C’est déjà truqué
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*Comment les marionnettes sont choisies et mises au pouvoir par les illuminatis
Je vais vous expliquer comment les Marionnettes (Elus, Fonctionnaires, Dirigeants de multinationales…) sont mis en place au pouvoir et pourquoi.
Mais avant de passer aux choses sérieuses, je vous livre quelques petits rappels :
Savez vous ce qu’est une élection ? Vous pensez qu’une élection c’est quand le peuple met un morceau de papier dans une urne pour choisir un représentant ? FAUX
Une élection, c’est quand les illuminatis se réunissent en petit comité et décident de qui ils vont financer les campagnes, pour qu’à la fin vous ayez le choix UNIQUEMENT entre l’une ou l’autre de leurs marionnettes.
Savez vous ce qu’est la démocratie?
La première base de la démocratie est le fait que la Constitution (fondement de toutes les lois) ne peut pas être mise en place ni changée par les Elus. Sinon cela ne sert a rien puisque la Constitution est justement la pour mettre des barrières aux Elus pour ne pas qu’ils puissent faire n’importe quoi !
La deuxième base de la démocratie est le tirage au sort des Elus !
Dans la Grèce Antique c’est comme cela que les sénateurs étaient élus, par tirage au sort parmi le peuple. Ça évite toutes les dérives carriéristes et le contrôle par les forces de l’ombre au dessus du pouvoir.
La troisième base de la démocratie est le service rendu au peuple.
Qui dit service rendu dit gratuit !
Aucun Élu ne devrait percevoir de salaire, quand vous êtes tiré au sort, c’est pour :1 an maximum et vous percevez votre salaire habituel, l’Etat rembourse votre patron si vous avez un patron ou vos moyennes de revenus si vous êtes votre propre patron.
Si vous ne voulez pas assumer ce rôle temporaire vous passez la main, mais au moins la vous êtes sur que celui qui prendra en main le dossier le fera par conviction et non par amour de l’argent et du pouvoir.
La quatrième base de la démocratie est le référendum, si c’est un sujet important et national, un référendum national s’impose, à l’ère d’internet rien de plus simple. Et pour les esprits sous contrôle qui pensent « ah mais sur internet on peut truquer.. » je leur rappel que sans internet c’est DÉJÀ TRUQUÉ ! Et que si des moyens de sécurité important sont mis en place et ouverts à la vérification des experts du peuple, c’est certainement plus sur que le système actuel.
Et pour les petites questions d’ordre communales un vote a main levé suffit comme c’est le cas actuellement en Suisse.
Ces rappels étant faits vous comprendrez pourquoi les Illuminatis sont pressés d’installer leur fausse démocratie dans tous les pays soit disant barbares. Dans leur tête, démocratie = c’est bon on contrôle leurs élections, donc leurs élus, donc leur pays, leur ressources naturelles, leur terres, leur peuple…
Comment les illuminatis choisissent les candidats aux Élections présidentielles ?
Premièrement il convient de choisir plusieurs personnes de tous bords politiques pour donner l’illusion du choix au peuple.
Deuxièmement il faut que chacun de ces candidats ait une propension a aimer le pouvoir et l’argent pour qu’ils courent bien derrière ces carottes une fois élu. Ils procèdent donc a des études psychologiques en ce sens pour savoir qui sont les meilleurs crevards.
Mais surtout, surtout ! Ils doivent avoir un secret sombre a dissimuler, une putain de casserole a faire pâlir Joel Robuchon dans ses cuisines ! Plus le gars est con (de toute façon ça sert a rien qu’il soit intelligent c’est même un handicap puisqu’on va pas lui demander de réfléchir, mais d’obéir), plus le gars aime le fric et le pouvoir, plus il a d’histoires sales a cacher (putes, comptes en Suisse, pots de vins, faux diplômes, condamnations diverses…) plus il sera tenu par les couilles et plus on est sur que c’est sur ce gars la qu’il faut miser !
Quand ce gars la (ou cette femme, il y en a plein maintenant), est au pouvoir et qu’il voit bien que ca tourne pas rond et qu’au fond de lui, même si il est très très con il sait ce qui serait bien de faire pour le peuple, au moment ou il commence a bouger une oreille pour servir le peuple au détriment d’une multinationale ou d’une banque, coup de tel… Ca donne ca : « eh Gary, c’est Goldman et Sachs, ton patron, tu me remets tête de con ? Gary: bonjour monsieur Goldman Sachs, ça fait longtemps j’espère que vous allez bien ? Goldman Sachs : Écoutes moi bien tête de pine parce que je vais pas me répéter deux fois, ton histoire la de vouloir lancer une enquête sur les OGM, tu va immédiatement arrêter ça ou je balance que ton père était collabo que toi tu as touché 500.000 euros de subvention de campagne par Kaddafi» et que ton fils suce ton secrétaire d’Etat pendant les voyages officiels (on a les photos), et si ca suffit pas je te fais coller une balle, t’as bien compris ? Gary: oui monsieur Sachs, je vais faire ça et comment va votre épouse je comptais justement lui envoyer des fleurs…. Goldman Sachs : Autre chose conard pendant que j’y pense, fais moi sauter ce putain de CDI, t’as qu’a mettre ça en vote a l’assemblée et et même temps tu balances le mariage pour les PD pour détourner l’attention. Gary: Mais quelle bonne idée monsieur Sachs, vous êtes vraiment mon héro… BIIIIP (ca a raccroché). »
Certains pensent que cet exemple est exagéré, ou juste drôle, je vous garanti que ce n’est rien a coté de la réalité
Et après on voit tous les lobotomisés du cerveau se fustiger devant leurs actes, se dire « mais merde c’est par pour lui que j’aurai du voter », rentrer dans leurs histoires de politique », véritable cirque médiatique, poster des commentaires politiques sur leur facebook… mais jusqu’à quand allez vous accepter d’être pris pour des cons ? Vous comprenez que quand vous allez voter ou quand vous manifestez, ou quand vous consommez leurs émissions de TV ou leurs journaux, les maitres du monde se marrent ?
