Tuerie au Japon
26 07 2016*****infos par-ci, par-là ** 48 **
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La Turquie a proposé à la Russie de partager en deux les frais de la construction du gazoduc Turkish Stream, y compris la partie qui passera sur le territoire turc.
Le président russe Vladimir Poutine et son homologue turc Recep Tayyip Erdogan ont exprimé, lors de leur rencontre à Saint-Pétersbourg, la volonté de relancer les projets énergétiques gelés depuis près d’un an, parmi lesquels ont compte la construction de la centrale nucléaire d’Akkuyu ainsi que celle du gazoduc Turkish Stream.
Le président turc a déclaré aujourd’hui souhaiter que Moscou s’acquitte des frais de construction de Turkish Stream.
« Nous avons communiqué (à la Russie, ndlr) qu’il n’y avait aucun problème avec le projet Turkish Stream. Nous avons seulement proposé de partager en deux les coûts de l’installation d’une partie du pipeline qui passera par notre territoire », a dit M.Erdogan.
M.Poutine et M.Erdogan sont déjà convenus que les frais de construction de la partie du pipeline traversant la mer Noire seraient également partagés en deux, selon le dirigeant turc.
Le 9 août, une rencontre entre les présidents de la Russie et de la Turquie, Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan, la première depuis la crise dans les relations bilatérales, s’est tenue à Saint-Pétersbourg.
Le résultat principal des négociations est le redémarrage des relations entre Moscou et Ankara après l’incident du Su-24 abattu.
MM.Poutine et Erdogan se sont déclarés disposés à rétablir la coopération tous azimuts. La partie russe a notamment confirmé son intention de lever par étapes les mesures économiques spéciales et d’autres restrictions à l’égard des entreprises turques. Les projets du gazoduc Turkish Stream et de la centrale nucléaire d’Akkuyu ont été dégelés.
En outre, il a été décidé de reprendre les vols charters et de résoudre les problèmes de visas entre les deux pays. Bien que la Turquie soit membre de l’Otan, M.Erdogan a déclaré qu’Ankara était prêt à coopérer avec Moscou en matière d’industrie de défense.
La crise dans les relations entre la Russie et la Turquie a éclaté en novembre dernier, le jour où un chasseur turc a abattu en Syrie un bombardier russe Sukhoï Su-24. Le président russe a qualifié cet incident de « coup porté dans le dos de la Russie » par des complices des terroristes.
Moscou a introduit plusieurs restrictions économiques contre la Turquie. Le président turc a répété à maintes reprises que la Turquie souhaitait normaliser les relations avec la Russie et qu’il ne comprenait pas quelle démarche la partie russe attendait de sa part. Quant à la Russie, elle a plusieurs fois déclaré attendre des excuses pour le Su-24 abattu.
Fin juin, Recep Tayyip Erdogan a fait le premier pas destiné à surmonter la crise qui avait duré environ sept mois. Le dirigeant turc a envoyé un message à Vladimir Poutine, contenant les excuses pour l’avion russe abattu et exprimant ses condoléances après la mort de son pilote.
Début juillet, Vladimir Poutine et Recep Tayyip Erdogan se sont entretenus par téléphone après quoi le président russe a informé le gouvernement de sa décision d’entamer une normalisation des relations économiques et commerciales avec Ankara.(Sputnik)–jeudi 11/08/2016 |
**La Turquie appelle la Russie à des opérations conjointes contre le groupe terroriste autoproclamé « Etat islamique » (EI, Daech) en Syrie, a annoncé jeudi le chef de la diplomatie turque Mevlüt Cavusoglu, dans la foulée de la réconciliation entre Moscou et Ankara.
Une délégation de trois responsables turcs représentant l’armée, le renseignement et les affaires étrangères se trouvait en Russie jeudi pour des discussions notamment sur la Syrie, a précisé le ministre.
« Nous allons discuter de tous les détails. Nous avons toujours appelé la Russie à des opérations anti-Daech…. notre ennemi commun », a dit M.Cavusolgu, dans une interview à la télévision privée NTV.
« La proposition est toujours sur la table ». Le ministre relance ainsi une proposition émise par Ankara avant la brouille avec Moscou consécutive à la destruction fin 2015 par la chasse turque d’un avion russe au-dessus de la frontière turco-syrienne.
