Infos générales.3
**Bac 2017: Les gendarmes lui retirent son permis puis l’escortent jusqu’au centre d’examen
Jeudi 08 juin 2017, un jeune homme, en retard pour son épreuve du bac, a roulé à vivre allure sur une route située à Nouzilly, en Indre-et-Loire.
Il a été flashé par les gendarmes à 125 km/h au lieu des 80. Le lycéen a alors expliqué aux militaires qu’il roulait en excès de vitesse parce qu’il était en retard à son épreuve du bac.
Les gendarmes lui ont aussitôt retiré son permis de conduire mais ces derniers ont quand même accepté de le conduire jusqu’au centre d’examens. Le lycéen a pu ainsi arriver à l’heure.
Très reconnaissants, les parents du jeune homme ont envoyé une lettre de remerciements aux forces de l’ordre, que la gendarmerie a publié sur son compte Facebook. Le couple explique trouver la confiscation du permis de conduire de son fils « banale » et effectuée « à juste titre ». Les parents saluent surtout l’initiative de la gendarme : « Cette personne a pris une décision qui prouve son humanité. Rien ne l’obligeait à le faire. Qu’elle en soit remerciée ».
« La gendarme a consenti à l’amener au lycée pour passer son bac. Sans cette action généreuse, le bac eut été très facilement compromis car les horaires d’examen n’auraient pas été respectés. Cette personne a pris une décision qui prouve son humanité et objectivité (…) », écrivent les parents.
*source: faitsdivers.org / et plus- mardi 20 juin 2017
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Le coeur d’un bébé bat une première fois quatre semaines après sa naissance
Jacob est né avec le syndrome d’hypoplasie du cœur gauche, une anomalie de développement de la moitié du cœur obstruant la circulation sanguine.
Après 20 semaines de grossesse, les médecins avaient annoncé à la mère de l’enfant cette maladie, mais cette dernière avait préféré garder le bébé.
« J’ai dit oui immédiatement. Il méritait d’avoir une chance. Il frappait si fort dans mon ventre qu’il était impossible que j’abandonne. Sa force m’a donné de la force. » a expliqué cette maman de 4 enfants.
Le petit est né avec seulement la moitié de son cœur.
Pour la première fois, quatre semaines après sa naissance, le cœur du nourrisson s’est mis à battre. « C’était le moment plus émouvant de sa vie » témoigne la mère résidant à Liverpool, en Grande-Bretagne.
Mais, entre-temps, Jacob a dû se battre pour survivre. Il a subi dès sa naissance une opération de 20 heures. Durant celle-ci, les chirurgiens ont dû combattre une importante hémorragie. Jacob a même dû être réanimé. Le petit a depuis rejoint ses frères Jack, 7 ans, et Freddie, 1 an, ainsi que sa sœur Alexis, 3 ans. *source: faitsdivers.org / 02 juin 2017
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*Un taureau camarguais a nagé près de huit kilomètres après s’être enfui lors d’une abrivado. La bête a été ramenée à terre par une vedette de la SNSM
Un taureau s’est enfui lors d’une abrivado (lâcher de taureaux) de la fête votive des Saintes-Marie-de-la-Mer, dans les Bouches-du-Rhône. Au cours de cette tradition ancestrale, les taureaux sont encadrés par les manadiers à cheval entre les prés et les arènes, pour participer aux courses camarguaises notamment (où de raseteurs doivent attraper des cocardes sur les animaux et éviter de se faire encorner).
Lorsque l’abrivado emprunte les plages, il n’est pas rare que des taureaux s’échappent par la mer. Mais il est extrêmement rare en revanche qu’ils nagent sur une aussi longue distance. L’animal a été sauvé à deux kilomètres au large. C’est une navette de la SNSM (Société nationale des sauveteurs en mer) qui l’a récupéré…
Risque de noyade
Mais pas question de le hisser à bord. « On lui tire la tête en dehors de l’eau et on lui pose la tête sur une margelle. Ensuite on va doucement pour que le taureau puisse nager sans se noyer », détaille José Ibanez, le chef de la vedette, à France Bleu. Il a, au total, parcouru environ 8 kilomètres à la nage.
L’animal est en bonne santé, selon son propriétaire. Le risque était qu’ils se noie. Histoire de rajouter du piquant à l’affaire, José Ibanez, goguenard, s’offre le mot de la fin : selon lui, les taureaux ont la particularité de « se noyer par l’anus », relate France Bleu…*20minutes.fr / mardi 20 juin 2017
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Un torero espagnol tué lors d’une corrida
Le matador réputé Ivan Fandiño est décédé à l’hôpital après avoir été encorné..
Un matador espagnol réputé, le Basque Ivan Fandiño, est décédé samedi soir à l’hôpital de Mont-de-Marsan où il avait été transporté en urgence après avoir été encorné lors d’une corrida à Aire-sur-l’Adour (Landes), apprend-on de source médicale.
De source médicale, indépendante, on indique que le torero, après d’abord avoir été traité au bloc chirurgical de l’arène d’Aire-sur-l’Adour, a subi deux arrêts cardiaques dans l’ambulance et est décédé à son arrivée à l’hôpital.
Ivan Fandiño, 36 ans, a été encorné alors qu’il effectuait un quite [une passe avec une cape] à l’un des taureaux de son compatriote Juan del Alamo. Il s’est alors pris les pieds dans sa cape et a trébuché au sol où il a été pris par le taureau qui l’a encorné. Auparavant il avait triomphé en coupant une oreille lors de sa prestation face à son premier taureau.
La corrida de plus en plus contestée
La précédente mort d’un torero dans une arène remonte au 9 juillet 2016 avec le décès du matador espagnol Victor Barrio, 29 ans, dans l’arène de Teruel (centre-est de l’Espagne). Un peu plus d’un mois auparavant, l’excentrique mexicain El Pana était décédé le 2 juin 2016 à l’hôpital de Guadalajara après avoir été blessé le 1er mai lors d’une corrida à Ciudad Lerno.
Si la corrida – « la fiesta nacional » - reste populaire en Espagne avec environ 1.800 spectacles par an et près de six millions de spectateurs, elle est aussi de plus en plus contestée, avec son interdiction depuis 2012 en Catalogne par le gouvernement nationaliste catalan, décision annulée en octobre 2016 par la Cour constitutionnelle espagnole. Plusieurs villes ont également suspendu la feria. Selon l’Association nationale des organisateurs de spectacles taurins (Anoet), les « toros » génèrent annuellement un chiffre d’affaires de 3,5 milliards d’euros.*20minutes.fr / dimanche 18 juin 2017
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En pleine nuit, des taureaux s’échappent de leur enclos et se baladent dans le village
Les animaux ont pu être récupérés et conduits dans leur pré
C’est à une chasse plutôt insolite auxquels se sont livrés, dans la nuit de dimanche à lundi, les gendarmes à Saint-Brès. Echappés d’une manade, des taureaux avaient quitté leur pré et divaguaient dans le centre de ce village, situé près de Montpellier.
