D’ici et d’ailleurs-2

**Le trafic de drogue a représenté 23% du PIB du Maroc en 2016, ce qui équivaut à 23 milliards de dollars.

«La production totale de cannabis au Maroc en 2015-2016 est estimée à 700 tonnes métriques», a indiqué jeudi le Département d’État américain dans son rapport annuel sur le trafic de drogue et la criminalité financière dans le monde. Le même rapport précise, en outre, que plus de 25% de la population carcérale au Maroc, soit environ 19.000 personnes, sont en détention pour des affaires liées au trafic de drogue. Tout en précisant que le Maroc se place à la tête des pays producteurs et exportateurs de Cannabis, le rapport souligne également que ce pays est devenu une plaque tournante des drogues dures comme la cocaïne qui provient d’Amérique du Sud passant par le Maroc pour être ensuite distribuée en Afrique et en Europe. Le Département d’Etat met également en relief l’incapacité des autorités marocaines à traiter ce problème. D’ailleurs, le gouvernement marocain a exprimé, à plusieurs reprises, son impuissance face à la montée en puissance des réseaux de trafic de drogue. Le rapport note à cet effet que le gouvernement marocain a «reconnu ses limites» en la matière. La situation a été rendue  difficile par «les rivalités entre les agences marocaines chargées de l’application de la loi» qui ont provoqué un «chevauchement des mandats  en matière de lutte contre la drogue». Une situation difficile d’autant plus que l’argent généré par ce trafic fructueux est facilement blanchi, ajoute le Département d’État américain qui explique que l’immobilier, les acquisitions luxueuses (bijoux, voitures, etc) et les banques installées dans la zone franche de Tanger sont autant d’alternatives qui s’offrent aux trafiquants marocains pour blanchir cet argent sale.* algerie-focus/ dimanche 05 mars 2017

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*Un rapport américain qui accable le Maroc

**Le rapport annuel du département d’État américain, sur l’exercice des droits de l’Homme dans le monde, a relevé de nombreux dépassements au Maroc et dans les territoires occupés du Sahara Occidental. En 2016, “les principaux problèmes en matière des droits de l’Homme dans le territoire du Sahara occidental étaient les restrictions imposées par le gouvernement marocain aux libertés civiles et aux droits politiques des défenseurs de l’indépendance du Sahara occidental”, lit-on dans le document rendu public. Reprenant les constats de plusieurs sources, le rapport souligne que les mauvais traitements des détenus sahraouis ont persisté au cours de l’année écoulée. Il est également fait état du maintien des restrictions imposées aux ONG internationales et aux associations locales de défense des droits de l’Homme, alors que les violations commises par les forces de sécurité marocaines demeurent persistantes, encouragée par l’impunité généralisée. Les ONG ont continué de recevoir des rapports sur les mauvais traitements infligés aux prisonniers sahraouis, ajoute le département d’État, soulignant que le Comité des droits de l’Homme des Nations unies demeure préoccupé par l’usage persistant de la torture. Ainsi, le département d’État américain a sévèrement critiqué l’usage persistant de la torture dans les prisons marocaines où 129 détenus ont trouvé la mort en 2016. Les forces de sécurité ont systématiquement recouru à des méthodes violentes pour arracher des aveux ou réprimer des opposants. Citant des témoignages recueillis par Amnesty International, le département de Rex Tillerson énumère les méthodes utilisées par les forces de sécurité marocaines pour faire taire les voies dissidentes, telles que l’asphyxie, la simulation de noyade, le placement des prisonniers en situation de stress, ou encore les violences psychologiques et sexuelles.*Liberté /  dimanche 05 mars 2017

***Attaques des sites pétroliers en Libye

  *Qatar et la Turquie accusés

Les deux pays sont ouvertement accusés de soutien à la mouvance des Frères musulmans que l’Égypte, les Émirats et l’Arabie Saoudite tentent d’évincer du jeu politique en Libye.

D’ici et d’ailleurs-2 d-le-qatar-et-la-turquie-accuses-95461 Deux importants sites pétroliers, dans ce qui est communément appelé “le Croissant pétrolier” sont depuis vendredi soir au cœur d’une véritable bataille opposant les troupes libyennes liées à Khalifa Haftar aux Brigades de défense de Benghazi(BDB), un regroupement de milices islamistes liées (en partie) à Al-Qaïda, ont rapporté les médias locaux. Les BDB auraient même réussi à prendre le contrôle de l’un des sites, selon plusieurs sources, alors que le colonel Ahmed al-Mismari, porte-parole des troupes liées au controversé maréchal Haftar a affirmé hier que ses éléments ont repoussé cette attaque, accusant ouvertement le Qatar et la Turquie d’être derrière. Les deux pays sont ouvertement accusés de soutien à la mouvance des Frères musulmans que l’Égypte, les Émirats et l’Arabie Saoudite tentent d’évincer du jeu politique en Libye. Ankara a beaucoup investi en Libye, avant la chute de Mouammar Kadhafi et a continué de le faire alors que le pays sombrait dans le chaos, s’appuyant sur des personnalités politico-militaires comme Abdelhakim Belhadj qui a obtenu, il y a moins d’un an, des papiers turcs, en compagnie d’autres Libyens de son entourage. “Elles (les BDB, ndlr) sont arrivées jusqu’à l’aéroport principal de Ras Lanouf”, a ainsi affirmé un des hommes de confiance de M. Haftar, ajoutant que “les assaillants des Brigades de Défense de Benghazi étaient équipés de tanks modernes et d’un radar pour neutraliser notre armée de l’air”, a-t-il ajouté. “Nous avons perdu deux martyrs (…) parmi nos combattants”. Mais “la bataille continue et la situation dans la zone du Croissant pétrolier demeure sous (notre) contrôle”, a affirmé le porte-parole, ajoutant qu’une grande partie des assaillants sont des membres de milices venues du Soudan et du Tchad, via le sud-est de la Libye, une vaste région hors de contrôle des autorités libyennes. Après l’échec de quatre précédentes tentatives, “elles sont revenues avec une force plus importante”, a reconnu le colonel Mismari. “Nous avons choisi de déplacer tous les avions en lieu sûr”, a-t-il ajouté. Accusé d’être derrière cette nouvelle attaque, le gouvernement d’Union nationale dirigé par Fayez al-Serraj, sous parrainage onusien, a apporté un démenti formel. Le GNA a affirmé dans un communiqué “n’avoir aucun lien avec l’escalade militaire dans la région du Croissant pétrolier”. Il a souligné aussi “n’avoir donné aucune directive ni ordre à une quelconque formation de se diriger vers cette zone”, condamnant “avec force toute action qui sape les espoirs des Libyens”. Le GNA a toutefois prévenu “qu’il ne resterait pas les bras croisés si les affrontements se poursuivaient dans cette zone ou ailleurs en Libye”. Pour rappel, plusieurs initiatives ont été lancées pour tenter de rapprocher le GNA et le maréchal Haftar mais sans succès apparent jusqu’à présent. La Libye est déchirée par des rivalités entre ses milices mais aussi entre ses dizaines de tribus, composantes essentielles de la société.*Liberté /  dimanche 05 mars 2017

