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2042015*Les guerres dans les pays arabes, dans toutes les discussions
Dans les rues algéroises, sur les plateaux télés arabes ou auprès des think tanks occidentaux la préoccupation des guerres arabes ou opposant des musulmans est dans toutes les discussions.
Plusieurs jours après le début de l’intervention arabe au Yémen et à l’approche d’un accord sur le nucléaire iranien, la rue arabe est toujours divisée sur la signification de l’appartenance à la sphère arabe ou à la nation musulmane tant les enjeux sont à la fois diffus et énormes. Cet intérêt à des sujets de géostratégie s’explique aisément lorsqu’il s’agit des peuples de la région du Moyen-Orient. Mais cet intérêt dépasse cette seule partie du monde et les Occidentaux guettent les évolutions dans la région par où transite une partie du pétrole qui irrigue l’économie mondiale. Islam et pétrole constituent donc un mélange explosif que tente de comprendre les Occidentaux qui n’ont pas nécessairement une compréhension instinctive des peuples de ces pays. D’où cette question de savoir «Qu’est-ce que le droit musulman aujourd’hui?» qui fera l’objet d’un débat en Belgique avec Baudouin Dupret, directeur de recherche au CNRS et auteur de «La Charia des sources à la pratique, un concept pluriel» paru en 2014. Ce sera le 24 avril prochain grâce l’institut européen de recherche sur la coopération méditerranéenne et euro-arabe et au soutien du Mouvement européen-Belgique.
D’ores et déjà, l’institut souligne qu’il serait faux de croire que la perception de l’islam et de la charia est unanime, homogène, monolithique dans les pays et sociétés à majorité musulmane. L’institut souligne que «si la question de la charia se pose avec tant de vigueur, c’est parce que nous vivons une époque où le vocabulaire de l’islam constitue une ressource majeure dans les reconfigurations sociales, politiques et éthiques des mondes musulmans». Il est ajouté qu’il faut comprendre les usages de ce registre discursif et de ce répertoire islamique dans le contexte de la colonisation, des indépendances, de la formation d’États nouveaux, des migrations, de la globalisation et aussi de la modernité.
C’est surtout à des fins politiques que nombre d’États, de mouvements et d’individus ont invoqué l’islam et sa loi, la charia et c’est ce qu’on a généralement appelé l’islamisme et ce qu’on appelle le droit musulman ne correspond pas à une réalité aussi ancienne que l’islam lui-même. L’idée de transformer les normes en droit et particulièrement, en droit codifié est le résultat d’une invention qui plonge ses racines dans l’irruption européenne sur la scène musulmane, selon l’institut qui souligne que pour l’essentiel, la question de la normativité islamique n’est pas d’ordre juridique, mais de nature éthique et déontologique car c’est-à-dire morale. Mais quelles sont les parties qui imposent cette morale? L’Etat islamique, Al Azhar, les prédicateurs officiels, les mosquées officieuses ou tout simplement le gouvernement voire les chaînes de télévision? Les problématiques sont plus difficiles lorsqu’il s’agit de savoir comment vivre en conformité avec ses convictions dans des situations où l’on ne partage pas nécessairement ces dernières avec la majorité de la population. La présence musulmane dans des pays qui ne le sont pas majoritairement a fait émerger de nombreuses questions dans ce cadre. Avec des risques d’attentats terroristes. Donc on voit bien que les questionnements occidentaux sur l’islam touchent aussi bien la sécurité des musulmans que celles des nations qui ne pratiquent pas en majorité cette religion et que le règlement des conflits au Moyen-Orient n’est pas sans conséquence sur la sécurité de l’Europe.*Par Ali TIRICHINE - Samedi 04 Avril 2015-L’Expression
