peuplés et isolés », ajoute-t-il.
*Deux étudiantes universitaires kidnappées à Sidi Bel-Abbès
Elles ont été rapidement libérées grace a l’information d’un citoyen au numéro vert (10-55) Les services du groupement territorial de la Gendarmerie nationale de Sidi Bel-Abbès ont réussi à libérer deux étudiantes, kidnappées samedi soir au chef-lieu de wilaya, a-t-on appris dimanche auprès d’une source du commandement de ce corps de sécurité. Les deux universitaires ont été enlevées aux environs de neuf heures du soir au centre-ville de Sidi Bel-Abbès, selon la même source. Agissant sur une information parvenue d’un citoyen au numéro vert (10-55) faisant état de l’enlèvement de force de deux étudiantes par des inconnus, à bord d’un camion frigorifique vers une destination inconnue, les services de la Gendarmerie nationale ont déclenché une vaste opération de recherche dans toute la wilaya et à travers les axes routiers, soutenus par des éléments de la sûreté. Cette opération a été vite couronnée de succès: les deux étudiantes libérées et les ravisseurs arrêtés. Les deux jeunes filles ont été kidnappées dans la ferme « Si Youcef » située sur une colline de la commune de Sidi Khaled.*APS-03.02.2013.
200 pièces de monnaies antiques récupérées à El Eulma-Algérie
C’est au cours de la semaine écoulée que les éléments de la police judiciaire relevant de la sûreté de la daïra d’El Eulma ont mis la main sur un réseau de trafic de pièces archéologiques remontant aux époques numide et romaine , a-t-on appris de sources sécuritaires. Ce réseau constitué de trois jeunes originaires d’une daïra de la wilaya de Mila, a été démantelé pour trafic et détournement des pièces d’antiquité qui activait entre Mila et Sétif. C’est en agissant sur des informations fiables concernant ces trafiquants que les mêmes services sécuritaires ont enclenché de minutieuse enquête pour mettre hors d’état de nuire ces trois jeunes tout en déterminant le lieu exacte de cette transaction illicite ou les contrevenant s’apprêtaient à vendre ces précieuses pièces archéologiques faisant partie intégrante de notre patrimoine matériel et notre histoire. En premier lieu, la police a récupéré pas moins de 44 pièces. Mais, après perquisition des demeures des mis en cause, sur autorisation du procureur de la République, les éléments de la PJ d’El Eulma ont découvert 165 autres pièces. Le père de l’un de ces trois jeunes a avoué qu’il découvrait de temps à autres des objets pareils et qu’il remettait à chaque fois aux services concernés. Néanmoins, son fils a été poussé par ses copains à activer dans ce type de trafic, vu sa lucrativité car une seule pièce coûte plus de 25 millions de centimes, a ajouté le père. Présentés devant le procureur de la République près le tribunal d’El Eulma, les trois mis en cause ont été placés en détention préventive, alors que le quatrième a bénéficié d’une citation directe. Il convient de signaler au passage que le patrimoine matériel dont regorge la wilaya de Mila figure parmi les zones archéologiques les plus touchées par le vol et le trafic. Selon le bilan établi par la direction de la sécurisation des biens culturels du ministère, le plus grand nombre de pièces archéologiques a été récupéré dans les wilayas d’Oum El-Bouaghi (6900 objets), Mila (4352), Guelma (854), Skikda (721), Ouargla (555) et Constantine (516). Par ailleurs, La traque des trafiquants n’a pas épargné la Toile, puisque 1828 pièces archéologiques de la région de Mila et 101 autres d’Annaba, proposées à la vente illégale sur des sites internet, ont été repérées et récupérées depuis 2009. Les contrebandiers, organisés en réseaux, ont été arrêtés et présentés devant la justice, relève la même source. Il s’agit de pièces de monnaie en bronze de l’époque numide et punique, de bijoux antiques et d’objets divers en métal et en terre cuite datant de la préhistoire, que ces contrebandiers détenaient dans des dépôts et garages privés. Le bilan de l’année 2011 a été marqué par la récupération de 307 pièces de monnaie et 32 pièces archéologiques, tessons de céramique et lampes notamment, dans les wilayas de Tébessa, Ouargla, Guelma, Alger, Laghouat, Batna et Annaba. Ces pièces ont été sauvées du pillage grâce au travail des cellules