*Alger-infos
*Métro d’Alger : un train chaque cinq minutes
Alger – Le métro d’Alger, qui sera mis en service au mois de novembre prochain, assurera le transport de quelque 25.000 personnes par heure et par sens sur son unique ligne, a affirmé lundi à Alger le directeur général de l’entreprise du métro d’Alger (EMA), Hadebi Aomar.
M. Hadebi, qui s’exprimait en marge d’une journée d’information et de sensibilisation sur les missions de l’unité de police du métro, a assuré que les conditions nécessaires à l’exploitation de ce moyen de transport urbain, à partir du 1er novembre, étaient toutes réunies.
M. Hadebi a affirmé que 11 trains étaient prêts à entrer en fonction avec une capacité de transport de 1.240 passagers chacun.
Le métro d’Alger fonctionnera tous les jours de la semaine sans exception, de 5h00 à 23h00, au rythme d’une rame toutes les 3 minutes pendant les heures de pointe, et d’un train toutes les 5 minutes durant les heures creuses.
S’agissant des extensions prévues sur le parcours du métro, ce dirigeant a fait savoir que la partie génie civil du tronçon Haï El Badr-El Harrach, long de 4 km et comprenant 4 stations, serait achevée vers la fin de l’année prochaine.
Au sujet du tronçon Place des Martyrs – Emir Abdelkader (1,6 km et 2 stations) il sera réceptionné à la fin 2013, a encore signalé M. Hadebi. Le premier responsable de l’EMA a par ailleurs indiqué que les travaux relatifs au tronçon reliant Haï El badr à Aïn Naâdja (3,6 km et 3 stations) avaient été lancés il y a 3 mois, alors que les extensions El Harrach-Bab Ezzouar et Place des Martyrs-Chevalley sont encore au stade des études.
Sur les difficultés rencontrées pour la réalisation de ce vieux projet, M. Hadebi avaient notamment trait à l’accès au foncier et à la gestion des réseaux utilitaires (eau, gaz, électricité, assainissement…) dont certains étaient « particulièrement vétustes » et imposaient un surcroît de travail.
M. Hadebi a précisé que la rénovation de ces réseaux était effectuée par l’EMA, ce qui a constitué, a-t-il souligné, « une charge financière supplémentaire ainsi qu’une perte substantielle de temps ». Le directeur général de RATP El Djazaïr, Pascal Garret a indiqué, pour sa part, que les activités opérationnelles qui étaient au programme ont été, jusqu’à l’heure actuelle, réalisés à plus de 80 %.
Affirmant que les essais se déroulaient « selon le calendrier mis en place », M. Garret a fait savoir que la direction générale de la sûreté nationale (DGSN) procèderait, dès le 15 octobre, à l’installation de ses services, essentiels pour la sécurité de l’ouvrage et de ses usagers, tandis que la protection civile procèdera à des exercices de simulation de situations d’urgence.
D’une longueur initiale de 9,5 km, le projet du métro d’Alger desservira, sur dix stations, les communes de Bachdjarah, El Magharia, Hussein Dey, Sidi M’hamed et Alger-centre.
Entamés dans les années 1980, les travaux du métro d’Alger avaient été suspendus pendant plusieurs années, accusant un retard énorme, avant d’être graduellement relancés à la faveur de deux grands plans nationaux d’investissements publics pluriannuels, celui de 2000-2004 et celui de 2005-2009.*Ennaharonline/ APS.10.10.2011.
*NOUVELLE STRUCTURE POUR LE CHU MUSTAPHA-PACHA..Alger
Un bloc d’urgences à 6 millions d’euros
Le travail mené par l’ensemble de la communauté hospitalo-universitaire s’est concrétisé un certain 4 août 2011 par la réception de ce «joyau».
La santé n’a pas de prix, mais l’hôpital public a des coûts qui se chiffrent à 664 millions de DA (soit l’équivalent d’environ 6 millions d’euros) pour un bloc d’urgences.
