La France sous l’emprise de la violence sociale ?

17062016

**infos par-ci, par-là  ** 45 **

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*La France sous l’emprise de la violence sociale ?

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	Mobilisation et violences contre la loi Travail

Le projet de la réforme du code du travail dit «loi El Khomri» mine, chaque jour un peu plus, la société française.

Socialement, rien ne va plus en France. Le bras de fer entre les syndicats majoritaires et le gouvernement socialiste, qui dure depuis plusieurs semaines, est loin d’être terminé. Le projet de la réforme du code du travail dit «loi El Khomri» mine, chaque jour un peu plus, la société française, en proie à une crise sociale profonde, un chômage très élevé et un niveau de précarité alarmant de l’emploi. Pis encore, le phénomène de la violence prend une ampleur dangereuse et sans précédent en marge des grèves, des blocages d’usines et des manifestations contre ladite réforme, que ce soit le fait des forces de l’ordre ou de certains manifestants.

Avant-hier, lors d’une manifestation unitaire monstre à Paris, le pays organisateur de l’Euro 2016 en cours semble avoir évité de justesse une véritable tragédie. Un cap serait franchi dans cette violence sociale. En effet, des sources sécuritaires, citées hier par les médias, ont indiqué qu’en marge de l’action de contestation organisée à l’appel des syndicats et des partis de gauche, des dizaines d’individus auraient «vandalisé» l’hôpital universitaire Necker-Enfants malades. Heureusement, les dégâts causés ne sont que matériels.

C’est essentiellement les vitres de la façade qui ont volé en éclats sous un tas de projectiles. Si la majorité des témoins évoquent des «dommages collatéraux» de l’affrontement entre manifestants et policiers, la ministre française de la Santé, Marisol Touraine, a dénoncé un acte «insupportable», tandis que son collègue Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur, a parlé de faits «inacceptables». Cet événement a été, par ailleurs, récupéré par certains responsables politiques de la droite, pour s’attaquer aux organisations syndicales leur reprochant d’être «irresponsables».

Certaines voix, même au sein du Parti socialiste au pouvoir, veulent exploiter ces violences pour prétexter l’interdiction des futures manifestations contre la loi Travail. Sur le plan judiciaire, le préfet de police de Paris, Michel Cadot, a affirmé, lors d’une conférence de presse, que 41 personnes soupçonnées d’avoir participé aux actes de dégradation ont été placées en garde à vue. En attendant les résultats de l’enquête de police, l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris, qui gère l’établissement ciblé, compte porter plainte.  *Ghezlaoui Samir/ el watan/ jeudi 16 juin 2016

*violents incidents à Paris pendant une manifestation contre le gouvernement

Des centaines de personnes encagoulées ont   jeté des projectiles sur la police pendant que des dizaines de milliers de   manifestants protestaient mardi à Paris contre une réforme sociale objet depuis   mars de multiples grèves et défilés.

Les forces de l’ordre, sous pression pour l’Euro de football, sont   régulièrement visées dans les cortèges depuis trois mois. Elles restent par   ailleurs sous la menace d’attaques jihadistes comme l’illustre le meurtre lundi   d’un policier et de sa compagne dans la région parisienne. Depuis le 9 mars,   plusieurs rassemblements ont déjà donné lieu à des scènes de guérilla urbaine,   faisant des centaines de blessés et d’arrestations.    

Selon la préfecture de police, peu après le départ de la manifestation,   « plusieurs centaines de personnes encagoulées » ont pris à partie les policiers,   lançant des projectiles dans leur direction. Six personnes ont été interpellées.     « J’ai participé à toutes les manifs depuis mars, parce que je veux vivre   dignement et pas survivre. Je veux le retrait pur et dur (de la réforme). Ca   s’arrêtera seulement quand il y aura le retrait », assure à Paris Aurélien   Boukelmoune, 26 ans, technicien dans le secteur de l’énergie.    

Les syndicats, CGT en tête, ont annoncé la mobilisation de plusieurs   centaines de milliers de personnes pour marquer leur opposition à la réforme du   code du travail. Le pouvoir veut voir dans cette neuvième journée d’action un   baroud d’honneur d’un mouvement social inédit sous la gauche depuis 1981.     Mais à ceux qui « spéculent » sur la dernière manche de l’interminable bras   de fer avec le pouvoir, le dirigeant de la CGT, Philippe Martinez, a promis une   réponse historique.    

