La situation sécuritaire.2

**Sept terroristes abattus sur les hauteurs de Keddara-Bouira

Avant-hier, sept de ses éléments ont été abattus au cours d’une opération de ratissage enclenchée par les forces de l’ANP sur les hauteurs de Keddara, localité située à la limite frontalière avec la wilaya de Bouira, a-t-on appris de source locale. Ce coup de filet, qui a eu lieu près du village de Boulazazen, s’est soldé également par la récupération de plusieurs armes automatiques.

Les dépouilles des terroristes éliminés ont été acheminées vers l’hôpital de Thenia pour identification, précise la même source. Cette opération est la plus importante après celle menée, fin août dernier, sur les hauteurs de la commune de Beni Amrane, qui avait permis la neutralisation de dix terroristes sévissant sous la bannière de katibet El Arkam. Nos sources soulignent que cette opération avait été préparée depuis plusieurs jours suite aux informations faisant état de mouvements incessants d’un important groupe armé à la périphérie. Un groupe, affilié à katibet El Farouk, aurait été à l’origine des attentats perpétrés ces derniers mois dans les localités du nord de Bouira et du sud de Boumerdès.

Les terroristes abattus étaient encerclés depuis la matinée de lundi dans un petit maquis jouxtant les villages de Boulazazen et Amestas, au nord de Keddara. Ils ont été mis hors d’état de nuire en fin de la même journée, après le bouclage de cette zone qui servait à l’époque comme  lieu de repli pour les quelques éléments de katibet El Fath, dirigée par un certain Omar Ben Titraoui, éliminé en janvier 2009 au centre-ville de Boumerdès. Depuis, l’activité terroriste a sensiblement diminué. Mais la donne a changé à partir de mai dernier, après l’attaque ayant coûté la vie à un lieutenant-colonel et à un commandant de l’Armée nationale populaire (ANP).

Les victimes avaient, pour rappel, reçu des tirs de mortier artisanal au moment où elles s’apprêtaient à rejoindre leur campement, sis à Ben Hachlaf, à bord d’un véhicule banalisé. Selon des sources concordantes, c’est cette embuscade qui a incité les stratèges militaires à revoir leurs calculs et à se redéployer sur le terrain afin d’anéantir définitivement les résidus du GSPC qui continuent de semer la mort dans les environs.

L’opération d’avant-hier a vu la mobilisation d’importants moyens. Les militaires ont bouclé toute la zone, ne laissant aux sbires de Droukdel aucune chance de se sauver. Selon nos informations, quatre d’entre eux ont été abattus dans la soirée de lundi alors que leurs acolytes ont subi le même sort le lendemain matin.
Ce nouveau coup de boutoir asséné à l’ex-GSPC porte à une soixantaine le nombre de terroristes abattus dans la région en 2012. Une vingtaine d’entre eux ont été anéantis sur les hauteurs d’Ammal et une quinzaine dans le triangle Cap Djinet-Legata-Bordj Menaïel.

Aujourd’hui, d’aucuns soutiennent que l’organisation de Droukdel a été sérieusement affaiblie, notamment après la neutralisation de ses vétérans et la pression exercée par l’ANP sur les maquis. Mais la vigilance doit être toujours de mise, surtout lorsqu’on sait que les hordes sanguinaires pourraient resurgir au moindre relâchement des services de sécurité pour commettre des attentats ciblés à même d’instaurer la terreur parmi les populations. C’est ainsi qu’ils s’attaquent aux citoyens sans défense, comme ce fut le cas dans les communes de Bordj Menaïel, Ouled Aïssa et Issers, où ils ont assassiné un agriculteur, un chauffeur d’ambulance et un agent de sécurité d’une entreprise publique. Les auteurs de ces exactions s’en prennent aussi aux repentis afin de dissuader ceux qui sont au maquis d’abandonner les armes pour bénéficier de la loi portant réconciliation nationale. *El Watan-02.01.2013.

**Plus de 400 terroristes dont 11 émirs éliminés en 2012

Jamais depuis le début de la lutte contre le terrorisme, il y a près de 20 ans, l’Algérie n’a été aussi calme au plan sécuritaire, jamais Al Qaîda au Maghreb islamique (Aqmi) depuis sa création en 2007, n’a subi autant de pertes dans ses rangs. Un genou à terre, la colonne vertébrale brisée, la nébuleuse terroriste saigne.

Le bilan des pertes a été lourd tout au long de l’année 2012. Pas moins de 193 terroristes ont été abattus et 230 autres individus accusés de soutien logistique aux terroristes ont été arrêtés. Ces terroristes ont été éliminés, notamment à Bouira, Boumerdès, Bordj Bou Arréridj, Tébessa, Tipasa, Aïn Defla, Tissemselt, Médéa, Blida,

Al Bayadh, Annaba, Constantine, Tizi Ouzou, Jijel, Skikda, Batna, Khenchela, Sidi Bel Abbès.

Parallèlement, 41 islamistes armés ce sont rendus aux services de sécurité et parmi eux des émirs. Al Qaîda compte ses morts, la peur a réellement changé de camp en 2012.

Selon un décompte établi à partir des rapports de la presse et des services de sécurité, seuls 72 attentats terroristes ont lieu en 2012, soit le plus bas nombre d’attaques depuis ces 15 dernière années. Si on excepte les attentats kamikazes commis contre les locaux de la Gendarmerie nationale à Tamanrasset et à Ouargla, on n’enregistre pas d’action d’envergure durant cette même période.

Ce n’est pas que les terroristes n’ont pas essayé! Loin s’en faut. Des sources crédibles rapportent que les services de sécurité ont déjoué des attaques spectaculaires au niveau de la capitale.

Les terroristes avaient notamment projeté de commettre un attentat kamikaze contre le siège de l’APN et d’enlever des touristes étrangers. Si l’ANP mène des actions sur le front interne, les zones frontalières n’ont pas été abandonnées pour autant. Ainsi, au moins 40 éléments d’Aqmi qui cherchaient à s’infiltrer en territoire algérien pour y commettre des attaques, ont été arrêtés aux frontières algéro-libyennes.

L’ANP et les autres services de sécurité ont porté un coup très dur à Al Qaîda durant l’année qui vient de s’écouler. Pour les observateurs, cette performance est le fruit d’un schéma sécuritaire essentiellement basé sur le renseignement. Les grandes actions de l’ANP mobilisant des milliers d’hommes et d’immenses moyens logistiques ne peuvent désormais s’opérer qu’avec un appui strict et rigoureux du renseignement.

De 2004 à 2010, l’ANP a mené plusieurs opérations de ratissage particulièrement en Kabylie, mais sans grand résultat si l’on juge par le temps consacré et les moyens logistiques mobilisés.

Un autre schéma sécuritaire est en train de se mettre en place: la primauté du renseignement sur le ratissage. Sur la base d’informations données par les islamistes qui ont quitté les maquis, recueillies auprès des citoyens et celles récoltées par les services de sécurité, une banque de données a été constituée. S’appuyant sur ces données et sur la base de cette banque, des actions de haute précision ont été menées avec succès.

On cite l’exemple de l’arrestation, le 16 décembre dernier, à Cheurfa près de Bouira, du porte-parole et n°2 d’Aqmi, Salah Gasmi, dit Mohamed Abou Salah. Ou encore l’élimination de Abou Ishak Essoufi et de Abdelmalek Sellami alias Fahd et de Abderrachid Abdelmoumène alias Houdaïfa Abou Younes El Assimi, l’émir de la zone II.

Ces performances sécuritaires ont été d’ailleurs relevées par l’IEP (Institut for Economics and Peace) basé à New York. Selon cette institution, l’Algérie, les Etats-Unis et la Colombie sont les pays qui ont réalisé «la meilleure progression» au cours des 10 dernières années en termes de baisse de l’impact du terrorisme.

Pour avoir combattu le fléau pendant deux décennies, l’Algérie est devenue un véritable cas d’école en matière de lutte contre le terrorisme. Cependant, ces actions gagneraient en efficacité pour peu que les méthodes de communication soient revues et adaptées. Car, il faut convenir, que la communication est le talon d’Achille des services de sécurité.

Des actions spectaculaires que mènent les gardes communaux, la police ou les éléments de l’ANP sont passées presque sous silence alors que le moindre prêche salafiste dans une moquée reculée du pays enflamme la Toile.*03 Janvier 2013-L’Expression

**Quatre terroristes abattus dans la localité de Ain El-Hamra, relevant de la daïra de Bordj Menaiel

Au cours d’une opération de recherches menée mercredi dernier, aux environs de 18 h, les éléments des unités de l’ANP engagées dans la lutte antiterroriste ont réussi à éliminer quatre terroristes, dans la localité de Ain El-Hamra, relevant de la daïra de Bordj Menaiel, à une cinquantaine de kilomètres à l’est de Boumerdès. Quatre armes de type ‘Kalachnikov’ ont été récupérées à l’issue de cette opération. Les corps des terroristes ont été déposés à la morgue de l’hôpital de Bordj Menaiel pour les besoins d’identification.
Selon des informations provenant de la région en question, les unités de l’ANP sont toujours en action dans le cadre d’une vaste opération de ratissage.*lequotidien-oran. 24.11.2012.*

