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Des bombardiers de 5ème génération utilisés en Syrie

23092014

*Les derniers évènements de l’actualité

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*Les Français pour l’ouverture des commerc es le soir et le dimanche,

et pour la remise en cause des 35 heures

SONDAGE – Une majorité de Français approuve les propositions du Medef.

Une nette majorité de Français est majoritairement favorable à l’ouverture des commerces le soir et le dimanche, ainsi qu’à la remise en cause des 35 heures, mais s’oppose en revanche à un recul de l’âge de la retraite et à la suppression de deux jours fériés, selon un sondage Odoxa pour i>Télé et Le Parisien/Aujourd’hui en France publié samedi.27/09/2014 

Interrogés sur ces quatre proposition du Medef, 72% des sondés approuvent celle consistant à «autoriser l’ouverture des commerces à la fois le soir et le dimanche» (28% opposés), 61% acceptent de «revenir sur la durée légale du travail et l’adapter selon la taille et le secteur des entreprises» (39% opposés), tandis que 69% sont contre «reculer l’âge légal de départ à la retraite» (31% pour) et 73% refusent de «supprimer deux jours fériés par an pour allonger la durée annuelle travaillée» (26% pour et 1% sans opinion).

Sondage réalisé par internet les 25 et 26 septembre auprès d’un échantillon de 1.001 personnes, représentatif de la population française adulte.*20minutes. A.D. avec AFP*27/09/2014 

**un millionnaire français rachète tout un quartier à Paris

C’est l’un des projets les plus fous à Paris qui se cache derrière des vitres voilées de blanc. Suite à l’achat par un millionnaire français, Cédric Naudon, de 36 adresses à Paris, toutes situées dans trois rues voisines, la rue Notre-Dame-de-Nazareth, la rue Volta et la rue du Vertbois, un quartier entier est en travaux, prêt à revivre d’ici un mois ou deux. Dans le Haut-Marais, entre Arts et Métiers au sud et Strasbourg-Saint-Denis au nord, les habitants vont voir éclore des commerces dédiés à la gastronomie et à la culture : restaurant, épicerie, pâtisserie, boucherie, street food, marché couvert, poissonnerie et même une galerie d’art, un concept-store et un cinéma en partenariat avec MK2. Un village dans la ville en quelque sorte, pour lequel l’homme d’affaires a déboursé environ 10,5 millions d’euros (une somme assez modeste pour l’envergure du projet), soit un tiers de l’investissement global, partagé avec des banques. 

Pour chacune de ces boutiques, le mot d’ordre est le respect de l’environnement et la qualité des produits, le tout dans des espaces designés par de grands noms venus du monde entier, sans qu’on sache encore à quel tarif il faudra payer tout ça. « Au juste prix », promet Cédric Naudon. Pour l’instant, le promeneur aperçoit surtout des vitres pudiquement blanchies, hormis le restaurant Anahi, déjà ouvert. Seul bémol, teinté d’ironie, à ce projet passionnant, si l’on en croit les photographies publiées par L’Express Styles dans un article paru la semaine dernière, les protagonistes de La Jeune Rue ne sont plus tout jeunes…*Lun. mars 31 2014–timeout

**Le dollar bientôt détrôné par le rouble et le yuan?

Le dollar bientôt détrôné par le rouble et le yuan?

Moscou est Pékin font savoir à Washington que son statut de « superpuissance numéro un » arrive à son terme. La « transaction gazière du siècle » entre la Russie et la Chine et l’éventuel passage au rouble et au yuan comme monnaies de réserve sont des attaques écrasantes contre les Etats-Unis, déjà noyés dans leur dette extérieure démesurée.
Le 20 septembre, le Washington Times annonçait que l’amitié entre la Russie et la Chine était bien pire pour les USA que la Guerre froide et représentait une menace à la sécurité nationale des Etats-Unis, à cause de la coopération active de Moscou et de Pékin dans « pratiquement tous les domaines possibles ». Le journal n’a toutefois souligné que l’aspect militaro-politique: la préparation par les Russes et les Chinois d’une arme « capable de contrer les principaux avantages du matériel militaire américain ».
Les journalistes ont toutefois laissé entre parenthèses un autre aspect bien plus substantiel pour Washington, dans le domaine financier et économique. Passer sous silence un tel fait signifie que les USA ont vraiment peur de la réaction de l’alliance Moscou-Pékin face aux sanctions antirusses « à cause de l’Ukraine ». Les raisons sont plus que suffisantes car après tout, ces démarches pourraient enterrer le dollar.

La Russie et la Chine ont affiché leur position commune sur l’Ukraine début mars déjà. 
A l’époque, Pékin avait promis de soutenir Moscou par son veto en cas de décision antirusse au Conseil de sécurité des Nations unies. Les autorités chinoises ont également exigé, à la Cour d’arbitrage internationale de Londres, que Kiev rembourse sa dette de 3 milliards de dollars; et l’état-major de l’armée chinoise a appelé le gouvernement ukrainien à stopper l’opération punitive contre la population civile.
L’an dernier, les échanges commerciaux de la Chine ont dépassé 4 000 milliards de dollars, soit plus que ceux des USA. En février 2014, au moment du coup d’Etat en Ukraine, elle a vendu pour plus de 48 milliards d’obligations américaines à court terme. Les analystes financiers occidentaux prédisent qu’en 2015, 30% du commerce chinois devrait passer aux opérations en yuans, se débarrassant ainsi du dollar. Les experts occidentaux ont noté que jusqu’en 2013, un tel reflux des investissements des USA, ne s’était pratiquement jamais produit.

