La Chine, reine de l’automobile électrique
26042019*jnfos internationales diverses
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A la veille du Ramadan, Israël bombarde Gaza:
6 morts, dont une enfant de 2 ans et sa mère enceinte
***En cette veille de Ramadan, l’aviation israélienne a mené 150 raids sur une population emprisonnée dans la bande de Gaza, tuant 6 Palestiniens, dont une enfant de 2 ans et sa mère enceinte. Une quarantaine d’autres ont été blessés, selon le bilan envoyé à 23 H 30, heure de Gaza par Ziad Medoukh.*oumma.com- dimanche 05 mai 2019
***une parlementaire américaine dépose une loi pour sanctionner Israël
Une parlementaire états-unienne vient de déposer, pour la première fois, une proposition de loi visant à protéger l’enfance palestinienne contre les exactions d’Israël, et à condamner le financement par les Etats-Unis de l’aide militaire au régime d’apartheid.
Betty McCollum, 65 ans, est membre du Parti Ouvrier et Paysan, lui même affilié au Parti Démocrate. Elle est l’une des élues du Minnesota à la Chambre des Représentants depuis 2001, et a depuis lors confortablement réélue tous les deux ans à ce poste.
Sa proposition de loi vise à « promouvoir les droits humains pour les enfants de Palestine vivant sous occupation militaire », et exige que « l’argent du contribuable américain cesse de soutenir la détention militaire, les interrogatoires et les mauvais traitements, voire des cas de torture, infligés à ces enfants ».
La parlementaire s’appuie notamment sur les rapports, incontestables, de l’ONG israélienne B’Tselem. Dans un communiqué de presse, elle dénonce « le système israélien d’incarcération des mineurs, dont le but est d’intimider et de terroriser les enfants palestiniens et leurs familles ».
Les pratiques israéliennes dans ce domaine, poursuit-elle, constituent une violation patente du droit humanitaire international, et sont contraires aux valeurs du peuple américain ».
Enfin, Betty McCollum demande au Parlement de voter une ligne budgétaire de 19 millions de dollars, au profit d’ONG de défense des droits humains face aux abus perpétrés par l’armée israélienne contre les enfants de Palestine ».
« Je suis fermement convaincue que le peuple américain est maintenant convaincu que les Palestiniens ont droit à la justice, à l’égalité, et à l’auto-détermination. Le temps est venu de nous unir, Palestiniens, Américains, Israéliens et autres citoyens du monde pour nous opposer aux politiques guerrières et déshumanisantes du Premier Ministre Netanyahou et du Président Trump », conclut-elle.*oumma.com- 03 mai 2019
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*La Chine, reine de l’automobile électrique donne le ton au marché mondial
**Entre subventions et quotas, la Chine domine le décollage mondial de la voiture électrique et force tous les constructeurs à accélérer l’électrification de leur gamme – tandis que d’audacieuses start-up chinoises se préparent déjà à brancher leurs modèles en Europe.
De 4×4 urbains en berlines haut de gamme, les nouveaux véhicules électrifiés tiennent la vedette au salon automobile de Shanghai : GM, Nissan, Ford ou Renault avec sa citadine K-ZE, peu échappent à la lame de fond. Sur le colossal marché chinois, les voitures électriques et hybrides représentent 4%, mais leurs ventes ont grimpé en flèche de 62% en 2018, à 1,3 million d’unités écoulées… à contre-courant des autres segments, en berne.
Pour les groupes étrangers, impossible de faire l’impasse : nouveau venu, Renault se concentre d’emblée sur l’électrique car « c’est le segment qui monte », reconnaît son patron Thierry Bolloré. « Dans l’électrique, il faut d’abord réussir en Chine. Ce pays mène la danse en terme d’environnement réglementaire », insiste Stephan Wöllenstein, patron de Volkswagen Chine.
