une femme à la rue

*enlevée et violée pendant la nuit du réveillon

une femme à la rue media_xl_4556415

L’année 2012 a débuté d’une horrible manière pour Kelly, une étudiante de Turnhout âgée de 19 ans qui a été kidnappée et violée par deux individus lors du réveillon de fin d’année. « On ne souhaite pas une telle chose même à son pire ennemi », précise Kelly dans les médias belges et néerlandais.Elle fait des cauchemars, elle n’ose plus sortir de chez elle, elle fond en larmes… Kelly vit un véritable calvaire en ce début d’année. Cette étudiante de Turnhout a été kidnappée et violée par deux individus lors du réveillon de fin d’année. Aujourd’hui, elle a décidé de raconter son calvaire dans le but de trouver des témoins et de prévenir que personne n’est à l’abri d’un tel malheur.

« Tout a été très vite »
Après une bonne soirée, Kelly s’est disputée avec son petit ami. Elle errait dans les rues de Turnhout aux alentours de quatre heures du matin. « Nous avions trop bu et nous nous sommes disputés. Je rentrais chez moi quand un homme m’a kidnappée et m’a jetée dans une voiture. Tout a été très vite. J’ai commencé à hurler. L’un des deux hommes a mis du « tape » sur ma bouche. Il a pris mon GSM, mon passeport et mes clés. J’étais tellement paniquée que je n’ai pas regardé vers où on allait. Ils parlaient anglais mais je me suis tout de suite rendu compte que ce n’était pas leur langue maternelle. »

Les ravisseurs ont dit à Kelly qu’ils prenaient la direction d’Anvers. Or, la voiture se dirigeait vers la frontière néerlandaise.

« J’ai pensé à l’affaire Dutroux »
« Je les ai suppliés d’arrêter le véhicule et je leur ai demandés ce qu’ils avaient l’intention de faire avec moi. J’ai eu peur qu’ils me tuent et j’ai tout de suite pensé à l’affaire Dutroux. Nous n’allons pas te tuer, nous voulons simplement avoir une relation sexuelle, m’ont-ils répondu. Quand j’essayais de me débattre, ils devenaient de plus en plus agressifs avec moi. Ils m’ont même craché au visage. Je n’ai plus osé dire un mot », raconte Kelly.

La voiture s’est finalement arrêtée devant une maison près d’Eindhoven (Pays-Bas). Le calvaire a duré pendant plus de trois heures pour Kelly.

« Ils voulaient me donner une pilule »
« J’ai été jetée sur un matelas. Mes yeux et ma bouche étaient bandés. C’était horrible. Ils m’ont violée pendant des heures et des heures. Chacun à son tour. Ils m’ont donné une pilule certainement pour m’endormir. Mais je l’ai crachée. J’avais tellement peur. Je pensais à ma famille. De la pure angoisse. On ne souhaite pas une telle chose même à son pire ennemi. »

Après l’avoir violée, les ravisseurs ont donné une couverture et une boisson à Kelly avant de lui dire qu’elle allait bientôt rentrer chez elle. Mais pas avant d’effacer minutieusement leurs empreintes. « Ils étaient visiblement bien préparés », poursuit Kelly. « Ils n’ont rien laissé au hasard. Ils ont certainement abusé d’autres jeunes filles avant moi. »

« Je n’osais pas appeler la police »
Kelly a alors été abandonnée sur un terrain près d’Eindhoven. « L’un d’entre eux m’a dit que je devais compter jusque vingt sans bouger. Sinon, ils me tueraient. »

L’étudiante de Turnhout a été retrouvée par une une dame vers 9 heures du matin. « Elle a été très gentille avec moi. J’ai appelé mon père qui pensait que je dormais chez mon petit ami. Je n’ai pas osé appeler la police dans un premier temps. Mais la dame qui m’a retrouvée m’a convaincu du contraire. Avec mon père, je me suis ensuite rendue à la police de Turnhout. »

« Je les ai finalement peu vus »
Aujourd’hui, les ravisseurs n’ont toujours pas été retrouvés. Le parquet de Turnhout, en collaboration avec les autorités néerlandaises, a ouvert une enquête. Kelly ignore si elle est capable de les reconnaître.

« Durant cette nuit, je les ai finalement peu vus. Je sais simplement que l’un d’entre eux était assez jeune. Il n’avait pas 30 ans, il parlait avec un accent néerlandais et il avait des cheveux noirs. » (chds)-09.01.2012.