de la gendarmerie chargées de la protection du patrimoine culturel et historique installées depuis 2005 à Constantine, Oran, Ouargla, Tamanrasset, Tipasa, Adrar et Souk-Ahras, des wilayas riches en sites et monuments archéologiques. Pour rappel, le masque de Gorgone, volé en 1996 sur le site antique d’Hippone (Annaba), a été retrouvé en 2011 dans la maison de Sakhr El Materi, gendre du président tunisien déchu Zine El-Abidine Ben Ali. En mai dernier, il a été authentifié par un groupe d’experts du ministère de la Culture en mission en Tunisie. Mahmoud Allani, un ressortissant tunisien condamné par la justice algérienne dans une affaire de vol de pièces archéologiques, a été remis le 12 décembre 2011 à la justice tunisienne, suite à une demande d’extradition formulée par cette dernière.*Le Courrier d’Algérie-21.-1.2-13. *
*13 personnes jugées pour trafic d’enfants entre l’Algérie et la France
Le tribunal criminel d’Alger jugera 13 personnes inculpées pour avoir mis en place un réseau d’enlèvements d’enfants entre l’Algérie et la France depuis les années 90. Ce trafic d’enfants algériens servait de juteux business d’adoption. C’est un procès important qui aura lieu dimanche au tribunal criminel d’Alger. 13 personnes impliquées dans l’ »enlèvement et le détournement » d’un nombre « indéterminé » d’enfants algériens pour les déplacer en Europe, notamment vers la France vont être jugées. Les malheureuses victimes des kidnappeurs étaient envoyées en Europe pour être adoptées en contrepartie de grosses sommes d’argent. Le réseau démantelé en 2009, était constitué d’Algériens et de Français. Ces derniers avaient mis en place ce trafic humain en Algérie depuis les années 90 en Algérie. Au vu du nombre de personnes impliquées, et des années durant lesquelles le réseau s’est activé, on peut supposer qu’un grand nombre d’enfants ont dû être les victimes de ces kidnappeurs. Toutefois l’enquête des forces de sécurité qui ont interpellé ce réseau n’a pu déterminer le nombre exact des enfants enlevés. L’enquête des services de sécurité a permis de récupérer 3 enfants au domicile d’une puéricultrice exerçant dans une pouponnière à El-Biar, et a également découvert « 12 certificats d’adoption » rédigés entre 2005 et 2006, dans lesquels figurent 9 enfants déjà expatriés de manière illégale et dont la kafala a été confiée à d’autres personnes moyennant une somme d’argent. Un trafic rodé Ce « dangereux » réseau a pu transférer ces enfants vers l’étranger « grâce à de fausses procurations », a indiqué une source judiciaire à l’APS. Il impliquait également des notaires et un médecin, complices de l’enlèvement de ces enfants algériens. Les deux notaires étaient chargés de rédiger « des documents de désistement » signés par les mères célibataires. Le médecin généraliste impliqué, se faisait passer pour un obstétricien propriétaire d’une clinique à Ain Taya et, avec l’aide de sa sœur, il prenait en charge gratuitement des femmes enceintes célibataires jusqu’à ce qu’elles accouchent et exploitait aussi les fœtus avortés qu’il conservait dans un produit spécial et exportait vers l’étranger. Ce même médecin prenait en charge les mères célibataires pendant leur grossesse jusqu’à l’accouchement, après quoi, il enregistrait le nouveau-né sur les registres de l’Etat civil jusqu’à sa sortie du territoire sur la base de certificats d’adoption (kafala) rédigés par un notaire. Les bébés étaient ensuite confiés à une puéricultrice, qui prenait également en charge les femmes enceintes sur le point d’accoucher. Les mères de ces enfants, ont affirmé qu’elles avaient été menacées d’abandonner leur enfant.*Algérie.Focus avec APS-16.02.2013. **Le chef de guerre libyen Abdelhakim Belhadj interdit d’entrée en Algérie Abdelhakim Belhadj, l’un des chefs militaires de la révolution libyenne, est indésirable en Algérie. Selon nos informations, il a été refoulé en décembre dernier à l’aéroport d’Alger et n’a pas été autorisé à rentrer sur le territoire national. L’ancien chef du Groupe islamique pour le combat en Libye (GICL), M. Belhadj, a entrepris des démarches auprès de personnalités algériennes et tunisiennes pour une médiation avec les autorités algériennes afin de venir en Algérie, selon les mêmes sources.