Epaulés par des manadiers venus à leur rescousse, les militaires ont poursuivi la quinzaine d’animaux vers minuit, et ont tenté de les regrouper, relate e-metropolitain.
Les taureaux ont fini par être rassemblés du côté du stade de la commune. Ils devraient réintégrer leur enclos, situé à proximité, ce lundi, note le site d’actualité* 20minutes.fr / lundi 19 juin 2017
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Il existe des oiseaux venimeux !
Endémique de l’île de la Nouvelle-Guinée, le Pitohui bicolore est une espèce de passereaux venimeuse, en effet, la peau et les plumes de ces oiseaux contiennent une puissante toxine du nom de Batrachotoxine, le même venin sécrété par les célèbres grenouilles venimeuses d’Amérique du sud.
Selon les scientifiques, le Pitohui bicolore a acquis cette toxine en consommant les scarabées Choresine qui en contiennent eux-mêmes.
La Batrachotoxine peut-être utilisée à la fois pour dissuader les prédateurs et pour protéger ces oiseaux contre les parasites.*lesaviezvous.net / 19 juin 2017
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*Ikea invente le jardin urbain sphérique
C’est pratique et moderne: Ikea invente la Growroom pour cultiver sa propre nourriture en milieu urbain.
Le Growroom a été créé pour encourager les citadins à cultiver leur propre nourriture, localement. Le but: ramener un peu de nature dans les grandes villes. En 17 étapes, le tour est rapidement joué.
« La superposition des tranches permet à l’eau et la lumière d’atteindre les plantes de n’importe quel étage sans pour autant gêner le visiteur à l’intérieur. Le Growroom fonctionne donc comme un accélérateur de croissance pour la végétation et un abri pour le visiteur », souligne Sine Lindholm et Mads-Urik Husum, les deux inventeurs.
Ikea nous prouve une fois de plus son positionnement pour le respect de l’environnement et des milieux urbains plus verts.*7sur7/ dimanche 26 février 2017
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*Le scandale des palmiers …mais pas en Algérie
Les palmiers de la discorde. Jamais arbre n’aura été aussi contesté en Italie. Les quarante-deux palmiers plantés sur la place du célèbre Duomo deMilan sont les premiers arbres à être installés dans le cadre d’une initiative qui prévoit également la culture de bananiers. Ce projet est destiné à offrir un peu de verdure au monument, chef-d’œuvre de l’architecture du XIVe siècle.
Mais la pillule passe mal. Cette initiative de la région a suscité un vague de violentes critiques, qui touche l’espèce des arbres et les sponsors du projet. Selon certains, le recours à des arbres exotiques devant un monument national est un contresens total.
« Les plantes dans les espaces verts urbains ne doivent pas être nécessairement d’origine locale, mais planter ce genre d’espèce sur la « Piazza del Duomo » me semble être une folie néo-gothique », a commenté l’architecte et paysagiste italien Paolo Pejrone, interrogé par l’AFP, avant d’ajouter : « La place du Duomo est vide, c’est ce qui la rend célèbre. C’est comme ça qu’elle a été conçue par son architecte (Piero) Portaluppi, et cette vision doit être préservée. »
D’autres, puristes, s’en prennent au sponsor qui ne serait autre que le groupe américain Starbucks, poids lourd dans la vente de café.
Les opposants les plus farouches au projet semblent aussi être les plus extrêmes. Ainsi, le chef de la Ligue du nord Matteo Salvini a déclaré que tout ce qu’il manquait aux Italiens maintenant, c’était « les singes et les chameaux pour avoir vraiment l’Afrique en Italie ».
Le maire centre-gauche de Milan s’est quant à lui montré prudent et a simplement déclaré à la presse italienne qu’il préférait réserver son jugement pour la fin de l’opération : « En tant que citoyen, je suspends mon jugement. On verra quand ce sera fini. » *source: 20minutes.fr / vendredi 17 février 2017
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*Le mystère du village aux centenaires
*À Acciaroli, petit port de pêche au sud de Naples, un habitant sur dix est centenaire. Des chercheurs américains ont tenté de percer le mystère.*AFP
Plus d’un habitant sur dix y est centenaire. Acciaroli, un petit port de pêche entre mer et montagne au sud de Naples, devrait révéler dimanche le secret de cette longévité exceptionnelle. Avec 81 centenaires début septembre, sur quelque 700 âmes, le village intrigue même des scientifiques américains. Des chercheurs de l’université de San Diego en Californie, assistés par des collègues de l’université La Sapienza à Rome, sont arrivés au printemps pour étudier le mystère de ces trompe-la-mort et doivent publier leurs résultats dimanche à Acciaroli.
Sur place, cela semble naturel que les habitants vivent nettement plus vieux que la moyenne des Italiens. « On ne mange que des choses saines », explique ainsi à l’Agence France-Presse Antonio Vassalo, qui a récemment soufflé ses 100 bougies. L’alimentation est une piste sérieuse pour les scientifiques. D’autant que le fameux régime méditerranéen a été identifié ici même, dans cette région du Cilento, par l’Américain Ancel Keys, il y a près de 60 ans. « On mange beaucoup de poisson, des produits de la campagne que l’on cultive nous-mêmes. On a nos propres lapins, nos poulets. Seulement des produits du terroir », renchérit l’épouse d’Antonio, Amina Fedollo, 93 ans.
Alimentation et génétique
Et l’huile d’olive, dont on dit qu’elle est source de jouvence ? « Nous consommons celle que nous produisons », ajoute-t-elle. Outre des analyses sanguines poussées (ADN, métabolisme, etc.), les chercheurs ont procédé à des contrôles cardiaques et neurologiques, explique Alan S. Maisel, professeur de médecine cardivasculaire à San Diego. Car à côté de l’alimentation, la génétique est une bonne piste. Les centenaires pourraient avoir un gène qui tire des effets bénéfiques de certains produits consommés au quotidien, « par exemple du romarin, qui améliore les capacités du cerveau », explique le professeur Mazel.
D’ailleurs, sur les 80 personnes âgées ayant participé à l’étude, dont 25 centenaires, personne ne souffrait de la maladie d’Alzheimer. En revanche, ils pratiquaient encore tous une activité physique quotidienne comme la pêche, la marche dans ce village escarpé ou encore tout simplement l’entretien de leur potager… « Beaucoup de ces personnes âgées semblent avoir une activité sexuelle », note aussi le professeur Maisel.
Le secret de cette longévité serait donc aussi simple que cela : une vie saine, au grand air, un peu d’activité physique et une forme de décontraction toute méditerranéenne ? Les scientifiques ne sont pas loin de le penser et cherchent à Acciaroli un modèle, pourquoi pas exportable dans le monde, pour vivre mieux et plus vieux. « Ce que nous aimerions faire au final, c’est créer un tableau clinique établissant une sorte de score à maintenir », explique Salvatore Di Somma, professeur de médecine à Rome.