**Bravo l’Algérie!
La hargne guerrière qui s’est emparée subitement de l’Arabie Saoudite et, dans son sillage, d’autres pays arabes, la plupart des monarchies, a atteint un degré d’aveuglement tel qu’il a failli coûter cher aux Algériens établis au Yémen, surpris par l’escalade du conflit armé entre les Houthis qui contrôlent la majeure partie du territoire yéménite, et le régime saoudien. Comme l’a rapporté Algeriepatriotique, les autorités saoudiennes n’ont pas du tout coopéré dans une opération pourtant humanitaire par excellence, menée par l’Algérie pour évacuer ses ressortissants et ceux d’autres pays maghrébins, dont – quel paradoxe ! – le Maroc qui participe à la guerre engagée contre le Yémen. Il n’est pas superflu de le répéter : 160 Algériens, 40 Tunisiens, 15 Mauritaniens, huit Libyens, trois Marocains et un Palestinien ont été sortis par la compagnie Air Algérie de l’enfer de la guerre qui se déroule au Yémen. Il faut surtout souligner le risque couru par l’équipage de l’avion dans sa route vers le Yémen. Algeriepatriotique a appris que l’appareil d’Air Algérie, absolument civil, aurait même été menacé par des avions de chasse de la coalition. Le grand merci adressé par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, aux membres de l’équipage et à leur commandant de bord, Mourad Lamraoui, est parfaitement mérité. On devine le courage et la compétence qu’il a fallu pour réussir cette opération. Il faut en être capable ! L’Algérie se classe parmi les quelques grands pays qui ont fait la même action humanitaire, comme la Chine, la Russie ou la France. Malgré, faut-il le souligner encore, l’hostilité manifeste des autorités saoudiennes à l’égard des Algériens. Dans un commentaire publié par notre site, un lecteur a voulu fort justement rafraîchir les mémoires en rappelant que lors de la décennie noire, cette même Arabie Saoudite (entre autres) était derrière le financement et l’appui aux terroristes qu’elle a «formatés avec son idéologie obscurantiste wahhabite satanique, qui est aux antipodes de l’islam».*Par Kamel Moulfi –algeriepatriotique*mardi 07 avril 2015
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*Les miliciens houthis et leurs alliés se sont emparés jeudi 2 avril 2015, du palais présidentiel à Aden
*Jusqu’ici, les raids aériens de la coalition menée par l’Arabie saoudite, n’ont pas endigué la progression au sol des Houthis.
Les miliciens houthis et leurs alliés de l’armée yéménite restés fidèles à l’ex-président Ali Abdallah Saleh ont pris le contrôle du palais présidentiel. Le président Abd-Rabbou Mansour Hadi a quitté Aden pour l’Arabie saoudite au premier jour des frappes de la coalition ralliée par Ryad.
C’est le dernier bastion des forces fidèles au président Abd-Rabbou Mansour Hadi. Les rebelles chiites houthis au Yémen et leurs alliés restés fidèles à l’ex-président Ali Abdallah Saleh.se sont emparés jeudi 2 avril du palais présidentiel à Aden, ville portuaire.
« Des dizaines de miliciens Houthis et leurs alliés, arrivés à bord de blindés et de transports de troupes, viennent d’entrer au palais présidentiel Al-Maachiq », a déclaré à l’AFP un haut gradé des services de sécurité, qui a été témoin de l’arrivée des rebelles dans le complexe. Plus tôt dans la journée, l’agence Reuters rapportait que des dizaines de soldats de nationalité inconnue avaient débarqué dans la ville, citant la capitainerie.
Vers une intervention terrestre de Ryad
S’il est impossible pour l’heure d’identifier ces troupes, la coalition mise en place par l’Arabie saoudite pour stopper la progression des Houthis dit contrôler les eaux du Golfe d’Aden. Ryad n’a en outre pas exclu d’ajouter une dimension terrestre à l’offensive aérienne en cours depuis une semaine.
L’armée saoudienne n’a fait aucun commentaire. De son côté, le ministre yéménite des Affaires étrangères, Ryad Yassine Abdallah, membre du gouvernement Hadi qui a réclamé une intervention terrestre en plus des frappes aériennes, s’est dit dans l’incapacité de préciser si ces troupes étaient des forces de la coalition. »Mais je l’espère, je l’espère vivement », a-t-il dit à Reuters.
Jusqu’ici, les raids aériens de la coalition menée par l’Arabie saoudite, alliée aux sunnites, n’ont pas endigué la progression au sol des Houthis. Partis de leur fief, dans le nord du Yémen, ils se sont progressivement emparés d’une très grande partie du territoire yéménite, prenant la capitale, Sanaa, en septembre, avant de poursuivre leur avancée vers les provinces du sud et Aden.