Il se foutent de votre gueule et se disent « mais quelle bande de crétins ! »
Exemples pour mieux comprendre :
Obama lève le pied sur la guerre en Iran et en Syrie, on lui ressort son dossier comme quoi il n’est pas né aux Etats Unis (dossier sorti par un shérif)
*source: stopmensonges.com-7 mai 2013
******Idem dans toutes les loges maçonniques qui sont l’antichambre des illiminatis.
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*Démocratie? Vraiment?
Née 500 ans avant le Christ, à Athènes, la démocratie serait paraît-il le mode de gouvernement « le plus naturel à l’homme » et le « moins mauvais de tous les systèmes politiques ».
Encore faudrait-il que cette démocratie fonctionne correctement. Car aujourd’hui, elle est totalement dévoyée par le pouvoir. Par des gens qui ne sont ni élus par le vote populaire, ni contrôlés par les citoyens.
Dans sa Politique, Aristote disait : « En démocratie, les pauvres sont rois parce qu’ils sont en plus grand nombre, et parce que la volonté du plus grand nombre a force de loi. »
Et plus loin il écrivait : « L’équité au sein de l’Etat exige que les pauvres ne possèdent en aucune manière plus de pouvoir que les riches, qu’ils ne soient pas les seuls souverains, mais que tous les citoyens le soient en proportion de leur nombre. Ce sont là les conditions indispensables pour que l’Etat garantisse efficacement l’égalité et la liberté. »
Alors, d’accord… Les riches sont minoritaires, et ils l’ont d’ailleurs toujours été. Il n’empêche, les riches ont toujours gouverné le monde, ou ont tenu les ficelles des marionnettes qui gouvernaient. Et c’est de plus en plus vrai aujourd’hui.
Et en droit constitutionnel, la démocratie est « une organisation interne de l’Etat par laquelle l’origine et l’exercice du pouvoir politique incombent au peuple, cette organisation permettant au peuple gouverné de gouverner à son tour par le biais de ses représentants élus ».
Ouais… sauf que la démocratie athénienne supposait la participation de tous les hommes libres au gouvernement de la cité, elle était fondée sur la forme directe, les places étant attribuées selon un système mixte de tirage au sort et/ou d’élection. Les citoyens avaient le droit de vote, et celui de présenter des propositions dans les assemblées populaires.
Or, aujourd’hui, au moment sacré où l’électeur glisse son bulletin dans l’urne, il transfère purement et simplement dans d’autres mains, sans autre garantie que des belles promesses entendues pendant la campagne, la petite parcelle de pouvoir qu’il avait…
Voter c’est, pour beaucoup de gens, une manière de renoncer à une action politique personnelle, jusqu’au prochaines élections.
Le fait d’avoir été élu donne la grosse tête à certains… Et surtout, leur donne tous les droits. Y compris celui de poursuivre des objectifs qui n’ont rien de démocratique, et de trahir allègrement leurs promesses. Sachant que les promesses n’engagent finalement que les imbéciles qui y croient.
Car une démocratie politique qui ne repose pas sur une démocratie économique et culturelle ne sert à rien. L’idée même de démocratie économique (ce vieux machin ringard) a laissé place au marché triomphant. Quant à la démocratie culturelle, elle s’est retrouvée remplacée par une espèce « d’industrie de la culture », devenue marchandise comme le reste, et émanant principalement des pays anglo-saxons. Comme chacun le sait, ils sont devenus nos modèles.
Alors, on parle souvent « d’alternance »… Mais en fait, seuls « le personnel politique » alterne, les programmes, eux, restent les mêmes. Parler de gouvernement « socialiste », ou « social-démocrate », ou encore « conservateur », ou « libéral », et l’appeler « pouvoir », n’est qu’une opération esthétique bon marché. Dans les rayons du supermarché de la démocratie, nous sommes devenus des « citoyens consommateurs », face à des « produits électoraux », qui ont tous à peu près le même goût, même si les étiquettes changent… Et à l’arrivée, nous ne les digérons plus, et ils nous donnent la gerbe…
Et d’ailleurs, qui vote encore aujourd’hui ?
- Alors qu’en Grèce (justement le berceau de la démocratie) il y a eu aux dernières élections régionales, 66 % d’abstentions, et 11 % de bulletins nuls… Difficile en effet, de choisir entre la peste et le chicungunya… Et que malgré tout Papandreou (encore un « socialiste ») se dit « conforté » par le vote… Un peu comme par chez nous, où le Toupty nous rabâche qu’il est le président de tous les français, etc…
- Alors qu’en Angleterre, après s’être tapé là sussi le « socialiste » Tony Blair pendant dix ans, les électeurs ont voté à 72 % pour le LibDem. C’était il y a six mois, aujourd’hui, Nick Clegg rame autour de 9 % de « satisfaits »…
- Sans même causer de Barack Obama, qui nous a bien eu, avec sa belle gueule et ses dents blanches…
- Et d’ailleurs, en Belgique, y’a même plus de gouvernement, et ça marche quand même… Tout ça pourrait bien donner des idées à nos gouvernements, finalement, pourquoi s’encombrer de ces trucs chiants que sont les Parlements, hein ?
Car le vrai pouvoir est ailleurs : c’est le pouvoir économique.
Le système appelé « démocratique » ressemble de plus en plus à une oligarchie. Dans la réalité, la masse des pauvres crétins d’électeurs ne gouverne jamais. On ne lui demande pas son avis, et même si d’aventure elle le donne, on s’asseoit dessus. On l’a vu avec le TCE, et avec la « réforme » des retraites.
Certes, les peuples n’ont pas élu leurs gouvernements pour que ceux-ci les « offrent » au marché. Mais le marché conditionne les gouvernements pour que ceux-ci leur « offrent » leurs peuples. A notre époque de mondialisation libérale, le marché est l’instrument par excellence de l’unique pouvoir digne de ce nom, le pouvoir économique et financier. Celui-ci n’est pas démocratique puisqu’il n’a pas été élu par le peuple, n’est pas géré par le peuple, et surtout parce qu’il n’a pas pour finalité le bonheur du peuple.
Si la démocratie était vraiment le gouvernement du peuple, pour le peuple et par le peuple, ça se saurait. Dire que la démocratie est le moins mauvais des systèmes, c’est finalement s’empêcher d’en chercher un meilleur…
Alors que faire, hein ?