En effet, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Djamel Ould Abbès, a inauguré, jeudi, un nouveau bloc d’urgences médico-chirurgicales au Centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha-Pacha (Alger).
Même si ce chiffre paraît quelque peu élevé, l’importance de cette structure dépasse cependant, de loin les considérations financières.
Ce n’est pas un secret que la construction d’un hôpital est par définition un moment important et symbolique.
L’ouverture de ce nouveau service consolidera incontestablement les infrastructures sanitaires du pays. Surtout que ce bloc d’urgences est fort d’une équipe médicale pluridisciplinaire, et doté d’équipements nécessaires dont un scanner 24 barrettes. Ce projet a été rendu nécessaire après que le service des urgences de l’hôpital Mustapha-Pacha soit arrivé à saturation.
Il ne pouvait, effectivement, plus répondre aux besoins des soignants, aux attentes des malades, et aux contraintes d’un environnement technique, réglementaire et économique dont les exigences n’ont cessé de croître depuis des années. Afin de ne plus vaguer au gré des décisions ponctuelles rendues nécessaires par l’urgence, l’hôpital Mustapha-Pacha a décidé de prendre «son avenir en main». Cela a conduit l’Etat à entamer une large réflexion sur les objectifs d’un CHU, sur son organisation et sur ses besoins.
Le travail mené par l’ensemble de la communauté hospitalo-universitaire s’est concrétisé un certain 4 août par la réception de ce «joyau», comme l’a qualifié Ould Abbès. Ce dernier a également donné des instructions pour assurer une meilleure gestion à ce bloc et sa préservation.
Ce service de quatre étages d’une capacité de 60 lits avec deux services de chirurgie de 5 salles, permettra d’alléger la pression sur les autres services à travers la prise en charge des cas graves.
La gestion du service est assurée par 54 spécialistes entre professeurs, maîtres assistants et médecins résidents ainsi que 118 paramédicaux. Mais, vu qu’il y a toujours un mais en Algérie, ce service, qui a coûté à l’Etat la bagatelle de 6 millions d’euros, manque encore d’effectif.
Pour preuve, les responsables en charge de cette nouvelle acquisition ont appelé à l’occasion à renforcer certains services, à l’instar de l’imagerie! Etonnant, on construit une structure en milliards de dinars, pour qu’à la fin, comme c’est le cas dans plusieurs hôpitaux, elle soit bloquée par le manque d’effectif.
Le service cité par les responsables en charge, à savoir l’imagerie, est très symbolique… Par manque d’effectif, mais surtout de personnels qualifiés pour l’utilisation des équipements ultramodernes qui ont été acquis par l’Etat, les services d’imagerie sont souvent «hors service», et leurs équipements endommagés par la mauvaise utilisation. Ce qui pénalise les malades. Il ne suffit donc pas de construire ou d’acheter les équipements nécessaires, si en parallèle on ne forme pas le personnel pour les gérer…(L’Expression-06.08.2011.)
*La valise perdue de l’ambassadeur
** Je suis arrivé ici il y a un mois et je n’ai pas encore pu récupérer mes bagages
Voilà donc l’ambassadeur de la troisième puissance économique mondiale à Alger, sans bagages et sans voiture. Il prendra le métro et s’habillera en kimono.
Il y a des jours comme ça à Alger où le ciel est pâle, les murs glauques, où l’on se demande si l’on trouvera la joie de vivre. Les Algérois en phase avec leur climat, sont alors, l’âme morose, presque désespérés. C’est par cette journée d’automne si particulière que l’ambassadeur du Japon, Tsukasa Kawada, atterrit à Alger où il doit représenter son pays. Comme viatique pour ce long, très long voyage qui l’a mené du pays du Soleil Levant vers un pays du soleil couchant, M. Kawada n’a pas que son titre d’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire. En Japonais soucieux de culture, il s’est imprégné de la littérature algérienne.
