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88% des Russes approuvent le travail de Poutine

30102014

*Le travail de Vladimir Poutine au poste de président russe satisfait 88% des habitants de la Russie, rapporte mercredi 29 octobre 2014, le centre d’analyse national Levada à l’issue d’un sondage.

Le président russe Vladimir Poutine, le 6 octobre 2014 à la résidence de Novo-Ogaryovo, près de Moscou

Selon les sociologues, 88% des Russes approuvent somme toute le travail du président, alors que 11% d’autres le désapprouvent. 1% des sondés n’ont pas d’opinion sur ce point.

Interrogés sur leur avis du travail Dmitri Medvedev au poste de premier ministre, 2% des personnes interrogées n’ont donné aucune réponse, alors que 68% d’autres se sont prononcés favorablement sur l’activité du chef du gouvernement. 30% ont avoué ne pas approuver le travail du premier ministre.

Par ailleurs, les sondés ont été invités à citer cinq ou six personnalités politiques ou publiques qui leur inspiraient le plus de confiance. Vladimir Poutine est crédité par le plus de Russes (60%). Le ministre de la Défense Sergueï Choïgou vient en deuxième position avec 26%. Dmitri Medvedev et le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov sont crédités respectivement de 20% et de 19%. 12% des sondés ont déclaré ne faire confiance à personne, et 14% d’autres ont dit n’avoir aucun intérêt pour la politique et les politiques en général.

Le sondage a été réalisé du 24 au 27 septembre derniers auprès de 1.600 citoyens russes d’au moins 18 ans. La marge d’erreur statistique ne dépasse pas 3,4%.*MOSCOU, 29 octobre 014 – RIA Novosti

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*CAN-2015 de football :

La CAF accorde cinq jours au Maroc pour se décider

La Confédération africaine de football (CAF) a accordé un délai de cinq jours au Maroc pour rendre sa réponse finale concernant sa position vis-à-vis de l’organisation de la coupe d’Afrique des nations CAN-2015, a annoncé lundi le directeur des médias de la Confédération africaine de football (CAF), Junior Binyam.

Le comité exécutif de la CAF tiendra une réunion le 11 novembre au Caire pour trancher définitivement le sort de la CAN-2015, dont le Maroc a demandé le report en raison du virus Ebola.

D’ici là, le Maroc a cinq jours (jusqu’au samedi 8 novembre) pour faire connaître sa décision définitive, a, de son côté, précisé le porte-parole de la Fédération marocaine (FRMF), Mohamed Makrouf, évoquant trois options : la tenue de la CAN dans le royaume en janvier, le déroulement de la compétition dans un autre pays à la même date, ou son annulation pure et simple.

L’instance africaine a notamment accordé un délai de cinq jours aux nations africaines souhaitant reprendre l’organisation de la CAN-2015, dans le cas où elle ne serait pas abritée par le Maroc.

Les membres du comité exécutif de la CAF, ont « unanimement » refusé de reporter la compétition, maintenue à sa date initiale (17 janvier-8 février), selon le compte Twitter de l’instance africaine.

« Tout changement (de dates) se ferait au détriment du calendrier de la CAF, qui a l’obligation de suivre le calendrier international de la Fifa », a indiqué Junior Binyam.

Les membres du comité exécutif de la CAF, à leur tête le président Issa Hayatou, se sont réunis dimanche à Alger pour évoquer la question pertinente du déroulement de la CAN-2015.

La délégation de l’instance africaine s’est rendue ensuite au Maroc, où elle a rencontré lundi le chef du gouvernement marocain, Abdelilah Benkirane, ainsi que les autorités marocaines, qui ont demandé le 10 octobre dernier le report de la compétition.

Les pays qualifiés à la CAN-2015 seront connus à l’issue de la sixième et dernière journée des éliminatoires prévue le 19 novembre prochain. L’Algérie a été le premier pays à valider son billet pour le rendez-vous africain, suivie du Cap-Vert. (Aps)*03/11/2014

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*Les femmes de diplomates russes ont subi aux USA des interrogatoires menottes aux poignets

Le ministère russe des Affaires étrangères a réagi à l’annonce de la chaîne ABC News concernant la « pression psychologique » exercée sur les diplomates américains à Moscou, écrit mercredi le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

L’information émise très manifestement à l’initiative du département d’Etat par la ABC News sur une prétendue « pression psychologique » exercée par Moscou sur le personnel de l’ambassade des USA à Moscou et leur « intimidation » systématique est infondée et ne correspond pas à la réalité.