L’idée serait d’établir le type d’alimentation, le type d’activité physique, le type de vie en société, voire le genre de philosophie qui sont à la base de cette longévité exceptionnelle, a-t-il expliqué à l’Agence France-Presse. Mais il ne sera pas simple de reproduire à l’envi un cadre comme Acciaroli, petit village coincé entre la mer et un parc naturel, loin de toute source de pollution où la lenteur reste un art de vivre.*AFP / 03/ 09/ 2016/ Le Point
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*La recordman de 1.500 mètres nage libre a… 100 ans
Une Japonaise de 100 ans, qui n’a commencé à nager qu’à l’âge de 80 ans, vient de remporter un record en nage libre…
*photo: Mieko Nagaoka, nageuse japonaise
Elle espère bien entrer au Guiness World Records. Mieko Nagaoka, une Japonaise de tout juste 100 ans, a réussi à boucler une course de 1.500 mètres lors d’une compétition de nage libre en petit bassin, un exploit qu’aucun autre centenaire dans le monde n’avait réussi avant elle. Seule à concourir dans la catégorie 100 à 104 ans, elle a accompli ce défi en 1 heure 15 min 54 sec samedi dans la préfecture de Ehime (ouest), en optant pour le dos crawlé, sous les applaudissements d’un public enthousiaste.
«Je veux nager jusqu’à l’âge de 105 ans»
La guillerette vieille dame ne compte pas s’arrêter là: «Je veux nager jusqu’à l’âge de 105 ans si je parviens à vivre aussi longtemps», a-t-elle dit à l’agence de presse Kyodo. Et pourtant, la dynamique Mieko Nagaoka n’a commencé à nager qu’à l’âge de 80 ans dans le cadre d’un programme de rééducation d’un genou malade, selon la même source.
Une «Golden Bolt»
Débutante à l’époque, elle s’est prise au jeu et enchaîne depuis les records. Elle avait déjà parcouru 1.500 mètres dans un bassin olympique à l’âge de 99 ans et a publié l’an passé un livre relatant ses prouesses sportives. Il y avait près de 59.000 centenaires répertoriés au Japon en septembre dernier, dont 87% de femmes, selon les statistiques officielles du ministère de la Santé.
Parmi eux, plusieurs demeurent très alertes et n’ont rien à envier aux jeunots. Ainsi, Hidekichi Miyazaki, 104 ans, peut se prévaloir du record du monde du 100 mètres des 100 ans et plus avec 29,83 secondes, ce qui lui a valu le surnom de «Golden Bolt» – en référence à la star de l’athlétisme Usain Bolt.*source: 20minutes.fr avec AFP / 06/ 04/ 2015
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*L’homme le plus agé de l’humanité découvert en Indonésie
*il a 145 ans et il s’appelle Mbah Gotho
*photo: Mbah Gotho affirme être né le 31 décembre 1870 sur l’île de Java (Indonésie) et serait donc âgé de 145 ans, faisant de lui le doyen de l’humanité.
« Ce que je veux, c’est mourir », explique Mbah Gotho, très affaibli par l’âge et nécessitant depuis peu une aide extérieure pour se laver et manger. Sur une vidéo relayée par The Independent, l’Indonésien apparaît voûté mais toujours capable de se rendre seul sur sa terrasse pour y fumer une cigarette. Le vieil homme, presque aveugle, passe le reste de son temps à écouter la radio
Celui qui attribue sa survie à « la patience » et affirme avoir déjà enterré ses quatre femmes, ses enfants et ses dix frères et sœurs ne pourra cependant probablement pas entendre sur sa station préférée la nouvelle de l’officialisation de son record de longévité.
En effet, la carte d’identité du vieil homme indique, certes, la date du 31 décembre 1870, et l’information a été confirmée par le bureau du recensement indonésien. Pourtant, impossible, selon le quotidien britannique, d’assurer que la date indiquée par les autorités indonésiennes est véridique. Faute d’expertise, Jeanne Calment conservera donc officiellement son titre.
World’s oldest person discovered in Indonesia at the age of 145 https://t.co/9FAfiStYdt
— The Independent (@Independent) August 29, 2016
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*Un avion rate la piste et s’abîme en mer à Bali
L’ensemble des passagers a survêcu
Un avion transportant plus de 130 personnes a raté samedi la piste lors de son atterrissage à l’aéroport international de Bali et s’est abîmé en mer, mais sans faire de morts, a indiqué un responsable au ministère indonésien des Transports. « L’ensemble des passagers » à bord du Boeing 737 de la compagnie indonésienne à bas coûts Lion Air a survécu, a déclaré le directeur général du transport aérien au ministère, Herry Bhakti.
L’appareil, avec « plus de 130 personnes à bord », a manqué la piste lors de son atterrissage à l’aéroport international de Denpasar, sur l’île indonésienne de Bali, s’abîmant directement dans la mer toute proche, a expliqué M. Bakhti.
Le responsable a dit ne pas être en mesure d’indiquer si l’accident avait fait des blessés.
Les circonstances de l’accident étaient encore inexpliquées, la météo étant bonne au moment de l’atterrissage.
Bali est une destination très touristique, fréquentée par des millions d’étrangers chaque année.
La compagnie Lion Air est la première compagnie privée d’Indonésie. Elle connaît actuellement une croissance exponentielle grâce au boom du transport aérien en Indonésie, plus grand archipel au monde avec plus de 17.500 îles et dont l’économie croît de plus de 6% l’an. Lion Air a récemment fait les manchettes de la presse mondiale en signant le plus gros contrat de l’histoire de l’aviation civile, une commande de 234 Airbus A320 pour 18,4 milliards d’euros. Il y a moins d’un an et demi, en novembre 2011, Lion Air avait déjà annoncé l’achat de 230 moyen-courriers Boeing 737 pour 21,7 milliards de dollars (17 milliards d’euros). Mais les experts ont fait part de leurs craintes que ce développement fulgurant ne se fasse au détriment de la sécurité. La jeune compagnie, qui n’a que treize ans d’existence, est encore interdite de vol en Union européenne et aux Etats-Unis. Certains experts soulignent également le manque de pilotes suffisamment qualifiés en Indonésie pour faire voler un nombre toujours plus important d’appareils.*AFP-13.04.2013.
**La Californie perplexe face à l’arrivée de centaines d’otaries
il s’est passé quelque chose de grave
Depuis janvier 2013, des jeunes otaries échouent, de plus en plus nombreuses sur les côtes de l’Etat de Californie (ouest des Etats-Unis). Devant le nombre croissant de ces animaux affamés, Peter Wallerstein s’est dit qu’il se passait quelque chose de grave.« Je n’étais pas trop inquiet au début », raconte à l’AFP M. Wallertsein, 61 ans, membre d’une association de sauvetage des animaux marins. « Mais quand on a commencé à recevoir 75 à 100 appels par jour et qu’on a trouvé des animaux près du magasin (de téléphonie) de Carson et sous les voitures, j’ai dû lancer un signal d’alarme ».
