Israël risque de laisser des plumes

11 02 2018

****Record d’impopularité pour Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe selon un sondage

Israël risque de laisser des plumes dans actualité

27 févr. 2018

Avec des scores en chute libre, moins 6 points pour le président français et moins 7 pour son Premier ministre, les deux hommes à la tête de l’Etat ont atteint leur plus bas niveau de popularité depuis leur prise de fonction, selon un sondage.

Un sondage Odoxa diffusé le 27 février a révélé que les cotes de popularité d’Emmanuel Macron et d’Edouard Philippe avaient chuté respectivement de 6 et 7 points en un mois pour atteindre leur plus bas niveau depuis leur entrée en fonction en mai 2017. 

Avec 43% (-6) des Français interrogés qui pensent qu’il est «un bon président de la République», le chef de l’Etat perd un total de 11 points depuis décembre, tandis que le chef du gouvernement a perdu 14 points.

Emmanuel Macron se situe désormais 1 point en dessous de sa cote de septembre/octobre (44%), jusqu’alors son plus bas niveau, selon cette enquête pour L’ExpressLa Presse régionale et France Inter.

Le chef de l’Etat entraîne le Premier ministre qui perd pour sa part 7 points, avec 43% également d’opinions favorables.

Emmanuel Macron perd notamment en popularité auprès des sympathisants de gauche hors PS (-6), de ceux de droite (-4) et du Front national (-10). Edouard Philippe perd sur l’ensemble de l’électorat, hormis les proches de La République en Marche (+5).

La plupart des personnalités pour lesquelles les Français éprouvent le plus de sympathie connaissent une hausse de popularité en février. Avec en tête Nicolas Hulot (36%, +2), Alain Juppé (34%, +1), Jean-Luc Mélenchon (30%, +4) et Nicolas Sarkozy (28%, +4). Gérard Collomb perd 3 points à 20% et Laurent Wauquiez en perd 1 à 14%.

Enquête réalisée en ligne les 21 et 22 février 2018, auprès de 973 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas. Marge d’erreur de 1,4 à 3,1 points.

*RT - mardi 27 février 2018

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Haro sur les «manipulateurs médiatiques» : Mélenchon prend la défense de Wauquiez

Harosur les «manipulateurs médiatiques» :

Mélenchon prend la défense de Wauquiez

27 févr. 2018

Jean-Luc Mélenchon aime à pointer les collusions politico-médiatiques et à brocarder les «manipulateurs médiatiques». Il s’en donne de nouveau à cœur joie sur son blog, allant même jusqu’à prendre la défense de Laurent Wauquiez.

Dans une nouvelle note publiée le 26 février sur son blog personnel, L’Ere du peuple, Jean-Luc Mélenchon tire à boulets rouges sur «le parti médiatique» et les «bonzes du journalisme».

Déroulant sa vision personnelle de la mécanique médiatique, le chef de file de La France insoumise (LFI) brocarde avec éloquence «l’ampleur de la décomposition morale et professionnelle de ce milieu» et dénonce «le bashing quotidien» dont son mouvement politique fait, selon lui, l’objet «depuis six mois pleins». 

Les neufs milliardaires payent cher pour qu’une armée de lecteurs de prompteurs jaspinent dans les micros

A en croire le chef de file des Insoumis, les gargouillements médiatiques dont bruissent les rédactions françaises seraient directement provoqués par «neuf milliardaires» : «Tout cela ne nous fait donc pas perdre de vue l’essentiel. Il s’agit de la lutte pour le pouvoir. Les neufs milliardaires payent cher pour qu’une armée de plumes et de lecteurs de prompteurs jaspinent dans les micros les derniers ragots qui peuvent être dégainés.» 

Puis, il ajoute : «Si la motivation personnelle des gens qui acceptent une aussi basse besogne m’échappe, le sens de la manœuvre est lui bien clair.» Jean-Luc Mélenchon décrit alors un système de contre-feu médiatique qui aurait pour objectif de faire oublier la dégringolade d’Emmanuel Macron dans les sondages(qui a perdu six points d’opinions favorables en une semaine) : d’un côté, LFI serait opportunément attaquée sur ses comptes de campagne, tandis que, de l’autre, ce serait l’opposition de droite qui subirait les foudres des «manipulateurs médiatiques».