Les méandres
Pour commencer il a lu. Ce que le jour doit à la nuit de Yasmina Khadra et Débuts d’une diplomatie de guerre (1956-1962), de Abderrahmane Kiouane. Une lecture somme toute logique puisque M. Kiouane a été, au milieu des années 1950, le chef de la mission diplomatique du Gpra en Extrême-Orient avec siège à Tokyo. Dans les bagages de l’ambassadeur du Japon il y avait aussi ses valises. Premier incident à son arrivée à l’aéroport international d’Alger: il ne pourra pas récupérer ses valises! Non, c’est juste une simple procédure, un contrôle routinier. Et puis, on ne fait pas subir les méandres de la bureaucratie algérienne à l’ambassadeur de la troisième puissance économique du monde, ce n’est pas le Burundi quand même! M. Kawada se console, puise dans sa patience, mais la bureaucratie algérienne a eu raison de la constance du Japonais. Il cède et perd le fard bien connu des diplomates. «Je vais être franc avec vous», lâche-t-il lors de l’entretien qu’il nous a accordé ce mardi 8 novembre. Avant de raconter sa mauvaise aventure, il a abordé le climat des affaires répondant à une question posée dans ce sens. «Le climat des affaires ici en Algérie n’est pas comme on le souhaite. A mon avis, votre économie a besoin de plus de libéralisation même si cette libéralisation dépend de plusieurs facteurs internes souvent difficiles à résoudre. Vous devez intégrer l’Organisation mondiale du commerce.» Il marque un temps d’arrêt et se lance à l’assaut de la forteresse: «J’ai envie de dire quelque chose sur la bureaucratie, on est critiqué pour ce fléau au Japon, mais j’ai l’impression que c’est un peu trop en Algérie. Je suis arrivé ici il y a un mois et je n’ai pas encore pu récupérer mes bagages à l’aéroport.»
Un visa
Il a tenu exactement les mêmes propos avec notre confrère d’El Watan. La bureaucratie ça fait mal. Il racontera alors les péripéties des formalités qu’il est en train de remplir pour obtenir tous les documents nécessaires pour cela. «On m’a exigé une carte diplomatique, je ne sais pourquoi du moment que j’ai un visa et un passeport diplomatiques.» La situation est telle que sa femme, dit-il, «commence à se plaindre car elle n’a pas ses habits d’hiver!». Comme pour appuyer ses dires, il affirme qu’il n’est pas le seul. «J’ai parlé avec des représentants des entreprises japonaises. Ils m’ont dit que l’Algérie est le marché le plus difficile au monde. Ils m’ont dit également que pour avoir un visa, il faut attendre pas moins de 40 jours.» Il ajoute que deux mois avant de venir en Algérie, il a commandé une voiture mais toujours rien. Voilà donc l’ambassadeur de la troisième puissance économique mondiale, à Alger, sans bagages et sans voiture. Il prendra le métro et s’habillera en kimono. Est-il normal qu’un ambassadeur soit traité de la sorte? Comment seront les rapports que cet ambassadeur transmettra sur l’Algérie? Comment se fait-il qu’un ambassadeur, reçu par le président de la République, donc accrédité, soit traité de cette manière? Le fait n’est pas nouveau en Algérie.