Les défis abondent : le géant asiatique accapare la moitié (56%) des ventes mondiales de voitures électriques, et le marché est monopolisé en Chine à plus de 90% par des marques locales, comme celles du leader BYD ou des géants étatiques SAIC et BAIC. « Les marques étrangères n’ont pas trop réussi. Peut-être connaissions-nous mieux l’attente des consommateurs et, technologiquement, nous étions préparés au décollage », grâce notamment à l’embauche d’ingénieurs étrangers réputés, explique à l’AFP Li Yunfei, vice-directeur général de BYD. Avec 227 000 véhicules électrifiés vendus l’an dernier, BYD est le numéro un mondial sur ce créneau. « Les Chinois sont partis plus vite » mais, sans une vigoureuse impulsion étatique, ce décollage n’aurait pas eu lieu, nuance Laurent Petizon, expert d’AlixPartners. « Mesures incitatives stables, infrastructures de recharge, usines de batterie, norme unique de recharge… la seule main du gouvernement chinois dirige tout, on ne voit pas ça ailleurs. »
Pékin accorde depuis plusieurs années de généreux rabais fiscaux aux acheteurs d’un véhicule propre – de quoi gonfler les ventes et faire exploser l’offre, avec plusieurs dizaines de constructeurs recensés. Si bien que le gouvernement a annoncé fin mars sabrer bientôt de moitié cette subvention avant sa suppression l’an prochain, pour encourager la compétitivité et stimuler l’innovation. BYD applaudit : « Le dernier durcissement réglementaire en 2015 avait écarté les incompétents abusant des subventions. Cette fois, il s’agit de doper les meilleurs produits et technologies en éliminant nouveaux entrants et canards boiteux« , affirme M. Li. Même sans avantage fiscal, les constructeurs étrangers misent sur l’électrique, tendance lourde : « Il reste de fortes incitations non fiscales, des facilitations pour obtenir une immatriculation dans les grandes villes », assure Hubertus Troska, patron de Daimler Chine. Surtout, l’industrie n’a guère le choix : Pékin impose depuis cette année des quotas draconiens de production de voitures électrifiées à tous les constructeurs. Sous pression, ceux-ci ont multiplié les filiales dédiés à l’électrique pour gonfler leur offre. L’américain Tesla, lui, construit une usine près de Shanghai, mais se trouve déjà contesté sur l’électrique haut de gamme par des rivaux locaux comme Nio.
Des groupes chinois lorgnent désormais l’international : les complexes procédures d’homologation de moteurs thermiques liées aux émissions entravaient l’accès aux marchés américain ou européen, mais « l’électrique élimine cette barrière à l’entrée », observe Xavier Mosquet, expert du cabinet BCG. « Certains y voient le cheval de Troie des Chinois » pour pénétrer les marchés occidentaux, abonde M. Petizon. Avancés technologiquement, ils contrôlent déjà capacités de production de batteries et matières premières indispensables.
Les groupes étatiques BAIC et GAC (présent aux derniers salons auto de Paris et Détroit) affichent leurs ambitions. BYD, lui, fabrique et commercialise déjà des bus électriques aux États-Unis et en Europe, mais sans franchir le pas des voitures. Finalement, des start-ups chinoises pourraient précéder ces grands constructeurs : Aiways, fondée en 2017, prévoit de commercialiser dès 2020 en Europe un SUV électrique et hyper-connecté produit en Chine avec des coopérations allemandes. Lynk&Co, start-up lancée par le chinois Geely, propose depuis 2017 en Chine ses modèles premium branchés : ils seront disponibles l’an prochain aux Pays-Bas, assure son directeur Alain Visser. Mais avec une stratégie commerciale particulière : « Nous ne vendrons pas les voitures. Vous pourrez en conduire une en échange d’un abonnement mensuel, à la façon d’un Netflix automobile« , explique M. Visser. De quoi introduire progressivement la marque sur un marché européen très fermé.* algerie-eco.com – 20 avril 2019
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Le président chinois réuni un sommet des Nouvelles routes de la soie
Des projets « verts », viables financièrement et sans corruption: le président chinois Xi Jinping a tenté vendredi de répondre aux critiques contre son initiative des Nouvelles routes de la soie, accusée d’être un « piège de la dette » pour les pays pauvres.