Il ne s’agit même pas du fait que les « plaintes » annoncées n’atteignent pas le niveau d’un polar bon marché et se réduisent à des fantaisies banales concernant des prétendus piratages de courriels, des pneus crevés et des « intrusions » mystérieuses dans des appartements.

Nous sommes indignés par les affirmations sans appel et fausses du porte-parole du département d’Etat que « contrairement au comportement des Russes » la partie américaine traite les diplomates russes « avec le plus grand respect ».

Nous ne sommes pas partisans d’une discussion publique des aspects professionnels de l’activité diplomatique et des risques qu’elle implique, qui sont particulièrement élevés aux USA de par l’ampleur et l’envergure des opérations secrètes des renseignements américains qui surveillent de très près les diplomates russes.

Mais vu que Washington a décidé de lancer un débat devant le grand public, nous avons des choses à dire. Par exemple, au sujet des persécutions visant le directeur et le personnel du Centre russe pour la science et la culture à Washington accompagnées d’appels téléphoniques permanents, d’une surveillance ostentatoire et des tentatives impertinentes d’initier une « discussion ». Ou encore le fait que nos diplomates reçoivent constamment des propositions de recrutement, la pratique de grossières méthodes de provocation avec l’usage de données personnelles obtenues illégalement, y compris des informations sur l’état de santé des membres de famille. On pourrait également rappeler le récent incident avec l’usage de la force non seulement à l’égard du personnel de l’ambassade de Russie aux USA, mais aussi envers leurs épouses, qui ont été interpelées et soumises à un sévère interrogatoire menottes aux poignets.

En dépit de nos requêtes, la partie américaine n’a jamais présenté ses excuses.

D’ailleurs, les diplomates américains à Moscou ne sont pas un modèle du respect des lois et de la Convention de Genève sur les relations diplomatiques en matière du respect des lois et des règles du pays d’accueil. Depuis le début de l’année, une vingtaine d’infractions au Code de la route commises par le personnel de l’ambassade des USA a été enregistrée à Moscou et dans d’autres villes russes. Toutes les notes du ministère russe des Affaires étrangères demandant de prendre des mesures disciplinaires à l’encontre des contrevenants sont restées sans réponse, y compris concernant l’affaire scandaleuse datant du Nouvel an dernier, quand un représentant de la mission diplomatique a percuté des véhicules stationnés près du complexe diplomatique.

Nous préconisons aux collègues du département d’Etat de ne pas ajouter de la négativité dans un fond déjà sinistre de nos relations. Cela ne règle pas les problèmes et ne fait que les aggraver.*MOSCOU, 29 octobre 014 – RIA Novosti

*Kiev demande aux États-Unis et à l’Union européenne de l’aider à payer le gaz russe

L’Ukraine va demander aux États-Unis et à l’Union européenne de l’aider à payer sa dette pour le gaz russe, a indiqué jeudi le Premier ministre ukrainien Arseni Iatseniouk.

« Aujourd’hui, je vais m’entretenir par téléphone avec le vice-président américain (Joe) Biden et la chancelière allemande (Angela) Merkel » pour trouver notamment « des instruments financiers qui permettront de (…) payer nos factures énergétiques », a déclaré M. Iatseniouk lors d’un conseil des ministres à Kiev. Kiev et Moscou sont engagés dans un bras de fer depuis que le groupe public russe Gazprom a augmenté le prix du gaz russe à la suite de l’arrivée au pouvoir de pro-occidentaux en Ukraine. La Russie a suspendu ses livraisons vers l’Ukraine en juin, Kiev refusant de les payer au nouveau tarif imposé par Moscou. Plusieurs cycles de négociations, y compris avec la participation de l’UE, ont jusqu’à présent échoué à aboutir à un accord. Le dernier cycle de négociations tripartites a été interrompu dans la nuit de mercredi à jeudi à Bruxelles. Les pourparlers pourraient reprendre en début de soirée. Mais elles ne reprendront qu’en cas d’accord entre Kiev et l’UE sur le financement, insiste le patron du groupe gazier Gazprom, Alexeï Miller. L’UE a de son côté appelé jeudi l’Ukraine et la Russie à conclure un accord pour résoudre leur conflit gazier, sans préciser si elle était prête à apporter une aide financière à Kiev.*30/10/2014 -Source: Belga

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*Vidéo: Les faits se sont produits en octobre 2014. Sept centrales nucléaires françaises ont été survolées par des drones inconnus.

