41.Médias-internet-infos
*L’accès aux sites pornos interdit en Tunisie
La justice tunisienne a confirmé l’interdiction d’accès aux sites pornographiques sur internet, déboutant la demande de l’Agence tunisienne de l’internet (ATI) de sursoir à l’exécution d’un jugement de première instance, a indiqué à l’AFP l’avocat Moneem Turki. »La cour d’appel a confirmé la décision de première instance pour obliger l’ATI, en sa personne juridique, à censurer tous les sites à caractère pornographiques », a-t-il précisé.
« En dépit du fait que l’avocate de l’ATI a versé dans le dossier des preuves démontrant que l’agence n’avait pas les moyens financiers et techniques pour appliquer le jugement, la Cour d’appel nous a donnés raison », a ajouté Me Turki l’un des trois avocats plaidant pour la fermeture des sites pornographiques.
Fin mai, le tribunal de première instance de Tunis avait ordonné à l’ATI de bloquer l’accès à tous les sites à caractère pornographiques, à la suite d’une plainte de 3 avocats, pour qui ces sites présentaient un danger pour la jeunesse et étaient contraires aux valeurs musulmanes.
L’ATI avait alors fait appel du jugement. « Je ne vais plus filtrer et je refuse d’avoir du matériel de filtrage chez moi », avait déclaré le dirigeant de l’ATI Moez Chakchouk, dans des propos rapportés par plusieurs sites internet tunisiens. »Nous avons simplement demandé à protéger nos enfants, s’ils veulent découvrir le monde du sexe qu’ils le fassent de manière saine et à partir d’une certain âge », a affirmé Me Turki.
L’ATI annonce qu’elle déposera un recours devant la cour de cassation mais selon Me Turki « la cassation n’a pas d’effet suspensif et donc l’ATI est obligée d’appliquer dès maintenant la décision de la Cour d’appel. (AFP-15.08.2011.)
*Facebook, le site qui vaut 50 milliards de dollars
Le site de socialisation Facebook a révélé vendredi qu’il venait de lever 1,5 milliard de dollars, dont 1 milliard auprès de clients de la banque d’affaires Goldman Sachs hors Etats-Unis. « Facebook annonce qu’il a levé 1,5 milliard de dollars au cours d’une opération le valorisant à 50 milliards de dollars environ », indique le géant internet dans un communiqué. A ce niveau de valorisation, il s’agirait de l’une des plus importantes mises sur le marché dans le secteur technologique de l’histoire boursière américaine.Facebook a ainsi levé le voile sur des informations qui avaient circulé dans la presse financière ces dernières semaines, provoquant une polémique et une enquête des autorités boursières sur son offre privée, qui est susceptible d’enfreindre la réglementation boursière américaine.Face à cette polémique et au risque juridique, Goldman Sachs avait annoncé lundi qu’il renonçait à placer des actions Facebook auprès de clients américains, au risque de mécontenter nombre d’entre eux. « La transaction a consisté en deux parties : une offre sursouscrite aux clients hors Etats-Unis, au sein d’un fonds qui a investi 1 milliard de dollars dans des actions Facebook ordinaires », indique le communiqué. L’autre opération a été effectuée en décembre. L’actionnaire de Facebook « Digital Sky Technologies (DST), Goldman Sachs et un fonds géré par Goldman Sachs ont investi 500 millions de dollars dans d’autres actions ordinaires pour la même valorisation », détaille le communiqué.Facebook a ainsi levé le voile sur des informations qui avaient circulé dans la presse financière ces dernières semaines, provoquant une polémique et une enquête des autorités boursières sur son offre privée, qui est susceptible d’enfreindre la réglementation boursière américaine. Face à cette polémique et au risque juridique, Goldman Sachs avait annoncé lundi qu’il renonçait à placer des actions Facebook auprès de clients américains, au risque de mécontenter nombre d’entre eux. « La transaction a consisté en deux parties : une offre sursouscrite aux clients hors Etats-Unis, au sein d’un fonds qui a investi 1 milliard de dollars dans des actions Facebook ordinaires », indique le communiqué. L’autre opération a été effectuée en décembre. L’actionnaire de Facebook « Digital Sky Technologies (DST), Goldman Sachs et un fonds géré par Goldman Sachs ont investi 500 millions de dollars dans d’autres actions ordinaires pour la même valorisation », détaille le communiqué.Le groupe, fondé en 2004, a également dit qu’il commencerait à publier des comptes financiers au plus tard d’ici le 30 avril 2012, ce qui peut être interprété comme un premier pas vers une introduction en Bourse. Le site compte plus d’un demi-milliard d’utilisateurs et concurrence directement les portails internet tels que Google et Yahoo dans l’obtention de recettes publicitaires.(LeMonde-22.01.2011.)
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** Le succès d’audimat..**
Le succès d’audimat des chaînes de télévision d’outre-mer n’est pas seulement dû au talent ou aux moyens déployés par les entreprises de production mais aussi, et surtout grâce à l’esprit d’ouverture et à la liberté dont jouissent les producteurs, les animateurs et les divers intervenants même si l’on décèle ici et là un coup de pouce du pouvoir pour inciter ses laudateurs à confectionner des émissions sur mesure pour influer sur des sondages désavantageux. Il va de soi que les téléspectateurs qui ont les moyens techniques et culturels d’appréhender ces chaînes ne se risqueront pas à user ce qui reste de leurs nerfs à essayer de suivre des programmes dont le ton n’a pas changé depuis près de cinq décennies, si l’on excepte les quelques rares débats qui ont vite tourné à la parodie lors de l’ouverture Hamrouche, débats folkloriques dénaturés par la pression de l’extrémisme qui faisait la loi dans la rue et dans les mosquées.
C’est en regardant ceux d’en face débattre de leurs problèmes que, frustrés, nous vivons les nôtres sans pouvoir les discuter de vive voix avec les représentants des institutions concernées et que les articles publiés dans les journaux dits libres sont comme des bouteilles jetées à la mer…
Alors que des débats sans fin sont organisés sur tous les thèmes possibles, qu’ils soient d’ordre politique, économique et culturel, les représentants de la société civile, des syndicats, de la presse, du patronat, du Parlement et des institutions officielles, s’affrontent inlassablement tous les jours pour attirer un électorat capricieux et exigeant d’un côté ou de l’autre du pouvoir en place.