**Salah Gasmi dit Mohamed Abou Salah , n° 2 d’Aqmi arrêté au village Chorfa-Bouira

Salah Gasmi dit Mohamed Abou Salah, originaire de Biskra, présenté comme étant le n° 2 d’Aqmi, juste après Abdelmalek Droukdel, a été arrêté hier soir au village Chorfa. Les éléments de l’unité spéciale dépêchée à Chorfa ont intercepté Salah Gasmi au centre du village. Il est aussi présenté comme le chargé de communication de la nébuleuse terroriste. *17/12/2012- .infosoir***Selon des sources sûres, l’individu en question serait un chef terroriste appartenant à l’organisation terroriste Aqmi (Al Qaïda au Maghreb islamique), qui serait chargé de la liaison et de la coordination entre la Kabylie et le sud du pays, les deux principales régions où active cette organisation d’Abdelmalek Droudkel. D’après nos sources, les individus qui avaient procédé à l’arrestation de ce terroriste appartiennent à l’unité spéciale de la lutte antiterroriste. Ils l’auraient pris en filature depuis la wilaya de Béjaïa. Aucune autre information n’a filtré sur cette opération qui porte un coup dur à l’organisation terroriste de Droudkel, et les rares détails que nous avons pu recueillir sur place, hier, évoquent une arrestation qui s’est faite sans résistance de la part de ce terroriste qui était bien habillé et ne portait pas de barbe, probablement pour passer inaperçu. Par ailleurs, et pendant que cette opération coup-de-poing avait lieu dans la commune de Chorfa et tandis que ce terroriste était acheminé vers une destination inconnue, la lutte antiterroriste bat son plein dans la wilaya. Et les actions terroristes également, malheureusement, puisque, la veille de cette arrestation, un attentat à la bombe ayant ciblé un train de marchandises a eu lieu à l’entrée Est de la ville de Bouira, dans la localité d’Oued Dhous. Dans la nuit de samedi à dimanche, aux environs de 23 h, le train de marchandises venant de Constantine a été la cible d’une bombe actionnée à distance, au niveau du pont d’Oued Dhous. Fort heureusement, l’explosion a eu lieu juste après le passage du train, échappant ainsi à un déraillement qui aurait été fatal pour le mécanicien et son adjoint. Pour ce qui concerne la lutte antiterroriste, celle-ci se poursuit sans relâche et les éléments de l’ANP, qui avaient effectué d’intenses bombardements dans la région de Chréa au sud d’El-Adjiba et où un groupe terroriste appartenant à Aqmi aurait été cerné, poursuivent l’opération de ratissage des lieux. Cependant et comme partout où les éléments de l’ANP activent, l’avancée se fait lentement sur ces terrains minés par les terroristes. Cela étant dit, au moment où les militaires effectuaient l’opération de ratissage dans la région de Tamellahth, comprise entre El- Adjiba, Ahnif et Ouled Rached, des citoyens ont signalé un groupe terroriste du côté de Hammam Ksana, au sud d’El-Hachimia, à 30 km au sud de Bouira, mais sur le prolongement de la forêt de Tamellahth. Le groupe terroriste composé selon nos sources, de cinq éléments, serait une faction du groupe de Tamellahth qui se serait scindé en plusieurs petits groupuscules afin de pouvoir échapper à l’étau qui se resserrait sur lui depuis jeudi dernier. Rappelons que l’apparition du groupe terroriste dans la région de M’chedallah a coïncidé avec l’opération de démantèlement des détachements des gardes communaux dans plusieurs villages de la wilaya.Des démantèlements qui ont été suivis par des actions de protestation des villageois qui se voyaient livrés aux terroristes poings et pieds liés. Moins de deux semaines après ces démantèlements, le groupe terroriste auteur des faux barrages a fait son apparition. Multipliant les faux barrages sur les routes communales et autres chemins de wilaya, ces terroristes, qui ne cachaient plus leur appartenance à l’organisation d’Abdelmalek Droudkel, l’AQMI, ont semé de nouveau la psychose au sein de ces populations qui se voyaient revenues dans les années 1990. Un remake de l’histoire qu’ils croyaient enterrée à jamais.*18 Décembre 2012- Le Soir d’Algérie

**Trois terroristes abattus à Adekkar (Bejaïa)

Trois terroristes ont été abattus ce vendredi (16.11.2012.) aux environs de midi dans une anbuscade tendue par des militaires au lieu-dit Aghoulav, dans la commune d’Adekkar, wilaya de Bejaïa. Les corps des trois éléments armés éliminés ont été acheminés vers la morgue de l’hôpital de Bejaia pour identification. Trois armes de type kalachnikov ont éte reccupérées à l’issue de cette opération.*El Watan-16.11.2012.

***La DGSN dispose désormais de moyens technologiques pour traquer efficacement les criminels

Des hélicoptères haut de gamme, des caméras sophistiquées, des systèmes électroniques adéquats.

Pour faire face à la criminalité organisée, la DGSN a été contrainte de revoir sa stratégie de lutte sur le terrain. L’acquisition de nouveaux équipements de haute technologie a été, l’un des points essentiels de cette stratégie.

Aujourd’hui, les ports, les aéroports, les frontières et les zones urbaines sont hautement contrôlés par des policiers qui sont nettement équipés contrairement aux décennies écoulées.

Des armes plus sophistiquées, des caméras de dernier cri, des hélicoptères haut de gamme et des systèmes de points, tels sont les ingrédients nouveaux dévoilés par la DGSN. En effet, dans un communiqué daté d’hier, la Direction générale de la Sûreté nationale (DGSN), a dévoilé l’acquisition récente de plusieurs nouveaux équipements de points qui lui permettent de mieux surveiller les points sensibles du pays et, surtout, de mieux cerner la criminalité organisée et la menace terroriste.

Selon le communiqué, les unités de la Sécurité républicaine, de la Police judiciaire et ceux de l’ordre public ont été équipés de matériels de dernière génération, entre autre, du système (PDA). Le PDA est un PC de points, mis à la disposition des policiers, cela dans chaque point de contrôle.

Concernant les noms des personnes recherchées et les marques des véhicules volés, les policiers ont pu récupérer, via le PDA, plus de 500 voitures volées. En plus du PDA, la DGSN dévoile un autre système de surveillance très intéressant, il s’agit du système Lapi (Lecture automatique des plaques d’immatriculation).

Avec le système Lapi, 8 000 véhicules sont contrôlés chaque jour et grâce à cette nouvelle technique, plusieurs réseaux de trafic ont été démantelés. Par ailleurs, le communiqué de la Cellule de communication de la DGSN nous dévoile un autre «bijou» acquis par cette dernière. Il s’agit d’un nouveau siège du Commandement de la Sûreté nationale, sis dans la ville des Sciences à Sidi Abdellah, à Alger.

Ce nouveau bâtiment intelligent est la fierté de la DGSN, car c’est ici que la salle des opérations des caméras arrive à surveiller et contrôler les villes d’Alger, Blida et Oran, en attendant d’autres.

De nouveaux équipements pour les tests «ADN»

Quand il s’agit de préserver la sécurité, la stabilité et l’intégralité du territoire du pays, on ne négocie pas chez la DGSN. C’est la devise à laquelle les hommes bleus tiennent dur comme fer.

Et pour y arriver, la DGSN a mis tout le paquet. Raison pour laquelle le laboratoire relevant de la Police scientifique, sise à Châteauneuf, à Alger, a été entièrement rénové par la mise en place de nouveaux équipements modernes permettant aux policiers scientifiques à mieux diligenter leurs enquêtes dans le cadre des crimes commis au pays, cela à partir des tests ADN.

En plus de cette rénovation, la DGSN a créé plusieurs nouveaux logiciels pour s’adapter aux crimes électroniques qui ne cessent d’augmenter dans le pays. Il s’agit des systèmes Sirpal, Sirc, NRH, LRP et FVR. Ce sont-là de nouveaux logiciels acquis par la DGSN dans le cadre de la lutte contre le crime organisé et le crime électronique. Parlant du Sirc, ce nouveau système électronique est une sorte de banque de données qui contient l’ensemble des profils des criminels.

C’est grâce à cette nouvelle technique que les enquêteurs de la DGSN arrivent à identifier les auteurs des crimes, cela en comparant les témoignages des victimes avec les photos des criminels déjà stockées sur le Sirc. Pour ce qui est du Sirpal, ce logiciel détient les antécédents judiciaires de chaque personne ayant déjà écopé d’une peine de prison et c’est à partir de ce système que les policiers arrivent à avoir toutes les données nécessaires dans le cadre d’une affaire liée à la criminalité ou autres.

Quatorze nouveaux hélicoptères pour traquer les criminels S’adaptant de mieux en mieux à la conjoncture sécuritaire et les nécessités du terrain, la DGSN a récemment réceptionné 14 hélicoptères canadiens de marque Wescam MX15 HDI.

Equipés de caméras infrarouges, d’une carte numérique, de deux hauts parleurs, d’un téléphone satellitaire et de trois écrans plasmas, ces appareils de haute technologie peuvent surveiller de plus près le trafic routier et le plus important, traquer les criminels au cas où ces derniers tentent de s’échapper sur les routes ou d’autres voies dangereuses et difficiles, aux policiers.

Au niveau des aéroports et ports du pays, la DGSN a, aussi, réceptionné, dernièrement, de nouvelles caméras de points, de nouveaux scanners contrôlant les passagers et leurs bagages, ainsi que d’autres équipements «ultraviolets» permettant de détecter les faux papiers et les faux billets qui peuvent être utilisés par les trafiquants.*30 Octobre 2012-Le jour d’Algérie.