Ben déjà, lire le livre jubilatoire de Stéphane Hessel : Indignez-vous ! (éditions Indigène, 29 pages, 3 euros).
D’entrée, Stéphane Hessel écrit : « Tout ce qui est souhaitable est possible ! »
Lui qui dès 1945, a fait partie du Conseil national de la Résistance (CNR) à qui on doit entre autres :
- la Déclaration universelle des droits de l’homme ;
- la sécurité sociale ;
- le régime de retraite par répartition ;
- des règles visant à « l’éviction des grandes féodalités économiques et financières » ;
- les lois sur l’indépendance de la presse « à l’égard de l’État, des puissances d’argent et des influences étrangères »…
Extraits du livre : « Il est évident que pour être efficace aujourd’hui, il faut agir en réseau, profiter de tous les moyens modernes de communication. »
« Nous devons être respectueux de la démocratie, mais quand quelque chose nous apparaît non légitime, même si c’est légal, il nous appartient de protester, de nous indigner et de désobéir ».
« L’indifférence : la pire des attitudes »
Tout ça pour dire, que notre démocratie, il est temps de lui retirer ses oripeaux de vieille pute sur le retour, si on veut qu’elle nous fasse encore de l’usage.
*source: LES VREGENS-cafemusique.wordpress.com
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**Comment Macron nous a été imposé. – YouTube
**Attali « Les élus n’ont plus de pouvoir et voici votre avenir » Effrayant !
***Macron, une illusion imposée ou tombée du ciel ?
16 OCT. 2017 - PAR LEO LE CALVEZ
BLOG : LE BLOG DE LEO LE CALVEZ
**« Parce que c’est notre projet !!!!! » disait un certain Emmanuel Macron. Quel projet ? Par qui ? Et surtout pour qui ?
Revenons sur Emmanuel Macron, on connaît son parcours, il nous a été souvent vanté dans les médias, un inspecteur des finances qui a fait l’ENA et travaillé chez Rothschild pour devenir ministre de l’économie, mais surtout comment a-t-il pu avoir une ascension fulgurante ?
Commençons par le commencement : Emmanuel Macron a été présenté par Jacques Attali à François Hollande. Un banquier très prometteur soi-disant mais qui a plutôt mal géré le budget de Hollande.
Un petit point sur son passage à Bercy : Tout d’abord, il y a eu le scandale Mike Poon, PDG de Symbiose, une entreprise à qui l’Etat a vendu l’aéroport de Blagnac Toulouse. Ce même homme est recherché pour corruption dans son pays. Plusieurs questions sont à se poser ; où est l’argent ?, y-a-t-il eu des paradis fiscaux et blanchiments d’argent ?
Ensuite il y a eu le scandale d’Alstom, soit disant, vendre Alstom Energie serait la solution pour sauver Alstom Transport. C’est ce qu’il a fait : Il a bradé cette entreprise à General Electric (USA). Le président d’Alstom Patrick Kron, partira avec 14 millions d’euros et les employés ont été licenciés et l’usine fermée. Tout cela malgré la promesse de 1000 créations de postes.
Il est important également de parler des cars Macron, puis du CICE et du pacte de responsabilité.
Les cars Macron ont été promus avec une création de 22000 emplois contre 1430 réellement créés un an après la loi. Viennent ensuite le CICE (crédit impôt compétitivité emploi) et le Pacte de responsabilité qui correspondent à 40 milliards de cadeaux fiscaux faits aux entreprises à la demande de Pierre Gattaz (patron du MEDEF) contre la promesse de créer un million d’emplois et cela n’a pas été fait.
Macron a été l’ami des médias et ces derniers ont soigneusement évité de parler du financement de sa campagne par exemple. Les forces économiques (les grands groupes) ne se contentent plus de vouloir le pouvoir économique, elles veulent le pouvoir politique (le beurre et l’argent du beurre).
Elles ont essayé plusieurs fois, d’abord avec Sarkozy, ensuite Strauss-Kahn mais cela n’a pas très bien marché. Avec ce candidat, ils avaient l’opportunité d’y arriver.
Emmanuel Macron est la synthèse entre le libéralisme économique et culturel.
En économie, il est pour la dérégulation, la fin du salariat, l’ubérisation,…
Culturellement il est ultra libéral (promotion d’une société multi culturelle, fin de la famille traditionnelle,…).
Emmanuel Macron a dû rester dans le flou, c’était même un devoir. D’une part, il devait mettre tout le monde d’accord, de droite comme de gauche afin de casser les clivages mais aussi pour tenir compte du profil des personnalités qui le soutiennent (Daniel Cohn-Bendit par exemple).
Est-ce qu’au final, il n’a pas été plus un candidat pour l’Europe que pour la France ?
On est en droit de se le demander, son programme ressemble comme deux gouttes d’eau à celui de Jean-Claude Juncker qui est le président de la commission Européenne.
De plus la France a signé un traité (le TFUE) dans lequel elle s’engage à renoncer à sa politique nationale et obéir à celle de la commission européenne, c’est-à-dire baisse des impôts sur les sociétés, augmentation de la TVA, casse du code du travail, etc… sous peine d’amende (évaluée à 4 milliards d’euros).
Au final, cela a été un joli coup des grands groupes économiques : Diviser la gauche ; saboter la droite et laisser Marine Le Pen au second tour face à Macron car les gens auront toujours peur des extrêmes et préféreront voter pour un autre candidat.
Du départ de la banque Rothschild jusqu’à l’Elysée, un plan machiavélique s’est déroulé grâce à la complicité des médias.
Voici un lien :Médias français qui possède quoi
D’abord remontons à 2012, François Hollande dit « Mon ennemi c’est la finance ! »
Pendant ce temps, Macron était à Londres pour rassurer les financiers en leur disant que François Hollande devait rassurer son électorat mais qu’évidemment il n’était pas question de rentrer en guerre contre eux.
La Haute finance a préparé l’après-élection : il y a eu un complot de ces institutions financières.
Explication : -Une note adressée à tous les marchés financiers fût interceptée, elle dévoilait le plan de la finance.
En résumé, cette note dit que Hollande va devoir choisir entre deux lignes de conduite, celle de plaire aux marchés financiers ou à ses électeurs. Rester dans la zone euro ou plaire à ses électeurs.