Ici, nous assistons impuissants à une lente et continuelle dégradation de l’environnement, tous secteurs confondus, sans qu’il y ait un possible recours et la dernière loi sur le nouveau Code communal vient de balayer les derniers espoirs qu’avaient fait naître des promesses de changement. Qui dit changement dit évidemment amélioration des rapports entre les administrés et les administrateurs. Or, la nouvelle loi portant sur le Code communal a été préparée bien avant ce fameux Printemps arabe qui ouvre toutes les écluses…La commune étant la cellule de base du découpage territorial, il importe que le président d’APC et tout son conseil aient les prérogatives et les moyens pour résoudre les problèmes de la vie quotidienne de citoyens qui se sentent abandonnés par l’Etat. La responsabilité des élus municipaux, dans une démocratie qui se respecte, ne s’exerce pas seulement sur le foncier, la voirie et l’état civil, comme cela a été vu dans le passé, mais dans l’organisation de la vie quotidienne des citoyens. Dans les communes du Grand-Alger, combien de citoyens peuvent dire qu’ils connaissent leur maire dès l’instant où sa photo a été retirée des panneaux électoraux? Combien de fois peut-on rencontrer «son»maire, marcher à pied dans une rue de «sa» ville, demandant, s’enquérant auprès des quidams ou des commerçants de la qualité des services ou des nuisances possibles? C’est une autre mentalité! Il y a des APC où il faut traverser deux barrages d’appariteurs avant d’accéder à un bureau où une secrétaire autoritaire trône et vous soumet à un questionnaire avant de vous expédier dans une pièce pour ronger votre frein. Vous avez alors le loisir d’observer un incessant va-et-vient de gens qui n’ont pas besoin de rendez-vous pour voir l’homme invisible et d’écouter des conversations téléphoniques qui en disent long sur la charge de l’agenda du premier élu. Dans les communes de plein droit, le maire s’enquiert des conditions de scolarité des enfants de ses administrés, de l’état des routes et de la sécurité routière sur le territoire de sa compétence, de l’hygiène publique et des fonctionnements des établissements de proximité comme ceux de la santé et des transports. Il est le premier à attirer l’attention les pouvoirs publics sur les dangers liés à l’insécurité et à la délinquance… Un maire issu d’élections transparentes a droit à tous les égards et à toute la confiance jusqu’à preuve du contraire..(L’Expression-26.05.2011.)
********************** *Facebook veut modérer la liberté d’expression sur son réseauQuelle ironie. Facebook, érigé en outil et média des révolutions (ou de chaos) dans le monde arabe, envisage de censurer des contenus dans certains pays, selon Gawker. Le site américain rapporte: «Alors que le réseau social s’apprête à s’étendre en Chine, et commence des discussions avec des «partenaires» chinois — autrement dit des tentacules du gouvernement autoritaire—leur lobbyiste Adam Conner a expliqué au Wall Street Journal, ‘Nous bloquerons peut-être du contenu dans certains pays et pas d’autres»… Nous sommes parfois mis dans une position délicate, parce que peut-être que nous permettons parfois une trop grande liberté d’expression, dans des pays qui n’y sont pas habitués». (20Minutes-21.04.2011.)**************L’Inde veut bloquer le .xxx
Les autorités indiennes ont l’intention de bloquer les noms de domaine avec l’extension .xxx, qui vient d’être autorisée par l’Icann, rapporte, jeudi 24 mars, The Economic Times. « L’Inde et de nombreux pays du Moyen-Orient se sont déjà opposés à l’octroi de cette extension, et nous allons procéder un blocage de tout le nom de domaine, conformément aux lois indiennes », explique un responsable du ministère des télécommunications, cité par le quotidien. L’organisme chargé de réglementer les noms de domaine du Web, l’Icann, a annoncé la semaine dernière la création d’adresses avec le suffixe .xxx, pour les sites à contenu pornographique. Lors d’une réunion publique annuelle de son conseil d’administration à San Francisco, l’Icann a approuvé une pétition en faveur du nom de domaine en .xxx, qui avait été rejetée il y a cinq ans, mais faisait depuis lors l’objet d’une procédure d’appel.Pendant des années, le nom de domaine .xxx, qui concurrencera le plus classique .com qu’utilisent la plupart des sites à but lucratif, n’a pas fait l’unanimité, notamment au sein du Governmental Advisory Committee (GAC), comité consultatif international qui représente les Etats au sein de l’Icann.Il en va de même au niveau de l’industrie de la pornographie. Une association du secteur, la Free Speech Coalition (FSC, « coalition pour la liberté d’expression ») avait organisé une manifestation pour protester contre cette nouvelle extension. « Nous sommes déçus mais pas surpris par la décision du conseil d’administration de l’Icann », a commenté la directrice exécutive de la FSC, Diane Duke, indiquant qu’elle entendait encore se battre contre cette initiative, et dissuader les studios d’acquérir des adresses en .xxx.En Inde, certains acteurs des nouvelles technologies promettent également des batailles juridiques. « Si le gouvernement peut bloquer l’accès aux sites en .xxx, ces mesures peuvent aussi être contestées devant les tribunaux », explique le consultant Vivek Sood, cité par The Economic Times. (Le Monde avec AFP-24.03.2011.)
***Après plus de dix ans de débats houleux, les premiers sites en .xxx, le nom de domaine destiné aux sites pornographiques, ont été lancés, ce week-end. Le nouveau nom de domaine a été ajouté vendredi à la racine d’Internet, un mois après l’approbation du .xxx par l’Icann, l’organisme qui gère le Réseau.
Selon ICM, l’entreprise chargée de la gestion du .xxx, près de 600 000 noms de domaine ont d’ores et déjà été réservés. La quasi-totalité des adresses n’hébergent pour l’instant pas de sites ; la plus emblématique d’entre elles, sex.xxx, est par exemple utilisée par ICM.
Très critiqué à la fois par des associations antipornographie qui y voient une incitation et par les professionnels du secteur, qui craignent que ce domaine ne soit bloqué dans certains pays, le .xxx a fait l’objet d’un long débat. Des pays comme l’Inde ont annoncé leur intention de bloquer l’ensemble du domaine – ce qui est techniquement beaucoup plus simple que de filtrer des sites en fonction de mots-clefs ou de listes noires.
Il n’y aura cependant pas d’obligation pour les sites pornographiques d’être hébergés sur un site en .xxx. ICM estime que ce domaine, en permettant d’identifier clairement des sites à contenus interdits aux mineurs, permettra d’éviter aux internautes de tomber sur ces sites par hasard tout en offrant aux consommateurs des sites classés X respectant un certain nombre de principes, notamment des garanties en termes de protection de l’enfance, de droits d’auteur ou de la vie privée des internautes.
Il faudra cependant attendre plusieurs mois pour voir si le nouveau domaine remporte l’adhésion de l’industrie du X – et des consommateurs. Les premières réservations de noms de domaines sont nombreuses, mais correspondent aussi à une « ruée vers l’or » spéculative, les noms de domaines les plus prisés pouvant atteindre des valeurs extrêmement importantes. Sex.com, la plus emblématique des adresses pour adultes, a été revendu fin 2010 pour 9 millions d’euros. (Le Monde-18.04.2011.)
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Google Music pour bientôt?
Le service de musique en ligne de Google, on en parle depuis octobre 2009. Il semblerait toutefois que la firme soit sur le point de concrétiser son projet. Google testerait actuellement en interne son service de streaming de musique, affirme lundi Cnet France.«Google compte non seulement vendre de la musique mais aussi offrir aux utilisateurs la possibilité de stocker leur musique existante sur un espace en ligne afin de pouvoir la lire depuis n’importe quel appareil mobile connecté», selon le site qui précise que «le système serait déjà techniquement viable.» Objectif: concurrence Apple et son iTunes Music Store, leader sur le marché.Reste à Google un défi de poids: boucler des accords avec les principaux labels de musique. Des négociations qui, si elles s’apparentent à celles menées avec les éditeurs français pour sa librairie en ligne, risquent de prendre de longs mois. (20Minutes-28.03.2011.)
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*APRÈS LA MISE EN ORBITE DE KA-SAT
Fawri sur les traces d’Asila?