D’habitude on les retrouve sur les plages, mais maintenant ils sont partout, et par centaines. La ville de Carson, située à 32 kilomètres au sud de Los Angeles, abrite le club de football LA Galaxy, dans lequel Beckham jouait encore l’an dernier, à plusieurs kilomètres de la mer.
D’habitude les sauveteurs ne voient apparaître des bébés qu’en avril. Ils naissent en juin, puis leurs mères les nourrissent tout l’hiver, avant de les laisser se débrouiller seuls au printemps.
« Cette année, nous avons commencé à voir des bébés (…) âgés de 6 mois dès janvier », explique la biologiste Sharon Melin, du service national des pêches. « Et ça a continué à augmenter depuis », ajoute-t-elle depuis Seattle (Etat de Washington, nord-ouest), en évoquant deux hypothèses: la maladie ou le manque de nourriture.
Pour les autorités, il s’agit d’un « événement inhabituel de mortalité », un qualificatif rarement utilisé. « Ce qui rend l’événement atypique c’est l’âge et le type d’animaux, et le fait que ça ait commencé si tôt », ajoute Mme Melin, pour qui il n’y a pas « d’événement à l’échelle régionale qui pourrait expliquer » cette migration.
La moitié de leur poids normal
Après avoir recueilli les otaries abandonnées, M. Wallerstein les a emmenées au centre de soins pour mammifères marins de San Pedro, où son directeur David Bard affirme que les bébés pesaient la moitié de leur poids normal – qui est de 20 à 25 kilogrammes. « D’habitude au cours des premiers mois de l’année, nous voyons entre 50 et 80 animaux. Cette année, à la fin mars, nous en avions accueilli 400″, a-t-il précisé à l’AFP. Les otaries vivent dans des enclos avec un bassin. Les plus petites et les plus fragiles sont surveillées constamment dans des unités séparées.
« Notre objectif est d’en soigner autant que possible et de les renvoyer dans leur milieu naturel, ce qui prend entre un et trois mois », explique M. Bard. Des otaries mourront. Et certaines seront euthanasiées « quand un animal souffre toujours et que nous ne pouvons pas le soigner », selon M. Bard.
Au pire de la crise, il n’y avait pas assez d’espace pour les accueillir, se souvient M. Wallerstein. « Nous étions comme des médecins sans hôpitaux. C’était dur, nous devions renvoyer des animaux (…) qui n’étaient pas bien » vers des plages moins exposées, mais sans soins. « Nous n’avions pas d’autres choix ».
D’après Jim Milbury, des services de météorologie de la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration), 1.098 bébés otaries ont échoué sur la côte entre Santa Barbara et San Diego entre janvier et mars. Contre 131 en moyenne. Toutefois la semaine dernière, le nombre de sauvetage a singulièrement baissé, selon M. Wallerstein. Même si, selon Mme Melin, les chiffres pourraient à nouveau croître, avec le début de la traditionnelle saison du sevrage. Quant aux origines – mystérieuses – du phénomène, la biologiste assure qu’elle en saura davantage « dans quelques mois ».*AFP-13.04.2013.
*il découvre un trésor de 2000 pièces d’or et d’argent
Un ouvrier qui travaillait sur le chantier d’un futur musée à Langres (Haute-Marne) a découvert, début novembre, un trésor.
Le trésor composé de 1.633 pièces d’argent et de 319 pièces d’or datées de 1790 à 1840, se trouvait dans une niche dissimulée derrière une paroi en bois d’un hôtel particulier du centre-ville de Langres explique le quotidien L’Est Républicain.
Le bâtiment, acquis par la ville en 2008 est en cours de réhabilatation afin de recevoir un musée consacré « au siécle des Lumières ».
« Le trésor, qui est en cours d’expertise numismatique appartient à part égale à l’ouvrier qui l’a découvert et à la ville qui est propriétaire des lieux » a précisé le conservateur du musée de Langres.
Le trésor, qui pèse 41 kgs d’argent et 1,4 Kg d’or, pourrait rapporter environ 90.000 euros sur le marché des métaux précieux./ Sources : L’Est Républicain-28.11.2011.
**Auto-stoppeuses fantômes…
Une dame, élégamment vêtue de blanc, fait de l’auto-stop et disparaît aussi vite qu’elle est apparue..
Le premier récit nous vient des années ’60. Une dame vêtue de cuir noir, tenant un casque sous le bras et laissant voler au vent une étole blanche lève le pouce sur une nationale du Calvados.
Un automobiliste affable freine en la voyant, s’arrête, lui demande où elle va. Sa destination, un petit village à quelques kilomètres de là, est sur la route de l’automobiliste. Il embarque donc la mystérieuse inconnue. Mystérieuse parce qu’elle dégage une forme d’inquiétude autour d’elle. Mystérieuse aussi parce qu’elle ne dit pas un mot, se contentant d’opiner du chef alors que le conducteur essaye de détendre l’atmosphère.
A l’arrivée du village, un virage à droite est indiqué. La femme se met à hurler, intimant à l’automobiliste de ralentir, affirmant connaître les lieux qui, selon elle, sont extrêmement dangereux. Le conducteur, surpris, pile, se laisse aller sur le bas-côté avant de se tourner vers sa passagère, mais celle-ci a disparu.
L’homme gardera ce récit pour lui, ne le contant qu’à sa famille, lors de soirées animées où les plus jeunes n’hésiteront pas à l’accuser de rouler ivre et lui rappelant que l’abus d’alcool est dangereux au volant.
Pourtant, au décès du bonhomme, on retrouvera dans son bureau une farde contenant de nombreux articles de presse régionale. Tous ont le même sujet : une jeune femme se tuant en moto dans un virage, ce même virage que le pauvre monsieur désignait chaque fois qu’il racontait sa mésaventure. Hasard ?
L’histoire se répète quelques années plus tard
Quatre jeunes gens se promènent à proximité de Caen. Ils ont beau être déjà quatre dans la voiture, ils n’hésitent pas à prendre cette jeune auto-stoppeuse vêtue de blanc, mais sont très vite gênés par sa présence. Elle ne dit pas un mot et les deux filles qui l’entourent à l’arrière du véhicule diront d’elles qu’elle était glaciale.
Là encore, en arrivant à un gigantesque carrefour, la jeune femme se met à hurler. Le temps que conducteur et passagers se remettent de leurs émotions, la jeune fille a disparu. Pourtant, le conducteur n’a pas fermé et les portières sont toutes verrouillées de l’intérieur. Ils iront faire une déposition à la gendarmerie locale.
Les forces de l’ordre les prendront d’abord pour de mauvais plaisantins, mais lorsque, deux mois plus tard, un homme vient raconter la même histoire, force est de constater que personne n’avait menti. Le bonhomme est venu à la gendarmerie s’inquiétant de savoir si la jeune femme avait sauté de sa voiture en marche.
En effet, entreprenant de lui mettre la main sur les genoux, il avait eu un mouvement de recul tant la jeune femme était froide ‘comme du marbre’. Là encore, elle disparaîtra après avoir hurlé à l’approche du carrefour.