Grande-Bretagne: un hélicoptère s’écrase sur une grue dans Londres, deux morts et neuf blessés
*vidéo: Crash d’un hélicoptère dans le centre de Londres - 16 janvier 2013 Un hélicoptère s’est écrasé mercredi matin à Londres après avoir heurté par temps de brouillard une grue perchée sur un immeuble en cours de construction, faisant deux mortsdeux et neuf blessés, selon un bilan de la police. « Les premières indications sont qu’un hélicoptère est entré en collision avec une grue en haut d’un bâtiment », a indiqué la police, précisant avoir été alertée à environ 08h00 (locales et GMT). « Nous avons confirmation de la mort de deux personnes sur les lieux. Nous n’avons pas d’autres détails. Deux autres personnes ont été transportées dans un hôpital du sud de Londres, nous attendons des nouvelles de leur état », a ajouté la police dans un communiqué. A ce stade, Scotland Yard ne traite pas ce crash comme « un acte lié au terrorisme », a précisé à l’AFP une porte-parole de la police. Les télévisions ont montré des images de débris en flammes sur la chaussée. L’accident s’est produit par temps de brouillard et à l’heure de pointe matinale dans le quartier de Lambeth, à proximité d’un pont très fréquenté qui franchit la Tamise, en face de l’immeuble du MI6, les services secrets britanniques. La grue se trouvait en haut d’un bâtiment en construction appelé The Tower, qui doit être l’un des plus hauts immeubles résidentiels d’Europe.
La zone de l’accident a été bouclée et la station de métro et de trains Vauxhall a été fermée. Des témoins ont indiqué qu’au moins deux voitures avaient pris feu. « J’ai vu l’hélicoptère survoler la Tamise », a témoigné à l’AFP un ouvrier qui travaille sur le chantier où s’est produit l’accident. « J’ai entendu qu’il heurtait la grue. Je me suis mis à l’abri pour que les échafaudages ne me tombent pas dessus », a-t-il ajouté. « J’ai entendu un énorme bruit », a expliqué sur Sky News Mark Louis Sidney, qui se rendait à la station Vauxhall. « J’ai regardé en l’air et j’ai vu des parties de l’hélicoptère tomber du ciel. Et après il y a eu un panache de fumée. » « J’ai vu que le sommet de la grue bougeait en haut du bâtiment. C’était très brumeux donc il est probable que l’hélicoptère ne l’ait pas vue », a-t-il ajouté. La chaîne Sky News a rapporté qu’il y avait uniquement un pilote dans l’hélicoptère. Les policiers et les services de secours étaient sur les lieux en milieu de matinée. le dispositif comptait notamment huit véhicules de pompiers et quelque 60 pompiers.*AFP-16.01.2013. *******************************************
un train a déraillé à Stockholm et a fini par s’encastrer dans un immeuble résidentiel
*Une femme de ménage de 22 ans employée par une compagnie ferroviaire suédoise a envoyé par mégarde un train s’encastrer dans un immeuble, mardi matin-15.01.2013-, à Stockholm. Pour une raison encore inconnue, la jeune femme s’est rendue dans la cabine du conducteur et est parvenue à mettre la machine en marche. Le train a ensuite déraillé et a fini par s’encastrer dans un immeuble résidentiel, à 1,6 kilomètres de son point de départ. La « conductrice » du train est grièvement blessée et se trouve actuellement à l’hôpital-AFP-15.01.2013.