Voilà un système qui va révolutionner aussi bien la téléphonie, Internet et la télévision. Au moment où la planète s’apprêtait à enterrer 2010, les Européen ont lancé un satellite Ka-Sat qui offre Internet à très haut débit à seulement, 4000 chaînes de télévision et le téléphone gratuit et illimité, le tout pour seulement 20 euros par mois.
Le système sera opérationnel à partir du mois de mai prochain. En effet, Eutelsat, premier opérateur européen de services fixes par satellite, a mis sur orbite son nouveau satellite, Ka-Sat. Ce dernier permet de se connecter en très haut débit depuis n’importe quel point d’une vaste zone, englobant l’Europe et l’Afrique du Nord. Ainsi, ce service qui atteint un débit total de 70 Gbits/s, pourra desservir jusqu’à un million de foyers, avec un débit de 9 à 10 Mbits/s. En utilisant jusqu’à 20 fois une même bande sur des zones géographiques distinctes. Ce service permettra même de couvrir les zones rurales ou en périphérie d’agglomérations restant à l’écart des réseaux terrestres à haut débit, plus communément appelées «zone blanche». De ce fait, les algériens pourront, grâce à ce satellite, se connecter même au…fin fond du désert! Plus besoin de supplier pour avoir une ligne téléphonique. Car ce système fonctionne tout simplement gràce à une petite antenne parabolique installée à l’extérieur de la maison, reliée à un modem satellite spécial «Tooway». Le prix de cette nouvelle formule n’a pas été officiellement communiqué, mais il pourrait avoisiner les 20 euros par mois pour une connexion de 10 fois supérieure à la maximale disponible sur le marché qui est au même prix. Il faut s’attendre à un pullulement de réseaux de vendeurs au noir de cet abonnement qui n’est disponible pour le moment qu’en Europe. Il se pourrait donc qu’un nouveau genre de parabole recouvre les façades de nos immeuble, comme cela a été le cas en 1989 avec l’apparition de la parabole analogique. Les paraboles ont de ce fait la…carcasse dure avec ce nouveau système.
Le marché des assiettes paraboliques ne sera que plus florissant. Les projets de lois, les décisions gouvernementales, les promesses d’éradiquer ces «champignons» qui garnissent nos immeubles risquent d’être sans aucun effet. Il ne faudra pas s’étonner donc de voir Tooway inonder le marché noir algérien. Comme c’est le cas avec les «décodeurs» très prisés. Puisque cette nouvelle formule constituera une solution alternative aux citoyens, accros à la télévision. En effet, en plus de fournire un débit de connexion jusque-là inexistant dans notre pays, Ka Sat dispose d’un bouquet TV de plus, de 4000 chaînes. En plus, la téléphonie «illimitée» par Internet est également disponible. Quand on connaît la tarification exorbitante des appels internationaux, on est sùr que le citoyen lambda se précipitera sur cette offre. Contacté par l’Expression les importateurs de ce genre d’appareils électroniques disent «ne pas être au courant de cette offre». Mais ils affirment à l’unanimité que «si cette info est vérifiée, on ne se fera pas prier pour l’importer…». Un de ces importateurs confirme que «par expérience dans le domaine, je peux vous assurer que ce produit sera l’attraction de l’été prochain». Il ajoute que tout ce qui touche à l’Internet, la télévision, et la téléphonie est «très demandé et de ce fait très rentable. Alors trouver une offre qui les regroupera tous les trois…ce sera la totale». On constate que même sans le vouloir Ka-Sat est un conccurent très sérieux pour les deux filiales d’Algérie poste à savoir celle de la téléphonie fixe et de l’Internet. Surtout que ce dernier est d’une qualité «pitoyable».
Alors qu’attend, la compagnie historique pour s’associer à Eutelsat tel que le fait SFR en France, Telecom Italia, Fastweb en Italie, Telia Sonera en Europe du Nord ou Swisscom en Suisse.
Surtout que cette nouvelle technologie lui permettra de se débarrasser de ce câble sous-marin à fibre optique qui se fissure chaque hiver et déconnecte tout le pays du reste du monde. Mais pas seulement, elle peut aussi avoir l’exclusivité du Maghreb, et ainsi toucher les marchés extérieurs. Ce qui permettra de redynamiser l’entreprise en lui donnant une autre dimension.(L’Expression-03.01.2011.)
**L’Internet qui «tombe» du ciel!
L’information est de taille. Un satellite assez particulier, KA-SAT, a été lancé, le 26 décembre dernier, à partir de Baïkonour au Kazakhstan. C’est un satellite d’Eutelsat spécialisé pour l’Internet par satellite. Si on connaissait déjà la connexion Internet par satellite unidirectionnel (connexion avec liaison terrestre), cette fois, il s’agit de quelque chose de plus révolutionnaire. Il s’agit de connexion Internet à haut débit bidirectionnel (émission/réception) par satellite. Les débits peuvent aller jusqu’à 10 Mb/s en réception et 4 Mb/s en émission. Ce n’est pas tout. KA-SAT couvre l’Europe et le Maghreb. Il sera opérationnel, après les tests en cours, vers la fin du mois d’avril prochain. Le kit de réception est déjà connu. Une parabole ou assiette, une tête spécifique (LNB) et un modem à raccorder directement sur l’ordinateur. Les distributeurs en Europe sont connus. Chez nous ils ne le sont pas encore. Il en coûtera à peu près 300 euros pour le matériel et un abonnement d’environ 30 euros mensuellement. Quoi qu’il en soit et avec ou sans distributeur local, il y a fort à parier que le Tooway (solution pour l’accès à Internet à haut débit par satellite en bidirectionnel) fera son apparition dans notre pays aussitôt lancé. On verra se développer de nouvelles paraboles aux façades des immeubles. Ce qui nous rappelle la fièvre de 1989 de la télévision par satellites. Une nouvelle poussée de fièvre pour Tooway est quasiment inévitable dans notre pays devant la faiblesse de l’offre Adsl et les prix qui refusent de se démocratiser. Sans compter la faiblesse du débit. On verra alors s’établir, soit des distributeurs officiels au label d’Eutelsat, soit des points de vente des kits piratés, flashés, craqués, rechargés, décodés et on en passe. Ce dont il faut être sûr est que ce satellite de connexion Internet bidirectionnel va poser de sérieux problèmes à l’entreprise publique Algérie Télécom qui, si elle n’y prend garde, n’échappera pas, à terme, à mettre la clé sous le paillasson. Le procédé bidirectionnel utilisé par KA-SAT est le même que pour Viasat qui entrera en fonction au printemps dans l’espace nord-américain. C’est dire que nous sommes face à un procédé mondial de nouvelle génération. Un peu comme lors du passage de l’analogique au numérique. Et si Eutelsat, entreprise dont l’Etat français possède près de 26% d’actions, a prévu «d’arroser» le Maghreb, ce n’est pas involontaire. C’est une révolution qui aura pour résultat de supprimer l’obligation d’une ligne de téléphone fixe pour avoir l’Internet à haut débit. On pense à Algérie Télécom qui comptait sur l’Adsl pour maintenir en vie son réseau filaire. On pense également à tous les plans en cours d’étude pour débarrasser nos immeubles des assiettes de réception TV qui voient arriver de nouvelles assiettes pour l’Internet. On pense à l’inutilité des systèmes actuels de contrôle du flux d’informations provenant de la Toile. On pense à toute la stratégie péniblement mise en place pour lutter contre la cybercriminalité qu’il faudra revoir. On pense à cette dangereuse dépendance d’un satellite fait pour durer 16 ans. On pense aussi que, devant tous ces questionnements, les responsables d’Eutelsat font tout pour ne pas les aborder. Pour eux, l’objectif n’est rien d’autre que d’offrir la connexion Internet aux quelque 16 millions d’Européens qui sont dans des régions désignées «zones blanches» c’est-à-dire les zones rurales sans accès possible à l’Adsl terrestre. On pense enfin que nous avons devant nous 3 ou 4 mois pour nous préparer à recevoir cette nouvelle technologie. Et qu’il faut nous y préparer sérieusement. Avant que le ciel ne nous «tombe» sur la tête. (L’Expression-03.01.2011.)