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* saisie de 2,4 tonnes de cocaïne en Espagne

La police espagnole a annoncé hier avoir démantelé un réseau de trafic de cocaïne lors d’une opération ayant conduit à 24 arrestations et à la saisie de 2,4 tonnes de drogue.  Les narcotrafiquants présumés, appartenant à deux groupes liés au “cartel de Cucuta”, “tentaient de s’installer en Espagne”, a déclaré le chef de la brigade des stupéfiants de la police espagnole, Ricardo Toro, lors d’une conférence de presse à La Corogne (nord-ouest). La saisie “est une des plus importantes” réalisées ces dernières années en Espagne contre le trafic de cocaïne, a-t-il affirmé. Leur travail consistait à récupérer la drogue, et à la distribuer en Espagne et en Europe à l’aide de voitures à double fond, et leur objectif était à terme “d’établir une nouvelle route vers l’Espagne” pour la cocaïne, selon un communiqué de la police. Il s’agit de la plus importante saisie de cocaïne sur le sol espagnol depuis janvier 2016, quand 3 tonnes de cocaïne avaient été saisies, en Galice également.*APS /  dimanche 05 mars 2017

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*Xavier Driencourt, nouvel ambassadeur de France en Algérie

Xavier_Driencourt_812743349 Xavier Driencourt, actuel inspecteur général du Quai d’Orsay, a été nommé nouvel ambassadeur de France en Algérie, en remplacement de Bernard Emié, indiquent plusieurs médias français. Xavier Driencourt, 63 ans, a été nommé le 8 février 2017 en Conseil des ministres. Avant sa nomination, le chef de la diplomatie française, Jean-Marc Ayrault aurait, selon Jeune Afrique, consulté son homologue algérien Ramtane Lamamra.Driencourt avait, rappelons-le, occupé le poste d’ambassadeur de France en Algérie entre 2008 et 2012.*Alg24 / lundi 20 février 2017

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*Angela Merkel à Alger

Merkel à Alger lundi prochain **Finalement Angela Merkel ne viendra pas à Alger

*Attendue pour une visite officielle de deux jours, la Chancelière allemande, Angela Merkel, ne se rendra pas finalement à Alger annonce ce lundi la Présidence de la République dans un communiqué repris par l’APS. Ce voyage a été reporté en raison de l’ »indisponibilité temporaire » du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, qui serait souffrant d’une « bronchite aiguë ». « Les autorités algériennes et allemandes ont convenues ce jour, d’un commun accord, du report de la visite officielle que devait effectuer en Algérie, son Excellence Mme Angela Merkel, Chancelière de la République fédérale d’Allemagne« , note ledit communiqué. « Ce report est dû au fait que Son Excellence M. Abdelaziz Bouteflika, président de la République, qui se trouve à sa résidence à Alger, est indisponible temporairement, du fait d’une bronchite aiguë« , précise la même source.*aps + médias/ lundi 20 février 2017

sellal_626911213 ***Sans la Chancelière Angela Merkel qui a annulé sa visite sur demande de l’Algérie, une importante délégation allemande, conduite par le vice-ministre auprès du ministre fédéral de l’Economie et de l’Energie, Uwe Karl Beckmeyer, est arrivée cet après-midi en Algérie, a appris ALG24 auprès du ministère de l’Industrie. Pas moins de 60 opérateurs économiques allemands, dont les Directeurs généraux de VolksWagen et Linde Gas, se trouvent en Algérie pour participer au Forum d’affaires algéro-allemand demain, mardi 21 février à l’Hôtel Aurassi d’Alger à partir de 09h30. Les travaux de la commission mixte algéro-allemande et du Forum d’affaires seront coprésidés par le ministre de l’Industrie Abdeslam Bouchouareb et le vice-ministre allemand, Uwe Beckmeyer.*Alg24 / lundi 20 février 2017 ******La chancelière allemande, Angela Merkel effectuera le 20 février 2017, une visite à Alger, et ce afin de discuter l’émigration et la lutte contre le terrorisme. Le site « Algérie 1 », citant de source gouvernementale, a affirmé, que lors de cette visite, une rencontre avec le président de la république Abdelaziz Bouteflika,ainsi avec d’autres hauts responsables ,a été programmée, où des questions liées à l’émigration, la lutte anti-terroriste ainsi la coopération économique entre les deux pays, seront au menu de cette rencontre. Il s’agit en effet, de la deuxième visite en Algérie, qu’effectue la première dame allemande, depuis 2008, ou elle a annoncé l’intérêt de son pays à booster la coopération économique avec l’Algérie. Pour rappel, le premier ministre Abdelmalek Sellal avait effectué une visite en Allemagne, en janvier 2016 à l’invitation de la chancelière allemande, Angela Merkel, ou il a appelé les partenaires allemands à saisir les « grandes » opportunités qu’offre l’économie algérienne exprimant l’espoir de voir les relations entre les deux pays se hisser au rang d’un partenariat fort. Pour sa part,M.Merkel a réitéré, lors d’une conférence de presse conjointe avec M.Sellal,son soutien aux réformes politiques procédées par le président Bouteflika .*Source : Echoroukonline / lundi 13 février 2017

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 *Mentalité néo-coloniale !