S’exprimant devant les cadres de la Nation en septembre 2007 au Palais des Nations, le Président Bouteflika a affirmé qu’il est plus facile d’être reçu à la Maison-Blanche que par un wali. Il y a quelques mois, c’est le ministre de l’Intérieur qui parlait de la République des patrons. Le drame c’est qu’il n’y a aucune mesure pour y remédier. Pourtant, tout était bien parti depuis 2008 quand le Président Bouteflika s’est rendu au Japon. «Après la visite du Président Bouteflika au Japon, il a été convenu de développer notre coopération technique dans les domaines de la gestion des catastrophes naturelles et de l’environnement. En 2003, après le tremblement de terre de Boumerdès, des secouristes japonais sont venus apporter leur contribution.» Reconnaissant, le diplomate a rappelé que le gouvernement algérien a donné gracieusement à son pays une assistance de 10 millions de dollars après la catastrophe de Fukushima, en mars 2011. «Je profite de l’occasion pour remercier, au nom du gouvernement japonais, le peuple algérien pour sa solidarité.» Au niveau politique, il y a eu pour la première fois la visite du Premier ministre japonais en Algérie, M. Maehara». «On s’est mis d’accord aussi pour réactiver la commission économique mixte incluant les secteurs public et privé. Cette commission ne s’est pas réunie ces dernières années. Nous avons l’intention de réactiver la commission.» Au plan des investissements, il reconnaît un certain recul des entreprises japonaises en Algérie mais «cela est dû au fait que nos entreprises ne sont pas mercantilistes. De nature, le Japonais privilégie le développement social, il veut gagner de l’argent, mais le développement social prend une place importante dans le mode opératoire de nos entreprises.» Cependant, les deux pays se sont mis d’accord pour entamer les négociations autour d’un traité sur les investissements. «Nous développons actuellement un projet d’une très grande importance et qui consiste en la production de silicium à partir du sable du Sahara. Ce matériau sert à fabriquer des piles solaires. Le projet est pris en charge par l’université de Tokyo et l’université d’Oran pour développer cette technologie de pointe.» La question des énergies renouvelables étant d’actualité, un pareil projet sera d’une grande utilité pour les années à venir, encore faut-il qu’il ne subisse pas les affres de la bureaucratie. L’ambassadeur a fait remarquer également que son pays est intéressé par des investissements aussi bien dans le domaine pétrolier, notamment la pétrochimie que l’agriculture en particulier. Enfin, interrogé sur l’Algérie et les révoltes dans les pays arabes, il a soutenu que chaque pays a sa propre évolution historique. «Dans tous les pays, il est naturel que les peuples revendiquent plus de liberté et de démocratie. C’est pour cette raison d’ailleurs que le peuple algérien a fait la guerre contre le colonialisme français et combattu le terrorisme. A l’heure actuelle, votre pays est en train de discuter d’un plan de réformes. En tant que diplomate, je ne peux pas me permettre d’apporter un quelconque jugement sur ces réformes», a conclu M. Tsukasa Kawada dont l’amère expérience avec la bureaucratie algérienne fera date. Désormais, il y aura un avant et un après l’incident du diplomate japonais. (L’Expression-10.11.2011.)
*200 nouvelles caméras de surveillance et 10 radars
La wilaya d’Alger vient d’être dotée, dans le cadre du maintien de l’ordre et de la sécurité des citoyens, de 200 caméras de surveillance haut de gamme et 10 nouveaux radars pour une couverture de sécurité totale pour tous les points sensibles de la Capitale. D’autres importantes wilayas du pays seront également dotées des mêmes appareils.
Dans ce sillage, le commandant du groupement de la wilaya d’Alger de la Gendarmerie nationale, le colonel Mustapha Taïbi a déclaré à Echorouk que ces nouveaux radars et caméras de surveillance récemment installés rendent Alger, l’une des capitales les plus sécurisées permettant ainsi aux gendarmes de mieux mener leurs opérations de surveillance des points les plus sensibles.
Ces caméras très sophistiquées, d’une grande résolution, peuvent agrandir l’image capturée 18 fois plus que son format réel, comme elles permettent de préciser un endroit d’un centimètre carré ainsi qu’une couverture d’un périmètre donné à 360°. Aux côtés des caméras fixes, les services de la Gendarmerie nationale comptent également utiliser des véhicules dotés de caméras qui permettent d’indiquer tout véhicule volé.
Le Commandement de la Gendarmerie nationale envisage le renforcement de l’autoroute Est-Ouest par de nombreux radars pour aider les services chargés du contrôle routier afin d’enregistrer toute contravention commise par les automobilistes.
Les radars seront également présents dans les axes routiers qualifiés par les mêmes services de « noirs » où plusieurs accidents dangereux, voire mortels ont été enregistrés dans ces axes notamment au niveau de la RN5.