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**Facebook dévoile sa nouvelle page «profil»
le profil de l’utilisateur est étoffé avec plus de photos
La nouvelle page profil de Facebook, lancée le 5 décembre 2010 DR
INTERNET – Axée sur les photos, la nouvelle maquette offre une navigation plus claire mais pas révolutionnaire pour autant…
Facebook vous expose de plus en plus. Le réseau social a lancé dimanche (05.12.2010.) une page «profil» au nouveau design qui dévoile encore plus d’informations sur soi que la version précédente.
Plus de photos
Ainsi le profil de l’utilisateur est étoffé, avec une brève présentation de soi (employeur, études suivies, date de naissance, ville où l’on habite…). Mais le principal changement réside dans les photos, volontairement mises en avant par Facebook.
Juste en dessous des deux lignes de présentation apparaît une série de photos où l’utilisateur a été tagué. En clair, même les photos de vous complètement ivre et à quatre pattes, ces images honteuses que vous espériez ne JAMAIS voir sur Facebook, seront accessibles encore plus facilement qu’avant. Pire: vous les découvrirez en même temps que tous vos amis (commencez à faire le tri dans vos connaissances) et devrez vous détaguer aussi vite que l’éclair pour espérer qu’elles échappent à la vigilance de vos contacts. Heureusement, Facebook a tout de même prévu la possibilité de masquer les photos en cliquant dessus.
Réseau pro?
Autre changement: la possibilité de détailler davantage son parcours professionnel et d’identifier les amis avec lesquels on a travaillé. Une fonctionnalité qui n’est pas sans rappeler celle des réseaux sociaux dits professionnels type Viadeo ou LinkedIn. Facebook reluquerait-il de ce côté pour grignoter des parts de marchés? A suivre.
Enfin, le menu à gauche est simplifié pour faciliter la navigation. Résultat: si la page centrale «explose» d’informations, les colonnes de gauche et de droite semblent bien vides. (20Minutes-06.12.2010.)
*États-Unis: les médias sociaux expliqués aux soldats
Agence France-Presse (Washington)
21 janvier 2011 |
Les soldats américains sont encouragés à utiliser les réseaux sociaux sur internet, comme Facebook ou Twitter, même lorsqu’ils sont en opération mais doivent respecter des règles de sécurité élémentaires, selon un guide de bonnes pratiques dévoilé cette semaine.
Le manuel d’utilisation des réseaux sociaux de l’armée de Terre est publié pour les soldats comme les chefs d’unité afin d’essayer de canaliser l’utilisation grandissante des réseaux sociaux par de jeunes militaires friands d’internet.
«Nos adversaires surveillent les réseaux sociaux, les blogs et les forums, à la recherche d’informations sensibles qu’ils peuvent utiliser contre nous. Il est donc impératif que tous les soldats et membres de leurs familles comprennent l’importance des mesures de sécurité lors des opérations», est-il écrit dans le manuel.
Les militaires et leurs familles doivent donc se garder dans leurs échanges de toute mention de grade, de localisation de l’unité, de dates de déploiement ou portant sur le type d’équipements déployés.
Écrire «ma famille est d’Edwardsville, Illinois» est «dangereux» selon le manuel. Il plus sûr d’écrire une formule moins précise comme «je viens du Midwest», préconise par exemple le manuel.
Mis en garde contre le téléchargement illégal de musique ou de vidéos, les militaires sont également invités à désactiver les fonctions de géolocalisation dont sont dotés les téléphones et qui permettent, comme sur Facebook ou Gowalla, de savoir où se trouve son interlocuteur.
En novembre, l’armée de l’Air avait également mis en garde contre les risques des données de géolocalisation.
Le manuel préconise d’y regarder à deux fois avant de mettre en ligne des photos personnelles qui pourraient constituer une mine d’informations pour l’ennemi.
S’il elle ne les y oblige pas, l’armée de Terre encourage les chefs d’unité à utiliser les réseaux sociaux pour ne pas se couper de leurs hommes. L’exemple vient d’en haut: le plus haut gradé de l’armée américaine, l’amiral Mike Mullen, est un grand utilisateur de Twitter et de Facebook.(cyberpresse-Canada.21.01.2011.)
*Le « Hacker de Maghnia » pourchassé
Il est connu sous le sobriquet de « Hacker de Maghnia » Le jeune de 28 ans, qui a quitté l’Algérie il y a quelques mois pour des raisons qu’il étalera ci-dessous, reconnaît que « j’ai fait péter plusieurs serveurs d’entreprises belges, françaises et des Etats-Unis d’Amérique. J’ai reçu beaucoup d’argent, mais l’une d’elles en Belgique, m’a proposé de faire éclater le serveur d’une institution étatique, je l’ai fait, mais j’avais demandé plus d’argent, ils ont refusé et c’est à partir de ce moment que cette entreprise a porté plainte pour escroquerie. Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait avant de me payer ? » S’interroge-t-il.
A. N qui sait être pourchassé par toutes les polices du monde, ce qui explique les multiples identités derrière lesquelles il se cache, dit avoir été approché par les services du Mossad en Tunisie « Le 14 mars 2009, les services israéliens m’ont, en effet, approché pour me recruter (…) je me suis débrouillé pour leur fausser compagnie, je suis en vie et c’est l’essentiel».
Le hacker a ricané quand un site d’information algérien l’a situé à Boston « Je ne suis pas aux Etats-Unis »
Mais, s’il s’est extirpé des griffes du Mossad, A. N révèle que des services français lui ont demandé de pirater les sites de deux journaux algériens pour publier des informations compromettantes sur de hauts responsables algériens. Pour ce faire et pour brouiller les pistes de l’origine de l’expéditeur « ces services m’ont demandé de mettre un index du Maroc pour me faire passer pour un hacker marocain… »
Le hacker, qui nous a fait une démonstration pour le piratage d’un journal algérien, promet de tout déballer pour faire éclater toute la vérité sur lui…(El Watan-05.12.2010.)
*réaction d’un internaute:
El Houari le 05.12.10 | 16h11
ALGERIAN WIKILEAKS
**ça C’EST UN SCOOP,… et dire que le gouvernement Algérien envoi ces perles se noyer en mer pour servir de repas aux poissons. Le MOSSAD, LES SERVICES FRANCAIS et les autres les traques pour les exploiter et le utilisent contre leur pays.
**Révélations ou élucubrations ?
«Contrairement à ce qu’a avancé un site d’information algérien, je ne travaille pas pour le Mossad», souligne, d’emblée, celui qui est connu sous le sobriquet de «hacker de Maghnia».