Christian Estrosi, président de la Région PACA (Provence-Alpes-Côte-d’Azur), a provoqué dangereusement hier l’Algérie, en appelant les autorités françaises à “obliger” l’Algérie à importer la pomme des Alpes. En effet, dans un communiqué publié hier, samedi 18 février, Estrosi a saisi Bernard Cazeneuve, Premier ministre français, pour qu’il intervienne auprès des autorités algériennes, afin de permettre l’exportation de pommes des Alpes. “Le marché algérien est totalement bloqué et plus aucun producteur de pommes des Alpes ne peut exporter sa production. C’est pourtant un marché stratégique qui représente plus de 40% des ventes de pommes des Alpes”, écrit Estrosi, ajoutant que “Le Premier ministre doit intervenir auprès de son homologue algérien en urgence sinon nos producteurs mettront la clé sous la porte!”. Il est, poursuit Estrosi, “absolument indispensable qu’un quota de 20.000 tonnes de pommes des Alpes minimum, soit 15 millions de chiffre d’affaire, soit instauré dès dimanche par les autorités algériennes”.*Alg24 / lundi 20 février 2017 ***L’interdiction d’’importation de la pomme française ne sera pas levée, a souligné aujourd’hui, lundi 20 février, le ministre du Commerce par intérim, Abdelmadjid Tebboune. Dans une déclaration faite à Ennahar TV, Abdelmadjid Tebboune affirme que l’Algérie a décidé de maintenir l’interdiction d’importation de la pomme française. Cette interdiction est décidée pour soutenir la production locale. *Alg24 / lundi 20 février 2017

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*L’Afrique décide de quitter la Cour pénale internationale (CPI)

Le siège de l’Union africaine à Addis-Abeba, en Ethiopie. *Réunis dernièrement en sommet à Addis-Abeba, la capitale éthiopienne, les chefs d’État des 54 pays membres de l’Union africaine (UA) ont pris  l’engagement d’un « retrait collectif » de la Cour pénale internationale (CPI). L’une des pires craintes de la Cour pénale internationale (CPI) vient de se réaliser : les chefs d’État des 54 pays membres de l’Union africaine (UA) ont pris l’engagement d’un « retrait collectif » de la CPI. Le divorce entre l’Union africaine (UA) et la Cour pénale internationale  est-il consommé ? Les chefs d’Etat et de gouvernement du continent ont adopté, à l’issue du 28e sommet de l’UA qui s’est déroulé à Addis-Abeba, en Ethiopie, les 30 et 31 janvier 2017, une « stratégie de retrait collectif » de l’institution de La Haye.*Une justice de  » Blancs » et un instrument de l’Occident! « L’Afrique se sent délaissée, pas entendue », déclarait la cheffe de la diplomatie kényane, Amina Mohamed, au Monde Afrique en janvier 2016. Les dirigeants du continent regrettent une justice internationale partiale, qui ne ciblerait que leurs homologues, et serait un « instrument de l’Occident ». Ils exigent la suspension des poursuites contre le chef de l’Etat soudanais – qui est toujours invité aux sommes de l’UA – mais leur requête reste pour l’instant lettre morte, ce que certains considèrent comme un « affront ». Ils réclament également l’immunité pour les présidents en exercice, prévue par le protocole de Malabo, qui vise à étendre la compétence de la Cour africaine de justice et des droits de l’homme aux crimes d’envergure internationale. *médias / vendredi 03 février 2017 *****************************

*Une météorite découverte en Algérie révèle des secrets sur la planète Mars

*voir vidéo: Météorite algérienne à l’université d’Houston

**Les météorites, perles du désert

*consulter par ailleurs:

  Les plus beaux cratères de météorites en Algérie

Une météorite de 200 grammes découverte en 2012 en Algérie a aidé des chercheurs américains de l’université de Houston a réaliser une avancée considérable dans leur étude de la planète Mars. Cette météorite venue de la planète Mars et trouvée dans le Sahara algérien en 2012 a permis à une équipe de scientifiques d’apprendre qu’il y avait eu une activité volcanique continue pendant plus de 2 milliards d’années sur la planète rouge, a rapporté mercredi 1er février 2017 la revue Science Advances. La météorite, appelée Northwest Africa (NWA) 7635, fait partie de la centaine de météorites venant de Mars retrouvées sur Terre, le plus souvent dans l’Antarctique et en Afrique du Nord. “Seules quelques-unes de ces météorites sont intéressantes”, explique Marc Caffee, membre de l’équipe de recherche et professeur de physique et d’astronomie à Purdue University. Grâce à NWA 7635, les scientifiques ont pu déterminer qu’à un moment de ses 4,5 milliards d’années d’histoire, la planète Mars avait eu un unique volcan en éruption continue pendant plus de 2 milliards d’années. *NWA 7635 fait partie d’un groupe de 11 météorites, dont l’analyse par l’équipe de Caffee a déterminé qu’elles avaient été exposées à des rayons cosmiques pendant 1,1 million d’années. “Ce que nous en comprenons, c’est que les 11 ont été éjectées de Mars en même temps”, explique le Caffee. La composition des météorites présente aussi des similarités chimiques, ce qui suggère qu’elles viennent toutes de la même source. “Mais celle-ci est différente des autres”, affirme Caffee. En effet, alors que les 10 autres météorites ont entre 427 et 574 millions d’années, NWA 7635 a 2,4 milliards d’années. La similarité de la composition indique donc que NWA 7635 s’est solidifiée 1,8 milliards d’années avant les autres, explique Thomas Lapen, co-auteur de l’étude et géologue à l’université de Houston cité par Science News. “Nous ne savons pas à ce stade d’où vient cette météorite, du mont Olympe ou d’ailleurs”, indique Caffee. Le mont Olympe, qui se trouve sur Mars, est le plus grand volcan du système solaire. *La faible attraction gravitationnelle de Mars, combinée à une atmosphère peu épaisse, facilite la propulsion hors de la surface de la planète rouge de fragments rocheux issus d’impacts. Ces fragments restent en orbite pendant des centaines, des milliers, voire des millions d’années, jusqu’à ce que cette orbite soit perturbée, par exemple par un passage de la météorite près d’une planète. Quand les météorites arrivent sur terre, elles se dégradent sur des dizaines de milliers d’années, et leur identification comme roches extraterrestres n’est pas facile. “Ces météorites nous permettent de mener des études géologiques de la surface de Mars, alors que nous n’y sommes même pas encore allés”, se réjouit Caffee. L’étude des différences entre Mars et la Terre pourra permettre de comprendre pourquoi les deux planètes ont pris des trajectoires si différentes, explique Science News.*.tsa-algerie./ vendredi 03 février 2017 *****En effet, selon International Business Times qui interroge le professeur Tom Lapen de l’université de Houston, cette météorite montre que la planète Mars a été volcaniquement active pendant deux milliards d’années, soit près de la moitié de son existence. En analysant cette météorite algérienne, les chercheurs ont, selon la même source, découvert l’existence sur Mars de volcans de plus longue durée dans tout le système solaire. Cependant, l’on s’interroge tout de même sur comment une météorite découverte en Algérie a pu “atterrir” dans une université américaine. Alg24./ samedi 04 février 2017 ******************************* *Attentat contre la mosquée de Québec : 6 morts et 8 blessés      Deux Algériens parmi les victimes