Face à Vladimir Poutine et une quarantaine de dirigeants mondiaux réunis en sommet à Pékin, le président chinois, confronté à une guerre commerciale avec les Etats-Unis, a plaidé aussi contre le protectionnisme, mais sans représentants américains dans la salle pour l’écouter.
Pour la deuxième fois en deux ans, le chef de la deuxième économie mondiale a réuni autour de lui un sommet des Nouvelles routes de la soie, initiative qui vise à construire des infrastructures dans des pays en développement qui en ont cruellement besoin en Asie, en Europe et en Afrique. L’objectif est de cimenter les liens entre le géant asiatique et ses principaux partenaires commerciaux, dont il a besoin tant pour assurer son approvisionnement que ses débouchés. Mais les critiques lui reprochent de favoriser avant tout les entreprises chinoises et de constituer « un piège de la dette » pour les nations bénéficiaires de prêts accordés par des banques chinoises.
Cas d’école: le Sri Lanka, qui, incapable d’honorer ses remboursements, a déjà dû céder à Pékin le contrôle d’un port en eau profonde pour 99 ans. En réponse, Xi Jinping a plaidé en faveur de projets qui soient « viables budgétairement » pour les pays participants. « Tout doit être fait de manière transparente et nous devons avoir une tolérance zéro pour la corruption », a-t-il ajouté dans un discours d’une trentaine de minutes. Selon lui, la Chine va également promouvoir le développement « vert », alors que certains projets des Routes de la soie, notamment des barrages ou des centrales à charbon, sont parfois accusés d’entraîner des dégâts à l’environnement.
Dès jeudi, la directrice générale du Fonds monétaire international (FMI), Christine Lagarde, s’était félicitée à Pékin que la Chine s’attaque désormais aux questions d’écologie et d’endettement soulevées par son initiative.
Depuis le lancement du programme en 2013, la Chine a investi au total 80 milliards d’euros dans divers projets et les banques ont prêté entre 175 et 265 milliards, selon Pékin. Comme il l’a fait à plusieurs reprises depuis l’arrivée au pouvoir de Donald Trump, M. Xi a également appelé à « clairement » dire « non » au protectionnisme, un appel repris en écho par le président russe qui s’est exprimé juste après lui.
L’ancien président du Kazakhstan, Noursoultan Nazarbaïev, a appelé de son côté l’Union européenne à rejoindre l’initiative chinoise afin de créer « une union eurasienne globale ». Car les pays occidentaux dans l’ensemble traînent les pieds pour adhérer au projet chinois, officiellement intitulé « Initiative ceinture et route » — une ceinture terrestre à travers l’Eurasie et une route maritime.
A l’exception notable de l’Italie, premier pays du G7 à avoir rejoint l’initiative le mois dernier. Le chef du gouvernement italien, Giuseppe Conte, était vendredi le seul dirigeant d’un grand pays occidental présent à Pékin, aux côtés du président égyptien Abdel Fattah al-Sissi, du Premier ministre grec Alexis Tsipras ou encore du président suisse Ueli Maurer. La France était représentée par son chef de la diplomatie Jean-Yves Le Drian, tandis que les Etats-Unis n’ont pas envoyé de délégation.
Les Nouvelles routes de la soie ne sont pourtant pas « un club réservé à quelques-uns », a assuré Xi Jinping. Comme en réponse aux inquiétudes des Etats-Unis en matière commerciale, il assuré que son pays poursuivrait ses réformes et son ouverture. Il a notamment promis d’abolir les subventions « qui faussent la concurrence », une exigence des négociateurs américains qui sont attendus la semaine prochaine à Pékin pour une nouvelle série de discussions visant à mettre fin à la guerre commerciale entre les deux premières puissances économiques mondiales.algerie-eco.com – vendredi 26 avril 2019
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Pékin proteste contre les sanctions américaines sur le pétrole iranien
La Chine, l’un des principaux importateurs de pétrole iranien, a protesté mardi contre la décision des États-Unis de la sanctionner ainsi que d’autres pays si ces derniers continuent à acheter du brut à Téhéran. « La Chine fait part de sa ferme opposition à la mise en oeuvre de sanctions unilatérales par les États-Unis », a déclaré devant la presse le porte-parole de la diplomatie chinoise, Geng Shuang, estimant que la décision américaine allait « intensifier les troubles au Moyen-Orient ».