Il a fait des études en sciences humaines pour «obtenir» un diplôme de chômeur dans sa ville Maghnia, mais tout le monde reconnaît son génie en Informatique. Le jeune de 28 ans, qui a quitté l’Algérie il y a quelques mois pour des raisons qu’il expliquera, reconnaît : «J’ai fait péter plusieurs serveurs d’entreprises belges, françaises et des Etats-Unis d’Amérique. J’ai reçu beaucoup d’argent, mais l’une d’elles en Belgique m’a proposé de faire éclater le serveur d’une institution étatique. Je l’ai fait, mais j’avais demandé plus d’argent pour leur communiquer les informations qu’ils demandaient. Ils ont refusé, et c’est à partir de ce moment que cette entreprise a porté plainte pour escroquerie.»«Pourquoi ne l’a-t-elle pas fait avant de me payer ?», s’interroge-t-il.
Derrière cette entreprise économique, le hacker soupçonnait des services de sécurité. Qu’à cela ne tienne, puisque pour le «génie», seul l’argent compte et un égocentrisme surdimensionné. L’intéressé qui sait être pourchassé par toutes les polices du monde, ce qui explique les multiples identités derrière lesquelles il se cache, dit avoir été approché par les services du Mossad en Tunisie. «Le 14 mars 2009, les services israéliens m’ont, en effet, approché pour me recruter (…). Je me suis débrouillé pour leur fausser compagnie, je suis en vie, et c’est l’essentiel», dira-t-il. Le hacker a ricané quand un site d’information algérien l’a situé à Boston : «Je ne suis pas aux Etats-Unis.» Et d’ajouter : «Je ne suis pas intrigué par ces informations sur moi, la plupart sont fausses, mais qui a vendu la mèche à ce journal ou ce site d’information ? Je sais pourtant que seuls nos services de sécurité sont au courant de ce que je fais, puisque je suis recherché par toutes les polices du monde.»
Mais s’il s’est extirpé des griffes du Mossad, il révèle que des services français lui ont demandé de pirater les sites de deux journaux algériens pour publier des informations compromettantes sur de hauts responsables algériens. Pour ce faire et pour brouiller les pistes de l’origine de l’expéditeur, il poursuit : «Ces services m’ont demandé de mettre un index du Maroc pour me faire passer pour un hacker marocain…» Le hacker, qui nous a fait une démonstration pour le piratage d’un journal algérien, promet de tout déballer pour faire éclater toute la vérité sur lui. «Je détiens des milliers de documents compromettants sur des responsables algériens.
Des documents, des noms, des numéros de comptes, des numéros de cartes d’identité, des sommes dans des banques du Luxembourg, de Suisse, les noms de conseillers financiers connus…, et qu’on n’ironise pas», confie-t-il sur un ton menaçant. (El Watan-07.12.2010.)
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*Les nouveaux tarifs des offres ADSL effraient les internautes Algériens
Cher, trop cher. Tel est le leitmotiv qui revient, comme une rengaine empreinte de rage et de colère, sur les lèvres des internautes Algériens après l’annonce, toute récente, d’une nouvelle grille tarifaire par Djaweb, le fournisseur d’accès ADSL d’Algérie Télécom.
Désormais, pour une connexion d’un méga, l’Algérien doit débourser pas moins de 2200 DA par mois ! Une addition salée pour les bourses modestes qui voient là leur rêve de surfer sur le web s’éloigner de plus en plus.
En Algérie, Internet est visiblement victime d’une gouvernance à double vitesse. D’un côté, on cherche à nous faire croire que tout est fait pour démocratiser l’accès à internet, mais de l’autre, c’est tout le contraire qu’on fait puisque on impose des tarifs exorbitants aux usagers du web sans même pas daigner leur fournir la moindre explication.
Jugeons-en. Pour une connexion de 5 mégas, il faut compter sur une facture mensuelle de plus de 9000 DA ! C’est tout simplement une demande de rançon lorsqu’on compare ces prix avec ce qui se fait de mieux dans le monde aujourd’hui.
N’allons pas très loin et prenons juste l’exemple des pays voisins, qui ne sont pas forcément des pays développés, ni des pays plus riches que le notre, où la connexion internet est largement moins chère qu’en Algérie. Il n’y a carrément pas de photo si on s’amuse à comparer. Mais tentons le coup quand même.
En Tunisie, une connexion d’un 1 Mbps revient à même pas 600 DA ! Pour 4 Mbps, la facture dépasse à peine les 1000 DA ! Et pour une bonne connexion à 8 Mbps, l’internaute ne débourse de sa poche que 1500 DA ! En Algérie, avec notre cher Djaweb, pour une telle connexion, il faut mettre sur la table plus 15.000 DA par mois ! En somme, l’accès à internet est dix fois moins cher en Tunisie qu’en Algérie !
Quant au Maroc, les tarifs sont aussi abordables pour les internautes marocains. Avec moins de 2000 DA, il est possible d’avoir une connexion de 4 Mbps. Et la 8 Mbps ne dépasse jamais les 4000 DA. Là encore les chiffres sont éloquents et la comparaison donne le tournis.
Mais pour les responsables de l’Algérie Télécom, il n’y pas le moindre souci. Ces prix auraient même été étudiés pour permettre à tout le monde d’en profiter. D’ailleurs, c’est avec ces nouveaux tarifs que l’opérateur historique compte mettre en service 250 000 nouveaux accès ADSL d’ici la fin de cette année !
Sont-ils vraiment conscients de leur stratégie ? Personne ne le sait car en ces temps où les déconnexions sont encore plus fréquentes que jamais, les internautes Algériens ne savent plus où donner de la tête ! (El Watan-13.09.2010.)
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**Une déferlante de tablettes numériques
Les constructeurs misent sur le système Android pour concurrencer l’iPad.
Il y a quelques mois, quand Apple lançait son iPad, rares étaient ceux qui prédisaient un avenir radieux à la tablette numérique. L’expérience avait déjà été tentée par Intel et par Microsoft… sans vraiment séduire le public. En plus, l’iPad n’était qu’une sorte d’iPod Touch grand format, sans les fonctions habituelles d’un ordinateur. Aujourd’hui, 3 millions d’iPad vendus plus tard, c’est la ruée: coup sur coup, tous les grands noms de l’électronique se lancent dans la bataille des tablettes numériques. Et tous avec la même formule magique: l’utilisation du système d’exploitation Android de Google. Un système conçu à l’origine pour les téléphones portables et qui équipe déjà plus de 15% des smartphones. L’idée est intéressante puisque cet environnement simple, conçu pour les écrans tactiles, est sans doute le seul à pouvoir rivaliser avec celui de l’iPhone et de l’iPad. Il peut même faire mieux, notamment pour la reproduction de films, et les applications à télécharger ne sont pas soumises au bon vouloir d’une équipe comme chez Apple. Mais ces arguments suffiront-ils à développer une véritable concurrence ? Réponse en 2011, l’année de toutes les tablettes. En attendant, voici les principales forces en présence.