Les jeunes gens seront rappelés pour tenter de faire un portrait-robot de la jeune femme. Le résultat est saisissant : il s’agit sans nul doute de la fille du maire, décédée quelques semaines avant les faits dans un tragique accident de la route, précisément à ce carrefour.
Les histoires se multiplient
Les histoires de ce genre se multiplient et sont encore légion aujourd’hui. Dans les endroits où les jeunes femmes se manifestent le plus souvent, elles ne se contenteraient plus de faire du stop. Certaines se tiennent debout au milieu de la route, les phares des conducteurs les éclairant à la dernière minute.
Les personnes croyant au spiritisme y voient l’expression très physique d’âmes en quête de réponse. Ces femmes n’auraient toujours pas compris pourquoi elles sont mortes et voudraient éviter de nouvelles victimes. Mais les expressions physiques de leur présence prennent parfois d’étranges formes.
En Belgique aussi
Nous sommes en Belgique, au milieu des années ’90. Un médecin qui rentre d’une consultation de nuit roule à faible allure. Il pleut dru et il ne souhaite pas avoir un accident sur cette petite route de campagne. Tout à coup, il aperçoit une jeune femme en robe blanche qui lève le pouce. Elle ne doit pas être là depuis longtemps puisqu’elle est à peine mouillée. Il s’arrête. Elle lui demande s’il peut l’emmener jusqu’à une maison isolée se trouvant un peu plus loin sur la route. Il accepte et redémarre.
Quelques kilomètres plus loin, la jeune femme se met à pleurer. Il s’inquiète. Pour seule réponse, elle lui indique que, quelques kilomètres plus loin, il y a un virage dangereux. Rassurant, le bonhomme freine et arrive ainsi à calmer la jeune fille. Arrivé devant le portail de la maison, le médecin propose son parapluie à sa passagère et lui dit d’aller enfiler une veste pour venir lui ramener le parapluie. Elle accepte d’un sourire et s’engouffre dans la propriété.
Après avoir attendu un bon quart d’heure, le médecin n’y tient plus et sonne à la porte d’entrée. Un couple d’une cinquantaine d’années, manifestement surpris qu’on vienne le déranger aussi tard, affirme que personne n’est rentré chez eux ce soir-là. L’homme s’énerve et trouve la plaisanterie de très mauvais goût.
La description que le médecin fait de la jeune fille correspond trait pour trait à leur propre fille, morte dans un terrible accident de voiture, dans un virage dangereux, à quelques kilomètres de là…
Affabulation collective ? Réelle présence surnaturelle ? Une chose est certaine : si vous embarquez une jeune femme vêtue de blanc dans votre voiture et qu’elle crie, faites attention, le danger n’est peut-être pas là où vous le croyez…(RTL.be-14.06.2012.)
**Un phare hanté fait fuir les marins!
De tout temps, le phare était, pour les marins de retour au port, synonyme de sécurité et de retour au bercail. Sauf à Saint-Augustin, en Floride, où le vieux phare fait, aujourd’hui encore, frémir les marins et ceux qui les attendent à quai.
Nous sommes en 1824, à St Augustin, en Floride. Les ruines des fortifications espagnoles offrent un curieux spectacle à la population locale. Notamment cette tour de guet qui s’élève, face à l’océan. Les autorités locales décident donc d’en faire un phare. Le commerce maritime s’intensifie, les transports de passagers vers les iles cubaines aussi. Il viendra donc renforcer la sécurité de tous. La décision est prise, et personne n’écoute ce vieil homme qui tente de faire capoter le projet. Selon lui, alors que la guerre faisait rage, une jeune femme aurait été séquestrée dans cette tour et de nombreuses fois violées par ses geôliers. Finalement, las de cette pauvre femme devenue l’instrument des militaires bestiaux, le responsable du fortin ordonna qu’elle fût jetée aux requins.
Des phénomènes étranges
Les premiers textes rapportant des phénomènes étranges datent du début des années ’30, soit une dizaine d’années après la transformation de la tour de guet en phare. La légende dit qu’un bateau se serait approché très près du phare, comme attiré par une force invisible et irrésistible. Le seul survivant du naufrage, retrouvé à moitié fou et à moitié nu sur un rocher, ne prononcera pas un mot sinon celui d’affirmer avoir vu la plus belle femme qu’il ne lui ait été donné de voir. La coque du bateau se brisera sur les rochers, les hommes d’équipage se jetant à la mer, ne sachant pas que, depuis des décennies, les requins ont élu domicile dans la zone.
Les années passent et la population locale est prolixe en histoires plus horribles les unes que les autres. Un jour, c’est un jeune homme qui devait se marier le lendemain qui, sans aucune raison, est monté au sommet du phare pour plonger dans les eaux tumultueuses. Une autre fois, c’est un représentant de commerce qui se serait laissé séduire par la mystérieuse femme qui logerait au sommet du phare.
Enfin, femme…
Les rares témoins qui ont osé en parler évoquent une ombre, une longue chevelure évanescente, une beauté pure faisant chavirer les plus solides cœurs de la planète. Plus étrange encore : alors que le phare a été éteint pour la dernière fois en 1874, un nouvel édifice ayant été construit à quelques centaines de mètres de celui-là pour faire face à la montée de l’océan, de nombreux témoins affirment avoir vu la lanterne allumée, sa puissance étant décuplée par les miroirs composant le sommet du phare. Impossible, hurlent les sceptiques. Manifestations surnaturelles, susurrent les autres. Il n’en reste pas moins que les époques ont changé, mais que les phénomènes restent les mêmes. Malgré des appareillages sophistiqués, des bateaux s’approchent dangereusement des récifs bordant le phare, de nombreuses personnes cherchent à y monter malgré l’interdiction des autorités locales. Un prêtre local a même fait exorciser les lieux. Mais rien n’y fait, la jeune femme est toujours là, ne semblant pouvoir trouver le repos.
Aujourd’hui, les touristes sont gardés à bonne distance du phare, mais certains d’entre eux n’hésitent pas à défier les fantômes. Il en est un qui aurait même réussi à prendre la suppliciée revenue des flots en photo. Réalité ou supercherie. Une chose est certaine : à la capitainerie, on aurait tendance à dire aux matelots de passage : « fuyez ce phare ». …(RTL.be-07.06.2012.)
**À 80 ans ils se marient après leur rencontre sur le Net
A Montauban, le mariage de Roger et Maguy aurait pu passer inaperçu même si les jeunes mariés ont à eux deux plus de 160 ans. Cependant, ce qui interpelle ce n’est pas leur âge, mais la façon dont ils se sont rencontrés.
On peut être âgé et intégré dans son époque, c’est ce que nous prouvent Roger et Maguy qui se sont rencontrés sur internet.
Pour tromper leur solitude, ils ont décidé d’apprendre les rudiments de l’informatique puis se sont inscrits sur un site de rencontre. Après de longues discussions virtuelles ils se sont décidés à se rencontrer.