Le président américain Donald Trump a décidé de mettre fin dès le 2 mai aux dérogations qui permettaient encore à huit marchés (Chine, Inde, Turquie, Japon, Corée du Sud, Taïwan, Italie et Grèce) d’importer du brut iranien, pour « porter à zéro les exportations » et « priver le régime de sa principale source de revenus », a annoncé lundi la Maison Blanche.
Cette mesure, qui a provoqué une forte hausse des cours du pétrole, s’annonce particulièrement délicate pour Pékin, engagé dans de complexes négociations commerciales avec l’administration Trump et traditionnellement l’un des tout premiers clients de Téhéran. Selon l’agence spécialisée S&P Global Platts, l’Iran a exporté en moyenne 1,7 million de barils par jour en mars, dont près de 628 000 barils par jour vers la Chine. « La Chine appelle les États-Unis à respecter ses intérêts et préoccupations », a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. Sans préciser si Pékin suspendrait ou non ses importations de brut iranien, M. Geng a ajouté que la Chine continuerait à « sauvegarder les droits légitimes des entreprises chinoises ». « La mesure prise par les États-Unis ne pourra qu’intensifier les troubles au Moyen-Orient ainsi que sur le marché énergétique international », a-t-il averti.* algerie-eco.com – 24 avril 2019
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1 800 milliards de dollars de dépenses militaires mondiales
Le total des dépenses militaires des 29 membres de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord (Otan) s’élève à 963 milliards de dollars en 2018, soit 53% des dépenses mondiales, affirme le Sipri.
Les dépenses militaires mondiales ont augmenté, pour la deuxième année consécutive, d’environ 2,6%, selon le dernier rapport annuel du Stockholm International Peace Research Institute (Sipri), rendu public hier. “Le total des dépenses militaires mondiales s’élève à 1822 milliards de dollars en 2018, soit une augmentation de 2,6% par rapport à 2017”, lit-on dans le communiqué de presse publié par le Sipri.
“En 2018, le total des dépenses militaires mondiales a augmenté pour la deuxième année consécutive, atteignant leur niveau le plus élevé depuis 1988 – première année pour laquelle des données mondiales cohérentes ont été disponibles. Les dépenses mondiales sont désormais 76% supérieures au niveau le plus bas de l’après-guerre froide en 1998”, détaille cet institut, précisant que les États-Unis et la Chine totalisent à eux seuls plus de la moitié de ces dépenses. “Les cinq plus grands dépensiers en 2018 – États-Unis, Chine, Arabie Saoudite, Inde et France – concentrent à eux seuls 60% des dépenses militaires mondiales”, expliquent les rédacteurs du rapport, précisant par ailleurs que “les dépenses militaires des États-Unis augmentent pour la première fois depuis 2010, tandis que celles de la Chine augmentent pour la vingt-quatrième année consécutive”.