Les services de la Sûreté nationale renforceront de leur côté le tramway d’Alger de caméras de surveillance, les images de ces dernières seront directement transmises vers le Centre de contrôle des services de sûreté de la wilaya d’Alger.
Le chef de sûreté de cette dernière, le commissaire divisionnaire Mohamed Serir a affirmé, en marge de l’ exposition du Plan bleu, qu’en plus des 85 radars installés au niveau des différentes routes nationales, deux équipes spécialisées dans le contrôle du tramway d’Alger et dans la protection des citoyens contre toute forme d’agression dans ce dernier, sont mises en place. (Echorouk-01.07.2011.)
*120 000 logements dégagés pour la capitale.
Jusqu’en 2014, la wilaya réalisera 120 000 logements pour 108 000 demandes actuellement.
Les opérations de relogement se poursuivront sans relâche», a assuré le wali d’Alger lors de son intervention, hier, à l’occasion de la session ordinaire de l’assemblée de wilaya. «Les opérations de relogement ont commencé en 2010 et se poursuivront. La wilaya a distribué ces dernières semaines 2030 logements, dont 500 durant les derniers jours. Il y en aura d’autres», promet le wali, Mohamed Kebbir Addou sans donner, toutefois, d’échéance pour les prochaines opérations. Des sources parlent du lancement d’opérations de relogement au profit des habitants de Diar El Baraka et Diar Echms à la veille du Ramadhan ou à la rentrée sociale, en septembre.
Des mouvements de protestation ont marqué chaque opération d’affichage des listes, comme hier à l’APC d’Alger-Centre où des «recalés» ont «soupçonné l’existence sur les listes de personnes qui ne sont pas originaires des quartiers».
Prenant le contre-pied de nombreux postulants, M. Addou assure, la main sur le cœur, que les opérations se sont déroulées dans des «conditions acceptables». «Sur les 1844 recours déposés, nos services ont rendu justice à 182 familles.» «Si des noms de personnes qui ne méritent pas un logement figurent sur les listes, qu’on me les donne et je prendrai les mesures qui s’imposent.» M. Addou a annoncé d’autres opérations qui permettront de «reloger tous les Algérois qui réclament un toit». «68 000 logements, tous types confondus, sont en cours de construction (47 000 pour le social et 21 000 pour le LSP). La plus grande partie sera prête en octobre et novembre prochains. S’y ajoute le quota de 45 000 logements accordé à Alger dans le cadre du plan quinquennal 2010-2014. Les études pour la réalisation de ces logements sont en cours et le lancement des travaux se fera à la fin de l’année en cours ou au début de l’année 2012», a indiqué le wali, qui insiste sur l’effort fourni par la wilaya : «En 4 ans, nous réaliserons 120 000 logements pour un nombre actuel de demandes de 108 000. L’offre dépassera la demande, les citoyens doivent avoir de la patience. Celui qui a déposé un dossier et qui mérite bénéficiera à coup sûr d’un logement. Nous y tenons.»
Le programme touchera les habitations précaires dont les occupants résidaient sur les sites avant 2007, les immeubles menaçant ruine, les douérates de La Casbah mais aussi les chalets. 620 chalets ont été déjà vidés, ce qui permettre de dégager 12 sites, l’équivalant de 5 hectares. Les espaces dégagés serviront pour la construction de logements. Le chef de l’exécutif a été vivement interpellé par les élus de l’APW sur l’informel qui prend des proportions importantes depuis quelques mois. «Il y a une volonté ferme des autorités d’éradiquer graduellement l’informel. La rue Bab El Oued, à la Basse Casbah, habituellement encombrée, a été dégagée. Sauf qu’il faut toutefois savoir qu’on ne peut en finir en un tour de main avec les revendeurs dont le nombre est de 9000», constate M. Addou. S’agissant de l’opposition à la construction d’un parking à étages au bois des Pins, à Sidi Yahia, le wali soupçonne des parties d’être derrière la «fronde» menée par des habitants du quartier.