Pendant que Hollande utilisait son leitmotiv de gauche de lutte contre la finance pour plaire à ses électeurs, le plan de bataille de la finance était contre qui ?
Contre notre CDI !
Détruire le CDI, c’est ce qui a été fait par Macron, en commençant par la loi travail dite « loi El Khomri ».
Au passage, la ministre El Khomri a découvert la loi au dernier moment, quand son directeur de cabinet avait fini de tout rédiger. Cette loi venait exactement de Nicolas Philipponet, un analyste français à la commission européenne. Cette loi passa en force à coup de 49.3.
La commission européenne veut une flexibilité du travail (totalement différent du CDI).
La réaction de Hollande devait être de dire à son électorat qu’il allait demander à renégocier les traités européens. Cette demande aurait été utilisée pour tromper le public français en lui donnant l’illusion que les réformes correctes (du marché du travail) qui voulait lui faire accepter seraient le fruit d’une lutte acharnée contre l’Union européenne avec l’idée véhiculée que Hollande serait vainqueur alors que c’est faux en réalité. Le plan s’est déroulé comme cela et c’est ce qui a fait que Hollande s’est décrédibilisé devant ses électeurs car renégocier les traités est impossible, c’est une clause de l’appartenance à la zone euro.
Ce n’était qu’une mise en scène car en fait c’est la pression des marchés financiers qui mène le jeu.
Etant donné que tout cela a marché, on peut dire que la Haute Finance a réussi un coup de maître et Macron doit finir ce qu’Hollande a commencé.
Elle a manipulé Hollande en le confrontant à ces deux adversaires irréconciliables, elle pensait qu’il ne résisterait pas aux pressions des marchés financiers et de ses électeurs en même temps.
Profitant de cette brèche, Macron s’est imposé en invoquant un programme pro-européen totalement différent, avec une stabilité et une sécurité européenne, « une Europe plus forte ».
Elle était sûre qu’il se retrouverait au second tour face à Marine Le Pen.
Mais son élection, si on s’en tient à la constitution qui dit que la devise de la république est « Liberté, Egalité, Fraternité » et que son principe est « Gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple », ne serait-elle pas inconstitutionnelle ? Est-ce Macron ou la Haute Finance qui dirige maintenant le pays?
Quoi qu’il en soit ce n’est que la partie émergée de l’iceberg et je vous invite à regarder ce court métrage et cette émission censurée à la demande de Macron et Le Pen.*source: blogs.mediapart.fr / 16 OCT. 2017
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*********Manipulations et mensonges
Nabil Ennasri ( photo ci-dessous) s’exprime avec précision sur les conditions d’incarcération de Tariq Ramadan, sur la singularité de l’enquête et sur le traitement médiatique de l’affaire. Ennasri compare le traitement de Darmanin, accusé de viol (mais rapidement blanchi) et celui de Ramadan et en déduit que le « deux poids deux mesures » règne dans la justice française.
Les preuves de l’innocence de Tariq Ramadan par Nabil Enasri, docteur en science politique
**vidéo: Les preuves de l’innocence de Tariq Ramadan
**la prétendue impartialité de la justice françaises perd des preuves et des documents qui prouvent l’innocence de Tarik Ramadan
*****une conspiration orchestrée !
*Le Parquet perd la preuve de l’innocence de Tariq Ramadan
**on refuse aux avocats l’accès au dossier d’inculpation pour cacher les anomalies et les incohérences du parquet
**Lynchage médiatico-politique
***Depuis le 2 février 2018, Tariq Ramadan est détenu dans le quartier haute sécurité de la prison de Fleury-Mérogis (Essonne) et placé à l’isolement. Le 15 février, son état de santé s’étant considérablement dégradé en raison d’un manque de traitement médical – il est atteint d’une sclérose en plaques associée à une deuxième maladie non identifiée -, Tariq Ramadan s’est rendu en ambulance au palais de justice pour savoir si la cour d’appel le maintenait ou non en détention.
*Pour appuyer sa demande de remise en liberté, les avocats Yassine Bouzrou et Julie Granier ont remis au juge une lettre officielle du médecin de la prison stipulant que l’état de santé de Tariq Ramadan n’était pas compatible avec sa détention. Les avocats ont également proposé plusieurs garanties prévenant complètement le risque de fuite de leur client qui motive sa détention : remise de son passeport suisse (il n’en possède aucun autre), pointage quotidien au commissariat, interdiction de quitter le territoire, versement d’une caution de 50 000 euros.
En dépit de tous ces éléments, le tribunal a choisi de différer sa décision et réclamé un examen médical, renvoyant Tariq Ramadan en cellule quand des dispositifs moins risqués pour son état de santé étaient envisageables : le port d’un bracelet électronique ou l’assignation à résidence.
Une telle sévérité de traitement, notamment au regard d’irrégularité manifeste de la procédure judiciaire (perte d’un élément majeur fourni par la défense), rend légitimes les inquiétudes et les questionnements sur le caractère « particulier » que revêt désormais cette affaire.
Condamné avant même le démarrage de l’enquête judiciaire dans de nombreux médias et par des personnalités en guerre contre ses engagements religieux et politiques, Tariq Ramadan voit son droit à la présomption d’innocence massivement bafoué depuis cet automne. En outre il est aujourd’hui placé à l’isolement, sans aucune visite de ses plus proches ni coup de téléphone, quand d’autres personnes, cibles d’accusations semblables, présumées ou reconnues, ne sont pas mises en prison.
Face à cette sévérité et à cette inégalité de traitement, quel sentiment distille-t-on dans l’esprit des Français si ce n’est celui, déjà ancré, d’une justice à géométrie variable ? Quelle cause en faveur des femmes espère-t-on défendre en se montrant tout à fait intraitable à l’égard de certains et (peut-être) complaisant à l’égard d’autres ?
Les récentes campagnes sur les réseaux sociaux montrent à quel point les violences sexuelles faites aux femmes sont un phénomène majeur et grave, touchant l’ensemble de notre société. Et nous défendons avec force l’idée que le viol est un crime qui doit être sévèrement puni. C’est aussi pourquoi nous devons prendre garde à ce que ce mouvement en faveur des femmes, qui emporte aujourd’hui une adhésion beaucoup plus large, ne soit pas instrumentalisé à des fins politiques sans rapport avec la cause des femmes.