Le président turc Recep Tayyip vient de faire une visite en Russie qui a remis la relation sur les rails, même si son homologue Vladimir Poutine a estimé qu’il faudrait un « travail difficile » avant de ranimer la coopération et les échanges.
La Syrie est l’un des grands dossiers sur lesquels Ankara et Moscou se sont jusqu’ici totalement opposés, la Russie soutenant militairement le président Bachar al-Assad dont Ankara réclame le départ.
« Combattons ensemble le groupe terroriste » Etat islamique, a dit le ministre turc des Affaires étrangères, « de manière à l’éliminer dès que possible » pour qu’il ne s’étende pas en Syrie ni à d’autres pays. (Aps)–jeudi 11/08/2016 |
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*Paris- vendredi 29 juillet 2016- grève à Air France :
139 vols annulés à l’aéroport de Roissy, vendredi 29 juillet
La grève des hôtesses et stewards d’Air France a provoqué l’annulation de 139 vols long et moyen-courriers au départ ou à l’arrivée de l’aéroport parisien de Roissy, vendredi 29 juillet au coup d’envoi du grand chassé-croisé de l’été, selon des sources aéroportuaires.
Au troisième jour d’une grève prévue jusqu’au 2 août, à Roissy 138 vols ont été annulés par anticipation et un avion pour Delhi a été supprimé « à chaud » vendredi matin. A Orly, 20 % des vols étaient annulés vendredi matin mais il est probable qu’il y aura des « annulations à chaud dans la journée, sur les moyen-courriers notamment », a précisé cette même source.
Lire aussi : Air France : une semaine de grève, 13 % des vols annulés
Plus de 80 % des vols assurés, selon la compagnie
Dans ses prévisions, Air France a prévu d’assurer vendredi « plus de 80 % » de ses vols, un niveau quasi identique à la veille. La compagnie anticipait jeudi le maintien de « plus de 90 % » des vols long-courriers, 85 % des vols intérieurs et 75 % des vols moyen-courriers de et vers Roissy.
Le personnel navigant proteste contre la reconduction pour dix-sept mois de l’accord d’entreprise fixant notamment les règles de travail, de rémunération et en matière de déroulement de carrière en ce qui concerne les hôtesses et stewards, jugeant cette durée « insuffisante ».
Le PDG du groupe Air France-KLM, Jean-Marc Janaillac, qui a pris ses fonctions au début du mois, a qualifié jeudi de « regrettable et agressif » le mouvement de grève, au « coût financier très élevé ».
Mais pour les syndicats, le « mouvement massif » déclenché mercredi est une réponse à « l’obstination » de la direction qui refuse « de garantir (des) conditions de travail et de rémunération sur une période décente ».
Alors que le texte en vigueur arrive à son terme au 31 octobre, l’UNSA-PNC et le SNPNC-FO réclament un nouvel accord d’une durée de cinq ans ou à durée indéterminée.(Agences)– vendredi 29 juillet 2016-
**Déjà 410 kilomètres de bouchons en France
La circulation était déjà difficile vendredi, classé rouge, avec un pic de 410 kilomètres de bouchons à 17H15, au premier jour du grand chassé-croisé entre « juilletistes » et « aoûtiens », avant un samedi noir dans le sens des départs, indique Bison Futé.
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*Cheikh salafiste Mohamed al-Arifi se fait tabasser à Londres
faites ce que je vous dis, mais ne faites pas ce que je fais!?
il appelle les jeunes musulmans à se diriger vers la Syrie pour le jihad. Et juste après, il s’envole pour la capitale britannique, pour …passer ses vacances.
*voir vidéo ici
Le Cheikh salafiste Mohamed al-Arifi, prédicateur wahabite saoudien a appelé les jeunes musulmans à se diriger vers la Syrie pour faire le jihad. Et juste après son appel, il s’envole pour la capitale britannique, pour …passer ses vacances.
Aussitôt, la blogosphère, Twitter et Facebook, se sont emballés pour critiquer cette façon peu amène du genre, faites ce que je vous dis mais ne faites pas ce que je fais, qui a irrité les internautes.