media_xll_9490173 *Deux hommes ont tiré sur des fidèles rassemblés pour la prière du soir dimanche 29 janvier 2017, au Centre culturel islamique de Québec (également connu sous le nom de grande mosquée de Québec). Deux Algériens font partie des six victimes qui ont été tuées dans l’attentat survenu dimanche soir 29 janvier 2017, contre une mosquée de la ville de Québec (Canada), a-t-on appris auprès d’une source proche de l’association qui gère le centre culturel auquel est affilié le lieu de culte.

Il s’agit de Karim Hassan et Khaled Belkacemi.  Ce dernier est ingénieur en informatique à l’université Laval. Agé de 43 ans, il est père de trois enfants dont un bébé de moins d’un an. Il est originaire d’Alger. Les autres victimes sont d’origine marocaine, tunisienne et malienne.  L’attentat a aussi fait une dizaine de blessés parmi les fidèles présents à la prière de la soirée (Icha). Deux assaillants cagoulés sont entrés dans la mosquée et ont tiré sur les présents. Ils ont été arrêtés par les forces de l’ordre.**Montréal, Samir Ben/ el watan / lundi 30 janvier 2017 media_xll_9489730

***Deux hommes cagoulés ont tiré sur des   fidèles dimanche à la mosquée de Québec, dans le sud-est du Canada, faisant six   morts dans ce que le Premier ministre Justin Trudeau a qualifié d’ »acte   terroriste ». C’est aux environs de 19h30 locale dimanche (00h30 GMT lundi), à la fin de   la dernière prière de la journée, que les deux hommes ont fait irruption dans   l’enceinte du centre culturel islamique de Québec avant de faire feu.     Une cinquantaine de personnes étaient rassemblées dans ce lieu de culte où   les secours ont déploré six morts et huit blessés, a indiqué lundi Christine   Coulombe, porte-parole de la sûreté du Québec lors d’un point de presse.     « La structure de gestion policière contre le terrorisme est déployée »,   a-t-elle ajoutée.     « Nous condamnons cet attentat terroriste dirigé contre des musulmans se   trouvant dans un lieu de culte et de refuge », a déclaré le Premier ministre   canadien Justin Trudeau dans un communiqué.     La police a été avare de détails sur le déroulé des faits.      « Les deux hommes portaient une cagoule noire » et l’un avait « un fort accent   québécois », a expliqué un témoin interrogé par Radio-Canada. Quand les tirs ont   commencé « les hommes se sont jetés à terre », a-t-il ajouté.     « Deux personnes ont été arrêtées » et placées en garde à vue, a indiqué   Cristine Coulombe, l’une « à proximité des lieux et un autre suspect » près de   l’île d’Orléans à une vingtaine de kilomètres des lieux où s’est déroulée la   fusillade.     Ce deuxième suspect aurait été interpellé à l’issue d’une course poursuite   avec la police, selon les médias locaux.     « Pour le moment, rien ne nous porte à croire qu’il y aurait d’autres   suspects reliés à l’événement », a ajouté la porte-parole de la police.     Quelques minutes après la fusillade, un important dispositif policier a été   déployé, et les premiers blessés ont été soignés dans des ambulances sur place.     C’est dans le quartier Sainte-Foy, dans une vaste zone de bureaux et de   commerces à une dizaine de kilomètres à l’ouest du centre historique de la   ville de Québec, que le drame s’est joué.      Le même lieu de culte avait été l’objet l’été dernier d’un geste à   caractère haineux, quand une tête de porc avait été déposée devant l’une de ses   portes.              »La diversité est notre force et, en tant que Canadiens, la tolérance   religieuse est une valeur qui nous est chère », a souligné Justin Trudeau. « Les musulmans canadiens constituent un élément important de notre tissu   national, et des gestes insensés comme celui-là n’ont pas leur place dans nos communautés, nos villes et notre pays », a-t-il ajouté.  Le chef du gouvernement avait samedi lancé un message de rassemblement et d’unité en promettant d’accueillir les réfugiés « indépendamment de leur foi ». Des propos qui se démarquaient de la politique américaine après la décision du président Donald Trump d’interdire l’entrée des Etats-Unis aux ressortissants de sept pays musulmans.     Le chef du gouvernement de la province francophone Philippe Couillard a   également condamné cette attaque contre des musulmans. « Le Québec rejette   catégoriquement cette violence barbare. Unissons-nous contre la violence et   solidarité avec les Québécois de confession musulmane », a-t-il écrit sur   Twitter.     « Je condamne ce geste insensé », a aussi déclaré le maire de Québec Régis   Labeaume.     Les témoins avouaient leur incompréhension après cette fusillade. « Je ne   comprends pas pourquoi ici, c’est une petite mosquée et Québec, ce n’est ni   Montréal, ni Toronto » (sud-est), a déclaré un homme qui était à l’intérieur du   centre au moment de l’attaque, sans vouloir donner son identité.     « On s’y préparait (à une attaque de ce type), car ça se passe dans le monde   entier », a confié à l’AFP un policier chargé du périmètre de sécurité.     D’autres mosquées au Canada ont également été la cible de graffitis à   caractère raciste au cours des derniers mois.  *AFP / 30 janvier 2017