**Le groupe de Moha GIA ne sévira plus

AIn Defla…Un groupe composé de 10 individus qui se faisaient passer pour une organisation terroriste sous la férule de Moha GIA, originaire de Zeddine, activant dans les zones montagneuses de Dahra, spécialisé dans le vol des véhicules, a été démantelé, avant-hier, par la BMPG de la wilaya d’Aïn Defla, indique une source de la cellule de communication. Six voitures de marque, entre autres, Chevrolet, Renault et Hyundai ont été trouvées désossées dans un atelier clandestin situé dans la périphérie de Zeddine par la BMPG d’Aïn Defla sur ordre du procureur de la République. Moha GIA et 7 de ses acolytes, auteurs de plusieurs meurtres, étaient activement recherchés par la Police judiciaire. Ils ont été mis sous mandat de dépôt par le procureur d’Aïn Defla en attendant d’être jugés. Par ailleurs, un militaire âgé de 25 ans, originaire de la wilaya de Tlemcen, qui s’apprêtait à rejoindre sa caserne la semaine écoulée, a été enlevé sur la RN65 reliant la ville d’El-Attaf (Aïn Defla) et la localité côtière de Béni Haoua (Chlef) par un groupe de terroristes, indique une source bien informée. En effet, selon la même source, en raison du manque de moyens de transport public desservant ce tronçon, la victime a pris un transport clandestin qui est tombé dans un faux barrage tendu par les terroristes. Les forces de l’ANP ont lancé des opérations de recherche et des ratissages pour retrouver le militaire kidnappé et mettre hors d’état de nuire le groupe armé qui sévit dans cette localité.* liberte-algerie. Par B BOUZAR- 12/11/2012.

**Plus de 10 milliards de dollars pour la défense

Les dépenses du ministère algérien de la défense vont connaître une hausse en 2013 pour atteindre les 10,3 milliards de dollars. Une hausse dans le budget du département de la défense de l’ordre de 14,2 % comparativement à celui de 2011.

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Selon World Tribune qui révélait l’information sur son site web, les responsables du ministère de la défense algérienne justifient cette hausse dans les prévisions budgétaires de l’année prochaine pour les besoins “d’achat d’armes et de moyens de lutte  anti-insurrectionnelle”.

Citant une source algérienne, le même site d’information souligne que le ministère de la défense va s’impliquer dans les domaines, qui étaient jusque là du ressort du ministère de l’Intérieur et des collectivités locales, d’où la dotation de l’armée en moyens de lutte contre les troubles publics.

La poursuite du processus de la modernisation  de l’armée algérienne explique un tel budget dont 8 milliards de dollars seront consacrés à l’achat des armes russes notamment des chasseurs-jets Su-30 MK , des chars de combats principaux  T-90S et des sous-marins de classe Kilo.

La prise en charge des dépenses liées aux augmentations salariales des militaires ainsi que l’intégration partielle des éléments de la garde communales dans les rangs  d l’armée sont avancées par la même source pour défendre cette demande en hausse du budget de la défense nationale en 2013, selon toujours World Tribune qui n’a pas manqué  également de faire part de  la menace croissante des groupes armés affiliés à l’organisation terroriste d’Al Qaida au Maghreb Islamique(AQMI).* Algérie.1.com-03/11/2012

**L’effectif global de la Police est de 188.865 agents dont 10.310 femmes

La DRH, en tant que structure administrative de la DGSN, qui veille au déroulement de la carrière des fonctionnaires dans le cadre d’une gestion prévisionnelle, gère un effectif global de 188 865 fonctionnaires, dont 169 499 policiers parmi lesquels 10 310 femmes et 19 366 agents assimilés », a indiqué, hier, à Alger le lieutenant-colonel, Mohamed Benaired, directeur des ressources humaines, au sein de la DGSN dans une conférence de presse sur la gestion des ressources humaines au sein de la DGSN. M. Benaired a précisé que les effectifs de la Sûreté nationale ont connu une progression, passant de 166.348 fonctionnaires en 2010 à 170.638 en 2011, puis à 188.865 en 2012, soit des taux d’augmentation respectifs de l’ordre de 2,58 % et 10, 95 %. Il a ajouté que les postes budgétaires déjà affectés à la DGSN au titre des exercices budgétaires 2011 et 2012 lui permettront de dépasser à l’horizon 2014 le seuil de 200.000 fonctionnaires. Le DRH a, toutefois, relevé, à la lumière d’un audit effectué, des insuffisances résultant, a-t-il dit, des « méthodes routinières suivies antérieurement, sans vision prévisionnelle et en adéquation avec les exigences imposées par la gestion moderne des ressources humaines ». Il a cité, à ce titre, les modes de gestion « surannés » eu égard à la croissance exponentielle des effectifs de l’institution policière, les dispositions des textes réglementaires régissant la gestion des ressources humaines qui ne s’adaptent plus aux besoins de gestion et ne peuvent répondre aux exigences de l’heure. Devant ce constat, des actions « correctives » ont été « immédiatement » initiées pour remédier à des dysfonctionnements par l’adoption de nouvelles méthodes et outils, a affirmé M. Benaired. Il a été question de la promulgation du nouveau statut particulier des fonctionnaires appartenant aux corps spécifiques de la Sûreté nationale d’une part, et de l’instauration de mécanismes modernes de gestion, d’autre part. Le projet portant réorganisation de la DGSN s’inscrit dans la même démarche. Parmi les dysfonctionnements, il a été également cité la gestion « aléatoire » des carrières des personnels et la présence de deux filières (en tenue et en civil) et de grades correspondant à chacune, évoluant en parallèle. A cet effet, un ensemble de mesures et d’actions a été envisagé et concrétisé, à savoir l’unification des deux filières, la création de nouveaux corps et grades et la suppression d’autres pour garantir une meilleure évolution des fonctionnaires dans la carrière, a expliqué le DRH. Les corps et les grades créés ont été aussi classés, ce qui a permis, a indiqué M. Benaired, de classer en une seule opération 31.790 policiers aux grades supérieurs et de régulariser un nombre important de fonctionnaires de police tous grades confondus au titre des années 2011 et 2012. En outre, il a été décidé la révision et la fixation d’un régime indemnitaire propre à chaque corps, en tenant compte des contraintes liées à l’accomplissement des tâches d’ordre opérationnel. Pour ce qui est du problème de la population concernée par l’éloignement, le même intervenant a précisé que les efforts déployés ont permis le rapprochement du lieu de résidence de 86.977 fonctionnaires depuis juillet 2010 à ce jour, ajoutant que la DRH a procédé de manière systématique au remplacement de 1863 fonctionnaires ayant accompli leur période statutaire d’exercice dans les unités du sud du pays par des policiers ayant exprimé le voeu d’y exercer. Concernant le mouvement de l’élément féminin, le lieutenant-colonel, Benaired a fait savoir que celui-ci s’effectue en fonction des exigences familiales et que 18.758 mouvements ont été faits de juillet 2008 à juillet 2010. Parmi les autres actions menées dans le but de moderniser la gestion des ressources humaines, le DRH a relevé la mise en place d’une nouvelle procédure de gestion « plus souple » dans le traitement des dossiers médico-administratifs. Il a été procédé dans ce contexte à la revalorisation des pensions de 3990 fonctionnaires, décédés, mis en invalidité ou admis à la retraite. Constatant, par ailleurs, des sanctions infligées « arbitrairement », la DRH, dont le rôle se réduisait à la concrétisation des décisions disciplinaires, exerce désormais, selon son responsable, des prérogatives en matière de discipline en veillant au respect « strict » de la réglementation. Le même responsable a signalé également d’autres mesures telles que la suppression des sanctions accessoires, la réduction de 12 à 08 mois de l’opération de recrutement externe et la révision à la baisse de l’âge limite qui passe de 35 à 25 ans pour les lieutenants de police et de 30 à 23 ans pour les agents de police. Par ailleurs, et afin d’assurer une meilleure qualification des policiers, le programme de formation a été enrichi et ses durées prolongées à 24 mois, a affirmé le lieutenant-colonel, Benaired. Les actions de formation ont concerné 16 808 policiers dans le cadre du recrutement externe, 143 fonctionnaires (personnel assimilé), 6.065 policiers et assimilés, 788 autres dans le cadre du perfectionnement et de recyclage. Le Directeur des ressources humaines au sein de la DGSN, a indiqué que sa structure, face à un environnement changeant et dans le souci de répondre aux nouveaux défis, a procédé au développement et à la mise en oeuvre d’une solution web intranet, afin d’ »une meilleure prise en charge de la gestion des ressources humaines ». La conférence de presse a été également l’occasion de faire le bilan des prestations dispensées en direction des policiers et leurs ayants-droit durant les trois dernières années. A ce titre, un nombre de 1.082.810 prestations médicales a été dispensé dans les différentes spécialités alors que 107 patients ont bénéficié d’un transfert vers l’étranger, a indiqué le commissaire principal, Bouhamed Boubakeur, représentant du Service central de la santé, de l’action sociale et des sports à la DGSN. Il a précisé qu’en sus de la prise en charge médicale garantie par les structures médicales de la DGSN, 162 conventions ont été conclues avec des cliniques et des cabinets privés en plus de 156 autres conclues avec les établissements de santé publique. Ce dispositif a permis, selon l’intervenant le passage de plus de 95.000 policiers par la visite annuelle de dépistage, comme mesure préventive, affirmant que la couverture sanitaire est de l’ordre de 93 % dans les sûretés de wilayas et de 100 % dans les écoles de police. Concernant le logement, le commissaire principal, Bouhamed, a souligné que 2.681 logements sur 10.153 ont été réceptionnés depuis le lancement de l’ancien programme suivant la formule LSP, dont 515 logements durant la période 2010-2012, 4.510 sont en cours de réalisation et 2.962 non lancés. Il est envisagé en plus de ce programme la réalisation de 25.534 logements dans le cadre de la nouvelle formule dite LPA (logement promotionnel aidé). En matière de développement de la pratique sportive, 92.561 policiers ont obtenu leur brevet sportif, a-t-on indiqué.* horizons-dz–04/11/2012

**La criminalité a augmenté en 2012

Désormais c’est avec des moyens plus tranchants, entre autres, les sabres, les fusils harpons et les fusils de chasse que les malfaiteurs agissent pour venir à bout de leurs victimes. En onze mois, 10.000 Algériens ont été agressés par des assaillants, selon une petite comptabilité des différents bilans mensuels communiqués par les services de sécurité.

