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Un nouveau patron pour la FIFA

26022016

**infos par-ci, par-là *31 *

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* Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, valait 36,06 dollars à Londres, lundi 29 février 2016

*nouvelle baisse du nombre de puits de pétrole en activité aux Etats-Unis

Le pétrole rebondissait lundi en fin d’échanges européens, soutenu surtout par les attentes de voir aboutir des discussions entre pays producteurs pour enrayer le déclin des cours. Le baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en avril, dont c’est le dernier jour de cotation, valait 36,06 dollars à Londres, en hausse de 96 cents par rapport à la clôture de vendredi. A New York, le baril de « light sweet crude » (WTI) pour la même échéance prenait 78 cents à 33,56 dollars.

Les cours du Brent et du WTI, après avoir hésité un temps sur la marche à suivre, étaient à nouveau orientés en nette hausse lundi, soutenus par la perspective de nouvelles discussions entre l’Arabie saoudite et d’autres pays producteurs de brut pour stabiliser le marché, ainsi que par le déclin du nombre de puits en activité aux Etats-Unis.

Selon des spéculations, « l’Arabie saoudite travaillerait avec d’autres producteurs de pétrole pour limiter la volatilité du marché et (Ryadh serait) favorable à une action concertée », relevait Abhishek Deshpande, analyste chez Natixis.

L’annonce jeudi par le ministre vénézuélien du Pétrole d’une nouvelle réunion à la mi-mars entre son pays, l’Arabie saoudite, le Qatar – tous trois membres de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep) -, et la Russie, avaient entraîné un net rebond des cours vendredi. Selon M. Deshpande, la hausse des prix est portée par l’optimisme des investisseurs qui s’attendent à ce qu’un gel concerté du niveau de la production entre pays membres et non membres du cartel porte ses fruits et permette un redressement des prix.

En outre, les cours du brut ont bénéficié de l’annonce vendredi d’une nouvelle baisse du nombre de puits de pétrole en activité aux Etats-Unis, qui sont 13 de moins qu’une semaine auparavant.(Agences)–lundi 29 février 2016

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** Daech exécute huit de ses combattants néerlandais, accusés de tentative de désertion et de sédition

Le groupe terroriste Daech -soi disant Etat Islamique (EI) a exécuté la semaine dernière huit de ses combattants néerlandais, accusés de tentative de désertion et de sédition, a affirmé l’organisation- « Raqa est massacrée en silence ».

« Daech (acronyme en arabe du groupe EI) a exécuté huit combattants néerlandais vendredi à Maadan, dans la province de Raqa, après les avoir accusés de tentative de désertion et de sédition », a affirmé à l’AFP via twitter Abou Mohammad, un des responsables de cette ONG.

Cette dernière documente secrètement depuis avril 2014 les abus des jihadistes dans la ville de Raqa (nord de la Syrie), capitale autoproclamée de l’EI.

Depuis un mois existait une tension entre 75 jihadistes néerlandais, dont certains d’origine marocaine, qui étaient regroupés à Raqa, et des Irakiens membres des services de renseignements de l’EI.

Ces derniers avaient arrêté trois jihadistes néerlandais, les soupçonnant de vouloir fuir, et l’un d’eux était mort sous les coups assénés durant l’interrogatoire.

La direction de l’EI à Raqa avait envoyé un délégué auprès des Néerlandais pour résoudre le problème, mais ces derniers l’avait assassiné pour venger la mort de leur camarade.

La haute direction de l’EI en Irak avait alors donné l’ordre d’arrêter tout le groupe de Néerlandais, qui ont été incarcérés dans deux prison à Tabaqa et à Maadan (province de Raqa), et huit ont été exécutés, toujours selon cette ONG.

L’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH) n’a pas confirmé ces exécutions mais a fait état d’informations selon lesquelles trois combattants originaires du Maghreb mais ayant des nationalités européennes avait été exécutés dans la « wilayat d’al Fourat », région à cheval sur la Syrie et l’Irak, sans indiquer précisément où ils avaient été tués ni pour quelles raisons.