Pour éviter une vente hystérique des obligations du gouvernement américain, ce qui entraînerait la hausse des taux d’intérêt, du coût de financement de la dette des USA et conduirait à l’effondrement de leur marché des titres, la Réserve fédérale américaine (Fed) a dû rapidement prendre des risques et racheter secrètement – par la Belgique – des obligations.
La gravité de la situation du dollar est confirmée par les analystes de la banque HSBC, qui rapportent qu’en 2014 les compagnies mondiales ont subitement augmenté leur recours au yuan pour leurs transactions commerciales. Sachant que 22% de ces compagnies sont déjà passées à la monnaie chinoise et que la « locomotive économique » de l’UE, l’Allemagne, mais aussi Hong Kong et les USA sont devenus ses utilisateurs les plus actifs. Comme l’écrit le Wall Street Journal, rien que l’an dernier les transactions en yuans réalisées par les compagnies américaines ont quadruplé. La réunion spéciale du gouvernement russe présidée par le vice-premier ministre Igor Chouvalov en avril 2014 a également préoccupé les maîtres du dollar: il y était question d’une solution pour renoncer au dollar dans les opérations d’exportations.

Mi-mai, on annonçait que l’Iran et la Chine étaient prêts à renoncer au dollar dans leurs transactions bilatérales. Le 22 mai, le président de Gazprom neft Alexandre Dioukov a déclaré que ses sous-traitants étaient prêts à abandonner le dollar au profit du rouble, du yuan et de l’euro. Le 16 juillet, le Pakistan a refusé d’échanger ses réserves de change contre des billets de banque américains en annonçant au monde entier que le dollar représentait une menace à la sécurité nationale. Le 25 juin la Chine a annoncé la création de la Banque asiatique pour l’investissement dans l’infrastructure comme une alternative à la Banque mondiale et à la Banque asiatique de développement, jugeant ces dernières « trop dépendantes des USA ». Plus de 20 pays ont immédiatement témoigné de l’intérêt pour cette initiative, y compris au Moyen-Orient. Le 9 septembre, les banques centrales d’Argentine et de Chine ont initié l’abandon des opérations en dollars dans leurs échanges commerciaux. 
Par ailleurs, le président chinois Xi Jinping a suggéré de créer une nouvelle structure de sécurité en Eurasie avec la participation des puissances régionales, de la Russie et de 
l’Iran -mais sans les USA – lors de la Conférence pour l’interaction et les mesures de confiance en Asie à Shanghaï, en présence du président russe et des dirigeants d’Asie centrale. L’appel de Pékin a été entendu par Téhéran qui a officiellement annoncé son intention de fournir son gaz en Europe sans faire concurrence à la Russie. Il a également été entendu par Moscou, qui a organisé avec la Chine des exercices navals en mer de Chine orientale.

Début septembre la presse asiatique et occidentale constatait pratiquement à l’unanimité que la Russie et la Chine créaient un contrepoids face à l’Otan, une alliance militaro-politique sans rivale dans le monde. Quelques jours plus tard, on apprenait que ce n’étaient pas de simples métaphores journalistiques: à l’issue du sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS) à Douchanbé en septembre a été annoncée la création d’une structure commune de lutte contre le terrorisme, le trafic de stupéfiants et d’autres menaces à la sécurité nationale par les membres de l’OCS. Il s’agit de constituer, sous un commandement commun, des contingents interarmées et d’utiliser conjointement toutes les ressources étatiques contre un ennemi commun.
Les Etats-Unis cherchent par tous les moyens à empêcher le rapprochement de Moscou et Pékin. Après la signature de la « transaction du siècle » russo-chinoise le camp de l’opposition, les « séparatistes sibériens » et les représentations diplomatiques américaines se sont soudainement activés à Moscou, en Sibérie et dans l’Oural. Plusieurs attentats se sont produits en mai dans le Xinjiang, faisant des dizaines de victimes. En parallèle, Washington a accéléré la création de « l’axe du mal » antichinois en Asie-Pacifique: les Etats-Unis considèrent le Japon, l’Australie, Singapour, la Thaïlande, la Malaisie, les Philippines et le Viêt Nam comme leurs partenaires stratégiques dans la région.
Tout en essayant de créer une « Otan asiatique », Washington cherche à imposer l’idée d’une « Otan économique » euro-atlantique – un pacte commercial transatlantique qui devrait soumettre les marchés européen, puis eurasiatique et asiatique aux Américains. Si le premier projet vise la Chine et ses ambitions en Asie-Pacifique, le second est dirigé contre la Russie et l’intégration eurasiatique.