«Un travail de proximité a été mené au tout début en direction de la population. Le bois que certains veulent défendre n’est qu’un petit maquis. Ce ne sont pas tous les habitants qui sont contre le projet. Des jeunes surexcités sont téléguidés par certaines personnes qui ne s’opposeraient pas à la réalisation d’une coopérative à cet endroit», soutient le wali. (El Watan-30.06.2011.)
**L’EPIC Netcom écorchée par le wali
Le wali d’Alger s’en est pris à certains administrateurs qu’il a accuse d’incompétence, tirant à boulets rouges sur les responsables de Netcom. «L’opération de nettoyage à Alger a connu un coup de frein. Ce n’est pas en raison de l’absence de ressources financières : 117 milliards de centimes sont restés, depuis 4 ans, dans les caisses de l’entreprise Netcom. Des opérations d’acquisition ont été engagées en gré à gré avec la SNVI, mais des camions sont toujours dans les parcs sans que l’EPIC les utilise. Qu’on ne vienne pas me dire que c’est la faute à la commission des marchés publics. Cette commission travaille selon la réglementation», s’est emporté Mohamed Kebbir Addou, qui s’est engagé, au début de sa prise de fonction en 2004, à «prendre en main personnellement l’aspect hygiène» dans la capitale.
*Le métro d’Alger opérationnel le 1er novembre prochain
Sujet de polémique par excellence, le métro d’Alger fait encore du bruit avant même sa mise sur rails. Les nombreuses dates annoncées pour son exploitation dépassent même le nombre de stations prévues dans la ligne 1. Après les dates controversées annoncées par le Premier ministre Ahmed Ouyahia, Amar Tou, ministre des Transports et la Ratp, c’est au tour de la wilaya d’Alger d’apporter de l’eau au moulin.
Selon les responsables de cette dernière, la mise en exploitation du métro d’Alger aura lieu le 1er novembre prochain. Il sera mis en service, selon cette source, à l’occasion de la célébration du 57e anniversaire du déclenchement de la glorieuse guerre de Libération nationale. Selon les responsables au cabinet du wali qui ont exposé, hier, le bilan annuel des activités de la wilaya d’Alger, à l’occasion de la session ordinaire de l’APW (juin 2011), il a été signifié que le métro d’Alger verra officiellement le bout du tunnel dans quatre mois.
Pour les Algériens, Algérois notamment, ce n’est qu’une date de plus pour amplifier la polémique.
La Ratp, entreprise française chargée de l’exploitation du métro d’Alger, avait jugé impossible sa mise en service avant le mois de décembre prochain.
Les responsables de l’entreprise française avaient affirmé que la mise en service pourrait intervenir au premier trimestre de l’année prochaine. Or, Amar Tou avait annoncé la date du 31 octobre pour le lancement officiel.
En attendant la date exacte, les Algérois sont ballottés entre la galère des bus et le diktat des chauffeurs de taxi. Par la même occasion, il a été annoncé la réception prochainement, de cinq grands parkings automobiles. Il s’agit de ceux d’El Biar, Kouba, Hydra, Sidi M’hamed et El-Madania. Ces parkings de plusieurs étages et d’une capacité globale de 3578 places, seront réalisés dans un délai ne dépassant pas les 20 mois.
En ce qui concerne la circulation routière, 100 carrefours seront équipés en feux tricolores. Dans le domaine du logement, environ 6144 unités ont été réceptionnées en 2010, alors que les travaux pour la construction de 1270 logements ont déjà débuté. Concernant les opérations de relogement, il a été annoncé que 10.000 familles ont été relogées en 2010. Cette opération a permis aux autorités locales de démolir 34 bidonvilles à Alger-Centre, de fermer 12 sites de chalets ainsi que de restaurer plusieurs bâtisses menaçant ruine. Toutes ces opérations ont contribué à la récupération de 167 hectares. En ce qui concerne les perspectives dans ce domaine, 84.556 logements sont en cours de réalisation jusqu’au 1er janvier de l’année en cours. Pour le volet relatif au commerce, les rédacteurs du rapport se sont étalés sur les marchés informels au niveau de la capitale. Parmi les 28 marchés de proximité réceptionnés par les services de la wilaya d’Alger, 21 ne sont pas exploités pour des contraintes diverses, note le document. 65 autres marchés de proximité sont inscrits dans le prochain programme. En outre, 65 marchés informels ont été recensés et 52 ont été éradiqués. (L’Expression-30.06.2011.) **Coup de starter pour le tram C’est parti pour le tramway d’Alger.