SAMSUNG GALAXY TAB : VIDÉO, TÉLÉPHONIE ET LIVRES
Un format allongé (19×12 cm) et un poids plume (380 g, soit moitié moins que l’iPad): la tablette de Samsung se révèle particulièrement agréable à utiliser et très fluide dans ses défilements. Son écran de 7 pouces (1024 x 600) peut afficher des films en HD. D’ailleurs, l’appareil reconnaît à peu près tous les formats vidéo (DivX, XviD, MPEG4, H.263, H.264). Le navigateur Web, lui, lit les fichiers en Flash à la différence de l’iPad. La Galaxy Tab est aussi équipée de deux caméras (3 mégapixels au dos et 1,3 mégapixel sur la face avant), ce qui permet de l’utiliser pour la visioconférence en 3G ou en Wi-Fi. Elle fait aussi téléphone, en main libre ou avec un kit piéton. Sa mémoire interne de 16 ou 32 Go peut être augmentée par des cartes micro-SD. Samsung met en avant des applications exclusives de lecture de livre électronique et de musique. Le constructeur va lancer un service de téléchargement de livres et de musique en ligne.
Plus : lecture du format Flash et de divers fichiers vidéo sans conversion, deux caméras, mémoire extensible.
Moins: le boîtier en plastique, la tendance à chauffer de l’appareil, le prix.
Prix: 699 €.
ARCHOS 101 INTERNET TABLET : PRIORITÉ AU MULTIMÉDIA
Dans la nouvelle gamme de produits du constructeur français Archos, la vedette est sans conteste la tablette Internet 101: grand écran de 10,1 pouces (25 cm de diagonale,
1024 x600 points) au format 16/9, profil extrafin (12 mm d’épaisseur) et poids léger (480 g). Archos a particulièrement peaufiné les fonctions multimédias de sa tablette : lecture de films en HD 720 p en local ou en «streaming» dans une quantité de formats, microphone et webcam VGA intégrés pour la visiophonie, sortie HDMI pour diffuser ses contenus sur grand écran, et béquille ajustable à l’arrière pour la maintenir dans la meilleure position. Amusant: comme elle est équipée d’un accéléromètre, elle peut servir de manette de jeu quand on affiche un de ses jeux sur un téléviseur.
Plus : le navigateur Web compatible Flash, les fonctions multimédias, le connecteur USB en standard, le prix.
Moins: pas de connectivité 3G, câble HDMI vendu à part.
Prix: 299 € avec 16 Go de mémoire.
TOSHIBA FOLIO 100 : LA PUISSANCE SOUS LES DOIGTS
C’est l’une des plus puissantes du lot avec son processeur double cœur, et aussi l’une des plus lourdes : 760 g. Son écran rappelle celui de l’iPad bien que plus grand (10,1 pouces contre 9,7 pouces) mais moins précis (1024 x 600 contre 1024 x 768). Capable de lire des vidéos en HD, elle peut aussi restituer sur un téléviseur des films en Full HD (1080 p) grâce à sa sortie mini HDMI. Elle est équipée d’une caméra frontale de 1,3 mégapixel et se connecte à la fois aux réseaux 3G, GSM et Wi-Fi. Elle dispose aussi d’un port USB et d’un emplacement pour cartes SD. À l’usage, on est agréablement surpris par l’interface Toshiba qui remplace l’environnement standard d’Android. Revers de la médaille: il n’est pas possible de télécharger les applications de l’Android Market. Il faut passer par le service de téléchargement Toshiba Market Places.
Plus: compatibilité avec plusieurs fichiers vidéo et avec le format Flash, mémoire extensible, grand écran.
Moins: le poids, l’impossibilité de charger des applications sur Android Market, le design un peu «brut».
Prix: 399 € ou 499 € (version 3G).
HANNSPREE TABLET : DES ARGUMENTS DE POIDS
Ses caractéristiques sont comparables à celles de la tablette de Toshiba : même écran de 10,1 pouces en 1024 x 600, même processeur à double cœur, restitution de vidéos en Full HD 1080 p par sa sortie HDMI, mémoire de 16 Go, connecteur USB et micro-SD. Petite différence : le poids… celle-ci accuse près de 800 g sur la balance ! Et pourtant, ce modèle est particulièrement mince (11 mm). Son aspect semble aussi plus soigné avec sa coque arrondie et son revêtement laqué noir. Là encore, le constructeur a préféré développer son propre environnement au détriment de l’interface Android. (Le Figaro-13.09.2010.)
Plus: compatibilité avec plusieurs fichiers vidéo et avec le format Flash, mémoire extensible, grand écran.
Moins: pas de connectivité 3G, le poids.
Prix: 399 €.
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*Photos d’une balle traversant une goutte d’eau
Un spécialiste hollandais de la photographie à haute vitesse contrôlée par ordinateur montre ses œuvres et les explique. (En anglais)
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* « Al Gama’a » bat tous les records d’audience dans le Monde arabe
Imaginez un seul instant que l’Entv finance un feuilleton dramatique sur la naissance de l’ex-FIS en 1990 et le parcours de la bande à Bouali, Ali Benhadj et Abassi Madani et qu’on intitulerait bien El Djebha (Le front). Comment serait la réaction du téléspectateur algérien? Les 35 millions d’Algériens seraient branchés sur cette série et les audiences battraient tous les records d’audience. On se souvient encore de l’audience réalisée par l’Unique en 1990, quand Abassi Madani était invité à l’émission de Mourad Chebine Face à la presse.
Plus de 20 ans après, l’islamisme politique fait toujours recette que ce soit sur Al Jazeera ou ailleurs et la plus grande preuve c’est l’audience réalisée durant ce mois sacré par le feuilleton Al Gama’a (La confrérie). Ecrit par le scénariste Wahid Ahmed, il ne plaît pas à tout le monde et est en train de battre tous les records d’audience en Egypte. Les annonceurs se frottent les mains et saluent cette fiction sur l’islamisme politique. Plus de cinq coupures de publicité passent à chaque diffusion du feuilleton. Certaines annonces faisant la publicité pour de la bière, sont même diffusées pour narguer les millions de musulmans qui la regardent durant ce mois sacré de Ramadhan. Selon un institut de sondage égyptien, le feuilleton a déjà rapporté 270 heures de publicité soit presque 4,5 heures d’annonce, représentant plusieurs centaines de milliers de dollars. C’est beaucoup plus que les autres feuilletons dramatiques égyptiens comme Echmaa el ahmar et Zahra et ses cinq maris, qui n’ont réalisé que 180 minutes de publicité alors que le feuilleton avec la comédienne tunisienne Hind Sabri Aaiz atagaweiz atteint 125 minutes de publicité. Ces chiffres et le succès du feuilleton sur Hassen El Banna, démontrent l’intérêt que porte le public égyptien et surtout arabe à la fiction politique. La série de trente-trois épisodes qui est diffusée juste après le ftour sur Nil Drama dépeint le fondateur du mouvement, Hassan El Banna, comme un extrémiste voulant imposer la religion par la violence, alors que les autorités égyptiennes sont dépeintes comme modérées et cherchant à éviter les affrontements avec les islamistes. Soigneusement filmé comme un film cinéma, le feuilleton est un modèle dans la précision dans tous les aspects vestimentaires et décors de l’époque. La production privée qui a été chargée de la réalisation de ce feuilleton et qui l’a vendu à la télévision égyptienne pour plus de 7 millions de dollars, a mis le paquet dans la reconstitution des faits. Le pic de l’audience du feuilleton a été atteint quand le film a commencé à aborder les assassinats politiques contre la classe dirigeante égyptienne et surtout l’assassinat du Premier ministre égyptien Mahmud Fahmi Nokrashi en 1948. Les Frères musulmans ont été interdits puis autorisés à plusieurs reprises par le pouvoir égyptien. Bien qu’elle ait officiellement cessé de prôner l’usage de la violence à la fin des années 1970, la confrérie a été déclarée à nouveau illégale en 1982, après l’arrivée au pouvoir de Hosni Moubarak. Officiellement interdite mais tolérée par le pouvoir, cette organisation a réalisé une percée spectaculaire sans précédent, lors des législatives de 2005, en raflant un cinquième des sièges. Ce feuilleton qui est considéré par le fils de Hassen El Banna comme une oeuvre de propagande du pouvoir en place, saura-t-il stopper l’émergence de la mouvance islamiste en Egypte? On le saura dans trois mois. (L’Expression-07.09.2010.)