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*L’argent du peuple utilisé pour satisfaire les caprices des responsables

Plusieurs députés ont souligné, hier lundi, à l’occasion du débat sur le projet de loi sur le règlement budgétaire de 2014, l’urgence de mettre en place, au niveau de la chambre basse du parlement, des mécanismes de contrôle chargés de la gestion des fonds publics. S’appuyant sur des irrégularités de dépenses relevées par la Cour des comptes, les députés ont livré plusieurs exemples qui frôlent l’indécence.    La séance de débat a été ouverte par le député indépendant Tahar Missoum, plus connu sous le sobriquet de “spécifique”, qui a insisté, tout au long de son intervention, sur la nécessité de munir la chambre basse du parlement d’un mécanisme de contrôle efficient, à même de surveiller et surtout de demander des comptes au gouvernement pour tout ce qui a trait à l’exécution des budgets alloués aux ministères. Ainsi selon Tahar Missoum, les hauts responsables de l’État se permettent d’acheter des costumes de grandes marques atteignant les 25 millions de centimes en plus des courses quotidiennes faites de produits de luxe qui se chiffrent à plusieurs millions de centimes. Pour M. Missoum, c’est le budget de l’État et par extension l’argent du peuple qui est utilisé pour satisfaire les caprices des responsables. Dans la même optique, le député du Front de la justice et du développement (FJD), Mohamed Seghir Mammani, s’est interrogé sur les dépenses surréalistes des services du ministère du Commerce dans le cadre du budget d’entretien. Selon lui, le ministre a acquis des stores de bureau facturés à 139 millions de centimes, ce qui est à son sens tout à fait inconcevable. Dans le volet des dépenses quotidiennes, le ministre du Commerce a dépensé 18 millions de centimes en 2014, pour se restaurer et 3,8 millions de centimes pour l’achat de fleurs. Le même député a également rappelé que le ministère du Commerce a déboursé 12 millions de centimes pour l’achat de journaux et magazines pour le compte de 88 responsables, ce qui fait une moyenne de 1596 articles achetés annuellement. Pour ça part, le député Nasser Hamdadouche a déploré l’absence de mécanismes de contrôle en cette conjoncture de crise. Pour lui, il est parfaitement inadmissible que le gouvernement continue de débourser ce qui avoisine les 80 milliards de dinars pour la restauration et l’achat de vêtement. *algerie-focus./ mardi 31 janvier 2017

****172 algériens ont utilisé des revenus financiers occultes ils ont triché et détourné l’équivalent de 22 millions d’euros

Durant les 6 premiers mois de 2016, au moins 172 algériens ont utilisé des revenus financiers occultes pour procéder à l’acquisition de propriétés immobilières ou d’autres biens dont la valeur est très élevée et ne correspond pas au niveau des revenus déclarés. Ces Algériens ont été débusqué par les services de la direction générale des impôts (DGI). Ils ont été contraint de verser  2,26 mds de DA de pénalités, soit l’équivalent de 22 millions d’euros.  C’est du moins ce qu’indique  le directeur par intérim des recherches et vérifications (DRV) à la DGI,  Belkacem Arab Yacef. Ce dernier a expliqué que  grâce à la vérification approfondie de situation fiscale d’ensemble (Vasfe), une procédure destinée aux personnes physiques exclusivement, , 172 dossiers ont été vérifiés et 2,26 mds de DA de pénalités ont été constatées.  “Si l’on constate qu’un chef d’entreprise ou un salarié se mettait à acquérir des biens dont la valeur est très élevée et ne correspond pas au niveau des revenus déclarés, on peut intervenir par le biais de la Vasfe”, explique enfin Belkacem Yacef selon lequel les opérations de contrôle fiscal effectuées durant le premier semestre 2016 par la Direction générale des impôts (DGI) ont porté sur 17.685 affaires et transactions avec un montant de 21,5 milliards de DA de droits et pénalités, soit l’équivalent de 210 millions d’euros.*algerie-focus./ lundi 30 janvier 2017

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*Le Canada séduit moins les demandeurs de citoyenneté