Allant dans le détail, le Sipri affirme que “les dépenses militaires des États-Unis augmentent – pour la première fois depuis 2010 – de 4,6%, pour atteindre 649 milliards de dollars en 2018”. Cela peut s’expliquer, dans le cas des États-Unis, par la politique militariste de l’actuel président Donald Trump, qui justifie ces dépenses par la présumée menace russe contre Washington. “L’augmentation des dépenses des États-Unis est imputable à la mise en œuvre dès 2017 de nouveaux programmes d’achat d’armement sous l’administration Trump”, précise Aude Fleurant, directrice du programme Amex du Sipri. Quant à la Chine, ses dépenses militaires sont allées crescendo au même rythme de sa croissance économique, mais il y a aussi cette guerre autour du contrôle de la mer Jaune. “La Chine, deuxième plus grand dépensier au monde, a augmenté ses dépenses militaires de 5,0% pour atteindre 250 milliards de dollars en 2018”, soit “presque dix fois supérieures à celles de 1994 et représentent 14% des dépenses militaires mondiales”, explique cet institut. “L’augmentation des dépenses militaires chinoises va de pair avec la croissance économique globale du pays”, souligne Dr Tian. “Depuis 2013, la Chine alloue chaque année 1,9% de son PIB aux forces armées”, ajoute-t-il.
Par ailleurs, plusieurs pays de l’Est et Sud asiatique ont augmenté leurs dépenses militaires, comme l’Inde (+3,1%), le Pakistan (+11%, le même niveau de croissance qu’en 2017), la Corée du Sud (+5,1%, la plus forte augmentation annuelle depuis 2005), souligne ce rapport qui explique ces chiffres par “les tensions entre les pays en Asie ainsi qu’entre la Chine et les États-Unis”, considérés comme “les principaux moteurs de la croissance continue des dépenses militaires dans la région”, selon Siemon Wezeman, chercheur principal au programme Amex du Sipri.*Par Lyes Menacer - Liberté- mardi 30 avril 2019
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7 nouveaux pays africains produiront du pétrole et du gaz d’ici 2022
L’Afrique comptera d’ici 2022 pas moins de sept nouveaux pays producteurs de pétrole et de gaz, ce qui fournira de nouvelles ressources financières au continent ont indiqué des économistes, cités par des médias étrangers.
Avec 115 milliards de barils de pétrole et 21.000 milliards de m3 de gaz encore à découvrir, l’Afrique comptera d’ici 2022 le plus grand nombre de nouveaux pays exportateurs d’hydrocarbures, ont-ils noté.
Pour le pétrole, précise le directeur de recherche à l’Iris (Institut de relations internationales et stratégiques), Francis Perrin, il y aura de façon sûre l’Ouganda et le Sénégal dans les quelques années qui viennent, probablement aussi le Kenya.
« Pour le gaz, nous aurons le Sénégal, la Mauritanie, le Mozambique et la Tanzanie, là encore de façon sûre entre maintenant et 2022-2023. »
L’Afrique centrale, historiquement la mieux dotée en ressources pétrolières, est aussi la région dont l’économie se porte le plus mal depuis 2014, avec la chute des cours. Or, elle retombe dans les mêmes pièges, constate l’économiste au Policy Center for the New South, Mouhamadou Ly.
« Les premiers chiffres nous donnent vraiment l’impression que les dépenses publiques repartent exactement à la hausse avec les cours du pétrole. Cela laisse présager que les pays n’ont peut-être pas retenu la leçon de 2014. Donc, il faut tirer la sonnette d’alarme, que ces pays engagent des réformes structurelles profondes principalement la diversification de leurs économies et adapter leurs politiques surtout monétaires et des changes aux caractéristiques de leurs économies », a-t-il expliqué.
L’économiste est également très inquiet pour le Sénégal où enflent déjà les demandes de partage de la rente pétrolière alors que le pays n’a pas encore produit le premier baril.
« Ce que l’on note, c’est une sur-politisation de la question des ressources naturelles et cela présage une future captation de rente avec beaucoup de corporations qui auront de plus en plus de revendications d’ordre financier et budgétaire, qui vont mettre la pression sur les autorités pour augmenter les dépenses », a-t-il enchainé.
« N’oublions pas que le pétrole ne va arriver que dans cinq ans ou six ans. Est-ce qu’augmenter les dépenses maintenant sera soutenable ? » s’est-il interrogé.
Le Ghana, qui avait fait cette erreur, vient à peine de retrouver sa souveraineté financière, après quatre ans de tutelle du FMI, et il est toujours très endetté.* algerie-eco.com – 23 avril 2019
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