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Meilleurs employeurs en Algérie :

Six entreprises primées et Roche en tête

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Parce que l’homme est au cœur du développement, parce qu’il est la clé du succès de toute entreprise, un programme de sélection du meilleur employeur est institué dans le monde depuis le début de ce siècle qui est devenu «le siècle du management et du développement de la ressource humaine».

Le concours est à sa quatrième édition en Algérie et il est organisé par le programme «Meilleurs employeurs en Algérie» pour le compte de l’Institut américain Best Compagnies Group USA.

Pour l’année 2019, six entreprises de droit algérien ont été récompensées pour la bonne prise en charge de leurs employés et l’environnement de travail qu’elles assurent.

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En tête de ce classement des meilleurs employeurs, trois laboratoires pharmaceutiques sont sélectionnés, à savoir le laboratoire Roche en premier meilleur employeur en Algérie, suivi du laboratoire Novartis, en deuxième position, et du laboratoire Ipsen à la troisième place.

Les trois autres entreprises distinguées sont Amana Assurance en quatrième position, Tango (5e) et RedMed (6e). Ces entreprises ont été sélectionnées sur la base de 8 critères précis liés à l’environnement de travail.

Un questionnaire est distribué aux employés des entreprises participant au concours ; ils sont invités à donner leur appréciation sur les conditions de travail, la culture de l’entreprise, la gestion des ressources humaines, l’évolution professionnelle, la rémunération et la reconnaissance professionnelle. Un questionnaire sera complété par une évaluation générale des différentes pratiques en matière de gestion des ressources humaines au sein de l’entreprise.

C’est au niveau de Best Compagnies aux Etats-Unis que l’analyse des résultats de l’enquête est effectuée et que la notation des différentes entreprises candidates se fait. Les différents lauréats de cette année ont pour essence d’être des filiales de multinationales installées en Algérie, à l’exception du groupe RedMed qui est une entreprise algérienne à 100%.

La société Roche Algérie, qui a décroché la première place de ce classement, est, pour rappel, représentée en Algérie depuis 2010 et emploie 130 travailleurs.

Son point fort d’après le résultat de l’enquête est dans son système de rémunération, la flexibilité des horaires de travail, l’inclusion dans l’organisation et le parrainage de plusieurs associations. Novartis, qui est un autre géant du médicament dans le monde, est présent en Algérie depuis 1996 et compte un effectif de 75 personnes.

Son point fort réside dans l’organisation de team building au profit des travailleurs, les espaces de détentes disponibles, la proximité de la direction et une parfaite synergie avec les collaborateurs, ainsi que la flexibilité dans le temps de travail. Ipsen est un groupe pharmaceutique français qui a ouvert une représentation en Algérie dès 1977 et emploie 100 personnes.

Cette compagnie assure une forte culture du partage, des conditions de travail permettant aux collaborateurs de révéler leur potentiel, un système de bonus innovant et la garantie de programmes de développement personnel pour les collaborateurs.

La société Amana Assurance est, quant à elle, une filiale commune regroupant le groupe français Macif, la SAA et les banques Badra et BDL, créée en 2011 et compte un effectif de 131 personnes.

Les points forts d’Amana résident dans l’esprit d’équipe et l’organisation de plusieurs actions en faveur de l’épanouissement du personnel ainsi que l’application d’une politique RSE en parfaite synergie avec les ambitions de la société.

Le groupe Tango spécialisé dans les boissons alcoolisées est une filiale de Heinken et emploie 310 personnes.

Ce groupe garantit à ses employés une ouverture d’esprit, des formations continues et encourage l’équilibre entre vie privée et professionnelle et l’application de programmes de reconnaissance de la performance des collaborateurs.