Canada Citizenship

Une hausse des frais administratifs exigés pour présenter une demande de citoyenneté au Canada aurait entraîné une baisse significative du nombre d’immigrants présentant une telle demande, selon des avocats spécialisés en immigration. Au cours des neuf premiers mois de 2016, le gouvernement a reçu 56 446 demandes de citoyenneté, soit une chute de près de 50 %, par rapport aux 111 993 demandes faites au cours de la même période l’année précédente. Les frais de traitement ont bondi de 100 $ à 530 $ en 2014-2015, un montant qui passe même à 630 $ une fois que les frais additionnels de « droit de citoyenneté » de 100 $ sont ajoutés. Les données sont issues d’un rapport de l’ancien directeur général de l’Immigration et de la Citoyenneté, Andrew Griffith, préparé pour le Comité sénatorial des affaires sociales, des sciences et de la technologie. Le comité sénatorial amorce cette semaine des audiences sur le projet de loi C-6 qui doit modifier la Loi sur la citoyenneté. M. Griffith y voit une tendance qu’il qualifie d’« alarmante » et qui pourrait être directement liée à l’augmentation des frais exigés pour la demande de citoyenneté. « Si vous êtes un professionnel qui réussit assez bien, vous n’aimerez peut-être pas [la hausse], mais vous la paierez, avance M. Griffith à CBC News. « Mais si vous êtes un immigrant ou un réfugié en difficulté [un montant de] 630 $ peut devenir prohibitif, a fortiori si vous parlez d’une famille de quatre personnes ou plus. » Outre les coûts associés au frais de citoyenneté, les immigrants doivent faire face à ceux reliés aux tests linguistiques, poursuit M. Griffith qui propose de réduire les frais de traitement des demandes de citoyenneté à 300 $, d’abolir les frais de 100 $ liés au « droit de citoyenneté » et d’envisager une exemption de frais pour les réfugiés et les immigrants à faibles revenus. M. Griffith prévient Ottawa que l’augmentation des coûts liés à la citoyenneté pourrait s’avérer un frein à l’intégration des nouveaux arrivants et conduire à leur marginalisation. « Nous nous sommes toujours félicités d’avoir un modèle où nous encourageons non seulement l’immigration, mais nous encourageons les immigrants à devenir citoyens pour qu’ils participent pleinement à la société. Ils peuvent ainsi participer aux discussions politiques, voter et faire tout ce qui est lié à la citoyenneté », a-t-il dit. Le projet de loi C-6 annule des réformes introduites par le précédent gouvernement conservateur et prend des mesures pour rationaliser et renforcer l’intégrité du processus de citoyenneté. Le projet de loi prévoit notamment la réduction du temps que les résidents permanents doivent vivre, travailler ou étudier au Canada afin de devenir admissibles à la citoyenneté. Le gouvernement ne semble toutefois pas prêt à revenir sur la hausse des frais imposés par les conservateurs, qui demeurent nettement inférieurs à ceux d’autres pays comparables comme les États-Unis, l’Australie ou la Nouvelle-Zélande, selon le ministre de l’Immigration, Ahmed Hussen.*huffpostmaghreb / lundi 13 février 2017

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*le coût total du tabagisme s’élevait à 1.436 milliards de dollars dans le monde, dont 40% à la charge des pays en développement.

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Le tabagisme coûte cher, notamment dans les pays en développement: il absorbe environ 6% des dépenses mondiales consacrées à la santé ainsi que 2% du produit intérieur brut (PIB) global, selon une étude réalisée sur ce sujet et publiée mardi dans la revue Tobacco Control. Elle montre qu’en 2012, le coût total du tabagisme s’élevait à 1.436 milliards de dollars dans le monde, dont 40% à la charge des pays en développement.

Les chercheurs ont collecté des données dans 152 pays, représentant 97% de l’ensemble des fumeurs de la planète. Ils ont évalué le coût du tabagisme en incluant les dépenses directes (hospitalisations et traitements) et les dépenses indirectes (calculées sur la base de la productivité perdue en raison des maladies et des décès prématurés).En 2012, le tabagisme a été à l’origine d’un peu plus de 2 millions de décès chez des adultes âgés de 30 à 69 ans dans le monde, soit environ 12% de l’ensemble des décès survenus dans cette tranche d’âge, selon cette étude. Les pourcentages les plus élevés ont, selon les chercheurs, été observés en Europe (26%) et en Amérique (15%).Au cours de la même année, les dépenses directes de santé liées au tabagisme se sont élevées au total à 422 milliards dans le monde, soit 5,7% de l’ensemble des dépenses de santé, un pourcentage qui atteint 6,5% dans les pays à forts revenus.Le quart du coût économique total du tabagisme (1.436 milliards de dollars) est assumé par quatre pays: Chine, Inde, Brésil et Russie. Rapporté au PIB des différents pays, le tabagisme s’est avéré particulièrement coûteux en Europe de l’est (3,6% du PIB) ainsi qu’aux Etats-Unis et au Canada (3%). Le reste de l’Europe se situe à 2% contre 1,8% à l’échelle mondiale.Les chercheurs soulignent qu’ils n’ont pas inclus dans leurs calculs les dommages liés au tabagisme passif, responsable d’environ 6 millions de morts par an selon l’étude, ou ceux liés au tabac non fumé (tabac à priser, à chiquer… etc). En outre, leurs calculs portent uniquement sur la population active.*mardi 31/01/17 Source: Belga

*********************************Belgique 25.000 euros de primes pour les médecins dans les zones en pénurie media_xll_9453222 En Wallonie, 123 communes sur 262 manquent de médecins généralistes, et 39 connaissent une pénurie sévère, selon le cabinet du ministre wallon de la Santé, Maxime Prévot (cdH), rapporte samedi La Libre Belqique.

Les communes en pénurie sévère de médecins généralistes (moins de 50 médecins par 100.000 habitants), se trouvent principalement en province de Luxembourg et dans la Botte du Hainaut, ainsi que quelques -unes en provinces de Liège, de Namur et même du Brabant wallon. Zones en pénurie Maxime Prévot explique qu’il va prochainement adapter les mécanismes de soutien à l’installation des médecins généralistes dans les zones en pénurie (Impulseo I, II et III).  « La prime du fond d’impulsion Impulseo I, qui vise à encourager l’installation de mé decins généralistes dans des zones nécessitant la présence de médecins généralistes supplémentaires, est actuellement de 20.000 euros. Nous allons la faire passer via un arrêté du gouvernement à 25.000 euros pour les zones en pénurie sévère. Nous conservons les autres mécanismes également », détaille le ministre.*14/01/2017 -Source: Belga

***************************** *François Fillon, champion d’une morale avariée François Fillon, candidat de la droite, qui a construit sa campagne électorale sur la probité et la morale en politique, est plus que jamais ébranlé par le « pénélopegate ». Il est suspendu à la décision de la justice. S’il est mis en examen, il devra dire adieu à l’Elysée et bonjour à la prison.