Comme dans les plus belles histoires à l’eau de rose, Roger et Maguy tombent amoureux l’un de l’autre et décident de se marier. Si on ne peut leur souhaiter d’avoir beaucoup d’enfants, au moins espérons qu’ils vivront longtemps et heureux.
Les seniors s’approprient depuis peu l’outil internet, mais leur intérêt pour le web va croissant. Il s’agit d’abord de rester en relation avec la famille et les amis qui sont de plus en plus éparpillés, de rechercher de l’information ou de passer des achats en ligne.
Depuis quelques temps, les anciens s’intéressent aussi aux rencontres. Souvent seuls suite à un veuvage ou à un divorce, ils ne veulent plus passer les dernières années de leur vie en célibataire et quoi de mieux pour rencontrer l’âme soeur que les sites de rencontre en ligne ?FR.3-29.11.2011.
**Quatre gardiennes de prison enceintes d’un même prisonnier!
La prison était devenue totalement hors de contrôle
La prison de Baltimore, dans l’état du Maryland-USA, était aux mains d’un gang. Trafic de drogues, blanchiment d’argent, tout y était permis. Pire, quatre gardiennes sont tombées enceintes d’un même détenu.
La prison de Baltimore est devenue, d’après les propos du Washington Post, totalement hors de contrôle. Un gang, le « Black Guerilla Family », y agissait en totalité impunité, orchestrant un trafic de drogue et des opérations de blanchiment d’argent. Un marché parallèle facilité par la complaisance de treize gardiens, dont la plupart sont des femmes, faisant partie aujourd’hui de la vingtaine d’inculpés.
Les gardiens corrompus leur fournissaient une série d’objets de contrebande, des téléphones portables ou encore des médicaments qu’ils cachaient dans leur vêtement. Le règne de ce gang était tel que quatre gardiennes sont tombées enceintes du même détenu, dénommé Travon. Deux d’entre elles se sont même fait tatouer son nom, l’une dans le cou, l’autre sur le poignet. En récompense de leur complicité, ils pouvaient jouir de voiture de luxe achetées par les criminels.
La Black Guerilla Family a été fondée en Californie dans les années 60 mais opère désormais sur l’ensemble du territoire américain, principalement dans les prisons et les rues des grandes villes du pays. Selon le Département de la Justice des Etats-Unis, l’association s’est implantée à Baltimore dans les années 90 et est impliquée dans le trafic de narcotiques, des cambriolages ou encore des meurtres. La situation à la prison de la ville perdurait depuis 2006.* 7s7-24.04.2013.
**L’histoire de Claire et Amina réveille beaucoup de fantasmes
*La prof amoureuse d’une élève
Une « relation » interdite par la loi
À LA BARRE–A sa façon de regarder sans cesse à droite, à gauche, partout autour, à son pas hâté, on sait que c’est elle. Elle qu’une quinzaine de journalistes attendent aux portes du palais de justice de Lille. Elle dont les grands yeux bruns écarquillés, la voix craintive (elle s’excuse, elle ne «peut pas» parler, il vaut mieux «laisser du calme sur tout ça») impriment quoi qu’on en veuille un fort air juvénile. Elle, Claire B. (1), 33 ans, professeure d’anglais au collège Louise-Michel de Lille. Sa liaison avec une de ses étudiantes mineures, de 19 ans sa cadette, a inspiré les médias lors de sa révélation au mois d’avril. «Passion interdite», amours contrariées aux marges de la société pour les uns, «pédophilie» pour les autres, le débat s’est enflammé.
Hier, Claire B. comparaissait pour «atteinte sexuelle sur un mineur de 15 ans par personne ayant autorité». Dans la salle des pas perdus du palais de justice de Lille, avant le début de l’audience, ex-prof et élève se trouvent à nouveau confrontées. Dans un coin, Amina, frêle silhouette en jean, se tient près de sa mère. A l’autre bout, Claire B. Elles échangent des regards appuyés. Au magazine Causette, le seul média à qui elle s’est confiée, l’enseignante a dit qu’elle n’était pas une prédatrice. Qu’elle considérait Amina comme l’amour de sa vie. «Quand elle était en face de moi, j’oubliais son âge.» Le mensuel s’est fait accuser d’apologie de la pédophilie, et a publié une lettre d’excuses. Le Nouvel Observateur, qui s’était exalté dans une veine lyrique («géographie de la carte du Tendre»,«algèbre des sentiments»,«exigences et égarements du corps») s’est fait aussi méchamment tacler.
Mais que sait-on, finalement, de l’histoire de Claire et Amina, à part qu’elle réveille beaucoup de fantasmes ? Peu de choses, le procès étant à huis clos. Elle aurait démarré en septembre 2011, d’après le parquet (Claire situe le début un an plus tard), pour s’achever en avril 2013, quand la mère d’Amina, 14 ans, découvre mails et textos suggestifs. En garde à vue, l’enseignante reconnaît caresses et baisers, chez elle ou au collège. Amina est moins bavarde, les policiers ont l’impression qu’elle «protège» sa prof. Hier, le parquet a requis huit mois de prison avec sursis contre Claire B., assortis de l’interdiction d’exercer un métier en contact avec les mineurs. Jugement le 7 octobre 2013.*(1) Les noms ont été modifiés.**Libération-23 septembre 2013
***la prof « amoureuse » d’une élève condamnée à du sursis
Une professeur de 34 ans, jugée pour avoir eu des relations sexuelles avec une élève âgée de 12 ans au début des faits, a été condamnée à 18 mois de prison avec sursis.
La justice a rendu son verdict: la professeur d’anglais de 34 ans, jugée pour atteintes sexuelles sur mineure après avoir entretenu une relation avec une jeune élève, a été condamnée à 18 mois de prison avec sursis, une peine plus lourde que les réquisitions du parquet.
Le tribunal a également prononcé à l’encontre de l’enseignante une inscription sur le Fichier judiciaire automatisé des auteurs d’infractions sexuelles.
La jeune professeur de langues avait été interpellée par la police en avril dernier, alors que la mère de l’élève avait surpris un échange de textos intimes entre elles, et déposé plainte.
Une « relation » interdite par la loi
En garde à vue, elle avait confessé que cette « histoire » n’avait rien de récent: elle durait depuis septembre 2011 selon les enquêteurs, époque à laquelle l’élève n’avait que 12 ans. Selon leurs deux témoignages, la relation était « consentie », mais la loi interdit toute relation sexuelle entre une personne mineure et une personne « ayant autorité » sur elle.