Coups et blessures volontaires (CBV), agressions contre les usagers des routes nationales, vols par effractions suivis d’agressions, actes d’assassinats, règlements de compte entre des groupes rivaux, agressions à main armée contre de paisibles citoyens, la criminalité se propage dans les quartiers, routes et lieux isolés.

En onze mois, 10.000 citoyens ont été agressés, certains carrément poignardés à l’arme blanche. Le phénomène des agressions s’est étendu pour atteindre la tranche des mineurs. Ces derniers sont de plus en plus tentés par l’idée d’agresser.

Si on prend, par exemple, les affaires traitées, les onze mois écoulés, par les deux corps de sécurité (Gendarmerie et Police) on retient très vite une augmentation flagrante des agressions perpétrées par les moins de 18 ans.

En chiffres, plus de 3.000 affaires d’agressions sont diligentées, durant cette année, par les services de sécurité ayant impliqué des mineurs. Ces milliers d’affaires enregistrées durant les onze derniers ont coûté la vie à 87 mineurs, tués dans des rixes avec leurs rivaux.

Comment peut-on expliquer cette montée des actes d’agressions ? Certes, il est difficile de répondre à cette question, mais est-il utile de dire que le phénomène existe partout dans le monde et lorsqu’on compare ce qui se passe en Algérie à d’autres pays plus développés on voit clairement qu’il y a un énorme fossé.

C’est-à-dire que dans les pays les plus développés les agressions exécutées par des mineurs sont beaucoup plus importantes que celles recensées chez-nous. Toutefois, on assiste déjà à un début de l’apparition du phénomène, alors que les perspectives et les clignotants indiquent, forcément, au rouge.

Ce que font, aujourd’hui, beaucoup de mineurs représente, finalement, les séquelles d’une décennie noire, le terrorisme, vécu dans les années 90. Car, faut-il le rappeler, ces mineurs agissant de la sorte sont dépourvus de leur père, assassinés en pleine période du terrorisme par les fous de Dieu. Les répercussions sont, donc, assez coûteuses pour, non seulement, ces jeunes mineurs mais pour toute la société algérienne.

500 associations de malfaiteurs démantelées en 11 mois

Le noyau dur de la criminalité c’est bien les bandes de malfaiteurs qui, souvent, agissent en groupes pour pouvoir mener des actes d’agressions avec beaucoup d’ »assurance » et voler l’argent et les objets de valeur des victimes.

Et pour arriver à limiter les champs d’activités de ces bandes armées, les services de sécurité recourent, régulièrement, à changer leurs tactiques sur le terrain, en menant, par exemple, des descentes ciblées et des opérations régulières dans certains quartiers et zones sensibles où le taux des agressions varie selon les périodes.

Une véritable « carte de la criminalité » qui connaît, mensuellement, des changements. En recourant à ce mode opératoire, les gendarmes et policiers ont réussi à démanteler plus de 500 bandes de malfaiteurs et arrêter 1.074 gangsters dans les 48 wilayas du pays.

Ces bandes de malfaiteurs sont derrières plus de deux mille agressions à l’arme blanche perpétrées contre des citoyens. En parallèle, plus de 1000 armes blanches, notamment des couteaux de boucherie, sabres, fusils harpons et autres barres de fer ont été saisis, lors des opérations menées par les forces de l’ordre.

Les usagers des routes, la nouvelle cible des malfaiteurs

Depuis l’entrée en service du grand projet du siècle, l’autoroute Est-ouest, les usagers de cette route nationale sont devenus la cible privilégiée de jeunes malfaiteurs. Ces derniers agissent souvent en bandes et surgissent surtout durant les heures tardives afin de pouvoir dépouiller et agresser leurs victimes, voire les automobilistes.

En onze mois, une centaine d’agressions se sont produites sur la voie rapide Est-Ouest. Les assaillants, âgés entre 18 et 42 ans, sont, généralement, munis d’armes blanches de différentes tailles et n’hésitent pas à les utiliser pour arriver à leurs fins.

Ainsi dans certains cas, ils parviennent à cambrioler les véhicules de leurs victimes après les avoir tabassées et menacées par leurs armes. Face à cette nouvelle forme de criminalité, les gendarmes relevant des pelotons d’autoroutes appuyés par les escadrons de sécurité routière (ESR) et les Sections de sécurité et d’intervention (SSI) ont pu interpeller des dizaines d’assaillants .*17 Décembre 2012- Le Midi Libre

****Psychose ! *****

Mort suspecte d’un agent de sécurité à l’université de Bouzaréah-Alger

Un agent de sécurité a été retrouvé mort, hier 04.11.2012., dans l’un des blocs de la faculté de Bouzaréah. Après les agressions et les harcèlements sexuels, voilà que des décès animent le devant de la scène de cette deuxième université d’Alger.

Il s’appelait Samir Mahmoudi et était âgé de 37 ans. Il a été retrouvé mort, hier matin, quand une femme de ménage essayait d’entrer dans le bloc pour nettoyer.Trouvant la porte fermée, la femme de ménage a fait appel aux autres agents de sécurité pour la lui ouvrir, et c’est là que le cadavre a été retrouvé.

Selon ses collègues, le défunt était seul de permanence cette nuit. Ils sont, selon la même source, partagés en équipe de surveillance, et la nuit de samedi à dimanche c’était le tour de Samir.

A-t-il été assassiné ? C’est la question qu’on lisait sur tous les visages des présents à la fac (étudiants, enseignants et syndicalistes). Plusieurs zones d’ombre entourent, effectivement, cette histoire mystérieuse. Ni son frère, ni ses collègues ne savent comment ce drame est arrivé. Affirmant qu’il était en bonne santé, son frère n’a pas cessé de répéter que le malheur tombe toujours sur la tête des «zawaliya».

En effet, en attendant le résultat de l’enquête, tous les travailleurs de cette université accusent un coupable et un seul qui est pour eux le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Rachid Harraoubia. Car, selon les syndicalistes, plusieurs grèves ont été déclenchées pour protester contre l’insécurité dans le campus et dénoncer l’indifférence ahurissante de l’administration.

Mais, rien n’a été fait. «On a toujours réagi aux actes de violence et soutenu les revendications légitimes des étudiants, mais les franchises universitaires ne sont pas respectées» avouent les syndicalistes. Comment se fait-il qu’un espace de 36 hectares ne soit surveillé que par 16 agents ?, s’interroge un agent vacataire à cette université.

Il est à rappeler que, durant toute l’intervention policière et celle de la Protection civile qui a duré de 7 heures, du matin jusqu’à 13 heures, aucun des responsables de la fac de Bouzaréah ne s’est manifesté. Ni directeur, ni doyen, ni recteur. De plus, il ne faut pas oublier l’histoire de la jeune étudiante qui a été sauvagement agressée au visage, dans l’enceinte même de l’université de Bouzaérah.

Résidant à la cité Ouled Fayet, l’étudiante de 27 ans, venue à l’université passer un examen à l’institut de langue française, a eu le visage, la tempe, la joue et les mains lacérés de coups de couteau assénés par un inconnu. Essayant de résister de toutes ses forces, pour ne pas laisser l’agresseur prendre son sac, la jeune fille s’est retrouvée balafrée par un couteau de boucher et blessée aux mains.

L’université de Bouzaréah n’est pas qu’un campus à l’abandon, elle est devenue un endroit qui fait peur. «On étudie avec les sangliers», déclare un étudiant, avant d’ajouter, «je marche avec un couteau dans ma poche car j’ai peur d’être agressé». «Tous les agents qui travaillent ici, même celui qui a été retrouvé mort aujourd’hui, nous ont défendus avec des moyens dérisoires à plusieurs reprises, contre des agresseurs étrangers », a-t-il avoué.

«Ce campus est devenu le lieu préféré des délinquants et des dealers. Pis encore, nous sommes obligés de quitter les lieux avant même 17h et ce, par crainte d’être agressés par les voyous qui imposent leur diktat dans certains départements, à partir d’une certaine heure». Ajoute-t-il tout en poursuivant «il y a même des enseignants qui refusent d’officier jusqu’à 17h».

De son côté, l’administration, pourtant au courant de cette situation, depuis des années, laisse faire. Cette situation de peur l’arrange. L’étudiant ne se soucie plus de sa scolarité, mais craint pour sa vie. Enfin, selon des sources sécuritaires recoupées, la victime serait morte étranglée. Il s’agirait, donc, d’un crime.*05 Novembre 2012–Le Courrier d’Algérie

***Peur sur la ville !!!

Les armes blanches font des ravage a Oran

Oran va-t-elle devenir la ville des gladiateurs? Combien d’individus ont été arrêtés en possession d’armes blanches ? Combien de victimes ont perdu la vie ou ont été handicapées dans des bagarres à cause de la circulation de ces objets prohibés?

Combien de jeunes se transforment quotidiennement en véritables gladiateurs de la délinquance urbaine? Combien de quartiers ont été le théâtre de scènes horribles à Oran. Les réponses à ces questions ne sont nullement secrètes.

Les bilans rapportés par les différents services de sécurité de la wilaya d’Oran, à longueur d’années, témoignent de la gravité de la situation, devenue plus inquiétante que jamais. A la moindre bagarre, un climat de terreur s’installe au milieu des habitants. On n’est pas concerné, mais on a peur. Les armes blanches sont partout. Sur les individus, dans les voitures, les domiciles, les commerces et autres.