Aujourd’hui, Washington ne cache plus qu’il mène une guerre économique contre la Russie. « Notre objectif initial était d’isoler la Russie et la forcer à payer un prix économique pour ses actions en Ukraine », a déclaré le porte-parole de la Maison blanche Josh Earnest sur la chute du taux de change du rouble. Cependant, selon les experts américains, Barack Obama n’a pas choisi le meilleur moment pour ouvrir les hostilités avec la Russie. Le fait est que les sanctions antirusses enterrent toute perspective de soutien de la position américaine par Moscou au Conseil de sécurité des Nations unies, notamment sur la question moyen-orientale existentielle pour Washington.
De plus, comme l’a déploré le membre de la Chambre des représentants du congrès américain Walter Johns, les Etats-Unis n’ont plus la capacité de maintenir l’ordre mondial car « nous sommes un pays débiteur, nous ne pouvons pas rembourser sans relever le plafond de la dette publique et nous ne pouvons tout simplement plus dicter à d’autres pays ce qu’ils doivent faire ».
Il se pourrait que dans un avenir prévisible on demande à Washington de rembourser ses dettes en roubles ou en yuans.*Par Nikolaï Malichevski, RIA Novosti–24/09/2014

 

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*Des chasseurs bombardiers furtifs F-22 Raptor 

F-22 Raptor

Des chasseurs bombardiers furtifs F-22 Raptor, les plus sophistiqués de l’arsenal aérien américain, ont été utilisés mardi pour la première fois lors des frappes menées en Syrie contre les djihadistes, a annoncé William Mayville, directeur des opérations de l’état-major interarmées, lors d’un point de presse au Pentagone. 

Le F-22 Raptor est l’unique chasseur de 5e génération au monde en dotation. Selon différentes estimations, un appareil coûte 130 à 180 millions de dollars. 
Les Etats-Unis ont lancé mardi matin des frappes contre les djihadistes de l’Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique. Selon le commandement central des forces américaines (Centcom), l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids. *WASHINGTON, 23 septembre 2014 – RIA Novosti

Syrie/EI: les raids US menés depuis la mer Rouge et le golfe Persique

*Les raids US ont été menés depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le golfe Persique

Les Etats-Unis ont mené des frappes contre les djihadistes de l’Etat islamique en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique, rapportent mardi les agences occidentales.

D’après un communiqué diffusé par le commandement central des forces américaines, l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids.

L’armée jordanienne a pour sa part annoncé avoir mené des raids aériens contre des « groupes terroristes » qui projetaient des attentats en Jordanie.

Mardi matin, l’aviation américaine a attaqué les positions des groupes terroristes Etat islamique et Front Al-Nosra en Syrie. Les raids ont été réalisés sans l’accord du gouvernement de Damas. Toutefois, le ministère syrien des Affaires étrangères a rapporté que les Etats-Unis avaient informé Damas de leurs frappes.*23 septembre 2014 – RIA Novosti

*Les frappes aériennes menées par les Etats-Unis contre la Syrie sont illégitimes

Les frappes aériennes menées par les Etats-Unis contre la Syrie sont illégitimes, a déclaré mardi le président iranien Hassan Rohani, cité par les agences occidentales.

« M.Rohani a estimé que de telles actions n’étaient pas soutenues par la Syrie », rapportent  les médias internationaux.

Le Pentagone a annoncé mardi dans un communiqué des frappes aériennes américaines contre les positions des djihadistes du groupe Etat islamique (EI) sur le territoire syrien. Le président Barack Obama a prévenu auparavant qu’après l’Irak, où l’armée américaine menait depuis le 8 août dernier des frappes aériennes contre les bases de l’EI, il étendrait le champ des attaques en Syrie. Le gouvernement syrien de Bachar el-Assad n’a toutefois pas autorisé les Etats-Unis à mener des frappes contre les terroristes sur le territoire du pays.

Les Etats-Unis ont lancé mardi matin des frappes contre les djihadistes de l’Etat islamique en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique. Selon le commandement central des forces américaines (Centcom), l’Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids.*23 septembre 2014 – RIA Novosti

**La guerre dépasserait le milliard de dollars par mois pour Washington

La guerre menée des airs par les Etats-Unis et leurs alliés contre l’organisation Etat islamique (EI) en Irak et en Syrie devrait dépasser le milliard de dollars par mois pour Washington, un montant sans comparaison avec la campagne en Afghanistan, a indiqué hier l’AFP.

Alors que le même jour, le Premier ministre britannique, David Cameron, a déclaré que l’intervention du Royaume-Uni en Irak, «prendrait des années». «Cela va être une mission qui ne va pas prendre des mois mais des années, mais je pense que nous devons nous préparer pour cet engagement», a indiqué le Premier ministre devant la Chambre des communes. Et d’ajouter : «Les caractéristiques de cette campagne seront la patience et la persévérance.»

Le Pentagone a estimé, le mois dernier, que l’opération menée en Irak depuis le 8 août coûte en moyenne 7,5 millions de dollars par jour aux Etats-Unis. Mais les responsables de la Défense reconnaissent eux-mêmes que cette estimation reste dans le bas de la fourchette, d’autant qu’elle a été réalisée avant que le président Barack Obama n’ordonne d’étendre la campagne de frappes aériennes à la Syrie. Si l’on prend donc en compte les frappes sur la Syrie, l’utilisation d’un matériel de défense ultrasophistiqué et le coût de ne serait-ce qu’un petit contingent de soldats américains en Irak, le montant pourrait grimper, selon certains experts, à plus de 10 milliards de dollars par an. «Je pense que l’on peut parler d’un nombre de milliards à deux chiffres», commente Jim Haslik du centre de réflexion Atlantic Council.