Cette centrale contestataire, qui a affrété plus de 600 cars dans toute la   France pour rejoindre la capitale, espère aboutir à une plus grande   participation que le 31 mars, journée de manifestations qui avait rassemblé   près de 390.000 personnes dans 250 villes, selon les autorités, 1,2 million   selon les organisateurs.         

- La Tour Eiffel fermée –    

Des manifestations ont aussi été organisées dans une cinquantaine de villes   de province.     « Les jeunes dans la galère, les vieux dans la misère, cette société-là on   n’en veut pas », scandaient les manifestants à Lyon (centre-est). « La Belgique   avec nous ! », a crié le cortège en croisant des supporters belges de l’Euro.     Dans la matinée, des barrages filtrants étaient signalés à Brest (Bretagne,   ouest) et des grèves au port de Marseille (sud). Le secteur de l’énergie était   aussi touché, avec des baisses de production dans différentes centrales et des   lignes haute tension coupées en région parisienne, selon la CGT.    

A Paris, la Tour Eiffel a été fermée en raison de la grève d’une partie du   personnel. Dans les chemins de fer, après 14 jours de mouvement, le taux de grévistes   est remonté mardi à 7,3%, toutes catégories confondues, contre 4,6% la veille. Deux autres journées de grèves et de manifestations partout en France sont   déjà prévues pour les 23 et 28 juin.   »C’est loin d’être la dernière manif. Dans l’intérêt du gouvernement mieux   vaut qu’il retire sa loi sinon on bloquera l’économie », menace Aurélien   Boukelmoune.     Un entretien est prévu vendredi entre le dirigeant de la CGT et la ministre   du Travail, Myriam El Khomri.    

A moins d’un an de l’élection présidentielle, cette dernière grande réforme   du quinquennat de François Hollande vise, selon le gouvernement, à apporter de   la flexibilité aux entreprises pour lutter contre un chômage endémique (près de   10%). Elle inclut notamment un assouplissement de la législation sur le temps   de travail en favorisant les accords d’entreprises.     Pour ses détracteurs, le texte risque d’accentuer la précarisation des   salariés.    

Le mouvement social s’était durci il y a trois semaines avec le blocage de   ports, de raffineries et de dépôts de carburants, poussant la France à puiser   dans ses réserves stratégiques de pétrole.     A l’approche de l’Euro, ces actions ont nui à l’image de la France et au   tourisme, secteur déjà plombé par les attentats de 2015.      Selon un sondage publié dimanche, une courte majorité de Français (54%)   désapprouve désormais la poursuite des grèves et des manifestations. Il y a   trois semaines, la même enquête avait donné un résultat exactement inverse.*AFP/ mardi 14 juin 2016

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*France: un commandant de police et sa compagne exécutés

La France ne s’attendait pas à ce que la menace terroriste prenne un nouveau pas, celui de l’exécution ciblée.

 ***Lyon *Correspondant d’el watan

Lundi soir 13 juin 2016, un homme de 25 ans du nom de Larossi Abballa, se revendiquant du groupe Etat islamique a tué dans son jardin, à coups de couteau, le commandant du commissariat des Mureaux, Jean-Baptiste S., adjoint au service de Sûreté urbaine, avant de se retrancher au domicile de sa victime, dans un quartier pavillonnaire de Magnanville (Yvelines). Il a été abattu lors d’un assaut du Raid. Dans la demeure gisait le corps de la compagne du policier, Jessica S, âgée de 36 ans, elle-même fonctionnaire dans le commissariat de Mantes-la-Jolie, avec «une plaie au cou» selon une source proche de l’enquête reprise par l’AFP. Le fils du couple, âgé de trois ans, était vivant.

Autant dire que le pays s’est réveillé hier matin avec la gueule de bois alors que l’état d’urgence est en vigueur depuis le mois de novembre 2015 et en redoublement sécuritaire en raison de l’Euro de foot. Des milliers d’agents de force de l’ordre supplémentaires pour intervenir et prévenir, ce qu’ils ont du mal à faire lorsque des centaines de supporters adverses s’affrontent, comme c’était la cas samedi à Marseille entre Allemands et Russes, avec des blessés grave.

Alors que le pouvoir français misait sur un Euro footbalistique de fête, l’ambiance était inquiétante avec cette tuerie difficilement prévisible, deux jours après le massacre d’Orlando aux Etats-Unis qui a fait une cinquantaine de morts dans une boîte de nuit gay.

En Amérique comme en France, le meurtre est attribué au groupe Etat islamique qui, à la veille de ramadhan, avait appelé ses sympathisants à frapper « là où ils le peuvent ».