Même la gente féminine figure parmi les porteurs d’armes blanches. Les services de sécurité mènent de vastes opérations à la chasse des possesseurs d’objets tranchants. La lutte est acharnée, mais ces opérations demeurent insuffisantes. Le phénomène s’est ancré au milieu des jeunes et la solution mérite mille réflexions. Un phénomène qui sème la peur au ventre.

La lutte contre la délinquance, est certes plus intense que par le passé. Mais cela n’empêche pas, que les victimes des coups et blessures volontaires, sont enregistrées quotidiennement au niveau des différents services des urgences. Leur nombre a dépassé parfois la dizaine de victimes en une seule soirée au CHU d’Oran seulement. Les arrestations sont plus nombreuses que l’on ne pense. A prendre comme exemple ce mois d’octobre.

Pas moins de 77 individus se sont retrouvés derrière les barreaux pour port d’armes prohibées, dont un grand nombre de repris de justice. Un chiffre qui ne concerne que la wilaya Oran. Plus grave encore, le citoyen n’est pas le seul face au danger des armes blanches. Les hommes de loi sont eux aussi confrontés quotidiennement au risque de se retrouver face à un malfaiteur qui ne recule devant rien. Les exemples ne manquent pas.

On cite l’affaire des trois policiers blessés par un voyou à l’aide d’une épée, à Saint Charles, Miramar et à la cité dite «Sardina» durant le mois de ramadhan dernier. Ce voyou a été par la suite arrêté, jugé et condamné à un an de prison ferme. Un jugement qui a été considéré très clément par une des victimes qui a fait appel.

Il y a bien eu des cas où les arrestations ont été interrompues, lorsque les malfaiteurs en possession de lourdes armes blanches, deviennent une menace. La préservation des vies humaines oblige. Les policiers craignent les bavures et les malfaiteurs sont bien conscients de cette crainte, alors ils se lancent dans la provocation.

Contrairement à ce que l’on croit, l’arme à feu n’est plus une protection pour les hommes de loi. Son utilisation dans les affaires de lutte contre la délinquance, risque de mettre le policier dans une situation embarrassante, condamnable par le code pénal. Une situation qui transforme d’une minute à l’autre un dangereux malfaiteur en une victime.

Outre le monde de la délinquance, les armes blanches ont aussi été utilisées dans les établissements scolaires et les institutions publiques officielles. On cite entre autres, les hôpitaux, les services de l’état civil. A titre d’exemple, pas moins de 1000 affaires liées à des agressions sur des fonctionnaires ont été enregistrées à l’échelle nationale, durant les six premiers mois de l’année 2010.

Depuis, le phénomène est toujours en pleine croissance. Dans toute cette histoire, on parle toujours de porteurs d’armes blanches, mais jamais de fabricants. Ces derniers sont généralement des tôliers, des ferronniers, des tourneurs et autres. Sinon, d’où proviennent ces épées et coutelas «Bouchias» fabriqués artisanalement. Alors, où est la faille ???

La législation, la stratégie de lutte contre la délinquance, l’école, la famille… Les spécialistes en la matière, auront certainement beaucoup à faire, pour que le citoyen puisse vivre dans un climat de tranquillité. Un climat lui permettant de se débarrasser des fenêtres barreaudées à longueur d’année et d’économiser les dinars dont il est contraint de remettre aux gardiens illégaux de voitures quotidiennement.* 05 Novembre 2012–Le Carrefour d’Algérie

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*Le littoral algérien sous haute sécurité

Le chaos qui menace de tout emporter dans le nord du Mali en plus des autres foyers de tension plus ou moins graves qui entourent l’Algérie, ont mis l’armée algérienne sur le devant de la scène. Il ne se passe pas un jour sans que des médias algériens et étrangers ne consacrent des articles et des émissions aux Forces armées algériennes et au rôle de l’Algérie dans la lutte contre le terrorisme et le grand banditisme.
Parler des frontières terrestres et de leur protection dans un contexte régional sous tension est devenu par la force de l’actualité sahélienne un fait récurrent. Cependant, tout cet intérêt, même s’il est motivé stratégiquement, ne doit pas occulter aux yeux de l’opinion publique, un pan entier d’autres activités névralgiques menées par la Marine algérienne chargée d’assurer la sécurité de 1 200 km de côtes maritimes.

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Dans le cadre des portes ouvertes sur l’Armée nationale populaire organisées au Palais des expositions aux Pins maritimes, près d’Alger, le lieutenant-colonel Mohamed Kaddour, le chef adjoint de la cellule de communication des Forces navales, a fait une déclaration de presse durant laquelle il a passé en revue toutes les questions inhérentes aux dispositifs de sécurité mis en place dans le but de protéger les eaux territoriales algériennes ainsi que ses frontières maritimes. L’officier supérieur a notamment mis l’accent sur les efforts consentis par le haut commandement de l’ANP afin d’assurer aux Forces navales tous les moyens matériels et humains nécessaires. Il a tenu à souligner que les Forces navales algériennes sont dotées de tous les moyens qui leur permettent de faire face aux multiples menaces telles que l’immigration clandestine et le trafic de drogue. Ainsi, les Forces navales algériennes sont désormais équipées d’hélicoptères et de vedettes et autres frégates conçues pour ce genre d’opérations.

A l’instar de l’armée de terre chargée de se réadapter à la nouvelle configuration du risque terroriste et criminel, la Marine est elle aussi mise à contribution tout au long des 1200 km de côtes dans un contexte méditerranéen plein de défis.
Depuis 2005, les Forces navales algériennes ont fait l’objet d’un grand plan de modernisation touchant l’ensemble des aspects humains et matériels.
Appelées à protéger la façade méditerranéenne du pays, les Forces navales viennent d’accomplir un pas de géant dans leur processus de mise à niveau. Le lieutenant-colonel Mohamed Kaddour n’a pas manqué aussi de relever le rôle de la marine militaire et sa contribution aux différentes opérations humanitaires et de secours menés en haute mer.
Il a rappelé que de nombreux ressortissants étrangers ont été sauvés grâce à l’intervention des Forces navales algériennes. A la fin de sa déclaration, il a mis en exergue le volet relatif à la compétence en évoquant les efforts déployés afin de doter les Forces navales de tous les atouts scientifiques. (L’Expression-11.07.2012.)

**Le stand des Forces aériennes algériennes suscite l’intérêt des visiteurs

Le stand des Forces aériennes algériennes a suscité mardi l’intérêt des visiteurs de l’exposition de l’Armée nationale populaire (ANP) « Mémoire et réalisations » qui se tient au Palais des expositions des Pins maritimes.
Le stand des Forces aériennes algériennes a prévu un programme visant notamment à faire connaître au public les missions et l’évolution de l’Armée de l’air depuis l’indépendance à ce jour et les activités de l’Institut national de cartographie et de télédétection, a précisé le chargé de la cellule de communication au commandement des Forces aériennes et responsable du stand, le lieutenant-colonel Kamel Fekkane.
Le commandement de l’ANP a développé ses capacités techniques et opérationnelles en misant sur la formation de qualité, a-t-il ajouté. Les visiteurs ont pu se rendre compte de l’intérêt particulier accordé par le commandement de l’ANP à l’Armée de l’air eu égard à son rôle crucial dans la défense de l’espace aérien national.

Le public a également pu découvrir les avions construits en Algérie par l’entreprise aéronautique relevant du Commandement des forces aériennes.
Le stand des forces aériennes algériennes a mis en exergue l’évolution de ce corps depuis l’indépendance et ses réalisations durant un demi siècle.
Cet espace a connu une forte affluence des bacheliers curieux de connaître les spécialités dispensées par les établissements de formation de l’ANP, des spécialités qui répondraient à leurs ambitions tels Lynda Djaouaher et Karim Djazout rencontrés par l’APS, venus se renseigner sur les modalités d’accès à ce corps.

A proximité de cet espace se trouve le stand consacré à l’Institut national de cartographie et de télédétection (INCT), créé en 1967 et converti en 2009 en établissement public à caractère commercial et industriel relevant de l’ANP.
L’INCT assure, selon le Lieutenant-colonel Amran Nacer, les besoins nationaux en matière de topographie et de collecte des données géographiques y compris les cartes et les photos satellitaires et offre une assistance technique aux organes techniques spécialisés. L’exposition sectorielle « mémoire et réalisations » a été officiellement inaugurée samedi au Palais des Expositions à Alger, dans le cadre des festivités célébrant le cinquantième anniversaire de l’indépendance. (APS-11.07.2012.)

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*L’émir de Katibet Al Arkam et 8 autres terroristes abattus a Boumerdès

Des sources confient que les aveux de l’un des deux terroristes récemment arrêtés à Boumahni, ont permis aux forces de sécurité de dresser un dispositif sécuritaire hermétique.