 

**viol collectif  pendant une nuit d’été
L’avocat général Jean-François Godbille a requis, devant la cour d’appel de Bruxelles, une peine de 8 ans de prison à l’encontre d’un prévenu de viol et une peine de 6 ans de prison à l’encontre de ses 4 co-prévenus.

Jugée en première instance en 2009, l’affaire n’avait abouti qu’en 2011 devant la cour d’appel. L’avocat général avait été entendu devant une commission parlementaire de la Chambre pour expliquer ce retard exceptionnel.

Les faits s’étaient déroulés la nuit du 24 au 25 août 2005. La victime, une jeune femme de 24 ans, avait tenté de se faire rembourser une dette de 300 euros auprès d’un dénommé Abdel.

Elle s’était donc rendue chez lui cette nuit-là, à Schaerbeek. Ils avaient discuté sans arriver à se mettre d’accord puis son interlocuteur avait appelé six de ses amis.

Abdel avait violé la jeune femme puis ses comparses avaient fait de même. Ils l’avaient également frappée, brûlée avec des cigarettes et blessée au couteau.

La victime avait fait le récit de son calvaire dans plusieurs médias.
En première instance, en janvier 2009, Abdel avait été condamné à 6 ans de prison. Un autre prévenu avait été interné et les 5 autres avaient été condamnés à des peines de 5 et 6 ans de prison. Ces derniers ont fait appel.

Dans son réquisitoire, l’avocat général Jean-François Godbille a tenu compte des menaces des prévenus entre eux et envers la victime.
La défense plaidera lundi prochain. (belga/chds)–09.01.2012.

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« Etre une femme à la rue, c’est être une proie facile»

 Les assos ferment, le Samu social est en crise ; pour les femmes SDF, violences, prostitution et viol continuent.

Catherine dort dehors (Illustrations Champagne-Volpi)« Ils ferment, ils ferment, ils ferment », déplore Marion, 24 ans, à la rue depuis sa majorité. « Il n’y a aucun centre sur le point de rouvrir. » Catherine, 48 ans, a renoncé à appeler le 115. Elle se prépare pour une nouvelle nuit dehors et troque sa robe longue contre un pantalon informe qui « passe un peu plus inaperçu ». Elle dormira dans un recoin de la gare de Lyon.L’été n’arrange rien pour Catherine, Marion et les autres. De nombreuses associations ferment jusqu’en septembre. La mortalité est la même qu’en hiver, pourtant les distributions alimentaires et les soins médicaux se raréfient.

Alors que le Samu social de Paris faisait déjà état dans son dernier bilan de son incapacité à répondre à 10 601 demandes de mise à l’abri, le secrétaire d’Etat au Logement, Benoist Apparu, annonçait le 20 juillet au JT de France 2 la fermeture prochaine de 4 500 places supplémentaires.

Les femmes et les familles sont les plus touchées

Le Samu social est en crise. Son directeur et fondateur Xavier Emmanuelli vient de claquer la porte. Financée à 92,5% par l’Etat, l’institution accuse une restriction budgétaire de 25% alors que le dispositif est déjà en complète saturation.

En 2010, le Samu Social a attribué 1 930 000 nuitées, soit 24% de plus qu’en 2009. Alors que le nombre de personnes en famille – 11 200 – vient de dépasser le nombre de personnes isolées – 10 300 – , la coupe budgétaire annoncée touche de plein fouet l’hébergement en hôtel, principalement dédié aux femmes et aux familles à la rue.

Les centres d’hébergement collectif ne sont pas épargnés non plus. L’été dernier, le Centre pour jeunes femmes à la rue Apaso a mis la clé sous la porte. Fin juin, le centre Yves Garel a fermé à son tour. Une solution de remplacement a été trouvée pour les 57 lits qui étaient réservés aux hommes, mais pas pour les 38 places pour femmes.

Le nombre de femmes à la rue augmente toujours. Elles représentaient 13,3% des appels quotidiens au 115 en 1999, et 16,7% des appels en 2009.