«Wauquiez s’est pris une lourde attaque globale du parti médiatique», diagnostique Jean-Luc Mélenchon, en référence à l’affaire des confidences enregistrées de Laurent Wauquiez lors d’une conférence à l’EM Lyon.

Wauquiez a fortifié son autorité et s’est débarrassé d’une nouvelle poignée de traîtres

Selon l’Insoumis, l’affaire est entendue : «L’opération est destinée à empêcher la droite de se regrouper autour de son parti traditionnel au moment où l’opération « Macron chef de toutes les droites » a du plomb dans l’aile du fait des sondages.»

Dorénavant, on ne peut plus nulle part parler librement

Il estime cependant que le patron des Républicains s’en tire à bon compte et que cette séquence lui aura permis de trier le bon grain de l’ivraie au sein de sa propre formation : «Dans l’épisode des « écoutes aux portes », Wauquiez a fortifié son autorité et s’est débarrassé d’une nouvelle poignée de traîtres. De son point de vue il s’est renforcé. Autant de tireurs dans le dos de moins pour le prochain épisode.»

De cet «épisode», Jean-Luc Mélenchon retient malgré tout, une «leçon» : «Dorénavant, on ne peut plus nulle part parler librement. La presse est ainsi la première ennemie de la liberté d’expression qui ne se confond pas avec la liberté de « tout répéter ».»- RT - mardi 27 février 2018

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Jean-Frédéric Poisson : Les Occidentaux ont sonné le glas de leur présence en Syrie (INTERVIEW)

Jean-Frédéric Poisson :

Les Occidentaux ont sonné le glas de leur présence en Syrie 

«Nous sommes toujours dans les mêmes errements sur la Syrie»

Le président du Parti chrétien-démocrate a livré à RT France son point de vue sur la position française sur les dossiers ukrainien et syrien. En outre, selon lui, les relations franco-russes s’amélioreront avec la levée des sanctions contre Moscou.

Interviewé par RT France, Jean-Frédéric Poisson a livré sa compréhension de la situation internationale et, notamment, sur les relations entre la Russie et la France. Le président du Parti chrétien-démocrate et ancien candidat à la primaire de la droite et du centre en 2016, estime que «depuis l’affaire de l’Ukraine, nous [la France] sommes mal embarqués».

Comme d’habitude les Américains et les Allemands nous font faire des bêtises en matière de politique étrangère dès qu’on passe la frontière est de l’Europe

«Nous avons suivi la politique que souhaitaient les Allemands et les Américains. Comme d’habitude les Américains et les Allemands nous font faire des bêtises en matière de politique étrangère dès qu’on passe la frontière est de l’Europe. Le président [François] Hollande n’a pas su prendre les distances qui s’imposaient à l’égard de ces deux grands Etats [...] C’est très dommageable», a-t-il estimé, au sujet de la politique occidentale sur le dossier ukrainien.

Jean-Frédéric Poisson assure également que «le vrai point de discorde entre nos deux pays [la France et la Russie] c’est la question des sanctions». D’après l’ancien député chrétien-démocrate, il existe une «perspective nette d’amélioration» dans les relations franco-russes qui se réalisera lorsque le président de la République française annoncera la levée des sanctions économiques anti-russes.

Sur le dossier syrien, Jean-Frédéric Poisson regrette que la position du Quai d’Orsay n’ait pas beaucoup changé depuis l’élection d’Emmanuel Macron en mai 2017 et que la France ne soit pas alignée sur la position russe, «qui est la seule [position] sage» sur cette question.

Nous avons, nous Occidentaux, par nos positions diplomatiques, [...] sonner le glas de notre présence dans cette partie du monde

«Nous sommes toujours dans les mêmes errements par rapport à notre vision du Proche-Orient et de la Syrie», déplore-t-il. Jugeant malvenues les menaces de frappes françaises en Syrie formulées par Emmanuel Macron, le président du parti chrétien-démocrate estime qu’il convient d’éviter «tout ce qui peut fragiliser le rétablissement d’un Etat syrien souverain».