Après avoir accompli leur mission, les militaires rentrent à la «maison»

Katibet Al Arkam, l’une des plus actives phalanges du Gspc, vient de subir un sérieux revers. Neuf de ses membres, dont l’émir, un certain Zemmouri Abdelhak, dit Aboubakr, âgé de 29 ans, ont été anéantis  dans une embuscade tendue par l’Armée nationale populaire sur les monts de Djerrah dépendants administrativement de la localité de Beni Amrane, wilaya de Boumerdès.
L’opération s’est soldée également par la récupération de cinq pistolets-mitrailleurs automatiques de type Kalachnikov, trois fusils semi-automatiques, deux fusils à pompe, deux panneaux solaires, une quantité de munitions et divers autres effets dont de la documentation subversive, précise un communiqué du ministère de la Défense.
Les unités de l’Armée nationale populaire engagées dans la lutte antiterroriste qui ont fait preuve, une fois de plus, de leur disponibilité et leur capacité à anticiper sur les déplacements des groupes terroristes et les mettre hors d’état de nuire, ont agi, selon des sources sécuritaires très au fait du dossier terroriste, sur la base de renseignements dont l’exploitation a été d’une extrême précision.
Les mêmes sources confient que les aveux de l’un des deux terroristes récemment arrêtés au lieudit Boumahni, dans la localité de Draâ El Mizan, ont permis aux forces de sécurité de dresser un dispositif sécuritaire hermétique autour de la zone où s’étaient retranchés les terroristes. Dans ce contexte, le communiqué du MDN précise que «grâce à la pression permanente exercée par les forces de l’ordre sur les groupes terroristes et avec l’aide des citoyens, les unités de l’ANP ont réussi à localiser (mercredi), le 29 août 2012, un groupe terroriste composé de neuf (09) criminels au niveau de Djebel Djerrah dans la zone de Beni Amrane (wilaya de Boumerdès) et ont pu, dans un premier temps, mettre hors d’état de nuire un (01) terroriste et blesser un autre et procéder au bouclage de la zone où s’est réfugié le reste des terroristes pour engager, dans la matinée du jeudi 30 août 2012, et avec toute l’efficacité requise, une opération offensive», lit-on dans le même communiqué.
L’assaut contre l’abri des terroristes sera donné après le refus de ces derniers à obtempérer aux sommations des forces de sécurité dirigées par le chef de la 1re Région militaire en personne. La katibet agissait sur l’axe  Kadiria-Chaâbet El Ameur, situé entre les wilayas de Tizi Ouzou, Bouira et Boumerdès. Pour les besoins de cette opération, l’ANP a usé de gros moyens dont l’artillerie lourde et les forces héliportées durant toute l’opération.
En l’espace d’une quinzaine de jours, pas moins d’une vingtaine de terroristes ont été mis hors d’état de nuire dont cinq à El Milia, deux à Tizi Ouzou et 13 à Boumerdès. Ce résultat probant intervient une dizaine de jours après l’attentat terroriste perpétré à Begas où ont été assassinés sept militaires, alors que plusieurs autres ont été blessés. C’est ce qui a incité les forces de sécurité à agir rapidement contre les dernières poches du Gspc, en mobilisant des troupes militaires aguerries dans toute la région de la Kabylie qui continue de subir les affres d’un terrorisme barbare, une mobilisation, précisent nos sources qui entre d’ailleurs dans le contexte du renseignement opérationnel et dans le cadre d’une stratégie de prévention contre d’éventuelles tentatives de nuire à la population laquelle n’a pas manqué d’assister les forces de sécurité dans leur mission, mais aussi aux symboles de l’Etat. (L’Expression-01.09.2012.)

Le terroriste abattu serait le bras droit de Droukdel

**Le terroriste abattu ce dimanche à Yakouren (Tizi Ouzou) serait le bras droit de Droukdel

la mise hors d’état de nuire de ce terroriste intervient dans une conjoncture où les groupes sévissant dans la région subissent des coups de boutoir successifs de la part des forces de sécurité.

Selon des sources informées, l’identification du terroriste abattu ce dimanche à Yakouren par les forces de sécurité est l’émir Bekkaï Boualem alias Boualem El Mig. Le corps a, selon nos sources, été identifié par ses proches au niveau de l’hôpital d’Azazga. Par ailleurs, il est à signaler que c’est là une grande perte pour Aqmi, car El Mig a longtremps été le bras droit et le lieutenant de Abdelmalek Droukdel. Agé de 34 ans, il aurait rejoint le maquis au début de la tragédie nationale, dans les années 1990. El Mig a débuté au sein des GIA, dans les maquis de Boumerdès, sa région natale.
Notons également que la mise hors d’état de nuire de ce terroriste intervient dans une conjoncture où les groupes sévissant dans la région subissent des coups de boutoir successifs de la part des forces de sécurité. Des offensives qui ont commencé à donner des résultats depuis quelque temps. Rien que la semaine dernière, le 1er du mois, un autre chef d’Aqmi s’est rendu aux services de sécurité, dans la région des Ouadhias. Abou Dedjana, émir de la katibat Al Forkane de la nébuleuse Al Qaîda s’est rendu aux militaires basés dans cette région de Kabylie avec ses armes. La veille, c’était un groupe formé de ses acolytes qui en avait fait de même. Durant l’été, plusieurs opérations de ratissage avaient permis également la neutralisation de plusieurs groupes activant dans les massifs forestiers de la wilaya de Tizi Ouzou, avec bien évidemment des extensions vers la wilaya de Boumerdès. Parallèlement à ces opérations d’envergure, un vaste travail a été effectué pour débusquer des réseaux dormants et de soutien. C’est un cadre de l’Institut d’agronomie de Boukhalfa et son fils qui ont été arrêtés par les forces de police pour soutien au terrorisme, il y a quelques mois. Ce travail de renseignement a donné ses fruits à plusieurs reprises. Deux terroristes ont été, en effet, abattus devant la clinique Slimana située au coeur de la Nouvelle-Ville de Tizi Ouzou suite à des renseignements faisant état de leur présence.
Par ailleurs, il est à signaler que l’activité de ces groupes avait atteint son paroxysme l’année dernière. Plusieurs militaires et policiers avaient trouvé la mort dans des attaques de leurs véhicules ou de leur convoi.
A Azeffoun, ce sont plusieurs militaires du détachement de la marine qui ont été tués par un tir de heb-heb alors qu’ils se rendaient dans leur caserne au début de l’été. Un mois auparavant, c’étaient trois policiers qui avaient été tués par des terroristes embusqués à Mekla.*(L’Expression-15.10..2012.)

***Comment s’est rendu Abou Doudjana

Quatre émirs, un chef de la commission juridique et des dizaines de terroristes mis hors d’état de nuire au cours des derniers mois. Aqmi se disloque réellement.

La décomposition du Gspc, branche d’Al Qaîda au Maghreb suit son cours. Le noyau dur de cette organisation terroriste implantée en Kabylie vient de subir un autre terrible coup. L’un des principaux émirs d’Aqmi s’est rendu hier avec armes et bagages aux services de sécurité.
Il s’agit de l’émir de la phalange ´´El Forkane´´, d’Abou Doudjana, et son proche collaborateur dont le nom n’a pas été communiqué. Ces deux éléments étaient activement recherchés par les services de sécurité depuis leur ralliement au GIA durant les années 1990. Selon des sources sécuritaires, Abou Doudjana, est originaire de la wilaya de Boumerdès. C’est un autre revers que vient de subir cette organisation qui peine à se restructurer. Pas moins de cinq terroristes se sont récemment rendus, notamment celui d’Aït Aggouacha, localité située sur la route menant de Larbâa Nath Irathen à Aïn El Hammam.
Totalement disloquée, en perte de terrain et d’effectifs, la nébuleuse tente, cependant, d’occuper le sud du pays. Mais sur ce terrain aussi, Aqmi subit de terribles revers depuis ces derniers mois.
Cela par l’arrestation de ses principaux éléments dont le chef de la commission juridique d’Aqmi, qui répond au nom de Necib Tayeb, alias Abderrahmane Abou Ishak Essoufi le 15 août dernier à Ghardaïa.
L’arrestation de ce dernier constitue une étape très importante dans la lutte antiterroriste, sachant que cet émir est une réelle banque de données. Quelque temps après, la sinistre organisation perdait dans un accident de la circulation un de ses plus influents membres, l’émir Nabil Makhloufi alias Abou Aklama, chargé de la gestion du stock d’armement, notamment des explosifs, en remplacement de Yahia Djaoudi alias Abou Amar. Cet ancien élément du GIA a été envoyé au Sud suite à un différend entre l’émir d’Al Qaîda au Maghreb et Yahia Djaoudi. Ce dernier aurait utilisé l’argent des rançons qu’il refusait de partager à des fins personnelles. Cette dislocation ne sera pas sans conséquence sur l’avenir désormais sombre et incertain d’une formation terroriste sous-traitante qui a douloureusement marqué le siècle et dont les nations se souviendront.
Ce nombre important de redditions confirme les difficultés qu’éprouve Al Qaîda au Maghreb islamique pour redresser la situation à son avantage dans un contexte qui lui est défavorable suite aux pressions exercées par les forces de sécurité et notamment l’étau qui se resserre de plus en plus sur ses éléments terrés dans les maquis. C’est depuis plus d’un mois que la sinistre organisation subit des pertes. En plus de ceux cités plus haut, la nébuleuse perdra cinq de ses plus importants membres. Il s’agit de Mohamed Aïssa alias M’Rigla qui était à la tête de katibet El Fath El Moubine, abbatu à El Milia, activement recherché depuis plusieurs années. L’émir Tahar Bouhadma à Blida, qui dirigeait katibet Abou Bakr Essedik. Plus de la cinquantaine, ce chef terroriste a été abattu dans la commune de Bouguerea. L’émir de katibet Al Arkam, qui répond au nom de Madrouni Malek avec deux de ses acolytes dont un certain Tadjer Zouheir à Boumerdès.
Toujours dans cette même wilaya, les militaires ont mis fin aux agissements de l’émir Abidi Mostapha alias Houdaïfa.*L’Expression-04.10.2012.