Selon les services de renseignements des Pays-Bas, 200 Néerlandais, dont 50 femmes, ont rejoint l’EI en Syrie et en Irak.(Afp) et plus–lundi 29 février 2016

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Le Parlement européen a réclamé jeudi un embargo sur les livraisons d’armes à l’Arabie saoudite, critiquant ses frappes aériennes au Yémen et le blocus maritime imposé à ce pays, qui ont fait « des milliers de morts ».

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Dans une résolution adoptée à une large majorité lors d’une séance plénière à Bruxelles, les eurodéputés demandent à la Haute représentante de l’Union européenne pour les Affaires étrangères, Federica Mogherini, de « lancer une initiative visant à imposer un embargo sur les armes de l’UE contre l’Arabie saoudite ».

Condamnation des frappes aériennes et du blocus naval

Ils condamnent « les frappes aériennes de la coalition menée par l’Arabie et le blocus naval qu’elle a imposé au Yémen, qui ont conduit à des milliers de morts, et ont encore déstabilisé davantage » le pays.
Dans un communiqué, l’organisation humanitaire Action contre la faim s’est aussitôt réjoui que l’UE « reprenne enfin la parole sur cette crise, l’une des plus graves actuellement dans le monde ».

Certes, le texte n’est pas contraignant mais, pour Mike Penrose, directeur général d’Action contre la Faim France, « cette résolution est un signal à tous les Etats membres, les invitant à sortir du silence et à ne plus participer au désastre humanitaire en cours au Yémen ».

Riyad conduit depuis mars 2015 une coalition arabo-sunnite au Yémen contre les rebelles chiites Houthis, accusés d’être soutenus par l’Iran. Ces derniers, depuis leur fief de Saada (nord), ont pris le contrôle de nombreuses régions dont la capitale Sanaa. Le gouvernement reconnu par la communauté internationale siège à Aden (sud), même si ses principaux dirigeants séjournent souvent à Ryad pour des raisons de sécurité.
Le conflit au Yémen a fait plus de 6.100 morts, pour près de la moitié des civils, et environ 30.000 blessés, selon l’Onu.

Crimes de guerre

Les Etats-Unis sont le premier fournisseur d’armes de l’Arabie saoudite, avec des ventes atteignant 90 milliards de dollars entre 2010 et 2014 selon le Congrès, mais les principaux pays de l’Union européenne ont également livré récemment des bombes, équipements ou signé des contrats d’armements pour des milliards d’euros.

Selon l’ONG Avaaz, dont une pétition en ligne a recueilli 750.000 signatures, le Royaume-Uni a ainsi autorisé en 2015 la vente d’avions de combat et de bombes téléguidées Paveway. La France a signé en octobre 2015 des contrats avec l’Arabie saoudite dans les secteurs maritime et militaire dont la valeur est estimée à plus de dix milliards d’euros, précise Avaaz.

L’Onu s’était inquiété début janvier de l’usage de bombes à sous-munitions au Yémen par la coalition arabe emmenée par Riyad, affirmant avoir reçu des « informations inquiétantes » sur leur usage durant des attaques contre des zones résidentielles et des bâtiments civils à Sanaa le 6 janvier 2016.
Son secrétaire général Ban Ki-moon avait mis en garde Riyad, rappelant que cela « pourrait constituer un crime de guerre ».(Avec agence)–jeudi 25 février 2016

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*Présence de forces spéciales étrangères et d’agents secrets français en Libye