À l’est, Al Qaïda a pris le contrôle d’une prison
Plus à l’est, le long de la côte, des combats entre membres d’Al Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) et forces fidèles au président légitime ont par ailleurs été signalés jeudi dans la ville portuaire de Moukalla, capitale du gouvernorat d’Hadramaout, vaste région désertique de l’est. D’après des sources policières locales, un commando a pris d’assaut la prison centrale de la ville située à 500 km à l’est d’Aden et libéré 150 prisonniers, dont des membres d’Al Qaïda.
À Dhalea, à une centaine de kilomètres au nord d’Aden, des combats se poursuivent depuis plusieurs jours entre des miliciens sécessionnistes du sud et les Houthis. Jeudi, des habitants ont rapporté que les premiers contrôlaient la ville, mais que les seconds ont déployé des snipers sur les toits. *latribune.fr/jeudi 02/04/2015
**L’Algérie évacue ses ressortissants du Yémen
L’opération a également permis de ramener 40 Tunisiens, 15 Mauritaniens, 8 Libyens, 3 Marocains et un Palestinien
L’Algérie a évacué samedi soir 160 de ses ressortissants du Yémen, en raison de la dégradation de la situation sécuritaire dans ce pays, bombardé depuis plus d’une semaine par une coalition arabe, a annoncé l’agence de presse APS.
Cette opération fait suite à une décision du président Abdelaziz Bouteflika qui a « suivi le déroulement durant ces derniers jours » du rapatriement des Algériens établis au Yémen, a déclaré le ministre des Affaires étrangères Ramtane Lamamra.
L’opération d’évacuation a également permis de ramener 40 Tunisiens, 15 Mauritaniens, 8 Libyens, 3 Marocains et un Palestinien, selon l’agence algérienne. Ces personnes ont été évacuées depuis la capitale Sanaa via le Caire à bord d’un avion d’Air Algérie, selon APS.
L’Algérie qui dispose d’une des armées les plus importantes dans le monde arabe a refusé de participer à l’opération militaire lancée au Yémen par une coalition conduite par l’Arabie Saoudite.
La Constitution interdit à l’armée algérienne de mener des opérations hors des frontières nationales de l’Algérie qui a déjà refusé d’intervenir contre les groupes jihadistes au Mali et en Libye, ses voisins. *APS– 05/04/2015 |
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*Barack Obama salue la conclusion d’une entente « historique » avec l’Iran
Le président américain Barack Obama a salué jeudi la conclusion d’une entente « historique » avec l’Iran qui, si elle aboutit à un accord final d’ici le 30 juin, « l’empêchera d’obtenir l’arme nucléaire ».

*La voie pacifique privilégiée
Il a fallu du temps et même beaucoup, mais l’accord sur le nucléaire iranien a été finalement conclu jeudi, avec deux jours de retard sur le calendrier prévu. Mais tout compte fait, ne serait-ce pas là la chronique d’un accord annoncé.
Tout le monde le voulait, à quelques exceptions toutefois. Ces derniers savaient qu’il était inéluctable et tentaient de s’y opposer. Mais le peut-on réellement, quand ce sont les grandes puissances qui y ont poussé et négocié chacun de ses points, même s’ils doivent être négociés, avant la conclusion d’un accord final en juin prochain.
C’est pourquoi, dit-on, il s’agit d’un accord intérimaire, et même d’une entente. A commencer par l’Iran, qui voit son économie subir les sanctions qui lui sont imposées depuis 2006. L’Occident également, qui souhaite empêcher l’Iran de disposer de l’arme nucléaire, mais qui n’a jamais été aussi près de ses intérêts, comme le révèle celui des compagnies pétrolières occidentales à reprendre pied dans ce pays. Comme dans une pièce de théâtre, les négociations sur le nucléaire iranien n’ont jamais été à l’abri d’un coup du même nom.
Les preuves étaient données par les négociateurs, notamment les chefs de la diplomatie. Les premiers ont été au-de-là du timing qu’ils avaient fixé, il y a bien longtemps, pour la fin des discussions avant la rédaction de l’accord final, jouant ainsi les prolongations. Mauvais signe ? Pas du tout, affirmait-on de part et d’autre. Pourquoi autant de tergiversations ?