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*Deux militaires, se disputant le pouvoir au Burkina Faso, se sont autoproclamés chef de l’Etat, au lendemain de la démission du président Blaise Compaoré, créant une situation confuse et incertaine qui menace la stabilité de ce pays de l’Afrique de l’Ouest.

Vendredi après-midi, le chef d’état-major des armées, le général Nabéré Honoré Traoré, avait fait savoir qu’il assumerait les « responsabilités de chef de l’Etat », « conformément aux dispositions constitutionnelles », quand bien même l’intérim revient au président de l’Assemblée nationale en cas de « vacance » du pouvoir, selon les termes de la Loi fondamentale burkinabè.

L’annonce, qui a provoqué la colère dans les rues de Ougadougou — le général Traoré étant considéré comme trop proche de l’ancien chef de l’Etat — a également provoqué des dissensions dans l’armée. Le colonel Isaac Zida, à la tête d’un groupe de jeunes officiers, a multiplié les interventions, décidant dans un premier temps de la « suspension » de la Constitution.

Puis il a annoncé la fermeture des frontières terrestres et aériennes, ainsi que la « prise du pouvoir » par « les forces vives de la nation et les forces armées nationales » qu’il dit représenter.

Fort du soutien d’importantes composantes de la société civile, dont le « Balai citoyen », organisation en pointe dans la mobilisation anti-Compaoré, le groupe a également déclaré qu’il mettrait prochainement en place un nouvel « organe de transition » favorisant un « retour rapide » à l’ordre constitutionnel.

Dans la nuit de vendredi à samedi, le colonel Zida, devant les caméras d’une télévision privée, a à son tour déclaré qu’il « assumait » les responsabilités de « chef de la transition » et de « chef de l’Etat », invitant « l’ensemble des partis politiques et des organisations de la société civile » à définir les « contours » et « contenus » d’une « transition démocratique apaisée ».

Plus tard, lors d’une interview, il a qualifié de « caduques » les déclarations de son concurrent. Ces deux hommes, au discours identique, prétendant au même poste, ont supplanté un troisième homme, le général en retraite Kouamé Lougué, pourtant favori de la foule. Les deux hommes devaient se rencontrer samedi, selon des sources proches de leurs entourages.

Isaac Zida s’entretiendra également avec d’autres militaires, des diplomates et des responsables politiques, a-t-on ajouté de même sources.

L’opposition espère une entente au sein de l’armée

Le chef de l’opposition burkinabé Zéphirin Diabré, qui ne s’est pas ouvertement positionné, a espéré que les deux factions militaires qui ont revendiqué le pouvoir parviendront à « s’entendre ». M. Diabré a indiqué que « c’est à eux (militaires, Ndlr) de s’organiser. J’espère qu’ils vont s’entendre ».

« On s’attend à ce que l’armée nous dise ce qu’elle compte faire de la transition, nous leur dirons ce que nous pensons », a ajouté M. Diabré, espérant que cette transition vers un régime civil durerait moins d’un an. Se disant « satisfait » de la démission du président Compaoré, le chef de l’opposition a observé qu’il restait beaucoup de « challenges » pour « reconstruire le pays ».

La France, les Etats-Unis, et l’Union européenne ont exprimé leur attachement à une transition conforme à la légalité constitutionnelle.

Le Burkina Faso n’a connu qu’un seul président ces 27 dernières années. Blaise Compaoré, arrivé en 1987 au pouvoir par un coup d’Etat, avait ensuite effectué deux septennats et s’apprêtait à achever son deuxième quinquennat.

Sa volonté de réviser la Constitution pour lui permettre d’être candidat à la présidentielle de 2015 l’a finalement perdu: les manifestations de mardi ont amené des centaines de milliers de personnes dans les rues de la capitale.

Le maintien du vote jeudi au Parlement pour modifier la Loi fondamentale et lui permettre de garder le pouvoir a embrasé le Burkina Faso (Assemblée nationale incendiée, télévision publique prise d’assaut, violences en province, appels à la démission du président). Blaise Compaoré a finalement dû démissionner un an avant l’échéance de son dernier mandat.

« Dans le souci de préserver les acquis démocratiques, ainsi que la paix sociale (…), je déclare la vacance du pouvoir en vue de permettre la mise en place d’une transition », a-t-il déclaré dans un communiqué vendredi à la mi-journée.