A Paris, comme outre Atlantique, la revendication est arrivée par le site internet du groupe terroriste du levant.

Le tueur des Yvelines était par ailleurs connu pour être passé dans une filière jihadiste et il avait été condamné à trois ans de prison, dont six mois avec sursis, pour «association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes».

Alors que le parquet antiterroriste s’est saisi de l’affaire, du côté des policiers, le choc était difficile : « C’est un drame qui n’était jamais arrivé en France», redoute un syndicaliste cité par l’AFP. Une réunion d’urgence s’est tenue hier matin à l’Elysée autour du président François Hollande, avec le Premier ministre Manuel Valls et les ministres de l’Intérieur et de la Justice. Le couple a été «ciblé» parce qu’ils étaient policiers, a affirmé Manuel Valls, réaffirmant que la France est « en guerre contre le terrorisme, face à cela il faut l’unité, il faut le rassemblement, il faut continuer cette lutte, ça prendra du temps ».

Deux personnes étaient en garde à vue mardi matin dans le cadre de l’enquête sur le double assassinat lundi soir d’un policier et de sa compagne revendiqué par l’organisation Etat islamique, a-t-on appris de source policière.*Walid Mebarek/ el watan/ mercredi 15 juin 2016

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*Belgique: Des centaines de profs sont incertains de leur avenir

La France sous l’emprise de la violence sociale ? dans actualité media_xll_8770383

La réforme des titres et fonctions dans l’enseignement qui entre en application en septembre génère l’inquiétude des professeurs. Des centaines d’entre eux sont incertains de leur avenir, pointe vendredi La Libre Belgique.

Cer tains professeurs qui donnaient un cours de puis des années risquent d’être ex clus de la réforme, ou de perdre une partie de leur salaire, n’ayant plus le titre requis, relève La Libre Belgique. La Commis sion interréseaux des Titres de capacité (la Citicap) a été chargée d’évaluer les nombreux recours. Les réunions se multiplieront les prochains mois mais des centaines d’enseignants ne se ront donc pas fixés sur leur sort avant l’été.La ministre de l’Education Marie Martine Schyns (CDH) cherche à assouplir temporairement les règles en multipliant les décrets et amendements.*vendredi 17/06/16 – Source: Belga

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          *La polygamie à l’occidentale

**Bill Clinton aurait couché avec plus de 2.000 femmes

« Bill Clinton est un pervers sexuel » et « Hillary Clinton couvre les agissements de son mari »: c’est ce qu’affirme en partie Dolly Kyle Browning, une ancienne camarade de lycée de Bill Clinton, dans son livre « Hillary, the Other Woman: a Politic Memoir ».

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C’est ce qu’affirme Dolly Kyle Browning, auteur du livre « Hillary, the Other Woman: a Politic Memoir » et accessoirement ancienne maîtresse de l’ex-président des États-Unis.

« Bill Clinton est un pervers sexuel » et « Hillary Clinton couvre les agissements de son mari »: c’est ce qu’affirme en partie Dolly Kyle Browning, une ancienne camarade de lycée de Bill Clinton, dans son livre « Hillary, the Other Woman: a Politic Memoir ». Elle a aussi confié avoir eu une relation avec l’ancien président des États-Unis dans les années 1970 et 1990. 

« Un accro au sexe »
Toujours selon Dolly Kyle Browning, Bill Clinton aurait couché avec « plus de 2.000 femmes ». Ce nombre n’est pas anodin. Il correspond au chiffre fourni par Linda Tripp, confidente de Monica Lewinsky et principal témoin dans cette affaire.

« Il n’y a pas eu pire avec les femmes que Bill Clinton », assure Dolly Kyle Browning dans le Daily Mail« Billy (le surnom qu’elle donne à Bill Clinton) est un accro au sexe, quasiment malade. Hillary Clinton ne peut l’ignorer. »

Hillary, la « terroriste »
Dolly Kyle a également qualifié Hillary Clinton de « terroriste » sur la radio new-yorkaise AM970: « Je vous invite à regarder la définition du terrorisme. Il s’agit de l’utilisation de la violence, de menaces ou d’intimidation pour atteindre un objectif politique. Voilà ce qu’est le terrorisme. Ces femmes pourraient prendre la parole, mais elles ont tellement peur qu’elles ne diront rien », déplore-t-elle.

Si le frère de Dolly Kyle Browning a été l’associé de Bill Clinton pendant plusieurs années, elle a toujours affiché sa préférence pour Donald Trump lors de la campagne présidentielle de 2016.*vendredi 17/06/16 -Source: Daily Mail

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