Même des journaux saoudiens n’ont pas été tendre vis à vis du cheikh salafiste. C’est ainsi que le célèbre quotidien saoudien Okaz a affublé Al-Arifi du titre de « cheikh des moudjahidines à Piccadilly », en référence à une grande avenue de Londres.
« Le cheikh des moudjahidines a déclaré le Djihad. Les cris des fidèles se sont élevés, répondant positivement à son appel. A la grande surprise de tous, le cheikh réserve en première classe (en avion) pour passer l’été à Londres […] Du point de vue militaire, le cheikh possède cinq millions d’adeptes qui le suivent quotidiennement sur Twitter. […] Le commandant des jeunes se trouve dans la capitale du brouillard, allongé sur le lit de l’un des plus luxueux hôtels de Londres, pendant que des centaines de jeunes, partis en Orient, meurent chaque jour, suite à son appel retentissant » ajoute Okaz.
Un autre quotidien saoudien Dammam, jouant sur le chapitre de l’ironie écrit : « L’homme n’a jamais dit qu’il vivait dans l’austérité […] Laissez-le tranquille et allez au djihad auquel il vous a appelé et cessez de le pourchasser, pauvre Arifi ! » Les critiques ont concerné aussi d’autres prédicateurs qui ont appelé les jeunes au jihad en Syrie, sauf que ce jihad ne concerne nullement leurs enfants. Un prédicateur, interrogé par la presse à propos de ses quatre enfants qui ne sont partis faire le jihad, a affirmé toute honte bue qu’ils sont à Ryad (capitale saoudienne) entrain de faire le plus grand des jihad.
Quant au cheikh Al-Arifi, il se défend en affirmant s’être rendu à Londres pour coordonner avec la chaine internationale Iqraa les programmes sur les événements en Syrie…
Durant ses vacances dans la capitale britannique, cheikh Al-Arifi a été pris à partie par deux hommes alors qu’il sortait d’un restaurant situé sur Oxford Street, l’avenue commerçante la plus longue au monde. Les deux personnes ont tabassé de coups le cheikh wahabite qui s’est retrouvé à l’hôpital.
Pour rappel, le Cheikh wahabite saoudien, Mohamed el-Arifi, est devenu célèbre depuis qu’il émis une fatwa intitulée ”ouverture de la porte du djihad par le mariage en Syrie”. Ce décret religieux tend à rendre légal d’un point de vue religieux, les rapports sexuels avec des filles syriennes, pour les mercenaires islamistes présents sur le sol syrien, non mariés ou loin de leurs épouses, qui pourront grâce à cette fatwa contracter mariage, pour une durée ne dépassant pas quelques heures, avec celles qui ne sont pas mariées ou celles qui ont été répudiées ou divorcées.*Par Khidr Ali | 23/** | algerie1.com
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*Attaque au couteau au Japon
19 morts et 25 blessés
Un ancien employé d’un centre pour handicapés mentaux, armé de plusieurs couteaux, a tué 19 personnes et en a blessé 25 mardi 2016 à l’ouest de Tokyo dans l’une des pires tueries de l’après-guerre au Japon.
L’attaque a été perpétrée aux premières heures du matin (vers 02H10 mardi, 19H10 à Bruxelles lundi) quand Satoshi Uematsu, 26 ans, a brisé une vitre pour pénétrer dans le bâtiment.