« Il y a très peu d’hébergement pour femme. Donc peu sont prises au 115. Pour le reste, c’est difficile. D’autant que certaines ont des problèmes psychiques ou psychiatriques », commente Solange Gomis, du centre d’accueil la Halte Femmes :

« Quand vous restez pendant 1h30 avec la musique lancinante du 115 au bout du fil et qu’on vous demande de rappeler à 21 heures, c’est dur. »

A la Halte Femmes, des jeunes et des vieilles
La Halte Femmes est un accueil de jour pour femmes situé derrière la gare de Lyon (XIIe arrondissement de Paris). C’est l’un des rares lieux ouverts 365 jours par an, de 9 heures à 21 heures. Ces temps-ci, son chef de service, Rodrigue Cabarrus, remarque que contrairement aux années précédentes, les femmes sont à peine moins nombreuses qu’en hiver.

En arrivant là-bas, Catherine file se débarbouiller au lavabo. Comme elle, Marion vient presque tous les jours et donne une participation d’1 euro par repas quand elle peut. Mais les repas sont comptés. En raison d’un budget serré, leur nombre est passé de 70 à 55 cette année.

A la Halte, on croise aussi bien des primo-arrivants que des filles de l’Est, des jeunes et des vieilles. Certaines se retrouvent dehors à cause de problèmes de dépendance – drogue ou alcool –, de fragilités psychologiques, ou de surendettement. D’autres ont fui le domicile pour des histoires de violences conjugales ou familiales ou se sont fait mettre à la porte de chez elles. Certaines, comme Catherine, sont des mères de famille.

A la Halte Femmes (Illustration Champagne-Volpi)

 

Dans la rue, pour les femmes, une « dimension sexuelle »
Ici, chacune a son histoire, mais toutes en ont commun une même préoccupation : trouver un endroit sûr pour passer la nuit. Pour Rodrigue :

« Une femme à la rue est bien plus en danger qu’un homme. La rue est un milieu violent en règle générale mais pour les femmes, la dimension sexuelle intervient. »

 

Tous les jours à la Halte, on sent poindre l’angoisse à mesure qu’approche la fermeture.

Le premier danger qui guette les femmes à la rue, c’est le viol. En 2009, Catherine s’est fait agresser :

« Il était 3 heures du matin et je ne me suis pas rendu compte que j’étais dans un coin dangereux. Des jeunes sont arrivés. L’un d’eux a voulu porter mes valises. Une fois qu’il marchait devant avec mes trois énormes bagages, j’étais obligée de le suivre.

Au bout du compte, il m’a poussée dans une allée, il voulait un rapport sexuel et il a sorti son couteau. J’ai réussi à m’en sortir en laissant deux de mes valises mais il m’a ouvert les deux mains. Ça aurait pu plus mal tourner. »

 

Catherine n’a pas porté plainte : « Pour ce genre de criminalité, la police ne fait pas d’enquête. »

Des stratégies pour survivre

Selon elle, un des moyens les plus sûrs d’échapper au viol est d’atténuer son aspect féminin. Solange soupire :

« Quand certaines partent d’ici, on dirait des petits fantômes. »

 

L’animatrice résume très simplement les choses :

« Etre une femme à la rue, c’est être une proie. Donc la première chose qu’elles font en général, c’est de se mettre à côté d’un groupe d’hommes pour chercher protection. »

Rodrigue poursuit :« Et même dans cette situation-là, ça reste fragile parce que les bonnes intentions de départ peuvent évoluer vers des situations difficiles à gérer. Il peut y avoir des risques de viol dans un groupe. Même en étant protégée par le groupe. »

 

A deux pas de la Halte se trouvent la gare de Lyon et la place Henri-Frenay, qui lui est attenante. La journée, la place vit au rythme des restaurants, des voyageurs et des fans de rollers mais « après 22 heures », explique Solange, « on déconseille aux femmes d’y rester. Il y a beaucoup de monde place Frenay, et aucune sécurité ».

De nombreux groupes d’hommes extrêmement alcoolisés y dorment tous les soirs. Solange ajoute :

« On leur explique qu’elles sont plus en sécurité devant un commissariat ou à l’hôpital. Il y a l’hôpital Saint-Antoine juste à côté. Il est préférable qu’ellespassent la nuit aux urgences. Elles sont assises sur une chaise mais au moins, elles ne sont pas dehors. »

 

Mais « avec les beaux jours, les hôpitaux sont moins tolérants avec les SDF », modère Catherine.