L'intervention étrangère pointe le bout du nez

C’est maintenant un fait anodin que d’évoquer la menace pressante d’une intervention militaire dans la Libye voisine, toujours en proie au chaos et où les deux principales factions tardent à valider le gouvernement d’union nationale, revu et corrigé par Fayez al Serraj, à la demande de Tobrouk après le rejet de la première liste au motif qu’elle comportait trop de membres. Révélée par le quotidien français Le Monde, mercredi dernier, la présence de forces spéciales et d’agents secrets français en Libye où le service action de la direction générale de la sécurité extérieure (Dgse) conduit également «des opérations clandestines» contre des cadres du groupe Etat islamique (EI), est venue étayer cette thèse. Déjà, en décembre dernier, l’Elysée avait révélé que des avions Rafale, embarqués à bord du porte-avion Charles-de-Gaulle, effectuaient des missions de reconnaissance dans le sud-est du pays, en particulier du côté de Syrte où l’EI est fortement présent ainsi que dans la zone de Tobrouk. Informations peu après confortées par le site Flight radar 24 qui a fait état de mystérieux vols d’observation que les avions ravitailleurs français opèrent dans la même zone.
Ainsi, se confirment pleinement les révélations du quotidien Le Monde dont certaines semblent d’ailleurs avoir été occultées. On tient pour avérés les soutiens que des militaires français présents à Benghazi apportent aux troupes du général Khalifa Haftar, bras armé du gouvernement reconnu par la communauté internationale qui a pourtant condamné le raid américain de Sabrata au motif qu’il est «attentatoire à la souveraineté de la Libye». Chose bizarre, cette réaction intervient après la cinquième opération du genre avouée par le Pentagone, depuis 2013, des drones ayant été systématiquement utilisés pour pister les responsables de l’EI ou d’Aqmi dans la région.
En outre, les services de renseignements français et américains coopèrent fortement comme en témoigne la frappe de novembre 2015, à Derna, au cours de laquelle le chef de Daesh pour la Libye, l’Irakien Abou Nabil, a été abattu. Cette présence active des troupes françaises, sous diverses formes civiles et militaires, n’est pas aussi clandestine qu’on veut bien le dire et les résultats obtenus par les forces de Haftar, qui ont repris plusieurs quartiers de Benghazi où des combats les opposent aux milices de Fadjr Libya, le prouvent amplement.
En 2011 déjà, la France avait déployé très discrètement quelques petites équipes chargées d’encadrer, armer, former, voire accompagner au combat les miliciens du CNT. Certaines livraisons d’armes s’étaient faites par ailleurs, via un terrain d’aviation secret dans le Jebel Nefousa, au sud de Tripoli. Nul doute que la France a conservé des contacts, à Benghazi particulièrement. Toute cette agitation, conjuguée au fait que la naissance au forceps du gouvernement Al Serraj II est sans cesse remise à des lendemains plus lointains que jamais, devient suffisamment irritante pour provoquer une nouvelle intervention occidentale.
Outre le fait que la France va utiliser son porte-avion de retour du Golfe pour ausculter les côtes libyennes, notamment à Syrte, il y a cette mission spéciale, drapée dans l’humanitaire, que l’Italie a engagée à Misrata avec ses forces spéciales et cet aval donné aux drones américains basés à Sigonella, en Sicile, pour procéder à des frappes en Libye. Enfin, l’emploi conjugué des avions ravitailleurs KC 135 de la base d’Istres (France) par l’aviation américaine, officiellement pour surveiller la bande sahélo-saharienne et intervenir si besoin est au Mali, constitue la cerise sur le gâteau de cette intervention annoncée.
Il n’en demeure pas moins que le bilan de la précédente intervention, en 2011, est encore présent dans les esprits, la poudrière libyenne étant un résultat direct des va-t-en guerre de l’époque.
Répéter deux fois la même erreur, par-delà la tragédie que cela implique pour les peuples de la région et surtout le peuple libyen, relève ni plus ni moins que du crime contre l’humanité. Cet aventurisme, au cas où il serait tentant pour certaines capitales impatientes de solder leur passif, aurait un impact désastreux pour la sous-région maghrébine, et tout particulièrement la Tunisie et l’Algérie contrainte depuis des années de surveiller attentivement sa frontière avec la Libye.
Il aurait également des conséquences indirectes, mais tout aussi graves, sur la stabilité des pays du Sahel, confrontés aux menaces terroristes conjuguées de la branche d’Al Qaïda au Maghreb, de Boko Haram et des Shebab. Le Mali, mais aussi le Niger, la Mauritanie, le Sénégal, le Cameroun et le Nigeria seront des cibles évidentes pour des raisons à la fois historiques et géopolitiques. Voilà pourquoi il n’y a et il ne peut pas y avoir d’autre solution que celle préconisée inlassablement par Alger, acteur engagé dans les médiations onusienne et africaine (le Groupe des pays voisins) pour un traitement politique du dossier. La contourner, l’ignorer ou feindre de l’accompagner tout en courant d’autres lièvres, serait une faute politique impardonnable dont l’EI saura sans doute tirer des dividendes inattendus.*Par Chaabane BENSACI - Samedi 27 Fevrier 2016/ L’Expression

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*Gianni Infantino est le nouveau patron du football mondial

*Restaurer l’image de la FIFA, ravagée par les scandales de corruption et cernée par la justice. 