Paris/  correspondant d’el watan Ce n’est vraiment pas la joie chez les Fillon. Cette famille modèle et conservatrice de la Sarthe se préparait calmement à rejoindre les ors de l’Elysée en mai prochain en cas de victoire du candidat François Fillon. Mais voila que les vents apportent parfois ce que les bateaux ne désirent pas, comme dit un proverbe arabe. Au lieu de marcher vers l’Elysée, le couple Fillon a pris plusieurs fois le chemin du parquet financier de Versailles pour s’expliquer sur les sommes considérables (plus de 800.000 euros) que son épouse touchait en tant assistante parlementaire. Le « Canard enchainé » qui a sorti l’affaire est revenu à la charge mercredi dernier. Il a révélé que deux des enfants de l’ancien premier ministre (2007-2012) ont touché, eux aussi, plus de 84000 euros en contrepartie de l’élaboration de deux rapports que leur père leur a confiés lorsqu’il était sénateur. Or, il se trouve que les enfants de Fillon n’étaient pas à ce moment là dans la vie active, mais encore étudiants ou en stage. Un autre pavé dans la marre donc qui a davantage déstabilisé le candidat à l’élection présidentielle. Sonné comme un boxeur qui prend des coups de tous les cotés, il a accusé «la gauche et l’Elysée d’avoir fomenté un coup d’état institutionnel ». « Il y a quelque chose qui ressemble à un coup d’état institutionnel, visant à priver un grand courant de pensée politique de son candidat, a expliqué le candidat lors d’un conseil national du parti Les Républicains (LR). Il a ajouté que « jamais une telle opération n’a été montée pour essayer d’éliminer un candidat autrement que par la voie démocratique ». Panique générale chez le parti les « Républicains » Tout en assurant que son épouse Pénélope et ses deux enfants ont travaillé dans la légalité totale, M. Fillon est pour le moment incapable de fournir la moindre preuve sur ce qu’il avance. A Moins qu’il ait tout dit à la justice qui doit décider s’il doit être mis en examen ou pas. En attendant, c’est la panique générale au sein des « Républicains » qui tiennent deux discours. En « off », ils sont convaincus que les carottes sont cuites pour l’ancien premier ministre qui a construit sa campagne électorale sur le principe de la probité et de la morale en politique. De nombreuses députés commencent à lui demander à demi mot de se retirer de la course à la présidentielle car son crédit est sérieusement entamé. Certains ont appelé Alain Juppé à « se tenir prêt » au cas où. D’autres évoquent les noms de Xavier Bertrand, président de la région Ile de France et ancien ministre de travail ou celui de François Baroin ancien ministre du Budget sous Sarkozy. Mais tous ces trois jurent qu’ils ne se préparent à rien et que le seul et unique candidat de la droite reste et restera François Fillon. Coté « on », c’est la mobilisation générale. Tous les députés et hommes politiques de droite ont affiché un soutien sans faille à M. Fillon. Officiellement, tous les messages distillés dans les médias se veulent rassurants sur l’issue de ce scandale. Eric Woerth ancien ministre de l’économie sous Sarkozy a parlé même de « tentative d’assassinat politique de François Fillon ». Jean Pierre Raffarin, ancien premier ministre sous Chirac a fait du « merci François de tenir comme tu le fais, pour l’alternance dont notre pays a tant besoin et pour la France ». Le sort de Fillon suspendu à la décision de la justice François Baroin s’est adressé à Fillon en lui disant « Tu es le seul candidat légitime, il n’y en a pas d’autres possible. Nous faisons bloc autour de toi ». En attendant les résultats de l’enquête, l’intéressé essaye d’allumer des contre feux en tentant d’imposer d’autres sujets. Il parle de l’immigration, de Donald Trump ou de l’économie. Mais force est de constater que cela ne lui réussit guère. Tous les médias sont encore concentrés sur le « Pénélopegate ». Même le Figaro, pourtant de droite trouve beaucoup de peine à défendre M. Fillon qui a tant fustigé les classes moyennes et pauvres l’accusant de vivre sur le dos de la solidarité nationale. Les sondages ne sont pas non plus bons pour le candidat de la droite qui voit sa cote de popularité s’écrouler comme un château de cartes. Il arriverait même en troisième position derrière Marine Lepen et Emmanuel Macron si François Bayrou se présentait. En réalité, le sort de François Fillon est lié à la décision de la justice. Si celle-ci décide de le mettre en examen, il va se retirer de la course à la présidentielle comme il l’a déclaré maintes fois. Mais s’il est lavé de tout soupçons, il repartira en campagne avec la ferme volonté de gagner la présidentielle. C’est une question de quinze jours a déclaré Fillon à ses partisans. Sauf que durant cette période la presse n’arrête pas de faire de nouvelles révélations sur Fillon et sa femme. La dernière est l’interview de cette dernière accordée en 2007 à une chaine de télévision britannique dans laquelle elle affirmé qu’elle n’a jamais été assistante de son mari. D’où viennent alors ces sommes faramineuses ? Suspens, suspens… *Yacine Farah / el watan / jeudi 02 février 2017 

************************** Des centaines de milliers de Roumains manifestent contre la corruption de leurs dirigeants Une manifestante porte une pancarte où est inscrit le mot « Lâches », à Bucarest, le 31 janvier. © Reuters

Chaque soir, ils sont plus nombreux à dénoncer la corruption. Jeudi, ils étaient 100 000 à Bucarest, 30 000 à Cluj, 15 000 à Timișoara… Jamais le pays n’a connu une telle mobilisation depuis 1989. En promulguant des réformes organisant amnistie et grâce d’élus condamnés, le gouvernement n’a fait que renforcer cette mobilisation.  Ils étaient 200 à peine quand tout a commencé, mercredi 11 janvier 2017 sur la place de l’Université, à Bucarest. Les seuls à s’être remis de la gueule de bois causée par la large victoire du Parti social-démocrate (PSD) aux élections législatives du 11 décembre. Celui qui les a décidés à braver l’hiver roumain, c’est Victor Ciorbea, l’Avocat du peuple, sorte d’équivalent du Défenseur des droits en France (lire ici), chargé de défendre les droits et les libertés des citoyens. Or Victor Ciorbea venait d’annoncer qu’il allait contester devant la Cour constitutionnelle la loi interdisant à toute personne condamnée par la justice d’occuper un poste ministériel…*vendredi 03 février 2017 / Médiapart