La première nuit des frappes aériennes contre l’EI en Syrie, mardi à l’aube, les Etats-Unis ont tiré 47 missiles de croisière Tomahawk depuis des navires de surface et déployé plusieurs avions de chasse F22 Raptor ultrasophistiqués. Chaque missile coûte environ 1,5 million de dollars et les F-22 quelque 68 000 dollars par heure de vol. Ces montants restent toutefois sans comparaison avec les financements massifs déployés par les Etats-Unis dans leurs campagnes en Irak et en Afghanistan cette dernière décennie. «Ces montants restent faibles comparés à l’Afghanistan», estime Todd Harrison du Center for Strategic and Budgetary Assessments.

La facture pour la guerre en Afghanistan s’élève encore aujourd’hui à un milliard de dollars par semaine. L’invasion d’Irak en 2003 et l’occupation du pays qui a suivi jusqu’en 2011 sont, quant à elles, revenues à plus de 1000  milliards de dollars au total, selon des estimations indépendantes.

Le cas de la Libye

S’agissant de la nouvelle guerre menée contre l’EI, même si Barack Obama a promis de ne pas envoyer de troupes au sol, quelque 1600 soldats sont actuellement en Irak pour assurer la protection des diplomates américains, conseiller les forces irakiennes et coordonner les attaques aériennes. Lors de la campagne aérienne de l’Otan en Libye en 2011, la part des Etats-Unis pour cette opération de sept mois a atteint un milliard de dollars. Mais dès les premiers jours, Washington a décidé de se retirer des frappes et de fournir à la place du soutien à ses alliés de l’Otan à l’aide d’avions ravitailleurs et de surveillance. A la différence de la Libye, dans la campagne contre l’EI, Washington semble prêt à jouer un rôle dominant.

«Je dirais que cela va nous coûter entre 15 et 20 milliards de dollars par an, ou entre 1,25 et 1,75 milliard par mois», indique Gordon Adams, professeur à l’American University et ancien responsable du budget sous la présidence de Bill Clinton.
Selon Todd Harrison, la part la plus élevée va venir du nombre élevé de vols de surveillance nécessaires pour accompagner les bombardements : «Il s’agit d’une large zone que nous essayons de surveiller en permanence.»  

Le Pentagone a dit conduire 60 vols de surveillance par jour en Irak pour une opération qui pourrait durer, selon la Maison-Blanche, trois ans. Les financements pour cette campagne devraient provenir du budget de guerre du Pentagone : le fonds pour les opérations d’urgence à l’étranger. Séparé du budget de base de la défense, ce fonds est la carte de crédit utilisée pour couvrir le coût des guerres menées par les Etats-Unis. Le Congrès l’a accru de 85 milliards pour l’année fiscale en cours qui se termine ce mois-ci. Mais le Pentagone, qui anticipe la large réduction des troupes en Afghanistan fin 2014, prévoit une chute importante de son budget pour 2015.
Tant que le nombre des troupes au sol restera faible, assurent toutefois les experts, le coût de cette guerre ne devrait pas être catastrophique pour le Pentagone.*médias+El Watan- Samedi 27 Septembre 2014

**Les Etats-Unis réalisent tous leurs projets au Moyen-Orient avec l’argent des pays arabes. 

Sur la chaîne égyptienne CBC, le célèbre journaliste égyptien Mohamed Hassanein Heikal a critiqué les dirigeants des pays arabes, en leur reprochant de faire perdre le sang des jeunes arabes et les richesses des nations. « Les gens qui ont créé eux-mêmes le groupe terroriste de Daech, prétendent maintenant diriger la guerre contre le terrorisme », a-t-il déclaré. Il s’est inquiété ensuite des efforts en cours pour faire impliquer l’Egypte dans ces jeux politiques : « Aujourd’hui, la seule armée arabe qui se bat contre les terroristes de Daech est l’armée syrienne. Mais il est curieux de savoir que la Syrie ne fait pas partie de la coalition internationale formée par les Etats-Unis pour combattre les terroristes de l’Etat islamique (Daech) », a-t-il ajouté. Mohamed Hassanein Heikal a estimé qu’il est possible que demain cette coalition présente des factures très lourdes à payer aux dirigeants des pays arabes pour une guerre inutile et insensée en voulant piller toutes les richesses des nations arabes. Il a rappelé que les Etats-Unis, la Turquie et plusieurs pays arabes du sud du golfe Persique ont créé eux-mêmes le groupe terroriste de Daech et l’ont longtemps soutenu. Quant à la stratégie du président des Etats-Unis Barack Obama pour faire la guerre contre le terrorisme, le célèbre journaliste arabe a déclaré qu’à l’intérieur des Etats-Unis, Barack Obama est considéré comme un président faible, et il a ajouté que les dirigeants arabes auraient tort de croire que Washington puisse arriver à une victoire militaire ou politique dans la région du Moyen-Orient. « Le seul moyen pour l’Egypte d’assurer sa sécurité nationale est de se servir des instruments non militaires. Dans ce sens, le Caire doit établir des relations constructifs avec la Turquie et l’Iran », a-t-il déclaré. Quant au discours du président égyptien Abdel Fattah al-Sissi devant l’Assemblée général de l’ONU, il a prévu que les représentants de certains pays dont la Turquie quittent la salle pendant le discours présidentiel.*irib-lundi, 22 septembre 2014

La Turquie bombarde la Syrie !! pourquoi?