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Ils ont été déclarés aux assurances Algérie: Près d’un million d’accidents de la circulation en 2012
Les compagnies d’assurances enregistrent annuellement près de 900 000 déclarations d’accidents. Environ un million de dossiers ont été réglés en 2012 pour un montant global de 46 milliards de dinars contre 43 milliards de dinars en 2011 et 35 milliards de dinars en 2010. Plus de 80% de ces accidents représentent le secteur de l’automobile. De plus en plus, l’on assiste à des accidents corporels provoqués essentiellement par les bus et les camions. L’automobile représente 52% du chiffre d’affaires (CA) des assureurs. Ces derniers ont réalisé un CA de 100 milliards de dinars en 2012 contre 86 milliards en 2011. La progression poursuivie par les compagnies avoisine les 12%, d’une année à une autre. Mieux, il se pourrait que le CA atteigne les 5 milliards de dollars en 2020. Ce sont là les quelques chiffres avancés par le président de l’Union des assureurs et des réassureurs (UAR), Lamara Latrous, sur les ondes de la radio Chaîne III. “Hélas, ces montants auraient pu servir à d’autres financements ou au moins pour financer des campagnes de prévention des accidents”, a-t-il déploré. Le président de l’UAR a évoqué également une éventuelle hausse de la prime d’assurance. “Face à l’hécatombe, l’assurance obligatoire est de plus en plus déficitaire. Cette hausse n’est pas seulement une revendication des compagnies d’assurances”, a-t-il indiqué. M. Latrous a affirmé qu’une étude approfondie, dans ce sens, a été confiée à l’université des sciences et des technologies de Bab-Ezzouar qui travaille sur le dossier. Quant au montant de cette augmentation, l’invité de radio préfère attendre les résultats de l’étude qui sera soumise au ministère des Finances. L’union compte, à ce propos, saisir la tutelle pour le réajustement de la prime d’assurance. “Il faut qu’il y ait un équilibre entre ce que nous dépensons et ce que nous encaissons”, a-t-il expliqué. La responsabilité civile (RC), prime obligatoire de l’assurance automobile, est sous-évaluée selon les assureurs. Elle est évaluée à 1 200 DA/an alors qu’elle avoisine les 3 000 DA dans les pays voisins et supérieure de 10 fois plus au sein des pays développés. “L’on souhaite que le montant de la prime (RC) soit au moins doublé”, a souligné le président de l’UAR. Par ailleurs, le taux de couverture des habitations par les assurances ne dépasse pas les 15% sur l’ensemble du parc immobilier. Néanmoins, le plan de développement économique du pays va profiter aux sociétés d’assureurs d’autant plus que les entreprises impliquées vont exprimer une demande de couverture. Interrogé sur la lancinante question des longs délais de remboursement des assurés, estimés à des mois voire des années, M. Latrous a déclaré que les compagnies s’attellent à régler les dossiers des sinistrés dans les jours qui suivent l’accident. Il a, en outre, annoncé la mise sur le marché en 2013 ou au plus tard en 2014 d’un nouveau produit d’assurance contre la sécheresse. Selon lui, le ministère des Finances a chargé pour ce projet le Conseil national des assurances (CNA).*Liberté-10.01.2013.
**Suisse: Dix-sept blessés dans la collision de deux trains
Grosse frayeur en Suisse. La collision de deux trains ce jeudi matin dans ce pays a fait 17 blessés, a annoncé la police. Les deux trains, l’un en provenance de Winterthur et l’autre de Schaffhausen, sont entré en collision près de la gare de Neuhausen dans le nord de la Suisse, non loin de la frontière allemande. Selon une porte-parole de la police, 17 personnes ont été blessées. Certaines ont été hospitalisées tandis que les autres ont été soignées sur les lieux de l’accident. Les deux trains ont été évacués, a-t-elle ajouté. *Reuters-10.01.2013.