L’ex-chef de l’Etat se trouve « dans un lieu sûr » et son intégrité « physique et morale » est « assurée », a fait savoir le colonel Zida.

Selon l’AFP, qui cite des témoins et une source sécuritaire qu’elle n’a pas identifiée, M. Campaoré se trouvait samedi à Yamoussoukro, en Côte d’Ivoire, où il s’est installé la veille au soir dans une résidence d’Etat pour les hôtes étrangers.(APS)-01/11/2014 | 13:42

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*Des pillages à Ouagadougou-capitale du Burkina Fasso

Démission du président Blaise Compaoré et l’armée prend le pouvoir

 88% des Russes approuvent le travail de Poutine dans actualité media_xll_7246602

"Compaoré n'est plus au pouvoir"

"Il revient au peuple burkinabé de décider de son avenir"

Des pillages étaient en cours vendredi dans le quartier des ministères à Ouagadougou, quelques heures après la démission du président Blaise Compaoré, et la prise du pouvoir par le chef d’état-major de l’armée.

De nombreux hommes, poussant des charrettes à bras, étaient visibles avenue de l’Indépendance, l’un des principaux axes de la capitale, que bordent l’Assemblée nationale, incendiée jeudi, et de nombreux ministères ou directions administratives. Fenêtres arrachées aux bâtiments, portes, tables, chaises, climatiseurs… tout a été méthodiquement raflé et circule à présent dans les rues. « Nous ne sommes pas des voleurs. Nous ne faisons que récupérer ce que le clan Compaoré nous a volé », s’est justifié un pillard. Les forces de l’ordre interviennent rarement. « Il y a des pillages depuis (vendredi) matin, a confirmé un gendarme. On fait des patrouilles pour vérifier. Parfois, nous demandons aux gens de tout laisser, et ils le font ». Aucune instruction n’a pour l’instant été communiquée aux gendarmes pour stopper ces vols à grande envergure, a-t-il révélé. Un couvre-feu a toutefois été instauré par l’armée pour « protéger les biens et les personnes », selon l’armée, mais il est très diversement mis en pratique par les forces de l’ordre. Jeudi, des domiciles de plusieurs personnalités du régime Compaoré avaient été saccagés ou brûlés dans la capitale ou à Bobo Dioulasso, la seconde ville du pays. Des commerçants proches du président déchu ou de son frère François ont été particulièrement visés. Plus rien ne restait jeudi soir dans un magasin d’électroménager dont le propriétaire était connu pour ses liens avec la famille de l’ex-chef de l’Etat.*31/10/2014 -Source: Belga

media_xll_7246459 Blaise.Compaoré dans international

*Nabéré Honoré Traoré a annoncé prendre le pouvoir dans l’attente d’une sortie de crise démocratique. Une décision contestée, ce dernier étant considéré trop proche de l’ex-président Compaoré. Chassé par la rue, le président du Burkina Faso, Blaise Compaoré, a quitté le pouvoir vendredi après 27 ans de règne, et le chef d’état-major s’est aussitôt proclamé chef de l’Etat. « Révolution » populaire ou « coup d’Etat » militaire? La chute de M. Compaoré plonge ce petit pays pauvre du Sahel dans une période d’incertitudes. Elle est aussi un énorme coup de semonce pour les présidents africains qui seraient tentés, comme lui, de retoucher la Constitution pour rester indéfiniment dans leur palais. Arrivé en 1987 au pouvoir par un putsch qui s’était soldé par la mort de Thomas Sankara, icône du panafricanisme, M. Compaoré, qui fut longtemps l’un des hommes forts d’Afrique de l’Ouest, a été contraint de tirer piteusement sa révérence.  »Nous avons accompli notre mission: le grand baobab est tombé, terrassé par la population », exultait Jacques Zongo, fonctionnaire de 33 ans, coiffé d’un chapeau aux couleurs du Bukina. Selon la diplomatie française, celui qui n’est désormais plus qu’ex-président du « pays des hommes intègres » est parti « vers le sud » du Burkina, en direction de Pô, une ville proche de la frontière avec le Ghana. Dans la foulée de la démission de M. Compaoré, le chef d’état-major de l’armée, le général Nabéré Honoré Traoré, a annoncé qu’il assumerait les « responsabilités de chef de l’Etat ».Si l’annonce du général Traoré devait être confirmée par le Conseil constitutionnel, il s’agirait d’un « coup d’Etat » qui entraînerait une « mécanique de sanctions », selon une source diplomatique française. La Constitution prévoit en cas de démission du président un intérim par le président de l’Assemblée nationale. Or le Parlement a été dissous par l’armée jeudi après avoir été incendié lors de violentes émeutes, et le sort du chef des députés reste inconnu. Paris espère que la médiation tripartite ONU-Union africaine-Cédéao (Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest) permettra « aux différents acteurs de se parler ». 