Ainsi, sans présager de l’innocence ou de la culpabilité de Tariq Ramadan, et dans le respect complet de la parole des plaignantes, nous défendons le droit de Tariq Ramadan à une procédure judiciaire régulière, ainsi qu’à sa libération immédiate au regard de son état de santé alarmant. Le respect des droits fondamentaux d’une personne, indépendamment de ses origines, de sa religion et de ses opinions politiques, est le socle sur lequel notre démocratie a bâti ses principes égalitaires.
Il est de notre devoir aujourd’hui de nous inquiéter d’un traitement judiciaire d’exception à l’endroit de Tariq Ramadan et de sonner l’alarme contre les motivations politiques qui pourraient contrevenir au bon fonctionnement de la procédure judiciaire et empêcher la vérité, quelle qu’elle soit. Il en va de notre intérêt à toutes et tous.*source: kassataya.com / jeudi, 08 mars 2018
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*****Pétition, « tempête » de tweets, vidéos… Le maintien en détention en France de l’islamologue suisse Tariq Ramadan est la cible d’une campagne de protestation contre les méthodes machiavéliques du parquet qui perd des preuves de son innocences et les mensonges explicites de ses dénonciatrices qui, elles, ne présentent que des déclarations et des paroles infondées. Depuis quelques semaines, des voix s’élèvent pour s’émouvoir du traitement judiciaire de l’intellectuel musulman de 55 ans, inculpé pour viols et écroué depuis le 2 février 2018., bafouant sa présomption d’innocence et son état de santé ignoré.
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Contingence des conservateurs dans la politisation du procès de Tariq Ramadan
A y regarder de près, cette affaire de viol, qui a été traitée avec une telle précipitation par la justice française, n’en constitue pas moins une coïncidence de taille, par le fait qu’elle est apparue au même moment où l’actuel Président français, Emmanuel Macron, s’apprête à son tour à réformer l’islam de France.
Par Youcef Benzatat - La précipitation de la justice française dans le procès qu’elle fait à Tariq Ramadan, par la violation du principe de la présomption d’innocence et son incarcération sur une simple plainte de viol avant même d’avoir rendu une décision de justice fondée sur des arguments irréfutables, s’apparente à un procès politique, dont l’objectif visé est de toute évidence la neutralisation de son rôle actif dans la normalisation de l’image de l’islam dans l’opinion publique. Une image qui a été largement entamée depuis l’avènement de l’équipe Bush Jr à la Maison Blanche avec sa « croisade » contre le terrorisme comme alibi. L’hystérie qui s’en est suivie à travers les médias avait fait basculer l’opinion occidentale dans une ambiance exécrable de rejet, de culpabilisation et de haine sans précédent de la religion musulmane et des musulmans généralement, sans discernement, sans relativisme et sans aucun recul critique.
C’est au moment où la dictature de la pensée, sur la soumission à la bipolarité de l’opinion sur la question de l’islam, triomphait, qui était alimentée par l’irresponsabilité historique et éthique de la thèse du « clash des civilisations », qu’émergea sur la scène publique le discours réconciliateur de Tariq Ramadan, qui se positionnait d’emblée comme une troisième voie, celle qui rejetait la dérive de cette bipolarité en déconstruisant systématiquement les arguments extrémistes des deux camps radicaux et totalitaires, d’un côté les salafistes extrémistes et de l’autre, les conservateurs occidentaux.
Son discours sur l’islam, qui s’avérera essentiellement réformiste, structuré, rationnel et progressiste, n’était probablement pas trop du goût de l’opinion opposée. Son réformisme était révolutionnaire en ceci, qu’il ne pouvait s’accorder avec les deux grands théoriciens du réformisme musulman contemporains que sont Mohamed Arkoun et Ali Merad. Le premier en soutenant la spécificité de la raison islamique, alors que Tariq Ramadan se revendique d’une raison universelle dans la lignée de l’un des plus grands réformateurs occidentaux qu’est Emmanuel Kant.
Ce qui l’amena à engager le débat avec des grandes figures libérales occidentales, avec qui il publia plusieurs ouvrages, notamment Edgar Morin, dans une perspective de promotion d’un islam positif et ouvert au dialogue.
Cette collaboration heureuse vers une déconstruction de la bipolarité voulue par les conservateurs des deux bords et la promotion d’un Islam de France et par-delà, de l’Europe, au même titre que le christianisme ou le judaïsme, s’est confronté à une opposition farouche de la part des hommes politiques conservateurs. Notamment l’ancien Président français Nicolas Sarkozy, qui imposera sa propre conception de l’islam de France, qui n’a fait que radicaliser et reculer l’intégration des musulmans de France dans la République.
A y regarder de près, cette affaire de viol, qui a été traitée avec une telle précipitation par la justice française, n’en constitue pas moins une coïncidence de taille, par le fait qu’elle est apparue au même moment où l’actuel Président français, Emmanuel Macron, s’apprête à son tour à réformer l’islam de France.
Comme ses prédécesseurs, ce dernier semble lui aussi tourner le dos à cette troisième voie, voulue par Tarik Ramadan et des hommes influents avec qui il a pris langue sur la question de l’Islam en Europe en général.
Il y a quelques années, Tarik Ramadan avait été contacté par plusieurs représentants de partis socio-démocrates européens, y compris Cambadélis et D’Alema (Parti Démocrate italien). Ils avaient formé un groupe de réflexion sur l’islam en Europe, qui continue à nos jours. Récemment, en 2017, a eu lieu en Italie une conférence sur le sujet, que la revue Micromega, proche du Parti Démocrate et de la gauche modérée italienne, avait publié la vidéo sur sa une durant plusieurs mois. En parallèle à cela fut publié un débat sur le sujet entre Tarik Ramadan et Paolo Flores d’Arcais, rédacteur en chef de cette revue.
Déjà en 2015, un grand débat eut lieu entre Massimo D’Alema, en tant que président de la Fondation européenne d’études progressistes et Tariq Ramadan, président du European Muslim Network, qui se conclura par une observation commune :
« Si l’Europe n’est pas capable de construire un espace de cohabitation durable, elle remet en cause l’existence même du projet d’Union Européenne et au-delà ce qui fait la richesse de nos nations : cet héritage culturel sur lesquelles se fondent nos valeurs. » Il s’agit d’un appel sans détour à la consolidation d’un islam européen.