**Reddition de deux terroristes….Deux terroristes se sont livrés à la police, entre samedi et lundi derniers, à Tizi Ouzou, a-t-on appris de sources sécuritaires. Le premier terroriste H. Ameur, natif de Boumerdès, s’est rendu samedi à Ouadhias, à 35 km au sud du chef-lieu de la wilaya de Tizi Ouzou, selon nos sources, alors que le second H. Fodhil, originaire de Kadiria (Bouira) s’est rendu lundi peu avant 22 heures à Aït Bouaddou non loin de Ouadhias. Les deux terroristes activaient auparavant au sein des groupes armés qui écument la région de Lakhdaria (Bouira) jusqu’aux limites avec les wilayas de Tizi Ouzou et Boumerdès.*lequotidien-oran…04.10.2012.

**Deux “émirs” abattus à Legata-(Boumerdès)

L’“émir” de katibat El-Arkam, Nedromi Malek, dit Hamza, et son acolyte Tadjer Zoheïr, dit Handala, “émir” de la seriat de Si-Mustapha, ont été abattus dans la soirée d’avant-hier par les forces de sécurité au lieudit Koudiat El-Araïs, dans la commune de Legata, près de Zemmouri, a-t-on appris de sources sécuritaires. Les deux “émirs” ont été mis hors d’état de nuire vers 22h suite à une embuscade qui leur a été tendue par les forces de sécurité au lieudit l’Orangerie, au sud de la localité de Koudiat El-Araïs. Selon des témoignages, les deux terroristes, encerclés, ont tenté de fuir après avoir refusé de se rendre. Ils ont ensuite usé de leurs armes, mais les éléments des forces de sécurité, qui étaient postés un peu partout aux alentours de l’Orangerie, ont riposté, tuant sur le coup Tadjer Zoheïr et blessant l’“émir” de katibat El-Arkam, Nedromi Malek, qui s’est réfugié dans une forêt jouxtant la localité de Koudiat El-Araïs. Les recherches opérées durant toute la nuit par les forces combinées de sécurité ont permis de localiser le terroriste gisant dans une mare de sang. Il succombera quelques instants plus tard avant son transfert à l’hôpital, précisent nos sources.  Deux armes de type Kalachnikov, deux PA, plusieurs téléphones portables et une somme d’argent ont été retrouvés sur les deux terroristes dont les corps ont été transférés hier vers l’hôpital de Thénia.(Liberté-19.07.2012.)

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* les forces spéciales de l’Anp ont mis la main à Berriane, sur le chargé des affaires juridiques d’Aqmi: le terroriste Necib Tayeb, alias Abderrahmane Abou Ishak Essoufi.                                  

*L’émir d’Aqmi Necib Tayeb, un des proches d’Abdelmalek Droukdel – le chef du  mouvement djihadiste au maghreb- , a été intercepté dans le sud de l’Algérie, le  15 août 2012, alors qu’il  se dirigeait vers le Sahel pour une mission de première  importance.

Coup fatal pour Al Qaîda au Maghreb islamique. Alors que quatre terroristes ont été abattus à El Milia, les services de sécurité sont arrivés à mettre la main sur le chargé des affaires juridiques d’Aqmi.

Coup dur pour Al Qaîda au Maghreb. Dans une action militaire de qualité et sur la base de renseignements, les forces de sécurité, agissant dans le cadre de la lutte antiterroriste, ont réussi à mettre la main sur trois terroristes activement recherchés à Ghardaïa dont le chef de la commission juridique d’Al Qaîda au Maghreb islamique. Il s’agit de Necib Tayeb, alias Abderrahmane Abou Ishak Essoufi, recherché depuis 1995, ancien élément du GIA ayant activé sous la coupe du tristement célèbre Antar Zouabri pour rejoindre ensuite le Gspc, avant de rallier Al Qaîda au Maghreb. Des sources très au fait du traitement sécuritaire, indiquent que les forces de sécurité ont utilisé des informations exploitant le moindre détail ayant abouti à l’interpellation d’individus au niveau d’un barrage de contrôle dressé pour cette opération, à l’entrée de la ville de Berriane. Cette action a été opérée le 15 août dernier, mais pour des raisons sécuritaires, l’information ne sera rendue publique que plus tard. Selon nos sources, les forces de sécurité de l’Armée nationale populaire, mobilisées pour cette action, étaient parfaitement renseignées sur le déplacement des trois terroristes qui circulaient à bord d’un véhicule de type 4×4 en direction de la zone du Sahel. Cette action de grande envergure est un coup fatal porté à l’organisation terroriste d’Al Qaîda au Maghreb prétendument sous les ordres de Abdelmalek Droukdel, du fait que le chef de la commission juridique était considéré comme un élément d’une extrême importance pour le présumé numéro un d’Al Qaîda au Maghreb. Nos sources soulignent que les dernières actions subversives avertissaient sur la préparation d’un attentat terroriste spectaculaire. Des tentatives vaines jusqu’à présent, estiment nos sources. C’est le fruit de la bonne exploitation du renseignement qui a permis d’enregistrer des résultats probants, d’où d’ailleurs la mise en échec d’une réunion prévue entre Mokhtar Benmokhtar, Abdelhamid Abou Zeïd et Nabil Abou Alkama. Cette réunion avait été une mission confiée au chef de la commission juridique dans le but de mettre un terme aux conflits de leadership et de répartition du butin. Un conclave heureusement avorté par les forces de l’ANP qui récupèrent, lors de la même opération, des armes et de la documentation subversive jugée importante selon nos sources. Par ailleurs et dans le même cadre, quatre terroristes ont été abattus vendredi dernier au centre-ville de la daïra d’El Milia, wilaya de Jijel, aux environs de 22 heures par les forces de sécurité, alors qu’un cinquième a été blessé et transporté à l’hôpital Bachir-Mentouri. Selon des sources très bien informées, parmi les terroristes neutralisés qui se trouvent à la morgue du même centre hospitalier, figure un émir, cependant son identité n’a pas été communiquée, les forces de sécurité attendent les résultats des analyses ADN pour confirmer l’information. Les mêmes sources qui soulignent que les forces de sécurité ont agi sur la base de renseignements recoupés et vérifiés, confient que ce groupe a été pris dans une embuscade au moment où il tentait d’opérer un kidnapping contre un homme d’affaires aisément riche qui répond au nom de Rekima, au quartier Boumehrane, au moment même où la cible des terroristes se trouvait non loin de son entreprise. Les assaillants étaient à bord d’un véhicule de marque Symbol, de couleur bleue. Détenant déjà des informations sur leur mouvement, les forces de sécurité ont aussitôt encerclé tout le quartier en procédant à un bouclage hermétique. Surpris par la présence des forces de sécurité, les terroristes ont tenté de prendre la fuite refusant de répondre aux sommations des services de sécurité qui leur avaient laissé la possibilité de se rendre. En voulant user de leurs armes, ils seront tous mis hors d’état de nuire après un bref accrochage. Le crépitement des rafales d’armes a brusquement secoué les riverains pris de court et dont beaucoup étaient attablés sirotant leur café. Cette intervention militaire chirurgicale comme qualifiée par nos sources, a été menée après des années d’accalmie. Elle constitue ainsi un succès qui n’est que le fruit de la bonne exploitation du renseignement. Bien avant le mois de Ramadhan, les services de sécurité possédaient une banque de données et des renseignements sur d’éventuelles actions terroristes devant être menées à Jijel et Constantine. Or, les terroristes espéraient des failles dans le dispositif sécuritaire pour réussir un coup médiatique de portée internationale. Des sources concordantes et avec insistance ont confié qu’un groupe terroriste avait même tenté de pénétrer à Constantine-ville, mais la vigilance des services de sécurité a permis d’annihiler toute mobilisation subversive. On croit savoir que deux bombes ont été dissimulées à Djebel El Ouahche par des terroristes et dont l’une aurait explosé lors du dernier incendie qui s’y est déclaré, mais nous n’avons pas pu vérifier cette information auprès d’une source fiable. Cette même stratégie a aidé les forces de sécurité à couper les vivres aux terroristes terrés dans les maquis d’où le démantèlement de plusieurs réseaux de soutien. Comme ils sont parvenus à déjouer, il y a une semaine, une tentative d’attentat kamikaze contre l’Académie interarmes de Cherchell. Néanmoins, les réseaux terroristes à la logique et l’esprit criminels, considérés comme imprévisibles, appellent à maintenir l’alerte maximale et à garder le même degré de vigilance. C’est d’ailleurs cette stratégie que les forces de sécurité semblent parfaitement maîtriser qui a permis d’anéantir plusieurs terroristes à Tizi Ouzou et Boumerdès et d’avorter des opérations d’infiltration de terroristes depuis la Libye et le Mali pour acheminer des armes à leurs acolytes.
En fin de compte, la menace terroriste est toujours d’actualité et les forces de sécurité, tous corps confondus, mènent une lutte sans répit. L’opération de qualité d’El Milia qui a surpris même certains observateurs de la question sécuritaire est un fait spectaculaire à l’actif de la lutte antiterroriste. (L’Expression-21.08.2012.)