**La Turquie bombarde la Syrie: pourquoi?

Les chasseurs bombardiers turcs ont mené des raids dans la nuit
de mardi à mercredi contre des régions sous contrôle des terroristes de Daech près des frontières turques. selon Reuters qui cite l’OSDH, ces raids ont visé l’ouest de la ville kurde syrienne de Koubani à Ain al Arab. Dans la mesure où la Turquie a refusé d’entrer en action contre les terroristes de Daech dont elle facilité l’entrée en Syrie et en Irak à quoi rime ces bombardements? le député kurde syrien, et président du parti national des kurdes de Syrie, Omar Oussi a son propre idée là dessus : les terroristes de Daech se sont attaqués à la ville de Koubani ( en arab Aïn al Arab) dans l’objectif de préparer l’émergence d’une ceinture sécuritaire tout au long des frontières syro- turques. les takfiris continuent à mener des combats permanents et d’une rare intensité contre les villes et les villages kurdes de cette zone. et ces attaques se poursuivent à partir de trois axes du sud , de l’est et de l’ouest . les daechistes ont recours aux canons, aux missiles , aux chars et à toute sorte d’équipements lourds. et ils bénéficient du soutien direct d’Ankara et de l’armée turque. l’objectif de ces attaques est bien clair: la Turquie cherche à éliminer les comités populaires turcs, soit ces formations mises en place par l’Etat syriens et qui n’ont cessé de le soutenir depuis le début de la guerre et qui se sont illustrés par leur bravoure dans leur guerre contre les terroristes de Daech dans une zone de 400 kilomètres carrés au nord de la Syrie » !!  » à vrai dire, les turcs veulent créer une ceinture de sécurité tout au long des frontières entre la Syrie et la Turquie . cela permettra à Abkara de déclencher une dynamique propre à changer la composition démographique des kurdes dans cette région. il s’agit de faire valoir numériquement les arabes et c’est Daech que La Turquie a jeté son dévolu . Daech se réjouit bien sûr de cette idée qui lui permet d’étendre son domaine et annexer les régions kurdes à son soi disant émirat. Raqqa et Deir Ezzour font partie de son Emirat, il aspire à présent à annexer Hassaka. une fois Hassaka annexé, Raqqa sera relié à Mossoul et à Ninive » ! le député affirme que le bombardement des réguions kurdes de la Syrie par la Turquie renvoie aux inspirations turques de tirer un maximum de profit dans le contexte géostratégiquement instable qui règne dans la région.  » ceci dit les frappes US contre Daech ne pourront pas s’avérer efficaces sans la coordination préalable avec le gouvernement syrien et les comités kurdes syriens. Ankara est réellement contre une disparition de Daech qui est un outi géostratégique entre ses mains. l’armée arabe syrienne a pourtant brillé par sa consistance à défendre les kurdes syriens. aussitôt après l’attaque des takfiris contre les régions kurdes du nord de la Syrie (Alep) , l’aviation syrienne est passée à l’action et a violemment bombardé les positions des takfiris. elle a empêché de la sorte l’avancée des takfirios vers Aïn al Arab  » le député appele les peshmargas de venir en aide aux kurdes syriens*irib-mercredi, 24 septembre 2014

daes

**Des milliers d’Occidentaus au sein de la nébuleuse terroriste

**Comment c’est arrivé?

Des milliers de djihadistes occidentaux se battent dans les rangs du groupe État islamique, selon le président irakien Fuad Masum. « Le conflit attire des extrémistes des quatre coins du monde. Il y a même des Européens et des Américains », a-t-il déclaré en marge de l’assemblée générale des Nations Unies qui se tenait à New York vendredi.

Il estime donc important l’implication d’autres pays dans la lutte contre l’EI. « Ce soutien montre à notre peuple que nous ne sommes pas seuls à combattre la terreur. C’est un combat mené pour protéger le monde entier. »« Ils (les combattants de l’EI) dirigent avec haine et racisme et attaquent des civils innocents. L’État islamique est une organisation terroriste odieuse », a-t-il encore déclaré. « Ils détruisent les habitations, nos lieux de culte et nos monuments historiques. Cette organisation terroriste bénéficie d’un important soutien financier. »La coalition a cependant engrangé quelques victoires contres les milices, « et c’est uniquement grâce au soutien des Etats-Unis et de l’Union européenne », a-t-il soutenu.*26/09/2014 – 22h55  Source: Belga

Une organisation terroriste pire qu'Al Qaîda

*Daech compterait entre 30.000 et 50.000 hommes

Le nombre de terroristes activant sous la houlette de la nouvelle organisation l’Etat Islamique ou Daech se situe entre 30.000 et 50.000 hommes, a indiqué, vendredi, le secrétaire du Conseil de sécurité russe Nikolaï Patrouchev.