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*L’avenir d’Internet est dans les pays émergents
**La population connectée y sera trois fois supérieure à celles du Japon et des États-Unis.
Quels seront les Facebook et Google de demain? C’est peut-être du côté des pays émergents qu’il faut les chercher. En effet, le nombre d’internautes dans les pays comme la Chine, l’Inde ou le Brésil, explose – au point de supplanter déjà les plus grands marchés comme les États-Unis. Avec cet essor, ce sont aussi d’autres usages qui impriment leur marque sur le Web mondial.
Le nombre d’internautes au Brésil, en Russie, en Inde, en Chine et en Indonésie devrait passer de 610 millions en 2009 à plus de 1,2 milliard en 2015, estime une étude que vient de publier le cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG). Ces cinq marchés compteront alors trois fois plus d’internautes que le Japon et les États-Unis réunis. Pour le BCG, le Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et l’Indonésie («BRICI») «sont les sources de changement dans la consommation numérique les plus dynamiques au monde – un phénomène qui va se développer de manière plus prononcée encore au cours des cinq prochaines années».
«Des outils populaires de divertissement»
Selon les observations du cabinet de conseil, les internautes de ces pays ont des usages numériques beaucoup plus homogènes que les consommateurs connectés en Europe ou aux États-Unis. Ainsi, Internet et les terminaux mobiles se sont imposés comme des «outils très populaires de divertissement et de communication». L’utilisation de la messagerie instantanée est beaucoup plus importante dans les pays «BRICI» que sur les marchés matures – allant de 56% des internautes russes à 87% en Chine, contre 23% d’utilisation au Japon et 38% aux États-Unis. La consommation de musique et de jeux vidéo en ligne y est également plus importante, notamment en Inde et en Chine (entre 50 et 80% des internautes, contre 16% à 35% sur les marchés matures). Enfin, côté réseaux sociaux, l’Indonésie est le champion de l’usage (58% des internautes), loin devant les États-Unis (35% des internautes), pourtant pays d’origine du poids lourd du domaine, Facebook.
«Non seulement la pénétration des usages numériques dans ces marchés est importante mais elle progresse aussi extrêmement rapidement», concluent les auteurs de l’étude. Ils estiment qu’en se démocratisant, ces usages numériques vont aussi forger les écosystèmes de la future économie numérique. (Le Figaro-06.09.2010.)
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**Rentrée audiovisuelle : les acteurs de l’Internet dament le pion aux chaînes de TV
La remarque est loin d’être purement anecdotique : alors que la présentation des nouvelles grilles de programmes des chaînes de télévision fait traditionnellement la Une des rubriques média au cours de la semaine de rentrée, les vedettes de 2010 s’appellent Apple, Google, Youtube, Sony ou encore Amazon.
Tout juste Yannick Bolloré en milieu de semaine, pour le lancement de Direct Star et la confirmation de la détermination du groupe familial à monter en puissance dans le paysage audiovisuel, et Rémy Pfimlin vendredi, pour sa première sortie, sont-ils parvenus à retenir l’attention, avec des discours qui allaient au-delà du seul horizon numérique ; le premier n’a pas manqué néanmoins de valoriser le lancement coordonné de la chaîne Direct Star et de son appli iPad / iPhone ; le second a confirmé la vocation des programmes du service public à être présents sur l’ensemble des réseaux et l’ensemble des écrans, et il a ajouté une dimension nouvelle à la stratégie de France Télévisions avec la mise à profit des technologies numériques pour améliorer l’accès des handicapés à ses programmes ; et plus encore, il était frappant d’entendre Jérôme Clément faire du lancement de l’appli iPad/ iPhone d’ARTE, de son accord avec Youtube et du lancement de la plateforme ARTE Créative les trois premières annonces de la conférence des 20 ans de la chaîne.
Il est vrai que les géants de l’Internet et de l’électronique grand public ont concentré au cours de la semaine des annonces majeures qui confirment la détermination des uns et des autres à occuper une place majeure dans la distribution de films et de programmes audiovisuels (séries avant tout) : d’Apple (relance d’Apple TV, diminution du prix du boitier, offre de séries en location à 99 cts, lancement de Ping), à Amazon (alignement sur l’offre de location de séries d’Apple) en passant par Google (lancement d’une offre de VoD payante, en attendant la box Google TV) ou Sony (relance de Qriocity autour d’une offre numérique de vidéos, jeux, e-books, musique directement concurrente de celle d’iTunes), les annonces de la semaine écoulée ont en commun la volonté de développer des univers de loisirs numériques complets, dans des environnements propriétaires (intégrant si possible les terminaux de consultation) et privilégiant le streaming par rapport au téléchargement – ce qui constitue une tendance nouvelle.
Sur ce dernier point, on peut imaginer deux justifications (au moins) : en terme de promesse utilisateur, d’abord, le streaming offre une plus grande facilité d’accès aux contenus en mobilité (puisque ne dépendant pas de la disponibilité du fichier sur le disque dur de l’utilisateur) ; pour l’industriel, il est également gage de plus grande fidélité puisque l’accès aux œuvres cesse avec la fin de la relation commerciale.
La priorité donnée au streaming conduit en revanche à s’interroger sur les risques de surcharge des infrastructures réseau (ou à tout le moins sur leur capacité à maintenir un niveau satisfaisant de qualité et continuité de service), et sur le financement de leur mise à niveau (accroissement de capacité). En France, particulièrement, le débat en cours sur une possible révision des taux de TVA applicable aux offres Triple Play n’aidera pas à aborder la question avec sérénité, dans la mesure où la mesure, si elle est confirmée, aboutira à réduire la marge de manœuvre financière des opérateurs (donc leur capacité d’investissement).
L’effet de halo créé par la multiplication des annonces au cours des derniers jours donne également à penser sur les zones de force opérant sur le marché. En terme géographiques comme de position sur la chaîne de valeur : premiers rôles pour les acteurs américains ou asiatiques capables de développer et de faire prospérer un environnement propriétaire grâce aux positions prises dans la fabrication de terminaux et/ou le développement de plateformes «soft» ; absence des acteurs européens, qu’ils soient producteurs ou éditeurs de contenus ou, plus surprenant, qu’ils interviennent comme opérateurs télécom.
Au moins les acteurs situés sur les maillons a priori moins favorisés ont-ils su s’organiser aux États-Unis afin de rééquilibrer les positions de marché (Hulu dans la vidéo, Vevo dans la musique…). Et on se prend à espérer que de telles alliances puissent se mettre en place de ce coté-ci de l’Atlantique (entre chaînes et/ou avec le concours éventuel d’un tiers tel que MySkreen a pu le faire avec les éditeurs de la presse quotidienne).