**Rallye Dakar 2013: Un accident fait deux morts et sept blessés prés de de la frontière chilienne
Drame sur le Dakar 2013. Dans la nuit de mercredi à jeudi vers 21h30 heure locale, un accident entre une voiture d’assistance de la course automobile et deux taxis a causé la mort de deux personnes et en a blessé sept autres sur la route au Pérou, à une dizaine de kilomètres de la frontière chilienne rapporte l’organisateur de la course ASO. Selon le média péruvien RPP, le nombre de blessés s’éléverait à dix. Le nombre total des victimes depuis la création du Dakar en 1979 s’élève désormais à soixante-et-une. Le véhicule d’assistance de l’écurie Race2recovery est entré en collision avec l’un des taxis tandis que le deuxième taxi aurait effectué plusieurs tonneaux en tentant d’éviter la collision. Etienne Lavigne, directeur du Dakar 2013, a confirmé qu’il s’agirait «d’un choc frontal» entre les deux véhicules. D’après lui, «la vitesse ne serait pas cause», mais l’organisation attend toutefois de prendre connaissance du rapport de police et de l’analyse du système Tripy de l’auto accidentée pour tirer toute conclusion sur les causes de la collision. «Il y a beaucoup de moyens déployés au Pérou, indique Etienne Lavigne. On a été en gestion de crise. Pour savoir ce qui s’est passé, on attend les conclusions de l’enquête des autorités péruviennes. Ils vont reprendre des investigations de jour, reprendre des photos. On n’est pas responsable de l’évolution des véhicules d’assistance, qui évoluent dans le trafic normal. Je rappelle avec insistance que c’est un incident de circulation qui est survenu en dehors de tout contexte de course.» * 20 Mintes-le 10/01/2013.
Plus de soixante morts depuis la création du Dakar.
La macabre liste s’est encore allongée. Mercredi soir, la collision entre un véhicule d’assistance du Dakar 2013 et deux taxis péruviens a causé deux morts et sept blessés, portant le total de personnes décédées depuis la création du célèbre rallye à soixante-et-une. La dernière édition de la course à ne pas déplorer la moindre victime remonte à 2004.
Retour sur les décès les plus marquants.
1979: Patrick Dodin, la première victime Le motard se tue en tentant de réajuster les fixations de son casque. Patrick Dodin se rendait au départ de l’étape entre Agadez et Tahoua, au Niger.
1986: Mort de Daniel Balavoine et Thierry Sabine Le 14 janvier 1986, un hélicoptère s’écrase à quelques kilomètres de la ville de Gourma-Rharous au Mali. A son bord, le chanteur Daniel Balavoine et l’un des créateurs et organisateurs du Paris-Dakar, Thierry Sabine. La notoriété des victimes marque profondément la course et l’inconscient collectif.
1988: L’édition la plus meurtrière Année particulièrement sombre pour le Dakar. Au cours de l’édition 1988, huit personnes trouvent la mort sur le tracé de la course. Trois spectateurs, trois concurrents et deux journalistes décèdent au cours du Dakar le plus meurtrier de l’histoire.
1998: Mort de cinq Mauritaniens Près de Dakar, l’équipage Bouney-Aliphat est percuté par un véhicule qui doublait en troisième file et dont les cinq occupants mauritaniens sont tués.
2005: Décès d’un double vainqueur Le motard italien Fabrizio Meoni, vainqueur du Dakar en 2001 et 2002, fait une chute mortelle en Mauritanie. La même année, une fillette de 5 ans est heurtée par un camion d’assistance et le motard amateur espagnol Jose Manuel Perez succombe à ses blessures quatre jours après une chute.