Ceci dit, avec cette influence considérable de Tarik Ramadan auprès de la gauche européenne, il est difficile de penser qu’il n’y aurait pas de raisons politiques qui se mêlent à la manière dont est traité le dossier de l’enquête de ce viol présumé, comme cela a été souligné par plusieurs analystes. En outre, sa condamnation sans nuance de la colonisation de la Palestine par Israël reste un facteur déterminant et une motivation de plus à vouloir faire taire Tarik Ramadan et les idéaux pour lesquels il milite depuis près d’un quart de siècle.
Y.B.*mediapart.fr / 08 mars 2018
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COMMENTAIRES
Serge Prilias
6 mars 2018 – 19 h 20 min
Je me mets à la place des accusatrices qui ont balancé certains porcs mais qui n’ont pas obtenu le résultat de la pesée de l’espèce porcine contrairement au ticket de pesée obtenu instantanément pour Tariq Ramadan avec le concours d’une coalition hétéroclite contre-nature dont les membres bénévoles se sont alliés et attelés à ligoter le bouc brun et l’immobiliser afin de ne pas fausser la pesée ?
Je parle là de Caroline la Mythomane, reine du royaume mensonger de France et de Navarre qui a recouvré soudainement une crédibilité auprès des médias, de la justice et de l’opinion publique et qui est l’auteur de « louve-rage » prétendument écrit par Henda Ayari dont elle est le mentor et la télécommande.
Je parle là de Manuels Valls, alias Manuel le « GIF laid » soucieux de redorer un blason terni par sa calamiteuse gestion des affaires de la France lorsqu’il occupait le poste de premier ministre et de camoufler pernicieusement (à travers son opportunisme dans l’affaire Tariq Ramadan), son ralliement à l’idéologie nouvelle conjugalo-sioniste.
Je parle là de l’idiot utile de « à scène Charles Goumier », le charabiesque imam-saltimbanque proclamé théologien à solde par les gouvernants, de droite comme de gauche, de la république française généreuse et civilisatrice.
Je parle là des super-féministes défenderesses sélectives qui se sont tellement égosillées au début qu’elles en ont perdu la voix pour émarger dorénavant aux abonnées absentes pour toutes les affaires autres que celles impliquant Traiq Ramadan.
Je parle là de l’ex : fonctionnaire Bernard Godard, l’ancestral directeur des RG à la retraite qui reprend volontairement et unilatéralement du service et qui oublie ses obligations de réserve en vue d’enfoncer Tariq Ramadan puis revenir couler des jours heureux dans sa douce et calme retraite.
Je parle là de la fossile animatrice-télé Anne Sinclair, la vertueuse dame indemne de reproche, qui veut revenir au plus haut niveau de la scène en escaladant un corbillard.
Je parle là des enquêteurs qui « perdent » une pièce du dossier, en l’occurrence une preuve à décharge, capitale pouvant innocenter le présumé coupable.
Je parle là de la promptitude, de l’efficacité et de l’efficience inhabituelle des magistrats qui se réconcilient soudainement avec la rigueur des procédures judiciaires négligées ou totalement oubliées dans d’autres affaires.
Je parle là du torche-cuI de Charlie-Hebdo qui consacre sa Une au lynchage du penseur musulman en –y- mêlant sa religion mais dont les « courageux » clowns se gardent bien d’ironiser sur les porcs d’une autre communauté protégés par un puissant Lobby anti-virus et anti-pesée.
Enfin, je parle là de la réserve à deux poids égal deux mesures des médias, tantôt bruts, assourdissants, prolixes, volubiles, expansifs, insouciants, sans réserve, francs, « courageux », impartiaux et qui vont au fond des choses, et, tantôt, silencieux, souvent à cours d’idées et d’inspiration, professionnels, « honnêtes », timorés, pondérés, réservés, méticuleux et précautionneux.
Et nos journalistes et animateurs de plateau-TV sont tellement respectueux de l’éthique et de la déontologie de la profession et combien indulgents et prudents lorsque l’antivirus BHL, au nom du Lobby juif, les a menacés de sévère châtiment en cas de commérages sur un des enfants de sa tribu comme dans l’affaire Frédéric Haziza immédiatement tue et occultée et qui a vu l’accusé reprendre normalement son boulot.
Et Frédéric Haziza n’a été nullement inquiété ni par les super-féministes « implacables » ni par les magistrats « impartiaux et probes » ni par les journalistes qui n’ont pas « froid aux yeux » ni par les animateurs de plateaux-TV « qui n’y vont pas avec le dos de la cuillère » ni par les politiques « revanchards » ni par la « vertueuse » ex:animatrice fossile amnésique « ni saine ni claire » qui serait mieux avisée de balayer devant sa porte ni également du papier-cleanex de Charlie-Hebdo qui lorsqu’il s’agit des porcs d’une certaine communauté retrouve soudainement le sérieux et sait distinguer les lignes rouges à ne jamais franchir.
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Comment la France exécute les chefs d’Etat africains depuis plus d’un siècle.
**vidéo: Comment la France exécute les chefs d’Etat africains
*****des Français eux-mêmes dans cette vidéo, parlent des procédés criminels utilisés en Afrique pour menacer et faire plier les chefs d’Etats africains en n’hésitant pas à les assassiner.
**une autre vidéo sur le même sujet
**Comment la France tue, et pille l’Afrique ?
**Comment le nouvel ordre mondial a tué Mouammar Khadafi
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Dix milliards d’euros libyens « gelés » en Belgique ont disparu
***Plus de dix milliards d’euros issus de fonds libyens gelés en 2011 à la suite d’une décision des Nations Unies ont disparu de comptes ouverts chez Euroclear Bank entre la fin 2013 et fin 2017, révèle jeudi Le Vif.