S’exprimant à l’occasion de la tenue de la réunion de ses homologues de la Communauté des Etats indépendants (CEI) à Moscou, il a estimé que ces terroristes sont bien entraînés et équipés et les a qualifiés des plus durs de toutes les organisations terroristes dans le monde.*médias- 26/09/2014 |

*quand les dollars boostent l’organisation terroriste Daech

En signant son premier acte terroriste par l’exécution d’un ressortissant français, Daesh n’a fait que garantir le retour de la thèse du «tout-sécuritaire en Algérie».

Un fait qui faisait craindre les services de sécurité depuis la naissance de cette hydre tentaculaire le 29 juin 2014, proclamant un Etat islamique depuis le Moyen-Orient jusqu’en Afrique du Nord. Possédant une banque de données, les services de sécurité avaient pourtant averti dans leurs rapports sur cette croisade qui n’obéit plus à une idéologie religieuse comme on cherche à le faire croire, mais à une conception qui relève d’une «finance internationale de mercenaires en dollar», lesquels traduisent sur le terrain un plan d’action visant dans sa globalité à détruire tous les pays arabes après avoir accablé le peu d’espoir qui restait pour ériger une unité arabe par l’infiltration de sa Ligue conçue pour rapprocher ceux-là même. Bien imprégnées du contexte sécuritaire, nos sources sont affirmatives en ce qui concerne la puissance de Daesh dont le noyau dur n’est certainement pas amarré au niveau des frontières Est où Sud, mais au centre de l’Algérie. Nos sources sont autant convaincues par une recrudescence d’actes terroristes: attentats et kidnappings dans cette zone sous contrôle du sinistre Gouri Abdel Malek, même du temps où il était émir de cette zone sous l’aile d’Al Qaîda au Maghreb islamique.
Cet ancien berger était présenté comme un allié indéfectible d’Abdel Malek Droukdel jusqu’au jour où il annonce son allégeance à Daesh par la création d’une branche au Maghreb «Jund El Khilafa». S’adonnant à une totale désobéissance à l’égard de son ancien chef désormais lâché sur tous les plans, Gouri Abdel Malek qui avait été à l’origine de l’embuscade de Tizi Ouzou entraînant la mort de 14 soldats, représente «la nouvelle génération de terroristes en Algérie». Il répond au profil parfait de mercenaire idéal pour Daesh, celui-là même est appelé à exercer son influence sur les nouvelles recrues par des subventions financières en dollar maintenant qu’il va forcement bénéficier d’un soutien, aussi bien matériel, logistique que financier, de certains pays du Golf, contrairement au chef d’Al Qaîda au Maghreb islamique complètement isolé. Traqué par les frappes de l’ANP et mis à l’écart par ses pairs d’hier, Droukdel, cet irréductible ne peut même pas bénéficier du processus de la Charte pour la paix et la réconciliation nationale à cause de ses nombreux crimes. C’est dire que la conjoncture imposée par Daesh a entièrement remis en question le plan international de la lutte antiterroriste. La Syrie, l’Irak qui ont vu la naissance de Daesh en 2006 déjà sous la coupe d’Al Qaîda, la Libye ou encore la Tunisie, ne sont pas les seuls pays dans le collimateur de la nébuleuse, celle-ci a braqué son arme contre l’Algérie, l’unique pays qui avait bien avant le 11 septembre 2001, démasqué Al Qaîda et le terrorisme transnational, et qui vient de dévoiler les visées réelles de Daesh devenu le nouveau mot d’ordre mondial pour une certaine jeunesse ayant perdu ses repères tissant des accointances avec le milieu terroriste. Les affres du GIA, Gspc où Al Qaîda, n’évoquent que de vagues souvenirs face au programme dévastateur et subversif de Daesh. Nos sources étaient même en traîn de dire que cette hydre criminelle considère l’Algérie comme l’une de ses principales cibles, au même titre que la Grande Bretagne qui avait longtemps défendu le GIA à l’époque, en lui offrant même un espace pour la collecte de fonds en initiant une caisse «help GIA», la France mais aussi les USA deux pays qui avaient sans réserve appuyé la nébuleuse contre la Syrie. Une information d’ailleurs confirmée par les autorités irakiennes qui détiennent des renseignements dans ce sens. Le plan d’action auquel répond Daesh était préparé depuis les années 1990 avec l’avènement du terrorisme en Algérie au lendemain où l’on a reconnu l’Etat palestinien. Tous les pays ayant suivi l’Algérie dans son approche seront inquiétés par l’insécurité et l’instabilité.
Epargnée jusque-là du printemps arabe, l’Algérie était pourtant dans la ligne du mire. Dans une publication de L’Expression «Moscou avertit Alger» reprise hier par plusieurs sites, notamment le Grand Soir, ou Egalité et Réconciliation, suite à l’assassinat du ressortissant français, avertissait sur le complot qui se dessine contre l’Algérie. Ce retour en arrière ne fait que rappeler ce que l’Algérie connaissait déjà et ce que Moscou a mis en exergue. Nos sources ont réitéré leurs mises en garde avertissant sur un retour d’attaques terroristes dans la zone où sévit Gouri et ses fideles.*L’Expression-Samedi 27 Septembre 2014 

*Les réserves de haine au Proche-Orient sont aussi importantes que celles du pétrole». 