Un nouveau patron pour la FIFA dans actualité media_xll_8440014

Gianni Infantino est le nouveau patron du football mondial: le N.2 de l’UEFA a succédé vendredi à Joseph Blatter pour devenir le 9e président de la Fifa et aura la lourde tâche de restaurer l’image de l’institution, ravagée par les scandales de corruption et cernée par la justice. 

Le juriste italo-suisse de 45 ans, jusque-là secrétaire général de la Confédération européenne, l’a emporté au 2e tour avec 115 voix en devançant l’autre grand favori de l’élection, le Cheikh bahreini Salman, président de la Confédération asiatique (88 voix), le prince jordanien Ali, unique concurrent de « Sepp » Blatter en 2015 (4), et le Français Jérôme Champagne (0). Infantino avait déjà basculé en tête au 1er tour en recueillant 88 voix, juste devant le Cheikh Salman (85), les deux autres postulants étant loin derrière. Reports favorables
Peu avant le début du scrutin, le Sud-Africain Tokyo Sexwale, ex-militant anti-apartheid aux côtés de Nelson Mandela, dont les chances étaient quasi nulles, avait annoncé qu’il abandonnait la bataille pour se mettre « au service du futur président ». Les reports de voix entre le 1er et le 2e tour ont donc largement bénéficié à Infantino alors que le Cheikh Salman pensait compter sur le soutien officiel de la Confédération africaine, habituelle juge de paix de l’élection à la Fifa et disposant du plus gros réservoir de voix au Congrès. Très ému, l’ancien bras droit de Michel Platini à l’UEFA a d’emblée placé son mandat de quatre ans sous le signe de la « restauration de l’image de la Fifa », minée par les affaires. « Tout le monde doit être fier de la Fifa », a-t-il insisté à la tribune en anglais et en français, se félicitant de ce « grand signe de démocratie ». « Je veux travailler avec vous tous, pour instaurer une nouvelle ère à la Fifa où l’on puisse de nouveau mettre le foot au centre du jeu. La Fifa a traversé des moments tristes, une crise, mais c’est derrière nous, nous devons aller de l’avant et appliquer les principes de bonne gouvernance », a-t-il également déclaré. Trajectoire météorique
Il est vrai que la tâche qui l’attend s’annonce herculéenne: il s’agit de redorer le blason auprès du grand public et des sponsors d’une organisation qui traverse la plus grave crise de son histoire. Et son poste sera exposé. Aura-t-il à gérer les suites de nouvelles poursuites judiciaires ? Cette éventualité est dans toutes les têtes. L’étiquette d’Européen et de technocrate siglé UEFA ne l’a en tout cas pas empêché d’arriver au sommet du football mondial. Sa trajectoire a été météorique. Secrétaire général de l’UEFA depuis 2009, Infantino a longtemps navigué dans l’ombre de son patron, Michel Platini, avant de devenir le candidat de substitution de l’Europe dès le début des ennuis de son mentor, suspendu huit ans par la Fifa avant de voir sa sanction réduite à six années. Dès l’annonce de sa candidature, ce polyglotte s’est lancé dans un véritable tour du monde, se vantant même d’avoir l’appui de plusieurs pays africains. Ironie du sort: alors qu’il est censé tourner la page des années Blatter, Infantino ne manque pas de points communs avec son prédécesseur.Il est né à Brigue, à 10 km du village natal de Blatter (Viège), il est également issu de l’administration et a lui aussi gagné sur des promesses d’aide au développement. Dans son discours précédant le vote, il avait ainsi indiqué vouloir « redistribuer 25% des revenus de la Fifa aux fédérations », un argument qui a sans doute fait mouche. « Environnement économique difficile »
Le Cheikh Salman a lui été peut-être victime des critiques récurrentes des ONG de défense des droits de l’Homme sur son rôle présumé dans la répression du soulèvement démocratique dans son pays en 2011. Une poignée de manifestants anti-Salman s’était même postée devant le Hallenstadion, centre des congrès de Zurich où la Fifa était réunie. Une telle carte de visite aurait fait désordre au moment où l’instance mondiale tente de se refaire une virginité. 