Dans sa réponse, M. Van Overtveldt fait référence à un règlement du Conseil européen du 18 janvier 2016 qui remplace un règlement pris en 2011. L’article 5.4 prévoit qu’une série de fonds se trouvant hors de la Libye et contrôlés par deux entités à la date du 16 septembre 2011 restent gelés. Ces entités sont la Libyan Investment Authority et la Lybian Investment Portfolio. Une interprétation du groupe « Relex » (conseillers pour les relations extérieures) du Conseil européen précise toutefois que les intérêts de ces fonds gelés depuis 2011 peuvent être libérés. Le règlement impose une obligation de confidentalité.
« Les montants des fonds gelés propriété de l’État libyen ont été communiqués à la Libye. Certaines entreprises ont été remboursées d’initiative libyenne sans qu’aucune demande de dégel de fonds de sa part n’ait été introduite. Aucune autorisation n’a donc été délivrée et de ce fait, il est impossible d’avoir une idée exacte des sommes qui ont été remboursées ou des acteurs de ces transactions », a indiqué le ministre.
Le 20 février, Georges Gilkinet a posé une nouvelle question au ministre des Finances, notamment sur l’interprétation -étonnante à ses yeux- du groupe Relex.
« Il n’y a de nombreux indices que la Belgique n’a pas respecté le règlement de l’ONU obligeant un gel des avoirs libyens dans des banques belges. Des montants d’intérêt très importants ont été libérés. Qui a autorisé le dégel de ces avoirs? Qu’est-ce qui justifiait cette décision? A qui ces fonds ont-ils été versés? N’ont-ils pas servi au financement d’actions terroristes? Ce sont des questions que je pose depuis des mois et auxquelles j’espère bien avoir enfin réponse. C’est, à tout le moins, une question de crédibilité de la Belgique sur le plan international », a-t-il commenté jeudi 08 mars 2018.* 8/03/2018 – Source: Belga
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22 présidents africains assassinés par la France depuis 1963
***Depuis 1963, plus de 22 présidents Africains, alors au pouvoir, ont été assassinés : beaucoup d’entre eux, gênent les puissances coloniales en place et surtout la France dans notre continent d’Afrique
kadhafi mouammar guide revolutionnaire libyen tripoliBien sur, vous connaissez le SDECE, la DGSE et la DST? Eh bien, ce sont trois services de renseignements français qui ont la réputation de faire des coups d’Etat en Afrique.
Depuis de Gaulle, les autorités françaises dénigrent les Africains de cette façon? Comptons le nombre des coups d’État et que la France a préparés, dirigés et soudoyés en Afrique, cela mérite une plainte à la cour pénale internationale contre l’état français. Pourtant les crimes français sont bien connus et les documentaires inondent les télévisions françaises et africaines pour bien se rendre compte qu’effectivement la France tue, empoisonne et pille en Afrique. Le Service de documentation extérieure et de Contre- espionnage (SDECE) a la charge de la «désinformation». Il prépare lui aussi, réussit ou manque des coups. Son territoire privilégié est l’Afrique. La DGSE est le principal service secret vers l’étranger, qui a en charge le contrôle des «gouverneurs à la peau noire». Il y a un autre la DST (Direction de la sécurité du territoire) qui s’occupe de l’intérieur et de l’extérieur de la France pour diverses raisons. D’abord parce qu’il s’agit de protéger la France des dangers de l’immigration. Ensuite, la DST, qui est une police politique, fait la coopération avec l’ensemble des polices politiques de toutes les dictatures du monde. Après la DGSE, la DST et le SDECE, il y a la Direction du renseignement militaire, le poisson- pilote de l’armée qui fait la propagande de la France lors des conflits en Afrique.
DE DE GAULLE A SARKOZY : TEL PÈRE, TEL FILS
De Gaulle a sacrifié les indépendances africaines au profit de celle de la France. Pour quatre (4) raisons : – la première, c’est le rang de la France à l’ONU avec un cortège d’Etat clients qui votent à sa suite ; – la deuxième, c’est l’accès aux matières premières stratégiques (pétrole, uranium) ou encore (l’or, le bois, le cacao…) ; – la troisième, c’est le financement de la vie politique française, à travers des prélèvements sur l’aide publique au développement ou la vente des matières premières ; – et la quatrième raison, c’est le rôle de la France comme sous-traitant des Etats-Unis auprès des pays d’Afrique. Donc, pour ces quatre raisons, la France a mis en place un système qui nie les indépendances. Et, c’est pour ces quatre raisons que le sang coulé sur le continent. Au Cameroun : L’UPC, luttait pour obtenir l’indépendance.Nyobé a été écrasé entre 1957 et 1970 dans un bain de sang qui a fait entre 100.000 et 400.000 morts. Togo Plus d’un quart de siècle de dictature avec la complicité de la France. Trois ans à peine après l’indépendance de la jeune République togolaise, ce fut l’irruption brutale de l’armée dans la vie politique.
Le 13 janvier 1963, Sylvanus Olympio, le premier président démocratiquement élu est assassiné par le sergent Etienne Eyadema à la tête d’une clique d’anciens soldats, après la guerre du Vietnam. Ils ont fait un coup d’Etat avec l’appui de l’officier français qui était soi-disant chargé de la sécurité d’Olympio : ils ont assassiné ce président le 13 janvier 1963. Eyadema Etienne a passé plus de quarante ans au pouvoir. Il a fait un règne digne de Ceausescu et laissa un pays qui a sombré dans le chao et dans la pauvreté. Décédé en 2005, son fils Faure Eyadema le remplace et cela aussi n’a été possible qu’avec l’appui de la France. Centrafrique Il y avait un homme d’Etat prometteur, Barthélemy Boganda mort dans un accident d’avion extrêmement curieux.
Il ne connaitra pas l’indépendance, la vraie qu’il réclame pour son pays. Barthélemy Bogandatrouve la mort le 29 mars 1959, dans une catastrophe aérienne entre Berberati et Bangui, alors qu’il était en campagne à l’intérieur de son pays. Abel Goumba, médecin diplômé d’outre- mer, ministre d’Etat et président du Conseil de gouvernement, est chargé de l’intérim. David Dacko, jeune instituteur et héritier spirituel de Barthélemy Boganda et, avec l’appui des milieux français de Bangui, réussit à écarter Abel Goumba de la succession. En juillet 1959, l’Assemblée lui refuse les pleins pouvoirs. Il fait démissionner Abel Goumba resté au gouvernement.