Fait rarissime! Depuis la création de l’ONU, après la Seconde Guerre mondiale, son Conseil de sécurité ne s’était réuni au niveau des chefs d’Etat qu’une seule fois. C’était lors de sa 3046e réunion, le 31 janvier 1992. C’était la fin de l’Union soviétique et avec elle la fin de la Guerre froide. C’était la fin de l’équilibre mondial assuré par la bipolarisation. La fin d’une époque. Le début d’une autre vers l’inconnu. En Algérie, presque simultanément, le 12 janvier 1992, et pour la première fois de son histoire, un président de la République, Chadli Bendjeddid, présente sa démission. L’événement faisait entrer le pays, avant le reste de la planète, dans l’inconnu. C’est pourquoi l’importance de la 3 046e réunion du Conseil de sécurité n’a pas été très remarquée par les Algériens. Devant cette situation inédite, une présidence collégiale fut décidée avec la mise en place du HCE (Haut comité d’Etat). Cette nouvelle instance rappelle dans l’urgence le président Boudiaf qui accepte, le 16 janvier 1992, de prendre la tête de l’Etat. Il est assassiné cinq mois après, le 29 juin 1992. L’incertitude s’aggrave et le 26 août 1992, un attentat à l’aéroport d’Alger signe la déclaration de guerre du terrorisme contre notre pays. C’était le début de la décennie noire. Le monde qui ne savait pas ou ne voulait pas savoir que ce phénomène ne visait pas seulement l’Algérie avait confondu notre lutte contre le crime international à une «guerre civile». L’isolement dans lequel nous avait placés cette interprétation de la situation était tout simplement horrible. Aucune aide extérieure. Plus aucun pays «ami». Le seul réconfort venait de la Tunisie qui s’est refusée à fermer ses frontières. Aucun avion de lignes étrangères ne se posait à Alger. Et c’est ainsi que durant plus de 10 années, nos forces de sécurité ont affronté avec courage et détermination un fléau dont la vraie nature n’allait être découverte que le 11 septembre 2001. Il y eut ce jour-là, près de 3000 morts à New York. En Algérie, le même terrorisme avait déjà fait, en 10 ans, 200.000 morts. Et pendant que l’Algérie, sous la conduite du président Abdelaziz Bouteflika, finalisait la victoire militaire contre le terrorisme et ramenait la paix grâce à la Réconciliation nationale, le fléau continuait de se répandre à travers le monde. Les proportions atteintes par ce crime transnational et le nombre de pays, surtout, y compris en Occident, qu’il met en danger sont à l’origine de la 2ème réunion, historique par son niveau, du Conseil de sécurité, après celle de 1992, qui s’est tenue mercredi dernier. Elle était présidée par le président des Etats-Unis, Barack Obama qui a déclaré à l’assemblée générale que «le monde a atteint un point tournant entre la guerre et la paix». Nous ne souhaitons à aucun peuple de vivre ce que nous avons enduré avec le terrorisme mais nous ne pouvons pas nous empêcher de rappeler que leurs dirigeants ont sous-estimé, durant trois décennies, le danger lorsqu’il s’est déclaré en Algérie. Ceci dit, la résolution du dernier Conseil de sécurité est partielle. Elle tend seulement à réduire le recrutement des terroristes. 40 pays, selon Obama, se sont coalisés dans cette lutte. C’est plus que durant la Seconde Guerre mondiale. Cela reste, cependant insuffisant car et comme l’a bien souligné, mercredi dernier, le journaliste du Washington Post, Richard Cohen: «La situation pourrait se compliquer même en cas de victoire sur les terroristes…les réserves de haine au Proche-Orient sont aussi importantes que celles du pétrole». D’autres leviers sont donc en attente d’être utilisés. La communauté internationale est dans la bonne direction sans se donner tous les moyens. Parmi ces moyens se trouvent les médias qui relaient les actes et les vidéos des terroristes. Comme pour le paiement des rançons, il est indispensable de s’attaquer à la propagande terroriste. C’est son arme absolue! *Par Zouhir MEBARKI - Samedi 27 Septembre 2014 – L’Expression

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Des bombardiers de 5ème génération utilisés en Syrie dans actualité media_xll_7148847

*Des passagers juifs ultra-orthodoxes transforment un vol New York-Tel-Aviv en cauchemar à cause des femmes!

Des passagers juifs ultra-orthodoxes d’un vol New York-Tel-Aviv refusant de prendre place à côté de femmes ont transformé le voyage en cauchemar pour le reste des passagers, a rapporté vendredi la presse israélienne. Les passagers du vol de la compagnie israélienne El Al en provenance de New York, qui se rendaient en Israël pour passer le Nouvel An juif ont atterri mercredi à l’aéroport Ben Gourion après « onze heures de cauchemar », a témoigné l’une des passagères citée par le site internet d’information israélien Ynet.

Avant le décollage, voyant qu’ils devaient s’asseoir à côté de femmes, plusieurs passagers ultra-orthodoxes ont demandé à leurs voisines de changer de place, allant même jusqu’à proposer de l’argent à celles qui étaient réfractaires à l’idée. Sans arrangement possible, ces hommes strictement religieux, ont donc refusé de s’asseoir et sont restés debout dans l’allée centrale, causant un important retard, puisque le commandant de bord a refusé de décoller tant que les passagers ne seraient pas assis, rapporte Ynet.