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Le groupe RedMed est le seul des six lauréats à compter plus de 1000 employés, plus exactement 1600 personnes, il a été créé en 1996. Parmi ses points forts, l’enquête cite le climat de travail favorable, des programmes de reconnaissance pour les meilleures performances annuelles, et des programmes de formation pour accompagner le développement des collaborateurs. *NADJIA BOUARICHA – elwatan – mardi 19 février 2019

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Association algérienne des femmes et des filles de science

          Les scientifiques à l’honneur

L’Université des sciences et technologies Houari Boumediène (USTHB) de Bab Ezzouar a célébré, lundi 11 février, dans la salle de conférences, au sein de la maison des sciences, la Journée internationale des femmes et des filles de sciences, coïncidant avec la création de l’Association algérienne des femmes et des filles de sciences.
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Plusieurs conférences ont été tenues par des chercheurs et professeurs de différents domaines, des plus distingués, dont Ahmed Djebbar, professeur émérite de l’université de Lille 1 et membre de l’Académie des sciences et des technologies d’Algérie, le professeur Mohamed Sid Moulay, de la faculté de mathématiques, et la professeur Leïla Guellouz Chelbi, de l’université de Tunis El Manar.

Ce n’est qu’en fin de journée que la création officielle de l’Association algérienne des femmes et des filles de sciences a été annoncée. Yasmina Kerboua Ziari, professeur à la faculté de physique de l’USTHB et première responsable de cet événement, nous explique que la création de l’association, à cette date précise, a été choisie par rapport à la célébration de la Journée internationale des femmes et des filles de sciences.

Outre les étudiantes doctorants, d’autres institutions ont pris part à cet événement, à l’instar de l’Université de la formation continue (UFC), l’Ecole nationale supérieure de statistiques et d’économie appliquée (ENSSEA), l’Office des publications universitaires (OPU) et des entreprises économiques privées.

«Cette journée a été instituée par l’Organisation des Nations unies (ONU) en 2015, vu le nombre insignifiant de filles dans les domaines des sciences techniques, de l’ingénierie et des mathématiques (STEM)», a souligné la présidente. Et de poursuivre : «En vertu du programme élaboré par l’ONU pour le développement durable, d’ici à l’horizon 2030, nous avons décidé d’engager des actions visant à encourager les femmes à aller de l’avant vers les sciences et les technologies.»

Le professeur Kerboua Ziari a expliqué que «les femmes qui poursuivent leurs études en STEM ne sont que 30% dans le monde, le taux le plus élevé étant en Europe». Dans le monde arabe, l’Algérie «est très bien positionnée, avec un taux de 30% de femmes chercheurs, par rapport aux hommes».

A Oman, ce taux atteint 53%, nous dit-on encore. Le professeur affirme avoir organisé cette journée pour sensibiliser les jeunes filles et changer les mentalités. «Nous avons organisé cette journée dans le but de se défaire de ce stéréotype qui dit que la place de la fille est dans la cuisine et à la maison. Nous voulons les inciter à poursuivre leurs études et leurs recherches dans le domaine de la médecine et de la science en général», dit-elle.

Mme Kerboua Ziari nous fait savoir qu’un grand nombre de filles, à l’USTHB plus exactement, abandonnent leurs études après avoir eu leur licence et que le taux de ces dernières en licence est de 60%. En master et en doctorat, ce taux chute jusqu’à 30, voire 25%. «L’Association algérienne des femmes de sciences est une démarche et une première approche pour essayer de sensibiliser les générations futures aux STEM, par l’organisation de conférences, de workshops et autres activités de conseils et d’orientation», tient à préciser sa présidente.

Et d’ajouter : «Nous avons bénéficié d’une formation de qualité que nous cherchons à transmettre aux générations futures.» Le professeur affirme avoir le soutien du recteur de l’université de Bab Ezzouar et insiste qu’en étant elle-même une fille de science en polytechnique qui aime les défis, se voit obligée de s’y impliquer à travers ce genre d’actions.

Evoquant les années où elle était étudiante, le professeur Kerboua Ziari dit avoir remarqué «un certain recul» chez les étudiantes d’aujourd’hui, en ce sens que «les étudiantes de nos jours sont beaucoup plus indécises». Notons enfin qu’une cérémonie de remise de prix a été organisée au profit des anciennes femmes «savantes» issues de toutes les wilayas du pays.

Parmi celles qui ont été honorées, citons, entre autres, la professeure Ouiza Cherifi, chimiste et inspectrice générale au ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le professeur Fattoum Kherichi, du même ministère, la professeure Nassima Allal, de la faculté de physique, la professeure Kerboua Djamila, de la faculté de médecine et le professeur Assouag, économiste. *AMINA AHRES – elwatan – mercredi 20 février 2019

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