En considérant l’accord passé entre ARTE et YouTube, on mesure tout à la fois le caractère stratégique que l’intégration de contenus de qualité représente aujourd’hui pour les géants de l’Internet, et la fragilité de la position des acteurs nationaux. Dans le cadre de ce «partenariat majeur», selon les termes du communiqué publié le 1er septembre, «ARTE deviendra le premier diffuseur public à lancer une chaîne dédiée à sa télévision de rattrapage en France et en Allemagne (en proposant) dès novembre, (…) chaque semaine à la communauté YouTube plusieurs dizaines d’heures de programmes en catch-up en français en France ainsi qu’en allemand en Allemagne. L’offre de programmes prendra de l’ampleur dans les mois suivant le lancement.»
La création d’une plateforme de catch-up n’est pas une première pour YouTube ; une offre comparable a été mise en place avec les chaînes Anglaises Channel 4, et Five début 2010 ; mais l’accord passé avec ARTE comporte une différence de taille : au terme des statuts de la chaîne franco allemande, la diffusion des programmes en ligne se fera sans insertion de publicité. Pour YouTube, le bilan financier de l’opération se situe donc forcément dans le rouge… Ce qui donne la mesure de sa détermination à fédérer les offres de catch-up des chaînes françaises. Dans un tel contexte, signer avec l’une des chaînes historiques constitue une belle prise de guerre, et les coûts supportés pour distribuer ses programmes ont valeur d’investissement… On verra au cours des prochains mois si le calcul s’est avéré payant. (Blog.Le Figaro-06.09.2010.)
****Foire internationale de l’électronique à Berlin
LG veut conquérir les marchés européen et américain
Pour consolider la croissance du groupe en 2010, LG a mis à profit le Salon IFA 2010 pour présenter ses dernières nouveautés dans le domaine de l’électroménager.
Le sud-coréen LG dévoile ses nouveautés à la Foire internationale de l’électronique qui se tient actuellement à Berlin. La marque mise désormais sur les énergies renouvelables et expérimente officiellement, sur ses produits électroménagers, les deux nouvelles technologies appelées «Direct Drive» et le système dit «compresseur linaire». Fort de 11 succursales et 13 sites de production, le groupe LG se fixe comme premier objectif d’occuper le point culminant de la pyramide à l’horizon 2014. Cette firme sud-coréenne, présente sur les différents continents revendique déjà le titre du leader mondial sur le marché des réfrigérateurs. Il enregistre depuis quatre ans une croissance à deux chiffres, se situant entre 11 et 12%. Pour l’année en cours, le rythme de croissance a atteint sa vitesse de croisière, se situant déjà au-dessus de la barre des 30%, un pic exceptionnel qui surprend plus d’un. Cette année, la société a pris pied en Europe, un marché très concurrentiel, grâce surtout à l’implantation de deux usines de production sur le sol polonais. LG est décidé d’aller aussi à la conquête du marché américain, se fixant comme autres cibles les deux marchés émergents, l’Inde et la Chine. A Berlin, où se tient depuis le 3 août le Salon de l’électronique le plus important au monde, c’est le président directeur général, de LG, Young Ha-Lee, qui se déplace en personne pour annoncer les ambitions de son groupe à court et à moyen termes. Pour lui, «si LG s’est implantée dans nombreux marchés des plus concurrentiels au monde, il ne s’agit aucunement de conquérir de nouveaux marchés, mais de développer une capacité de production capable d’alimenter les quatre coins du globe». L’incursion sur les terres européennes est un défi d’une autre nature. LG entend surclasser les grosses cylindrées allemandes et françaises sur le sol européen. La marque va bénéficier aussi de nouveaux relais de croissance qui seront implantés à moyen terme sur les deux continents ; américain et africain. Pour consolider la croissance du groupe en 2010, LG a mis à profit le Salon IFA 2010 pour présenter ses dernières nouveautés dans le domaine de l’électroménager. Une version modernisée du robot aspirateur Hom-Bot vient d’être dévoilée au grand public.
L’ex-Roboking est équipé de plusieurs caméras et capteurs ultrasonores et infrarouges «qui lui octroient une aisance de déplacement dans les moindres recoins, pour un nettoyage sans effort». L’autre révolution sur laquelle misent les Sud-Coréens de LG est le tout nouveau lave-vaisselle, équipé d’une technologie exclusive appelée «Inverter Direct Drive» «qui maintient un niveau optimal et constant de performance». Parmi les nouveautés Home Entertainment de LG, dévoilées à la Foire internationale de l’électronique à Berlin, l’on distingue aussi le four solar Combi qui «puise sa chaleur d’une source de charbon entièrement naturelle».Le Moniteur 3D et le Infinia viennent conclure cette série de nouveautés dévoilées à l’IFA 2010. La conquête du marché européen vient d’être lancée. Prochain objectif : le marché américain. (El Watan-06.09.2010.)
***La campagne de pub sexiste de Monoprix
A a différence de Camille, qui a décidé de continuer cacher son « je », je vous confirme que je suis un homme. Est-ce la raison pour laquelle mon œil est parfois un peu lent à l’allumage quand il croise des affiches misogynes ? Sur le quai du métro, l’autre soir, je scrutais ces trois affiches plutôt rigolotes, d’un œil fatigué, en me demandant ce qui me tarabustait à leur sujet :
J’ai trouvé la réponse sur sur le blog Plafond de verre, lui même alerté par le blog Le Féminin l’emporte. Ces affiches sont gorgées de clichés sexistes.
A la première petite fille, Monoprix n’offre que deux options : être une « top model » ou une « élève modèle ». Impossible, donc, d’être à la fois belle et intelligente. Il faut trancher, et Monoprix suggère l’option « sois belle » (et tais toi) :
La seconde affiche présente un garçon en pantalon de treillis militaire qui, lui, n’a pas ce genre de dilemme. D’ailleurs, il peut être à la fois « écolier » et passionné par une noble cause :
La troisième affiche est la plus intrigante. Elle suggère comment surmonter le drame de « la fin des vacances », symbolisé par le canard dégonflé qui ceint cette petite fille rebelle aux airs de Fifi Brindacier :
La blogueuse Olympe note son caractère freudien. Effectivement, plus d’un psy a dû se bidonner en passant devant cette affiche qu’on peut, selon une grille freudienne, décrypter ainsi :
« Chères fillettes, votre canard jaune est dégonflé et vous vivez cela comme une frustration (d’où votre air buté) ; mais pas d’inquiétude, ce n’est pas la fin de la puissance (‘pas la fin des haricots’) car vous pouvez devenir vous-même ce canard là, grâce à votre beauté (commencez donc à vous habiller chic chez Monop’). » (Rue89-06.09.2008)
C’est tiré par les couettes ?
« Chères fillettes, votre canard jaune est dégonflé et vous vivez cela comme une frustration (d’où votre air buté) ; mais pas d’inquiétude, ce n’est pas la fin de la puissance (‘pas la fin des haricots’) car vous pouvez devenir vous-même ce canard là, grâce à votre beauté (commencez donc à vous habiller chic chez Monop’). » (Rue89-06.09.2008)
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