Des oppositions dira-t-on, surtout que dans ce cadre étroit des négociations il n’y a pas de veto, et que les divergences de toutes natures peuvent apparaître y compris là où on s’y attend le moins. Et puis, il y avait cette déclaration du chef de la diplomatie russe, soulignant que «rien n’est jamais sûr à 100%.
Mais les chances sont grandes si aucun des participants aux négociations ne fait monter les enjeux à la dernière minute dans l’espoir de gagner quelque chose en plus au lieu de chercher à maintenir l’équilibre des intérêts de chacun», comme pour dire que les divergences peuvent être profondes jusque et y compris dans le groupe dit des 5+1 (Etats-Unis, France, Grande-Bretagne, Russie, Chine + Allemagne) qui négocie avec l’Iran.
A qui et à quoi faisait allusion Serguei Lavrov ? Il est vrai que l’objectif commun est de persuader, voire empêcher, l’Iran de disposer de l’arme nucléaire. N’y aurait-il pas autre chose, porté par ces réactions plutôt négatives formulées sous forme de crainte, pas celles d’Israël, bien entendu, que personne ne semble prendre au sérieux ? L’objectif est de s’assurer que l’Iran ne cherchera pas à se doter de la bombe atomique, en échange d’une levée des sanctions internationales qu’il voudrait voir tomber dès la conclusion d’un accord.
Or, les grandes puissances veulent une levée graduelle de ces mesures prises depuis 2006 par le Conseil de sécurité de l’ONU. En cas de levée de certaines de ces sanctions, quelques pays du groupe 5+1 veulent en outre un mécanisme permettant de les réimposer rapidement au cas où l’Iran violerait ses engagements.
Quant à connaître le type d’accord, il faudra savoir que cette situation a soulevé la question du Traité de non-prolifération (TNP) duquel finalement il est facile de se soustraire en refusant de le signer. Israël est bien une puissance nucléaire déclarée au regard des révélations faites par ses dirigeants, jusqu’aux complicités internationales dont il a bénéficié. Personne n’en parle.
Ce sont aussi les inquiétudes des puissances régionales quant à la capacité réelle, selon elles, de l’Iran de se doter de l’arme atomique qui demeurerait intacte. Ces mêmes puissances craignent aussi des bouleversements stratégiques qui découleraient de cet accord. Une nouvelle menace donc, s’il faut appeler les choses par leur nom. Ou encore ces réactions à chaud d’analystes qui se montrent plutôt dubitatifs. Voilà des questions embarrassantes.*Mohammed Larbi -El Watan-Samedi 04 Avril 2015
**Mohamed Hassanein Heikal:
« Il est déplorable que les Arabes aient perdu l’Iran, sans aucune raison, et au seul profit des Américains.
«Nous avons perdu l’Iran, pour la seule raison de maintenir nos relations avec les Etats-Unis, et cela est tout à fait déplorable», a déclaré Mohamed Hassanein Haykal, éminent journaliste égyptien, dénonçant la manière de l’interaction des pays arabes avec Téhéran.
A l’antenne de la chaîne de télévision égyptienne, CBC, Mohamed Hassanein Heikal, journaliste renommé égyptien, a déclaré : «Il est vraiment déplorable que nous avons perdu nos relations avec l’Iran, sans aucune raison, et au seul profit des Américains. Les Américains savaient bien que certains pays arabes éprouvaient un certain malentendu envers la Révolution islamique, en Iran, et ils en ont abusé, dans le sens de leurs intérêts. Les Américains ont fait en sorte que nous oublions la guerre contre Israël, en nous occupant avec des conflits entre Chiites et Sunnites».
En ce qui concerne la situation prévalant en Syrie, Mohamed Hassanein Heikal a déclaré : «On ne peut pas fermer les yeux sur la résistance de Bachar al-Assad et sur cette réalité qu’il est resté au pouvoir, pendant les cinq dernières années. L’Egypte, de son côté, pourrait avoir un rôle positif, dans le règlement de la crise, en Syrie».