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Le chef terroriste, abattu le 27 juillet 2012, par les forces de l’armée, dans les maquis d’El-Kseur, vient d’être identifié par les services de sécurité. Il s’agit, en fait, d’un certain Azizi Hatem, alias Youssef Abou Youssef, ‘émir » de la seriat El-Wenchir, l’une des phalanges de l’ex-GSPC, écumant le vaste massif forestier de l’Akfadou qui s’étale sur le territoire des deux wilayas de Béjaïa et de Tizi Ouzou. Âgé de 36 ans, il est natif de la wilaya de Batna où il a vécu son enfance. En 1998, alors qu’il n’avait que 22 ans, il décida de quitter sa ville natale pour rejoindre les maquis islamistes de Kabylie. Ainsi, il s’engage dans l’activisme islamiste aux côtés des groupes armés affiliés à l’ex-GSPC (Groupe salafiste pour la prédication et le combat), dirigé à l’époque par le sinistre ‘émir » Hassan Hattab, alias Abou Hamza. Selon une source sécuritaire, ce dangereux criminel avait à son actif plusieurs actes terroristes (faux barrages, embuscades, rapts, rackets…) perpétrés en Kabylie durant la dernière décennie. C’est lui, précise notre source, qui aurait planifié et exécuté la plupart des attentats meurtriers commis dans la région, notamment sur l’axe routier de la RN12 allant du lieu-dit Bourbaâtache (El-Kseur) jusqu’aux maquis de Yakourène et Azzazga. Ce tronçon a d’ailleurs été le théâtre de plusieurs actes terroristes au point de devenir un certain temps un véritable coupe-gorge. Il serait même derrière l’attentat sanglant de Mansourah, dans la région des Bibans (Bordj Bou-Arréridj), perpétré le 17 juin 2009, et ayant coûté la vie à pas moins de 18 gendarmes et deux civils. Son caractère belliqueux et violent doublé d’un autoritarisme sans égal lui a valu une ascension ‘fulgurante » au sein de l’organisation criminelle où il s’est vite imposé comme chef. C’est ainsi qu’il dirigera d’une main de fer son groupe armé jusqu’à ce jour fatidique du 27 juillet 2012, où il tombera dans une embuscade militaire, tendue par les forces de l’ANP, tout autour de son refuge. Il sera abattu en sortant du logement de fonction d’une école primaire abandonnée où il avait élu domicile depuis quelques mois déjà.
Cet ancien établissement scolaire, faut-il le rappeler, est situé au lieu-dit Aït Smaïl, un hameau déserté par ses habitants, au piémont d’Ibarissen, sur les hauteurs de la daïra d’El-Kseur. (Liberté-21.08.2012.)

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*Attentat contre les GGF de Maghnia : Le groupe armé identifié

il agit par intermittence au pied du mont Asfour puis il bat en retraite sur le territoire marocain

 algérie dans Eco-financesL'Algérie va importer 450.000 tonnes de ciment dans actualité

L’attentat qui a ciblé, jeudi 02.08.2012. à 22 h, les quatre gendarmes garde-frontières dans la daïra de Béni Boussaïd, à 50 km du chef lieu de la wilaya de Tlemcen, est l’œuvre du sanguinaire Aïssa Souabi, à la tête de la phalange « Houmat Daâwa salafiya ». Un groupe originaire de la région dont le nombre ne dépasserait pas une huitaine d’individus. Selon des informations sécuritaires, ce groupe armé agit par intermittence au pied du mont Asfour, qui surplombe les daïras de Béni Boussaïd et  des Béni Snouss et bat en retraite sur le territoire marocain, à quelques 1.000 mètres des lieux, après ses sinistres forfaits. Houmat Daâwa salafia, qui était sous l’emprise de l’émir Djamel Guergabou, un énergumène de la commune de Béni Boussaïd, également, a été tué il y a deux mois, lors d’un ratissage opéré par les forces combinées. Le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales a, d’abord confirmé qu’il s’agissait un groupe terroriste qui a commis l’attentat, avant de préciser samedi lors du forum de Liberté que «les gendarmes ont été piégés par un appel les informant que des contrebandiers allaient acheminer un chargement de drogue… » Jeudi dernier, les quatre éléments des garde-frontières étaient tombé dans un guet-apens au lieu-dit « Piste 8 » entre les localités de Zouïa et Roubane. Trois soldats trouveront la mort sur le coup. Un quatrième succombera à ses blessures à l’hôpital de Maghnia (25 km). On a appris des mêmes sources, qu’une fois leur forfait accompli, les terroristes sont repartis avec les armes des GGF, des kalachnikov. (El Watan-05.08.2012.)

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**Finie la permissivité…Guerre totale  aux délinquants

Finie la permissivité, le gouvernement passe à un cap supérieur dans la lutte contre la petite délinquance.  Les walis, eux, sont sommés d’établir des feuilles de route spécifiques à chaque région, en coordination  avec les services de sécurité.

La criminalité, sous toutes ses formes, et surtout la petite délinquance inquiètent au plus haut point les autorités politiques du pays.  Devant la recrudescence de ces fléaux, par ailleurs qualifiés d’“intenses”, le ministre de l’Intérieur Daho Ould Kablia a révélé, lors de la réunion des walis à Oran, que “les services de sécurité œuvrent au développement de nouvelles méthodes préventives contre les phénomènes de la délinquance et de la criminalité (…) ; cette action a pour objectif d’atténuer l’intensité de ces phénomènes”.
Ce dossier lourd abordé par les walis, – criminalité et petite délinquance -, fera l’objet d’une feuille de route qui devra impliquer tous les acteurs majeurs exerçant dans la lutte et la prévention contre la prolifération de ces phénomènes. Ainsi, chaque wali devra établir un plan spécifique avec les services concernés, car “l’action répressive ne peut à elle seule circonscrire ces phénomènes”, a indiqué M. Ould Kablia. Mais qu’en est-il exactement ? Selon le ministre de l’Intérieur, “la prolifération de la délinquance, la criminalité et les différentes formes de violence, constituent actuellement une préoccupation particulière pour les pouvoirs publics comme pour le citoyen (…). Ce sont des phénomènes négatifs et nuisibles qui appellent une lutte sans merci pour atténuer leurs effets tant sur le citoyen que sur la société et l’économie nationale”.  Selon une source proche du dossier au niveau du commandement de la Gendarmerie nationale (CGN), “de nouvelles orientations ont été données à même d’occuper le terrain davantage, car la petite délinquance reste inquiétante. Nous réagissons sur des faits et nous les traitons. Aujourd’hui, nul n’est à l’abri de cette violence émergente que colporte une nouvelle génération de réfractaires, souvent armés de couteaux ou autres armes prohibées. Que ce soit dans les écoles, dans la rue, dans les parkings, les abribus, les gares routières ou encore les marchés, cette violence s’exprime par la menace, les vols et les agressions, voir des meurtres”. Face à cette situation kafkaïenne, le cadre de vie du citoyen accuse une dégradation permanente et le climat d’insécurité ne fait que s’installer davantage. “Nos bilans et nos actions nous permettent à chaque fois de voir mieux. Aujourd’hui, nous avons une carte de la criminalité qui évolue. C’est sur cette base que nous évoluons aussi, certes, mais des orientations ont été données à toutes les unités de la Gendarmerie nationale de passer à un cap répressif supérieur”, nous dira encore notre interlocuteur. En ce sens, ajoute notre source, “des actions et des descentes sont programmées au quotidien pour démanteler les associations de malfaiteurs dans lesquelles sont impliqués des individus de tous âges. Il fallait donc passer au cap de l’éradication de ces poches de la délinquance. Le second semestre de l’année en cours a d’ailleurs été particulier vu le nombre d’arrestations et d’ affaires traitées.” D’ailleurs, M. Ould Kablia a révélé que les services de sécurité ont procédé à l’interpellation de 22 462 individus impliqués dans différentes affaires criminelles, la résolution de 70 315 affaires de droit commun et 5 353 affaires économiques et financières.
Avec une saisie de près de 90 tonnes de cannabis, plus de 200 tonnes de cuivre et de câbles téléphonique et électrique, près de 2 millions de litres de carburant et l’arrestation d’au moins 1 000 immigrés clandestins, on relèvera un léger recul du crime organisé qui voudrait établir de fortes bases en Algérie.*Liberté-08.10.2012.

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*dispositifs sécuritaires renforcés au niveau des champs pétroliers situés dans le sud du pays

Les services de sécurité algériens ont renforcé leurs dispositifs sécuritaires au niveau des champs pétroliers situés dans le sud du pays.
Afin de protéger les citoyens et leurs biens, ces mêmes éléments ont intensifié les activités de balayage des espaces désertiques se trouvant près des zones industrielles. Ces mesures ont été prises suite à l’attenta-suicide perpétré au niveau du siège du commandement régional de la Gendarmerie nationale dans la wilaya de Ouargla. A travers ce plan de sécurité, des éléments de sécurité ont été installés en cas d’extrême alerte pour surveiller le moindre mouvement suscitant le doute.
Ils ont en outre intensifié leurs patrouilles de surveillance au niveau de la frontière sud de la zone industrielle, comme ils veillent à surveiller le déplacement des véhicules suspects et à vérifier l’identité de leurs usagers en utilisant des périphériques filaires très développés. Par ailleurs, les sociétés étrangères installées en Algérie ont reçu des instructions des services de sécurité les appelant à faire preuve de prudence, à l’importance de fermer les portes principales et à n’y avoir recours qu’en cas de nécessité, relevant l’importance d’inspecter les véhicules transportant des marchandises en provenance des autres villes du pays. (Le Tempq.dz-24.07.2012.)

**Un campement militaire attaqué au hebheb à Bouira…. Dans la nuit de lundi à mardi, un cantonnement militaire situé dans la localité de Passala, commune d’Ath Mansour, sis à 50 km à l’est de la ville de Bouira, a été attaqué par un groupe terroriste, a-t-on appris hier de sources sécuritaires.
Cette dernière a ajouté que le groupe terroriste a attaqué dans la nuit, à l’aide de hebheb, ce campement militaire sans causer ni dégâts ni victimes. Les mêmes sources ont indiqué que la riposte énergique des éléments de l’ANP a permis de repousser les assaillants qui ont pris la fuite vers les monts surplombant ladite localité. A noter en outre que plusieurs attaques terroristes avaient été signalées dans la région de Passala.  (Le Tempq.dz 24.07.2012.)                                 

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4 réponses à “La situation sécuritaire.2”

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