La professeur, suspendue de ses fonctions depuis plusieurs mois avec l’obligation de suivre des soins psychologiques, a obtenu le droit de la justice d’exercer de nouveau son métier sans obligation de suivre des soins. L’élève, elle, vient de fêter son quinzième anniversaire.*bfmtv.com-Le 07/10/2013
*Prof-élève, l’amour interdit? *téléfilm
Comme promis, faisons un petit bilan de la soirée ‘relations amoureuses prof-élèves’ de mardi soir sur France 2. Il y a d’abord eu le téléfilm ‘Mourir d’aimer’ réalisé par Josée Dayan, avec Muriel Robin dans le rôle de ‘Gabrielle Delorme’, prof de lettres à Angoulême; un téléfilm qui était une sorte de remake de la version de 1971, avec Annie Girardot dans le rôle principal. Ouais… sauf que dans la véritable histoire, la prof, Gabrielle Russier de Marseille, avait 32 ans et non 42, et que l’élève, lui, avait 17 ans et non 15, ce qui change quand même un peu la donne. Ajoutons le ‘facteur mai 68′, et nous n’avons plus du tout la même histoire, puisque la version 2009 était transposée dans les années 80, alors que l’affaire Russier avait défrayé la chronique en 1969. Ensuite, ce qui m’a perturbée tout au long du téléfilm, c’est que l’acteur incarnant le jeune Lucas a 18 ans et non 15, et ça se voit. Je ne parle pas de maturité mais de physiologie: mes Secondes font beaucoup plus jeunes que lui physiquement.
J’ai trouvé le rythme plutôt mou et la fin inexistante. Je pense qu’un sujet aussi tabou, sensible, explosif – et tous les adjectifs que vous pouvez trouver dans le genre, aurait mérité un meilleur traitement que celui-ci. Surprenant d’ailleurs lorsque l’on sait qu’une femme était aux commandes.
Pas mal de détails sont ratés: le speech de la proviseuse en début d’année, à l’arrache et au beau milieu de la salle des profs après la remise des emplois du temps, c’est rarement comme ça que ça se passe; il y a beaucoup de casiers mais peu de profs; Gabrielle Delorme ne parle pas des notes de l’élève à la rencontre parents-profs; sa maison est pleine de bouquins (mais alors, du sol au plafond, histoire que le spectateur comprenne bien qu’elle est prof, hein), bonjour les clichés et la panoplie habituelle: les manifs, les AG, Télérama, les séances de ciné intellos, les détours par la librairie, et en gros l’impression que la vie d’un enseignant est d’un chiant à mourir, sans aucun loisir autre que ce qui se rapporte au taf. La crisette de la jeune prof (Anne Le Nen, petite amie dans la vie de Muriel Robin – on fait jouer les proches ), l’impression Gabrielle passe son année scolaire sur Stendhal et Flaubert pfffffffffff. Un autre truc m’a fait bondir: quand une fille de la classe lève la main pour dire une réponse et que Gabrielle la coupe. Nul.
J’ai malgré tout reconnu des situations vraies dans le téléfilm: le premier cours de l’année où l’on est souvent mal-à-l’aise, et où l’on cherche la petite blague pour relaxer tout le monde, tout en en imposant (‘vous avez tellement aimé votre Seconde que vous en refaites une’, dit Gabrielle). Le proviseur qui pense avant tout à sauver la réputation de son établissement, en étouffant le scandale (l’EN, deuxième Grande Muette de France). La presse toujours à l’affut de ce genre d’histoires. Les élèves qui sont immanquablement les premiers à faire le premier pas pour draguer, les yeux dans les yeux. Certains n’ont en effet vraiment peur de rien, je le vis chaque année avec deux ou trois élèves transis, leurs remarques allant de ‘Madame, vous savez, moi je préfère être avec des gens plus âgés’ (regard appuyé très suggestif) à carrément ‘vous êtes sexy’ (alors que ce jour-là j’ai mis un pull épais et un jean lol) euhhhhh ok.
Ce qui est assez jouissif dans ce téléfilm c’est l’ironie par rapport aux parents post-soixanthuitards. Le jeune Lucas se moque avec beaucoup de justesse de ses parents qui se disent ‘ouverts à tout’, profs de fac abonnés au Nouvel Obs et de tous les combats sociaux, mais qui redeviennent tout à fait fermés quand on touche à Petit Chéri, quand on sort de la norme et que cela nous concerne directement. On constate un manque de dialogue et de compréhension entre parents et enfants. Mais il n’y a pas qu’eux. En plus de la menace de pétition/mutation/radiation (Gabrielle Russier avait effectué deux séjours en prison et avait été radiée pour l’exemple, avant de se suicider), ce sont aussi les voisins qui regardent de travers au lieu de se mêler de leurs affaires. Une lettre anonyme d’insultes arrive. Merveilleuse société que la nôtre.
Car cette histoire me semble sincère, un véritable amour entre Gabrielle et un Lucas qui sait parfaitement ce qu’il veut. Ce n’est pas une histoire type élève qui veut ‘se taper’ un prof par défi, pour ensuite pouvoir fanfaronner. Leur erreur (en dehors du fait que Gabrielle n’aurait jamais dû accepter le premier rendez-vous, of course): manquer de discrétion, en parler aux amis. Gabrielle oublie toute prudence et néglige même ses propres enfants, tant cette passion la fait revivre, elle qui après son divorce s’est enfermée dans la routine. Elle sait pourtant, comme nous tous, que tout se sait à la longue, mais elle court directement vers les problèmes. Qui n’a jamais fait n’importe quoi par passion? Les gens lui font la morale, son ex-mari, son amie, sa fille, les policiers (seuls son fils et un médecin l’écoutent sans la juger). Elle est assimilée à une perverse, qualifiée de ‘détournement d’enfant’ et de ‘kidnappeuse’. Lucas est envoyé en pension dans une autre ville; comme souvent on éloigne le problème au lieu de tenter de le régler.
Ensuite il y a eu le débat, mené mollement par christophe Hondelatte. Je n’ai noté que quelques petites choses qui m’ont intéressée. Olivier Chasseriaud, tombé amoureux de sa prof de 22 ans quand il en avait 16, disait qu’il l’avait retrouvée des années plus tard, bien après leur première liaison (car du coup les choses ont repris ^^), grâce à Facebook. Il ajoutait ‘je pensais que ce n’était pas possible, qu’un prof ne pouvait pas s’inscrire là où d’habitude on va pour retrouver ses copains d’armée’ euuuhhhh à nouveau, ça veut dire qu’à partir du moment où on est prof, on n’a pas le droit à une vie en dehors du bahut, en somme. Ben aussi incroyable que cela puisse paraître, j’ai un Facebook, mon gars, comme plusieurs autres profs de mon bahut. Les élèves le savent, j’en ai quelques-uns dans mes contacts, sans jamais le moindre dérapage; au contraire, c’est plutôt convivial.
Muriel Foucart, prof tombée amoureuse à 33 ans d’un garçon de 14 ans (euhhhh n°3, j’ai eu un peu de mal, là, avec le chiffre 14), assez paradoxale quand elle parlait de ‘raison du coeur’ puis de ‘il faut une loi stricte’, a dit quelque chose de très intéressant malgré tout: qu’il est gratifiant pour un(e) prof, particulièrement lorsqu’il/elle se trouve en situation de fragilité, qu’un jeune s’intéresse à lui/elle. On peut alors être bien naïf et imprudent, et oublier toute raison. Parce qu’on est humains, et c’est ce qui rend ce métier si particulier, le côté humain.