2012: Dernier concurrent mort en course Dès la première étape, le motard amateur argentin Jorge Martinez Boero décède après une chute à deux kilomètres de l’arrivée de la spéciale chronométrée, près de Necochea, en Argentine. Boero est le vingtième concurrent décédé en course depuis la création du rallye. *20 Mintes-le 10/01/2013…
**Alors que le président de l’Union africaine demande son intervention L’Otan ne veut pas s’impliquer au Mali
Au lendemain de déclarations du président de l’Union africaine souhaitant voir l’Otan intervenir au Mali, un haut responsable de l’organisation militaire a affirmé hier à Bruxelles qu’il n’y avait pas de discussion en cours au sein de l’Otan sur une possible participation à une force internationale au Mali. “Il n’y a ni demande ni discussion sur un possible rôle pour l’Otan au Mali”, a-t-il indiqué à l’AFP. Il a tenu à préciser que “l’Otan n’est pas impliquée dans la crise” du Mali, dont le nord est contrôlé par des mouvements armés islamistes. Il répondait ainsi au président en exercice de l’UA, le Béninois Thomas Boni Yayi, qui a déclaré la veille, lors d’une visite au Canada, qu’il souhaitait que l’Otan participe à la coalition internationale qui doit être formée pour aider le Mali à reconquérir le nord du pays. S’exprimant aux côtés du Premier ministre Stephen Harper, il a indiqué avoir profité de leur entretien pour demander au dirigeant canadien d’“intervenir pour que l’Otan s’ajoute” à la coalition internationale qui doit être formée. L’Union africaine est “en train de formuler auprès des plus grands” décideurs de la planète le besoin de créer une “coalition globale”, à l’image de celle qui avait été formée en Afghanistan après le 11 septembre, a expliqué le président béninois. Selon ce dernier, le problème malien “dépasse le cadre africain”, car “c’est une question de terrorisme et ça relève de la compétence de la communauté internationale”. Pour rappel, le secrétaire général de l’Otan, Anders Fogh Rasmussen, avait déjà déclaré en octobre 2012 que l’Alliance n’envisageait pas d’intervenir au Mali. Le responsable de l’Otan avait précisé que “la situation dans le nord du Mali était évidemment une source de grave inquiétude” pour les 28 pays membres de l’Otan, car elle “menace la sécurité et la stabilité du pays, de la région et au-delà”. “Nous saluons la résolution adoptée l’an dernier par le Conseil de sécurité des Nations unies sur le Mali et la décision des ministres des Affaires étrangères de l’Union européenne de planifier une mission de formation des forces armées maliennes”, avait-il ajouté. L’Otan “espère que les efforts de la communauté internationale vont aider à restaurer l’Etat de droit au Mali”, avait poursuivi Anders Fogh Rasmussen. Ceci étant, le 31 décembre 2012, le président malien par intérim, Dioncounda Traoré, avait affirmé que le Mali se préparait à faire “la guerre contre les terroristes (…) plus tôt qu’on ne le pense”, avec l’armée malienne aux premiers rôles. En novembre de la même année, un émissaire onusien avait estimé une intervention impossible avant septembre 2013. Par ailleurs, le 20 décembre 2012, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution approuvant le déploiement d’une force armée internationale au Mali pour déloger les groupes armés qui en occupent le Nord. Le texte porte sur une approche globale pour résoudre le conflit, en prenant notamment en compte les deux aspects militaire et politique. Aucun calendrier précis n’a toutefois été décidé pour ce déploiement, programmé par étapes selon les Nations unies, qui ont aussi appelé au dialogue avec les groupes armés rejetant le terrorisme et la partition du pays. *Liberté-10.01.2013.
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Championnat militaire d’athlétisme: L’Algérie championne arabe
La sélection algérienne militaire d’athlétisme s’est bien comportée en s’adjugeant le titre du 5echampionnat arabe militaire d’athlétisme 2012 qui s’est disputée à Khartoum au Soudan les 25 et 26 décembre 2012.