Et l’ex-député de condamner la politique syrienne de l’Occident de ces dernières années : «Nous avons, nous Occidentaux, par nos positions diplomatiques [...] sonné le glas de notre présence dans cette partie du monde, pour un temps au moins, et nous avons d’une certaine façon perdu le peu d’influence que nous pouvions y conserver.» 

Proposer un front anti-Macron au-delà des partis

Jean-Frédéric Poisson a également livré son analyse de la situation politique en France. «Il n’y a plus d’offre politique structurée» selon lui depuis l’élection d’Emmanuel Macron. L’explosion du Parti socialiste, la déroute de la droite et le consensus au centre autour de La République en marche (LREM) aurait laissé un vide, notamment pour «tous les Français [...] critiques à l’égard de la construction européenne».

Le président du Parti chrétien-démocrate estime qu’une grande partie des Français est attachée aux mêmes valeurs que son parti : ceux qui «sont d’accord pour accueillir les musulmans pacifiquement mais ne veulent pas que l’islam se mette à conquérir l’Occident.» Il concède néanmoins qu’aucune formation politique structurée n’incarne cette position.

Expliquant sa stratégie politique, il assure avoir tiré les enseignements de la réussite d’Emmanuel Macron, qui avait, selon lui, proposé un consensus large sur des valeurs générales (en l’occurrence libérales et européennes) en se contentant de dire aux Français : «Le reste, on s’en arrangera.» Jean-Frédéric Poisson entend donc faire de même et rassembler, «au-delà des partis politiques», tous ceux qui veulent que «la personne [soit] une valeur dominante par rapport à la valeur du marché».*RT – 16 février 2018

 

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L’Iran menace Israël de créer «l’enfer pour les sionistes» après les agressions israéliennes contre la Syrie

10 févr. 2018

 
Des membres des Gardes de la révolution iraniens
 L'Iran menace Tel Aviv de créer «l'enfer pour les sionistes» après les frappes israéliennes en Syrie

Le ton monte entre Israël et Téhéran après que l’Etat hébreu a mené des frappes en Syrie contre des cibles «iraniennes». 

«Les affirmations sur le survol d’un drone iranien [dans l'espace aérien d'Israël] et l’implication de l’Iran dans l’attaque contre un avion de chasse sioniste est tellement ridicule qu’elle ne mérite pas de commentaire», a déclaré le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères Bahram Qassemi dans une allocution diffusée par la télévision publique le 10 février. 

Il a par ailleurs souligné que Téhéran intervenait uniquement en Syrie «à la demande du gouvernement légitime et légal» et que Damas avait «le droit de défendre son intégrité territoriale et de contrer toute forme d’agression étrangère».

Des soldats israéliens près du F-16 abattu

Le porte-parole faisait référence aux tirs du dispositif syrien de défense anti-aérienne, qui a abattu un F-16 israélien effectuant des frappes contre des cibles en Syrie.

De son côté, le général Hossein Salami, commandant-adjoint des gardiens de la Révolution cité par l’agence de presse iranienne Tasnim le 10 février 2018 a mis en garde Tel Aviv contre toute «action agressive», soulignant que l’Iran pourrait créer «l’enfer pour les sionistes».

Evoquant la politique de sanctions des Etats-Unis envers l’Iran, il a affirmé que Téhéran avait potentiellement le pouvoir de détruire «toutes les bases militaires américaines dans la région».

Les forces de sécurité israéliennes marchent près des restes du F-16 israélien abattu, près du village israélien de Harduf, le 10 février

Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a pour sa part affirmé : «Israël veut la paix, mais nous continuerons à nous défendre avec détermination contre toute tentative de l’Iran de s’ancrer militairement en Syrie ou ailleurs.»