Heikal s’est, ensuite, attardé sur le Yémen, tout en le qualifiant de volcan endormi, dans le Sud de la péninsule arabe, un volcan, dont l’éruption touchera la région, dans son entièreté, notamment, les pays arabes du golfe Persique.
Heikal a critiqué Riyad, pour avoir recouru à l’option militaire contre le Yémen : «la guerre, ce n’est pas une option à laquelle on fait appel tout de suite. Il fallait, d’abord, voir si l’Arabie saoudite serait en mesure de payer les pots cassés. A l’heure actuelle, les pays arabes s’enlisent dans la division, la destruction, le désarroi, le désespoir et la vacance du leadership, et tout ça se nourrit des défaites, du chaos et du phénomène du terrorisme. Il existe des armées arabes qui restent, totalement, incapables, face au terrorisme».(Irib news) *05/04/2015 |
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*Tunisie: des réserves de pétrole de plus d’un milliard de barils
La compagnie canadienne de production de pétrole et de gaz DualEx Energie a annoncé qu’une première évaluation du permis Bouhajla en Tunisie fait ressortir des réserves de plus d’un milliard de barils.
Aussitôt, les actions de la compagnie, basée à Calgary, ont grimpé de 40 pour cent à la Bourse de Toronto. La société a déclaré que l’évaluation a montré une meilleure estimation combinée de réserves de l’ordre de 1,03 milliards de barils de pétrole, ajoutant que nulles réserves non prouvées, probables ou éventuelles n’ont été affectées au permis Bouhajla.
LE Pdg de la compagnie, Garry Hides , a déclaré que l’objectif opérationnel actuel demeure Bouhajla Nord et que la société est en train d’évaluer les appels d’offres pour le choix de la compagnie qui sera chargée de l’étude sismique en 3D du site. Il faut cependant tempérer cette annonce, généralement faite, selon un expert pétrolier tunisien, par un calcul volumétrique selon la structure géologique découverte. Ce chiffre nous indique l’expert qui était haut cadre à la direction de l’énergie tunisienne, ne peut être définitif qu’après forage. Et de nous ajouter, pour tempérer plus cette annonce, qu’elle est généralement faite dans le but d’une recherche d’investisseurs pour le forage.
source: africanmanager–Publié par Cyber Résistant Franco Tunisien
*(Agence Ecofin) – La compagnie pétrolière canadienne Africa Hydrocarbons Inc (AHI) a annoncé, le 10 juin dans un communiqué, le démarrage du forage de son premier puits sur le permis d’exploration d’hydrocarbures de Bouhajla, situé au centre la Tunisie.
Baptisé BHF-1, ce puits sera foré à une profondeur totale de 2500 mètres afin d’évaluer les réserves de pétrole dans les roches mères de l’Abiod Crétacé.
Les travaux de forage devraient durer entre quatre à six semaines. «Nous sommes ravis du démarrage du forage. Ce puits d’exploration va fournir des informations importantes sur le potentiel d’hydrocarbures sur notre permis et annoncera, je l’espère, le succès de notre compagnie», s’enthousiasme John Nelson, le PDG de Africa Hydrocarbons Inc, cité dans le communiqué.
Une campagne de sondage sismique en 3D effectuée en 2012 avait révélé que le permis de Bouhajla est géologiquement analogue au gisement de Sidi El-Kilani, qui a jusqu’ici produit environ 48 millions de barils de pétrole léger. D’une superficie de 416 km2, le permis de Bouhajla est situé à 25 kilomètres au sud du gisement de Sidi El-Kilani.*.agenceecofin.com*jeudi, 13 juin 2013
**Tunis :1700kg de viande d’âne saisis à la Mannouba
Le directeur de la brigade centrale du contrôle sanitaire et économique à la police municipale de Mannouba, Imed Cherif, a affirmé à Shems Fm que sa brigade a saisi 1700 kilos de viande d’âne et 300 kilos d’abats.Il a ajouté que le propriétaire du commerce ne respectait aucune consigne d’hygiène et avait déclaré que cette viande était destinée à l’exportation vers la Chine. *africanmanager–05 avril 2015
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Catégories : actualité, international
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