Le massacre s’est déroulé dans un endroit montagneux de la ville de Sagamihara, qui compte plus de 700.000 habitants et se trouve à une cinquantaine de kilomètres de la capitale japonaise. Ce vaste établissement, le Tsukui Yamayuri-en, est composé de deux édifices principaux hébergeant 150 personnes pour des séjours de longue durée et 10 de façon temporaire. Il comprend aussi une piscine et un gymnase. Le meurtrier présumé travaillait jusqu’à récemment dans ce centre qu’il avait quitté en février dernier, selon les autorités, pour des raisons qui n’ont pas été précisées. Il avait été licencié et en gardait rancune, a rapporté pour sa part NTV. Sur ces lieux d’ordinaire paisibles, où ont afflué dans la nuit ambulances, voitures de police et camions de pompiers, c’était la stupeur. « Je suis sous le choc », a commenté Chikara Inabayashi, 68 ans, qui habite près du centre. « J’ai été réveillé à 03H00 du matin par les sirènes qui hurlaient », a-t-il raconté. « On n’aurait jamais imaginé qu’un tel drame puisse arriver ». Non loin de là, les voisins du suspect faisaient part de leur étonnement. « Il est très souriant et nous dit toujours bonjour, il semblait être un bon garçon, c’est incroyable », a réagi Akihiro Hasegawa, 73 ans. Selon la chaîne publique NHK, il étudiait pour devenir instituteur. Pire tuerie depuis 1938
Ce drame apparaît comme l’un des plus sanglants au Japon depuis 1938, quand un homme muni d’une hache, d’un sabre et d’un fusil tua 30 personnes, avant de se donner la mort. Les tueries de masse sont rares au Japon, qui dispose d’une législation de contrôle des armes très stricte et d’un taux de criminalité relativement faible. Mais des déchaînements de violence aveugle et coups de folie meurtrière endeuillent occasionnellement l’archipel. En juin 2008, un homme de 28 ans, armé d’un couteau et au volant d’un camion, avait semé la panique dans le quartier électronique d’Akihabara à Tokyo, écrasant des piétons avant de poignarder des passants au hasard dans la foule avec une lame à double tranchant. Sept personnes avaient été tuées et 10 blessées. Le meurtrier a été condamné à la peine capitale. Quelques années plus tôt, en juin 2001, un homme avait pénétré dans une école primaire d’Ikeda, une banlieue cossue d’Osaka, où il avait poignardé à mort huit enfants. Dans un autre registre, une attaque au gaz sarin avait frappé Tokyo le 20 mars 1995, quand des membres de la secte Aum Vérité suprême avaient répandu cette arme chimique hautement toxique dans plusieurs rames de métro. Cet attentat avait tué 13 personnes et causé des maux divers, parfois irréversibles, à 6.300 autres.*7sur7 / 26/07/16 -Source: AFP
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Le Conseil de sécurité a appelé mardi à New York à la reprise des négociations entre le Front Polisario et le Maroc qui doivent aboutir à la tenue d’un référendum d’autodétermination du peuple sahraoui.
« Les membres du Conseil de sécurité ont souligné l’importance de la relance des négociations directes (entre le Front Polisario et le Maroc) pour parvenir à une solution politique garantissant le droit à l’autodétermination au peuple sahraoui », a déclaré le président du Conseil de sécurité, Koro Bessho.
Le représentant du Japon qui assure la présidence tournante du Conseil de sécurité s’exprimait au cours d’un point de presse tenu à l’issue du briefing d’Hervé Ladsous, le secrétaire général adjoint aux opérations de maintien de la paix sur la Minurso.
Interrogé si le Conseil avait abordé la lettre qui lui a été adressée vendredi par le Front Polisario et dans la quelle la partie sahraouie l’a exhorté à adopter une approche urgente pour la reprise des négociations, M. Bessho a répondu que « les membres (de cet organe onusien) » ont relevé l’importance de relancer ce processus politique ».
Les membres du Conseil se sont accordés sur la nécessité de reprendre les discussions et les consultations pour parvenir à une solution qui prévoit l’autodétermination du peuple sahraoui, a-t-il ajouté.
Le Front Polisario a dénoncé dans sa lettre les blocages dressés par le Maroc au processus onusien, en entravant la tenue d’un cinquième round de négociations prévu pourtant par la résolution 2285 (2016) prorogeant le mandat de la Minurso.
Dans sa déclaration à l’issue de cette réunion, tenue à huis clos et à laquelle a assisté Kim Bolduc, la représentante spéciale du SG de l’ONU au Sahara Occidental, M. Bessho a indiqué que l’organe onusien a été informé de l’état du rétablissement des activités de la mission conformément à cette résolution.
Pour rappel, la résolution accorde un délai de trois mois au chef de l’ONU pour informer le Conseil de sécurité sur la restauration des activités de cette mission, démantelée par des mesures de rétorsion prises par le Maroc en mars dernier.
« Le Conseil a exprimé le souhait que la Minurso puisse atteindre la fonctionnalité complète le plus tôt possible », a-t-il dit, en ajoutant que ses membres ont jugé important que la mission puisse exercer à nouveau pleinement ses fonctions.