Les petits Fantômes (Ilustrations Champagne-Volpi)

A l’abri en échange d’une prostitution informelle
Depuis qu’elle vit dehors, Marion, 24 ans, se méfie des bandes et des amitiés de rue qui tournent mal : « Avoir des amis, c’est pas la peine, si c’est pour qu’ils deviennent tes ennemis… » Elle évite la place Frenay comme la peste et préfère dormir dans les bus de nuit.

La jeune femme ne jure que par son « amoureux », un Afghan rencontré dans un centre social il y a un an :

« Lui a mis six ans pour venir en France. Il est venu à pied. »

 

Depuis qu’elle l’a rencontré, il est devenu son protecteur.

Marion s’estime plus chanceuse que bon nombre de ses copines qui, la nuit venue, se mettent à l’abri en échanges de faveurs sexuelles.

Pour Solange, la logique est élémentaire :

« C’est une sorte de protection : je suis à l’abri et je ne suis pas dehors, je dois payer cette protection. […] Il y a des femmes qui nous disent qu’elles préfèrent ça plutôt qu’être à la rue. »

Marion l’a constaté sur certaines de ses amies, cette prostitution informelle s’accompagne souvent de blessures morales et d’une image de soi calamiteuse :

« Il y en a qui se sont laissées aller et qui couchent. Y en a qui s’en fichent de leur vie. Qui se disent “Autant que je fasse le trottoir pour gagner un peu d’argent. J’ai plus rien à gagner ni à perdre dans cette vie.” […] Il y en a certaines que ça blesse. Pour une fille, ça la salit. »

 

De nombreuses femmes se contentent de jongler avec leurs connaissances pour dormir à l’abri. Rodrigue observe :

« C’est toute une stratégie qu’il faut pouvoir mettre en place. Souvent, les femmes qui en sont capables sont celles avec qui on peut essayer de construire des choses. »

« Je tiens pour mon copain »

Marion, elle, trouve la force de tenir grâce à son amoureux. A court de crédit sur sa carte prépayée, elle cherche des téléphones portables à emprunter pour le joindre. « Mon homme m’interdit de faire la manche. » Il paie aussi quelques nuits d’hôtel et lui donne 5 euros quand elle n’a plus de quoi manger. Parfois, il lui est impossible de la « dépanner », alors elle retourne mendier à son insu.

« Je tiens pour mon copain. On compte se marier. C’est lui qui m’a remonté le moral. J’avais perdu confiance en moi, je voulais me tuer et puis je l’ai rencontré. […] Sinon, à 24 ans, je serais comme les clochards qui puent et qui ne font plus attention à leur vie ».(Rue89-22.07.2011.)

 

Marion et son homme (illustrations Champagne-Volpi)

Illustrations : « Catherine dort dehors » ; « A la Halte Femme » ; « Les petits fantômes » ; « Marion et son homme »

 

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*Une fille de 13 ans violée dans la rue à Marseille en pleine journée

 

Une jeune fille de 13 ans a été violée en pleine rue et en plein jour le jeudi 4 août 2011 à Marseille, a-t-on appris jeudi de source proche de l’enquête. Les faits se sont déroulés à 17hà proximité du boulevard National non loin du centre ville, dans le 3e arrondissement. L’agression a été découverte lorsque l’adolescente, qui, en rentrant de promenade, s’était plainte de maux de ventre avant de s’évanouir, a été hospitalisée en pédiatrie à l’hôpital de la Timone. Les examens ont alors permis de mettre en évidence des violences sexuelles très importantes.

Trois individus inpliqués

La mère de l’adolescente est venue déposer plainte au commissariat du centre-ville. Mais dans l’immédiat les policiers n’ont pu entendre l’adolescente, prostrée. C’est finalement l’aide d’un psychiatre qui a permis de reconstituer les faits, une fois recueillis les témoignages de tous les proches. La mineure, notamment grâce à des dessins, a expliqué que trois individus l’avaient attaquée à proximité du boulevard National et que l’un d’entre eux l’avait violée pendant qu’elle était immobilisée.

«Une telle agression sexuelle d’un enfant aussi jeune dans un tel contexte est très rare à Marseille», relevait jeudi un syndicaliste policier. Les investigations n’ont pas encore permis de dresser des portraits-robots, mais il reste la piste ADN, a ajouté la source proche de l’enquête. Les policiers de la brigade des mineurs de la Sûreté départementale de Marseille sont en charge de l’affaire. (AFP-12.08.2011.)

 

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7 réponses à “une femme à la rue”

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