Benjamin Netanyahou s’est entretenu le 10 février au téléphone avec le président russe Vladimir Poutine et avec le secrétaire d’Etat américain Rex Tillerson.

Washington s’est rangé comme d’habitude aux côtés des agresseurs d’Israël, affirmant dans un communiqué du département d’Etat : «Les Etats-Unis sont vivement préoccupés par l’escalade de la violence à la frontière d’Israël et soutiennent fermement le droit souverain d’Israël à se défendre.» Le département a par ailleurs dénoncé «les activités nuisibles de l’Iran dans la région».

Moscou a pour sa part appelé les différents acteurs à la plus grande retenue, estimant que les fr’habitudappes israéliennes en Syrie pourraient déstabiliser encore davantage la région et mettre en péril les zones de désescalade.*source: /médias- samedi 10 février 2018

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Un avion de ligne russe s’est écrasé après avoir décollé de Moscou, 71 victimes, aucun survivant

11 févr. 2018, 13:29

Un avion de ligne russe s'est écrasé après avoir décollé de Moscou, 71 victimes, aucun survivant© Vitaly Ankov Source: Sputnik
 

Un avion de Saratov Airlines en Russie s’est écrasé deux minutes après avoir décollé de Moscou, le 11 février. 71 personnes sont décédées. Les causes de l’accident sont indéterminées pour le moment, une enquête criminelle est ouverte.

Selon les services d’urgence russes, un appareil Antonov An-148 de la compagnie Saratov Airlines, transportant 65 passagers et six membres d’équipage a disparu des radars deux minutes après son décollage depuis l’aéroport Domodedovo à Moscou en direction de la ville d’Orsk dans l’Oural, près de la frontière russo-kazakh.

Les services d’urgence cités par l’agence de presse russe Tass ont déclaré que l’épave avait été retrouvée en banlieue Moscou et qu’il n’y avait aucun survivant. Le président russe, Vladimir Poutine, a exprimé ses condoléances aux familles des victimes.

«Beaucoup de fragments de corps», une enquête criminelle ouverte

Les causes de l’accident sont pour le moment indéterminées, mais les autorités ont annoncé qu’une enquête criminelle avait été ouverte.

Les images diffusées par les télévisions russes montrent des débris de l’appareil, aux couleurs oranges de Saratov Airlines, disséminées dans des champs enneigées. «A l’heure actuelle, les sauveteurs ont réussi à arriver sur le lieu du crash. Il y a beaucoup de corps et de fragments de corps», a déclaré une source à l’agence Interfax.

«L’avion se serait écrasé près du village d’Argounovo [district de Ramensky, près de Moscou]», a précisé une autre source des services d’urgence citée par l’agence Interfax, et d’ajouter : «L’équipe et les passagers n’avaient aucune chance de s’en sortir.» 

Le ministère russe des Services d’urgence a précisé qu’il vérifiait actuellement les informations relatives à ce crash du vol 6W703. Le ministre des Transports Maxim Sokolov a annoncé qu’il allait se rendre sur place.

«Plus de 150 personnes et environ 20 véhicules de secours se sont rendus sur le lieu du crash», a précisé dans un communiqué le ministère des Services d’urgence.

Déjà cinq accidents avec ce type d’appareils

Avion biréacteur fabriqué par le constructeur ukrainien Antonov, l’An-148 a réalisé son premier vol en 2004.

L’appareil qui s’est écrasé le 11 février avait été mis en service en 2010 et avait été utilisé par la compagnie Rossiya, avant d’être repris Saratov Airlines en 2017. Il s’agissait donc d’un appareil récent.

Ce court-courrier peut transporter jusqu’à 80 passagers sur une distance de 3 600 kilomètres. Selon l’agence AFP, depuis son exploitation l’avion a connu au moins cinq incidents impliquant le train d’atterrissage, le système électrique et le système de guidage.

Selon les agences, des témoins ont vu l’appareil en flammes tomber dans le village d’Argounovo. La carlingue de l’appareil a été disséminée sur un large périmètre autour du lieu du crash, a précisé Interfax.- source: francais.rt.com/  dimanche 11 février 2018

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