« C’est totalement irrespectueux pour le public non-religieux de l’avion, quelle compagnie laisserait des passagers se comporter de la sorte ? », s’est interrogée Bar Natan, une autre passagère. Finalement, les passagers ultra-orthodoxes ont accepté de s’asseoir à côté de femmes le temps du décollage, bondissant ensuite de leurs sièges pour prendre place dans l’allée centrale toute la durée du vol, prier à voix haute et empêchant de facto quiconque de passer. « J’ai essayé d’aller aux toilettes mais c’était mission impossible », raconte Galit, l’une des passagères.

Selon Ynet, la compagnie aérienne El Al a promis d’étudier les circonstances de cet incident et de répondre à d’éventuelles plaintes. Refusant tout contact physique avec des femmes, autres que leurs épouses, certains juifs ultra-orthodoxes multiplient régulièrement les esclandres dans des lieux publics en Israël, notamment dans les bus. Les juifs d’Israël et de la diaspora célèbrent depuis mercredi et jusqu’à vendredi soir le Nouvel an juif marquant le passage à l’année 5775. (Afp)*vendredi  26/09/2014 | 18:33

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*Des avions non identifiés ont bombardé Tripoli dans la nuit de mardi à mercredi

Des avions non identifiés ont porté une série de frappes contre les positions de l’alliance islamiste armée Fajr Libya (Aube de la Libye) dans le sud de la capitale libyenne Tripoli dans la nuit de mardi à mercredi, rapporte la chaîne de télévision Al-Arabiya.

Les combattants de Fajr Libya sont persuadés que le raid aérien a été organisé par l’Egypte et les Emirats arabes unis. En août dernier, les terroristes ont accusé l’Egypte et les Emirats arabes unis d’être impliqués dans les tirs contre les positions de la coalition Fajr Libya à Tripoli. Le Caire et Abou Dhabi ont rejeté ces accusations.

Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la Libye est le théâtre d’affrontements meurtriers entre les forces libérales appuyées par l’armée et les représentants de partis islamistes bénéficiant d’un soutien des anciens insurgés.

Un éclatement du pouvoir s’est produit en Libye. D’un côté se trouvent le premier ministre Abdallah al-Thani et le parlement libyen élu le 25 juin dernier, qui siège à Tobrouk (est).

De l’autre, l’ex-Congrès national libyen, dont le mandat a expiré, et qui a nommé Amr al-Hassi pour former un gouvernement de Salut national. Certaines régions libyennes n’obéissent à aucune autorité.*(Agence)mercredi 24 septembre 2014

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*un nouvel «ouvrage» contre François Hollande

« Allez te faire gauler rue du Cirque, avec ton casque, comme un débutant. »

Chassé de l’Elysée comme un malpropre, l’ancien conseiller en communication du chef de l’État vide son sac dans le «Nouvel Observateur»

Aquilino Morelle (d) au palais de l'Elysée, le 5 mars 2013

«Ça peut saigner», avertit Aquilino Morelle. Après Merci pour ce moment, le livre brûlot de son ex-compagne Valérie Trierweiler, François Hollande peut craindre un nouvel «ouvrage», de son ancienne plume cette fois. Viré sitôt sorties les révélations sur son contrat avec un laboratoire pharmaceutique et ses goûts de luxe, Aquilino Morelle l’a mauvaise, considérant qu’il a «été victime d’une élimination politique planifiée». «Où est le crime? Demander à un chauffeur d’aller chercher son fils quand on ne peut pas y aller soi-même? Faire venir un cireur à Marigny?» s’insurge-t-il.

Dans un entretien à paraître ce jeudi dans le Nouvel Obs’l’ancien conseiller en communication de François Hollande n’y va pas avec le dos de la cuillère avec son ancien patron, qu’il qualifie d’«enfoiré». Amer du sort qui leur a été réservé à lui et à son épouse, Laurence Engel, l’ancienne directrice de cabinet d’Aurélie Filippetti limogée elle aussi, Morelle a soif de vengeance.

Tenu au courant par ses amis journalistes alors que le fameux numéro de Closern’est pas encore sorti, c’est lui qui tente d’aborder le sujet avec François Hollande, raconte-t-il à l’hebdomadaire. «J’ai vu François nu, plus bas que terre, je l’ai ramassé à la petite cuillère. Peu à peu, il s’est relevé. Alors il n’a plus supporté mon regard», analyse-t-il.

Pour le médecin et ancienne plume du Président, François Hollande a offert sa tête à Mediapart, estimant que le chef de l’Etat était au courant de l’article qui se préparait et n’en a pas empêché la sortie. Aquilino Morelle aurait ensuite laissé éclater sa rage lorsque le Président lui a demandé de quitter les lieux: «Et toi tu n’as jamais fait de connerie, peut-être? Allez te faire gauler rue du Cirque, avec ton casque, comme un débutant…» Prenant cette histoire très personnellement, Morelle estime que «François se comporte avec moi comme avec Valérie, incapable d’assumer une rupture qui était aussi d’ordre affectif».

S’il s’est fait griller la priorité par l’ex-première dame, Aquilino Morelle prévient que «ce n’est pas fini, loin de là». «Le taureau, ce n’est pas parce que tu lui plantes deux banderilles de chaque côté que tu l’as tué», conclut-il.*20minutes.fr-le 23/09/2014 

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