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Championnat arabe de parachutisme L’Algérie décroche le titre de champion arabe en individuel et par équipes
L’équipe nationale militaire du parachutisme a décroché le titre de champion arabe en individuel et par équipes, lors du championnat qui s’est déroulé à Djeddah (Arabie saoudite) du 27 septembre au 4 octobre 2012. L’équipe algérienne qui a pris part à cette compétition, organisée sous l’égide de la fédération asiatique et de la fédération arabe des sports aériens, a obtenu une médaille d’or en individuel et la première place au classement général par équipes. La deuxième place par équipes est revenue à l’Arabie saoudite (pays organisateur), suivie dans l’ordre par les équipes d’Egypte, du Maroc et des Emirats arabes unis. Le général Benziane Megdad, chef du service des sports militaires de l’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), s’est réjoui des performances, estimant qu’“ils ont réussi à réaliser d’excellents résultats qui nous honorent du fait de la forte concurrence des autres sélections arabes militaires. Le rendez-vous de Djeddah était une bonne occasion pour situer le niveau technique des athlètes arabes”, a indiqué Megdad à l’APS. “Nous possédons une équipe expérimentée qui a l’habitude des grandes compétitions internationales. Les athlètes militaires algériens disputent à chaque fois les premières places dans les différentes championnats internationaux”, a-t-il ajouté. De son côté, le président de la Fédération algérienne des sports aériens, Mustapha M’rabet, a indiqué que son instance est en train d’appliquer son programme, lequel ambitionne de développer tous les sports aériens. “Les sports militaires qui ont réussi à réaliser de belles performances dans les différentes disciplines constituent un apport sérieux pour le développement de parachutisme. C’est la première sortie officielle de la fédération et on peut dire qu’elle a été une réussite”, a-t-il estimé. Dix-sept pays et 24 équipes, dont cinq militaires algériens, ont participé à cette première édition du championnat arabe de parachutisme. La sélection nationale militaire algérienne de parachutisme s’était déjà distinguée lors de la deuxième édition du championnat arabe militaire, organisée en février 2007 en Arabie Saoudite, en obtenant la première place par équipes au classement général et les trois premières places en individuel, raflant ainsi toutes les médailles et les coupes mises en jeu.* Liberté-Lundi, 08 Octobre 2012
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Al Jazeera Sport veut arnaquer les Algériens avant la CAN
Depuis quelques jours, une offre commerciale pour l’achat de cartes Al Jazerra Sport fait un tabac sur le marché algérien, avec un prix alléchant 7500 DA la carte d’abonnement d’une année, alors que l’ancienne carte a été cédée; il y a quelques mois, à 11.000 DA. Mais ce que les annonceurs qataris n’expliquent pas, c’est que cette nouvelle carte n’offre que les canaux 1 à 8. Alors que la CAN 2013 sera diffusée sur les canaux 9 et 10. A l’approche de chaque CAN, Al Jazeera tente de fourguer ses cartes limitées non vendues, pour épuiser le stock de l’année dernière. Pour les Algériens qui ne sont pas encore sûrs que les matchs de l’Equipe nationale soient diffusés sur l’Unique, ils doivent se tourner vers les cartes de l’opérateur qatari. Cette offre devra surtout faire face à la concurrence de la carte pirate «revenge», qui est cédée sur le marché local à 2 200 DA seulement. Cette carte offre un accès à Canal+ Sport qui diffuse quelques matchs européens et surtout une partie de la CAN 2013. Ce qui engendre des pertes énormes pour l’opérateur qatari, qui garde un large monopole sur les droits télé sur tout le monde arabe. Il y a quelques jours, la carte pirate «revenge» qui a succédé à la carte pirate «oumnia», a été décryptée par les ingénieurs de Canal+. Pas pour longtemps puisque les nouveaux codes d’accès ont été mis on ligne seulement trois jours après avoir été craqués et les cartes sont rechargées avec seulement 200 DA. Cette guerre entre pirates et opérateurs européens fait le bonheur des Maghrébins, qui profitent de l’accès à bas prix de Canal + et d’une grande partie des télévisions payantes et de la TNT française. Seul, Canal+live, Ciné première, Bein Sport, Sport+ et D8 restent inaccessibles. Pour le reste: Canal+décalé, C+famille, C+cinema ou encore les TF6, jimmy, Canal j et autres seront disponibles au grand public algérien. Ce dernier va profiter des programmes très variés et alléchants de la fin d’années, en attendant le grand jour de la CAN 2013. En principe, l’Entv a acheté les droits pour diffuser sur le réseau terrestre tous les matchs de l’EN, en plus du match d’ouverture et de clôture et quelques matchs de demi et quart de finale. L’autre grand moyen d’avoir accès à Canal +, c’est l’Internet après la Dreambox qui proposait l’Internet comme moyen de connexion au satellite. Avec la StarSat SR-2000 ACE, c’est devenue plus facile, car celle- ci est vendue avec une clé USB Wifi. StarSat a produit également une version de son récepteur qui peut gérer une connexion Internet mobile par le branchement de la clé 3G sur le port USB du récepteur: la StarSat SR-2000HD. Mais cette technologie reste encore inaccessible pour tous les Algériens, en raison de l’absence de la 3G. *L’Expression-27.12.2012.
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