Le constat établi par le secrétariat général de l’ONU et le Conseil de sécurité fait ressortir que « la mission n’a pas encore atteint la fonctionnalité complète », a-t-il enchaîné.
Les discussions au cours de cette réunion ont tourné autour des effectifs nécessaires au fonctionnement de la Minurso, selon Bessho qui a assuré que le Conseil de sécurité allait continuer à suivre l’évolution de ce dossier. Aucune date n’a été fixée pour le retour des autres groupes du personnel civil de la Minurso, a-t-il précisé. Jusqu’ici, seulement 25 des 85 membres civils de la mission ont rejoint leur postes à Laayoune. (Aps)—mercredi 27/07/2016 |
*** le Maroc n’a pas participé au sommet de l’Union Africaine de Kigali au Rwanda les 17 et 18 juillet 2016
La Commission de l’Union africaine (UA) a déclaré que le Maroc n’a pas participé à la 27ème Conférence des chefs d’Etat et de gouvernement africains à Kigali au Rwanda les 17 et 18 juillet 2016 et « il n’y a pas pris la parole », selon un communiqué de l’UA publié mardi.
Le président Idriss Deby Itno, président du Tchad et président en exércice de l’UA, « a informé la présidente de la Commission de l’UA, Nkosazana Dlamini Zuma, qu’il avait reçu un courrier du roi du Maroc Mohamed VI concernant l’intention du Maroc de joindre l’UA », affirme le communiqué publié sur le site de l’UA.
« Cette question ne figurait pas à l’ordre du jour du sommet et n’a pas non plus fait l’objet de discussions au cours des délibérations de la conférence des chefs d’Etat et de gouvernement », ajoute le texte.
A cet égard, la commission de l’Union africaine « voudrait citer l’article 29 de l’Acte constitutif de l’UA concernant l’admission comme membre de l’Union africaine, notamment : tout Etat africain peut à tout moment après l’entrée en vigueur du présent Acte, notifié au président de la commission, son intension d’adhérer au présent Acte et d’être comme membre de l’Union ».
Le président de la commission, « dès réception d’une telle notification, en communique une copie à tous les Etats membres. La décision de chaque Etat membre est transmise au président de la commission qui communique la décision d’admission à l’Etat interressé, après réception du nombre de voix requis ».
Par ailleurs, la commission de l’UA « voudrait rappeler que l’Acte constitutif ne contient pas de disposition relative à l’expulsion d’un membre quelconque de l’Union », conclut le communiqué de l’UA.(Aps) –mardi 26/07/2016 |
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Un étrange phénomène inquiète les scientifiques
Les effets du réchauffement climatique inquiètent les scientifiques en Sibérie (Russie) où des bulles de gaz se forment sous la surface du sol et modifient l’élasticité de la terre…
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*une équipe de jeunes Marocains exclue d’une compétition en Suède
Le comité d’organisation de la Gothia Cup, plus grande compétition de football pour les jeunes de 11 à 19 ans, a décidé d’exclure une équipe marocaine. La raison? L’implication de l’équipe dans une affaire de harcèlement sexuel.
Plusieurs journaux suédois ont en effet annoncé l’implication de l’accompagnateur de l’équipe, âgé de 36 ans, ainsi que de plusieurs dizaines d’adolescents dans une affaire de harcèlement de trois filles mineures qui participent l’organisation de la compétition. Toutefois, seul l’accompagnateur a été arrêté puisqu’il a été le seul à avoir été reconnu par les victimes.
Si la presse suédoise n’a pas révélé la nationalité de l’accompagnateur, se contentant de dire qu’il est d’origine « nord-africaine », nos confrères d’Aljarida24.ma ont, de leur côté, diffusé un rapport de la police suédoise, dans lequel la nationalité marocaine de l’accusé est clairement mentionné. Celui-ci aurait tenté de forcer les trois mineures à des attouchements, et a été filmé par des caméras de surveillance.
Les journaux suédois, qui font le point sur le harcèlement sexuel dans leur pays, indiquent que c’est la première fois que ce genre d’incident arrive durant la Gothia Cup, qui accueille 1600 équipes de plus de 80 pays, ce qui a poussé les organisateurs a exclure l’ensemble de l’équipe marocaine. (HuffPost)26/07/2016 |
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