**********************Berlusconi : «La chute de Kadhafi n’était pas une révolution, mais un complot français» Forza Italia party (PDL) leader Berlusconi gestures during a Northern League rally in Bologna *Sylvio Berlusconi de retour sur le devant de la scène politique italienne, a fait des révélations fort embarrassantes pour la France, sur la guerre en Libye. Le feu dirigeant libyen, le colonel Mouammar Kadhafi était le seul leader capable de maintenir l’unité de la Libye, a estimé l’ex-premier ministre italien Silvio Berlusconi dans une interview accordée au quotidien égyptien Al-Ahram. À l’agence de presse italienne (L’Agenzia Nazionale Stampa Associata), l’ex-président du conseil italien, Sylvio Berlusconi, évoquant la guerre en Libye. Déclare : «ça n’a jamais été une révolution, mais bel et bien un complot européen». Son instigateur ? Berlusconi nomme un pays et un homme, «La France et son président d’alors, Nicolas Sarkozy». «Les avions français ont attaqué la Libye bien avant la décision du conseil de sécurité de l’ONU», souligne-t-il, expliquant que l’objectif pour la France, talonnée aussitôt par la Grande-Bretagne, était prioritairement de détruire les équipements et infrastructures de la Libye, en plus de tuer Kadhafi. « La France, la Grande-Bretagne et les Etats-Unis étaient intéressés à ce que nous appelons maintenant « le printemps arabe ». Toutefois, n’ayant pas de stratégie claire du développement politique et social des pays après le changement de régimes, ils se sont trompés, surtout en ce qui concerne la Libye. Oui, Kadhafi était dictateur. Oui, il a fait beaucoup d’erreurs, mais il était le seul homme capable de maintenir l’unité de la Libye. Actuellement, nous observons tous dans ce pays le règne de l’anarchie, de la violence ainsi que la débauche de groupes extrémistes islamistes », a estimé M.Berlusconi. Selon lui, l’arrivée des islamistes au pouvoir en Libye serait une « catastrophe » pour la région de la Méditerranée. « Cela deviendra une source permanente de l’instabilité dans la région ainsi que sur l’ensemble du continent africain. L’immigration clandestine se poursuivra, provoquant des litiges et une instabilité en Europe », a souligné l’ex-premier ministre italien. La Libye traverse une crise profonde depuis le renversement et l’assassinat de son dirigeant Mouammar Kadhafi en 2011. Un conflit violent oppose les forces modérées soutenues par l’armée aux partis islamistes radicaux appuyés par d’anciens rebelles. Source : fr.awdnews / + rmbuzz.com/ 21 juillet 2016 ******************************** « Combattre le terrorisme par des interventions militaires en Libye ne fera qu’aggraver le problème ». *Ramtane Lamamra accuse certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU de jeter de l’huile sur le feu au lieu de prendre des mesures d’apaisement Le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra a appelé, mardi à Bruxelles, la communauté internationale à un « examen de conscience » sur la situation en Libye, l’exhortant à prendre les mesures nécessaire afin de favoriser « une solution  libyenne ».          « La communauté internationale doit faire son examen de conscience et voir dans quelles circonstances certains membres du Conseil de sécurité de l’ONU ont jeté de l’huile sur le feu au lieu de prendre des mesures d’apaisement, d’inclusion et de nature à favoriser une solution », a-t-il déclaré lors d’une conférence internationale de haut niveau sur la médiation.          Selon le chef de la diplomatie algérienne, la communauté internationale « a raté l’occasion » de faire une transition pacifique et inclusive en Libye comme l’avait préconisée l’Union africaine (UA) en 2011. « Malheureusement, nous n’avons pas été suivis, nous avons été isolés par le processus international », a-t-il regretté. Aujourd’hui, a-t-il poursuivi, les difficultés « perdurent » en raison de l’absence d’ »un seul agenda pour le peuple libyen », mais également pour toute la communauté internationale. « Il faut trouver un moyen d’harmoniser toutes les approches », a-t-il préconisé », rappelant que l’action diplomatique de l’Algérie en Libye vise à  « encourager une solution libyenne » à la crise. Nous souhaitons qu’il y ait un agenda unique des Libyens et qu’il soit soutenu par toute la communauté internationale sans qu’il y ait d’agenda concurrent ou conflictuel », a-t-il précisé à l’APS.          La facilitation de l’Algérie consiste, selon le ministre, à « consolider l’accord signé le 17 décembre 2015″ et à faire en sorte que si cet accord doit être amendé, « cela se fera de manière consensuelle ». Il mis l’accent, à ce titre, sur la nécessité d’aller vers la « réconciliation  nationale » afin que « les Libyens, ensemble, se mettent d’accord sur leur avenir,  leurs institutions, leur armée nationale et leurs forces de sécurité ».          M. Lamamra a estimé que les Libyens doivent pouvoir « aller vers une transition inclusive, puis vers des élections démocratiques sur la base de la nouvelle constitution, en cours d’élaboration ». Il a exhorté, dans ce contexte, la communauté internationale à « donner  la priorité » à la reconstruction de l’Etat libyen qui constitue, a-t-il dit, « incontestablement » un moyen de lutter « légitimement » contre le terrorisme dans le cadre du respect de sa souveraineté et de son intégrité territoriale. « Combattre le terrorisme par des interventions militaires en Libye ne fera qu’aggraver le problème », a-t-il prévenu.*APS / mardi 14 février 2017 ********************************** Le vêtement traditionnel algérien honoré à Séoul Le vêtement traditionnel algérien honoré à Séoul *A l’occasion du 9ème festival de la culture arabe, l’Ambassade d’Algérie à Séoul, assisté d’une association culturelle coréenne, a organisé le 4 mai 2016 un défilé de tenues traditionnelles algériennes réalisées par le couturier Samir Kerzabi. Pour l’évènement, Samir Kerzabi a présenté une trentaine de tenues de toutes les régions d’Algérie avec en tête le karakou, la robe kabyle, le haik la robe saharienne. Spécialement pour l’occasion, le styliste a créé deux hanbok (la tenue traditionnelle de Corée) en version algérienne. Une riche collection qui n’a pas manqué d’émerveiler l’assistance composée, en partie, d’épouses d’Ambassadeurs d’autres pays arabes.*rmbuzz.com/ 14 mai 2016 ***************************

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