Le coup de starter du premier tronçon reliant Bordj El Kiffan à Bab-Ezzouar est prévu pour demain. Composé de 13 stations, le tronçon Bordj El Kiffan/Cité Zerhouni Mokhtar long de 7,2 km en double voie, est doté de 12 rames, qui transporteront quotidiennement entre 10 000 et 15 000 personnes. Une rame est prévue toutes les 12 minutes. La circulation des rames commencera à 6h 00 et prendra fin à 21h 00. Le tarif du ticket a été fixé à 20 DA. L’exploitation commerciale du tramway d’Alger a été confiée à l’Entreprise de transport urbain et suburbain d’Alger (Etusa). Notons que cette mise en service a été précédée par plusieurs essais techniques et par une marche à blanc (circulation permanente des rames sans voyageurs) qui a duré 20 jours. le ministre des Transports, Amar Tou assura que «des mesures ont été prises en collaboration avec les autorités locales, pour assurer les usagers du tramway». Il expliquera, dans cette optique, que de nombreux services de la wilaya entre autres, la Dgsn, la Protection civile, Sonelgaz, ainsi que Algérie Télécom, ont été mobilisés pour permettre aux riverains de se familiariser avec ce nouveau mode de transport en toute sécurité. L’Entreprise de transport urbain et suburbain d’Alger (Etusa), chargé de l’exploitation, déploiera, de son côté, des agents de sécurité tout le long des quais et à l’intérieur des rames, en complément des dispositifs d’ordre public prévus au niveau des carrefours et autres croisements entre les voies du tram et les routes. Le ministre a rappelé, dans ce contexte, qu’une campagne de sensibilisation a été menée par l’Entreprise Métro d’Alger (EMA) et l’Etusa pour impliquer les habitants des localités de Bab-Ezzouar et de Bordj El Kiffan dans la préservation du tramway. S’agissant maintenant de l’impact de ce nouveau mode de transport, Tou a affirmé qu’il sera d’un apport considérable pour soulager une ville qui souffre, depuis des décennies, d’un épineux problème de congestion de la circulation routière. D’un coût global de 35 milliards de dinars, le tramway d’Alger comprend 38 stations allant de la rue des Fusillés (El annasser) jusqu’à Bordj El Kiffan (banlieue- est) soit une distance de 23,2 km. Une fois réceptionné, ce dernier assurera quotidiennement le transport de 185 000 voyageurs. Outre le tracé initial du projet, le tramway d’Alger comprend aussi des extensions comme celle qui reliera le futur pôle multimodal (station où le voyageur peut trouver différents moyens de transport en commun) de la rue des Fusillés à Bir Mourad Raïs, un autre quartier du centre d’Alger. L’appel d’offre relatif à l’étude de faisabilité a été lancé récemment pour la concrétisation de cette extension. Le tramway d’Alger est réalisé par les entreprises :Alstom (France) pour la partie système ainsi que Todini (Italie) et Etrhb (Algérie) pour la partie génie civil. Soulignons que sur les 17 projets de tramways prévus à travers le pays, 3 sont en cours de réalisation à savoir ceux d’Alger, Oran et Constantine, 6 en phase d’attribution des études de détails et 8 en cours d’étude de faisabilité. Les six wilayas, dont les études de détails sont en cours d’attribution au niveau de la Commission nationale des marchés sont Sétif, Ouargla, Annaba, Batna, Mostaganem et Sidi Bel Abbes. (Le Courrier d’Algérie-07.05.2011.)
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