*« Printemps » burkinabé

C’est l’annonce d’un projet de révision constitutionnelle, qui aurait permis à M. Compaoré – élu pour deux septennats puis deux quinquennats – de se représenter à la présidentielle en 2015, qui a jeté dans les rues des centaines de milliers de personnes, refusant un « président à vie ». Assemblée nationale incendiée, télévision publique prise d’assaut, violences en province, appels à la démission du président: le Burkina s’est enflammé jeudi. Cette crise a provoqué l’intervention des militaires, puis du président Compaoré dans la nuit, semant la confusion.*31/10/2014*7sur7

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*manifestation à l’aéroport de Tunis contre l’arrivée du sioniste français Bernard-Henri Lévy

Bernard Henri Levy Bernard-Henri Levy attends a press conference at Theatre du Rond-Point on November 3, 2011 in Paris, France. The offices of French satirical magazine Charlie Hebdo were attacked and completely destroyed a day after they featured a caricature of the Prophet Muhammad on its cover and named him as 'editor-in-chief'.

Des dizaines de Tunisiens ont manifesté dans la nuit de vendredi à samedi à l’aéroport de Tunis-Carthage contre l’arrivée du pseudo-philosophe français Bernard-Henri Lévy, connu pour ses appartenances sionistes, ont rapporté des médias tunisiens. Les protestataires ont exigé le départ de M. Lévy, aux cris de « BHL dégage » et « Non aux intérêts sionistes en Tunisie », selon les deux radios privées Mosaïque FM et Shems FM. Les manifestants ont bloqué la sortie principale des visiteurs à l’aéroport, poussant des agents de sécurité à faire sortir l’écrivain par une porte secondaire, a précisé Shems FM.

Ni le ministère tunisien de l’Intérieur, ni celui des Affaires étrangères n’ont été avisé de la visite de M. Lévy, arrivant à Tunis sur le vol 723, en provenance de l’aéroport d’Orly (France), selon des sources citées par des médias.01/11/2014 |

*Islamophobie:

Un élu du Front National converti à l’islam, suspendu par le Parti

**Il a voulu leur montrer une autre image de l’Tslam

Un élu du Front National, parti d’extrême droite français, récemment converti à l’islam, a été suspendu par sa formation qui lui reproche d’avoir fait du « prosélytisme » en envoyant une vidéo sur l’islam à des cadres du FN, a-t-on appris samedi.

Maxence Buttey, conseiller municipal à Noisy-le-Grand, près de Paris, a été « suspendu provisoirement », a déclaré Jordan Bardella, secrétaire départemental du FN en Seine-Saint-Denis, confirmant une information du quotidien Le Parisien. 
Élu en mars dernier, Maxence Buttey, 22 ans, dément « fermement » les accusations de son parti et préfère expliquer qu’il a envoyé cette vidéo pour « expliquer » sa conversion. 
Selon lui, cette vidéo a été adressée à « une dizaine » de cadres lors d’un échange d’emails et présente « des miracles scientifiques », dont certains étaient prédits dans le Coran, affirme-t-il. « Face à l’incompréhension sur mon choix, j’ai voulu m’expliquer, montrer une autre image de cette religion. L’islam, ce n’est pas le djihad », explique cet étudiant en droit converti depuis le mois de juillet.*médias-25/10/2014

**Islamophobie en hausse en Belgique

Quelque 250 personnes ont manifesté dimanche après-midi sur la place Poelaert, à Bruxelles, contre l’islamophobie, un phénomène en hausse. Les manifestants ont répondu à l’appel de l’organisation « Muslim Rights ».