Sur le plan économique, Infantino va également devoir affronter un « environnement économique difficile », selon les termes employés par le secrétaire général intérimaire Markus Kattner. Malgré des réserves de 1,5 milliard de dollars, la Fifa est « en retard de 550 millions de dollars » (500 M EUR) sur ses objectifs financiers d’ici à 2018, a-t-il confié, maintenant tout de même « l’objectif de chiffre d’affaires de 5 milliards de dollars pour la période 2015-2018″. Selon une source proche de l’organisation, la Fifa devrait enregistrer en 2015 des pertes un peu supérieures à 100 millions de dollars. 

Durant la matinée, le Congrès a également validé le train de réformes censé la remettre sur le droit chemin. Elles visent essentiellement à améliorer la gouvernance avec une limitation à 12 ans du cumul des mandats du président, à contrôler de l’intégrité des élus et à augmenter la transparence des rémunérations.

Historique de la présidence de la Fédération internationale de football: 
Jules Rimet, France – 1921-1954
Rodolphe William Seeldrayers, Belgique - 1954-1955

Arthur Drewry, Angleterre – 1955-1961
Stanley Rous, Angleterre – 1961-1974
Joao Havelange, Brésil – 1974-1998
Joseph Blatter, Suisse – 1998-2015
Gianni Infantino, Italie-Suisse – 2016-…

*vendredi 26/02/2016 -Source: AFP

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*Le salaire de Joseph Blatter, une moyenne de plus de 270.000 euros par mois

*Joseph Blatter a gagné 3,28 millions d’euros en 2015, soit une moyenne de plus de 270.000 euros par mois, a indiqué jeudi la Fifa, qui révèle pour la première fois le salaire de son ex-président. Dans le même temps, la Fédération internationale de football a indiqué avoir enregistré une perte de 122 millions de dollars (107,7 M EUR) sur l’exercice 2015, son premier déficit depuis 2002, en raison notamment des coûts engendrés par le scandale de corruption qui la frappe.

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Dans le détail, Sepp Blatter, qui a dû démissionner avant d’être suspendu pour un paiement controversé à Michel Platini, a perçu sur l’année 2,96 M CHF (2,7 M EUR) de salaire auquel s’est ajoutée notamment une prime de 435.530 CHF (environ 400.000 EUR) du fait de ses 40 ans de présence à la Fifa. 

Salaire de Valcke
La Fifa n’a pas donné de détails sur ce que touchait Sepp Blatter les années précédentes et n’a pas non plus révélé le salaire de son nouveau président, Gianni Infantino, élu le 26 février 2016. Elle a également indiqué que son ancien secrétaire général, le Français Jérôme Valcke, suspendu puis licencié, avait perçu 2,1 M CHF (1,93 M EUR) en 2015. Par ailleurs, malgré une hausse de son chiffre d’affaires à 1,15 md USD sur 2015, la Fifa a enregistré une perte de 122 M USD, en raison d’une hausse des dépenses imprévues comprenant notamment les frais liés à l’organisation du congrès extraordinaire et aux frais d’avocat, selon le rapport financier publié jeudi. 

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Cette hausse des dépenses est également liée à une augmentation du budget développement et à des coûts d’organisation de compétition plus élevés, a précisé la Fifa. Malgré cette perte, Gianni Infantino s’est dit optimiste. « Grâce aux réformes récemment adoptées, je suis persuadé que la Fifa va ressortir plus forte que jamais », a-t-il déclaré dans un communiqué.*jeudi 17/03/2016 -Source: AFP

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