Celui-ci fonde alors un parti d’opposition le MEDAC (Mouvement d’évolution démocratique de l’Afrique centrale). Le MEDAC n’aura qu’une courte durée. David Dacko dissout le parti et emprisonne ses dirigeants. La République centrafricaine de David Dacko en proie à de graves crises financières (détournements de deniers publics) au lieu de réagir et d’agir vite décide de remettre le pouvoir au chef d’Etat major le colonel Jean Bedel Bokassa le 1er janvier 1966.
La France érige le pays en Empire et pille les ressources centrafricaines. La suite ? Bokassa tombe et meurt dans la misère. Les Comores Deux chefs d’Etat assassinés et deux autres déposés par le mercenaire Bob Denard. Niger Le jour où le Nigérien Hamani Diori a voulu vendre son uranium à un autre pays, il a été déposé par un coup d’Etat militaire au cours duquel il perdit la vie.
ASSASSINES, PARCE QU’ILS ONT REFUSES D’ETRE DES «MARIONNETTES» DE LA FRANCE
Gabon Léon M’ba meurt d’un cancer à Paris à l’hôpital Claude Bernard le 26 novembre 1967. Germain M’ba parent très éloigné de Léon M’ba, Inspecteur des douanes, licencié en droit et diplômé de sciences politiques, il finit ses études à la fin des années 50, au moment où son pays obtient l’indépendance. Nationaliste comme tous les Africains qui ont usé leurs fonds de pantalons sur les bancs de l’université, il ne supporte pas l’idée que ce soit des «marionnettes» de la France qui dirigent le Gabon. M’ba entre dès 1960 dans la vie politique active et devient aussitôt «dangereux agitateur» pour les agents et politiciens français qui assurent sur place l’ordre et la sécurité.
Eloigné de Libreville par une importante nomination : secrétaire général adjoint à l’Union africaine et Malgache, il fait partie au début des années 60 du petit club des Africains francophones dont la voix compte sur la scène internationale. Le 19 Février 1964 les parachutistes français rétablissent Léon M’ba à la présidence. Le président démissionne de son poste pour marquer sa réprobation. L’affaire fait beaucoup de bruit et amplifie la campagne de presse contre l’attitude néo-colonialiste de Paris.
Germain M’ba apparaît depuis cette affaire comme l’empêcheur de tourner en rond. Rejeté par Paris et par Libreville, il entame alors son errance de paria de la communauté officielle franco- africaine. Il se réfugie d’abord à Brazzaville d’où il est expulsé peu après par les hommes dépendant des services de Jacques Foccart. Il s’installe à Kinshasa, où il est emprisonné pendant un mois. Rejeté d’Afrique, Germain M’ba revient finalement en Europe et collabore au journal Jeune Afrique dont il devient en 1965 le rédacteur en chef adjoint. Affaire Germain M’ba à Libreville 18 Septembre 1971, un diplomate gabonais est abattu. Sa femme et sa fille blessées.
Le cadavre disparaît. Tels sont les éléments d’une affaire ténébreuse qui soulève une vive émotion dans la capitale gabonaise. Dans la nuit de jeudi à vendredi, M. Germain M’ba ancien ambassadeur à Bonn nommé à Tokyo, rentre du cinéma en voiture, accompagné de sa femme et de sa fillette. Mme M’ba et sa fillette descendent de la voiture et entrent dans la maison. Au moment où M’ba ferme sa portière, un homme surgit de l’ombre et tire deux coups de pistolet sur lui.
Germain M’ba s’effondre en poussant un cri. Et depuis, rien sur cette ténébreuse affaire à Libreville qui interpelle le défunt président Albert Bernard Bongo. Rappelons que c’est sur injonction du vieux Houphouët-Boigny que le président gabonais a réintégré Germain M’ba dans le jeu politique.
21 PRESIDENTS AFRICAINS, ONT ETE ASSASSINES DEPUIS 1963
Depuis 1963 : Voici la liste des 21 présidents Africains, alors au pouvoir, ont été assassinés :
– EN 1963 : SYLVANUS OLYMPIO, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU TOGO –
EN 1966 : JOHN-AGUIYI IRONSI, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU NIGERIA
– EN 1969 : ABDIRACHID-ALI SHERMAKE, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DE SOMALIE
– EN 1972 : ABEID-AMANI KARUMÉ, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DE ZANZIBAR
– EN 1975 : RICHARD RATSIMANDRAVA, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DE MADAGASCAR
– EN 1975 : FRANÇOIS-NGARTA TOMBALBAYE, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU TCHAD
– EN 1976 : MURTALA-RAMAT MOHAMMED, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU NIGERIA
– EN 1977 : MARIEN NGOUABI, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU CONGO-BRAZZAVILLE
– EN 1977 : TEFERI BANTE, PRÉSIDENT DE LA RÉP. D’ETHIOPIE
– EN 1981 : ANOUAR EL-SADATE, PRÉSIDENT DE LA RÉP. D’EGYPTE
– EN 1981 : WILLIAM-RICHARD TOLBERT, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DE LIBERIA
– EN 1987 : THOMAS SANKARA, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DE BURKINA-FASO
– EN 1989 : AHMED ABDALLAH, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DES COMORES
– EN 1989 : SAMUEL-KANYON DOE, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DE LIBERIA
– EN 1992 : MOHAMMED BOUDIAF, PRÉSIDENT DE LA RÉP. D’ALGÉRIE
– EN 1993 : MELCHIOR NDADAYÉ, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU BURUNDI
– EN 1994 : CYPRIEN NTARYAMIRA, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU BURUNDI
– EN 1994 : JUVÉNAL HABYARIMANA, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU RWANDA
– EN 1999 : IBRAHIM BARRÉ-MAÏNASSARA, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU NIGER
– EN 2001 : LAURENT-DÉSIRÉ KABILA, PRÉSIDENT DE LA RÉP. DU CONGO-KINSHASA
– EN 2009 JOÃO BERNARDO VIEIRA, PRESIDENT DE GUINEE-BISSAU
– EN 2011 : MOUAMMAR KHADAFI, PRÉSIDENT DE LA REP DU LIBYE, ASSASSINÉ PAR LE CNT DE LA FRANCE.
source:sanslimitesn
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