« Nous ne demandons rien de plus que le droit de vivre dans la paix et la dignité, de faire partie de la société et de participer à la vie publique », explique Foaud Benyekhlef, initiateur de la manifestation.
La manifestation est une réaction à certains incidents, tel le décès de Youssef Tariki, un homme de 42 ans mort à la mi-décembre dans des circonstances encore non élucidées dans un commissariat de Charleroi. Il avait été interpellé à la suite d’une dispute conjugale. Sa femme et ses 8 enfants demandent des explications sur ce qui s’est passé.
« Ce n’est qu’un exemple de la façon dont les musulmans sont traités », poursuit Fouad Benyekhlef. « C’est la même chose avec les femmes musulmanes qui sont regardées de travers, insultées ou même agressées parce qu’elles portent le foulard. Le message est clair. Les musulmans doivent se cacher et ne doivent pas être vus. On a fêté récemment le 50e anniversaire de l’immigration mais pour nous il n’y a pas beaucoup de raisons de se réjouir. Le racisme à l’encontre de l’étranger, du travailleur immigré s’est mué en islamophobie. La haine et la discrimination sont restées les mêmes.Ce n’est que lorsque les musulmans pourront être fiers de ce qu’ils sont, que les musulmanes pourront porter le voile sans être dérangées pour aller travailler ou étudier, que cette société aura évolué ».*26/10/14 -Source: Belga

*La Foire Musulmane de Bruxelles

   du 7 au 10 novembre 2014 à tour et Taxis

Plus de 150 exposants sur 12.000 m², dont un espace de conférences et de rencontres

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*La Foire Musulmane de Bruxelles, un événement festif, familial et convivial, ouvert à toutes et tous, est organisé par Gedis en partenariat avec la Ligue des Musulmans de Belgique (LMB). Après avoir enregistré plus de 16.000 visiteurs lors de sa première édition en 2012 et de sa deuxième édition en 2013, la Foire Musulmane de Bruxelles revient pour sa 3ème édition du 7 au 10 novembre 2014… avec les mêmes ingrédients du succès. Foire commerciale, conférences et soirées culturelles sont au rendez-vous durant les quatre jours de cet événement exceptionnel. Ces nombreuses conférences porteront donc sur nos défis communs, dans une perspective d’ouverture et de dialogue. Elles présenteront les points de vue d’éminents penseurs musulmans, ainsi que des avis de spécialistes du monde académique et de la société civile.Fenêtre ouverte sur les musulmans de Belgique et leur diversité, la Foire musulmane convie tout le monde, musulmans et non-musulmans, à venir découvrir la richesse de sa réflexion intellectuelle, la créativité de sa production commerciale et culturelle.*source: /lmbonline.be

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*25.000 manifestants contre l’austérité à Athènes

Vingt-cinq mille personnes, selon la police, ont manifesté samedi à Athènes contre l’austérité à l’appel du Pame, le Front des travailleurs proche du parti communiste.

media_xll_7247710 Burkina.Fasso dans société

« Nous ne sommes pas que des chiffres, nous méritons des conditions de vie humaine », ont scandé les manifestants place Syntagma, face au Parlement, à Athènes. Mille organisations syndicales représentant les secteurs public et privé de toute la Grèce se sont réunies samedi pour dénoncer qu’outre « les 1,5 millions de chômeurs officiels il y a plus de 500 000 employés qui ne sont pas payés depuis plusieurs mois » selon les banderoles déroulées par le Front des travailleurs. « Il faut faire le choix politique de relancer la croissance, rouvrir les usines, créer des emplois, booster la consommation », a affirmé Gregoris Papadopoulos, 45 ans, ancien salarié de l’usine Coca-cola de Thessalonique (nord) fermée il y a un an. 
La Grèce encore loin de pouvoir se passer d'aide financière

Pour Fotini Mitsakosta, enseignante venue de Livadia (centre) pour manifester à Athènes, « la crise n’est pas finie. Mon salaire a été baissé de plus de 40% depuis 2011, j’ai des dettes et je suis dans l’incapacité de payer les frais de scolarité de mes enfants ». 

Les centrales syndicales du privé et du public, la Gsee et l’Adedy, ont appelé à une grève générale le 27 novembre en Grèce, pour dénoncer la poursuite des mesures d’austérité dans le projet du budget d’État pour 2015. 

La Grèce s’est engagée auprès de ses créanciers à appliquer le plan d’assainissement de ses finances, dont le volet européen arrive à son terme d’ici à fin décembre. 

Le projet de budget d’État 2015, qui doit être présenté au Parlement d’ici à fin novembre, prévoit des allégements fiscaux, mais il poursuit de manière générale la politique d’austérité et la réduction des dépenses publiques.*1/11/14 -Source: Belga

Pas de divorce entre la Grèce et le FMI

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