Philippe Meirieu, notre dieu vivant de l’éducation, parlait d’ailleurs du métier comme d’une ‘situation humaine pétrie d’affect’, et du danger – au niveau déontologique – de détourner la relation scolaire. Euuuuh oui (numéro 4), mais seulement les ados d’aujourd’hui, et particulièrement les grands (Terminale, BTS) n’ont parfois vraiment, mais alors vraiment plus peur (ni honte) de rien. Ils peuvent être chauds les marrons avec un(e) prof. C’est particulièrement déroutant pour celui/celle qui débute sa carrière, d’autant plus que, et le psychiatre Paul Bensussan l’a bien précisé, ça n’est pas une question d’âge mais de maturité, et que rien n’est prévu à ce sujet pendant les formations des profs (j’en sais quelque chose pour avoir vécu le silence radio à ce sujet, soit c’est totalement tabou, soit on a les paroles bienviellantes des vieux de la vieille, ‘un prof est un prof blabla… autorité naturelle blabla… distance blabla…’ – facile à dire dans certains bahuts, hein…). Massira Baradji quant à lui représentait la FIDL pendant le débat et s’est distingué par la nullité de toutes ses remarques. Dommage que la FIDL se décrébilise avec ce genre d’individus (d’ailleurs évoluant en lycée autogéré).
Enfin je note pendant ce débat l’hypocrisie ambiante, question loi: un référent (parent, prof, éducateur) n’a pas le droit de coucher avec un(e) élève, majorité ou pas, alors que toutes les autres professions peuvent se taper des gosses de 15+ à loisir. Je vois tellement de mes gamines de Seconde ou de Première sortir avec des mecs de 28 ou 29 ans, qui les choississent parce qu’elles sont bien dociles, ça fait mal au coeur… je ne comprends pas que les parents ne disent rien. On ne doit pas selon moi chercher à modifier la majorité sexuelle, car elle dépend souvent du cas par cas, mais en tout cas il y a bien hypocrisie.
Une question pour finir: pour le téléfilm, aurait-ce été différent/ pire à vos yeux si la situation avait été inversée, à savoir un homme mûr avec une jeune fille?*lepost.huffingtonpost.fr–26/11/2009
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2 tortues centenaires se séparent après… 36 ans de bonheur commun
Bibi et Poldi, deux tortues géantes centenaires qui vivaient ensemble au zoo de Klagenfurt (sud de l’Autriche) depuis 36 ans, ne se supportent plus, à tel point que les responsables du zoo ont dû les séparer, a expliqué mercredi Elga Happ, directrice de l’établissement.
« A la fin de l’automne, Bibi (une tortue femelle) a mordu Poldi (une tortue mâle), alors qu’elles vivaient ensemble depuis 36 ans, toujours de façon paisible », a raconté Elga Happ. « Subitement, Bibi ne pouvait plus supporter Poldi. » « Dès que Bibi attaque Poldi, on doit intervenir et les attirer avec des tomates, pour que rien de grave ne se passe », ajoute la directrice du zoo. Les deux tortues ont été mises dans deux enclos différents. Le zoo a fabriqué une copie de Poldi en plastique, pour étudier la réaction de Bibi. Mais cette dernière « a tout de suite reconnu que ce n’était pas un animal vivant », souligne Elga Happ. Le brusque changement de comportement de Bibi reste pour le moment un mystère. « Un professeur d’université au Texas nous a dit que Bibi a peut-être perdu un sens, et ne reconnaît plus son semblable. Nous avons mené plusieurs tests, mais tout est en ordre chez elle. »
« Cela a peut-être un rapport avec l’âge », alors que les deux tortues ont au minimum 115 ans, indique Elga Happ. Elle espère bien pouvoir remettre Bibi et Poldi ensemble un jour.Le zoo de Klagenfurt avait acheté les deux tortues du zoo de Bâle en 1976….(RTL.be-13.06.2012.)
Une ado dénonce ses parents consommateurs de cannabis
Se faire dénoncer… par sa propre fille. C’est le triste sort qui a été réservé à ce couple trentenaire, petit producteur de cannabis, qui comparaît pour usage, détention et production de stupéfiants. Selon La Voix du Nord, il faisait pousser son herbe dans l’armoire de la grande maison de campagne, où il vivait avec ses deux enfants.
La jeune fille délatrice, âgée d’une dizaine d’années, était issue d’une précédente union de la mère. C’est son père biologique, à qui elle avait parlé de cette pratique, qui lui a demandé de répéter ce qu’elle avait vu auprès des gendarmes.
Elle a ainsi parlé de « grosses plantes touffues, comme des palmiers », que son beau-père mélangeait « avec du tabac », qu’il fumait » avec des amis ».
Le beau-père prétend n’avoir « jamais fumé devant [ses] enfants », mais il semblerait que le problème soit plus ancien. Auparavant, le père de fillette avait demandé aux prévenus d’arrêter toute production.
Les gendarmes ont trouvé sur place 9 plants de cannabis, ainsi que 15 jeunes pousses et du matériel de professionnel. Selon le quotidien, le couple avait pris pour habitude de ramener 30 grammes de cannabis lors de nombreux voyages en Belgique et aux Pays-Bas. Mais ils se sont rapidement rendus compte que la culture à domicile revenait bien moins cher.
A l’occasion de leur procès, les prévenus ont appuyé leur défense en présentant un certificat médical démontrant l’arrêt de toute consommation. Le tribunal a également souligné un bon point : « votre fille n’a pas parlé de manipulation d’argent. Vous ne faisiez pas commerce de votre production ».
Le président a toutefois suivi les réquisitions du procureur : trois mois de prison avec sursis et 1.000 euros d’amende.Sources : La Voix du Nord=29.11.2011.
*Un homme recherché par la police pour avoir maltraité un chat
VIDÉO – Les images d’une caméra de surveillance montrent un homme faire tourner le félin en le tenant par la queue…«Tu me fais tourner la tête, mon manège à moi, c’est toi.» Si Mowgli avait su parler, peut-être aurait-il eu chanté du Piaf à son bourreau. Mais sans doute le pauvre animal n’en aurait pas eu le cœur, tant le pauvre chat a été secoué. Les images, capturées par une caméra de surveillance, montrent inconnu faire tourbillonner le pauvre chat en le tenant par la queue, tout au long de la rue où ce dernier demeure. La police de Ramsgate, au Royaume-Uni, a été saisie de l’affaire après que la vidéo a été envoyée à la RSPCA, le SPA anglaise.«La propriétaire du chat est trop bouleversée pour regarder la vidéo», a raconté l’inspecteur de la RSPCA Caroline Doe au Daily Mail. Mowgli est en effet rentré chez lui terrorisé après sa mésaventure, et n’en est plus sorti depuis. «Nous espérons que quelqu’un reconnaîtrait cet homme et se fera connaître pour que nous puissions investiguer efficacement», a déclaré Caroline Doe après l’appel à témoin lancé par la police. (20Minutes-10.11.2011.)
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