Ghaza héroïque face à la barbarie sioniste.2
24072014*Le commandant en chef des unités blindées israéliennes, tué
la chaine 10 de la TV israélienne a confirmé la mort du commandant en chef des unités blindées de l’armée dans des combats » contre les terroristes palestiniens »!! » il s’agit de Dimitri Lavi Tass, tué par les snipers des brigades Qassam « . Ashraf al Ghadra , porte parole du gouvernement de Gaza a annoncé le bilan de plus de 660 morts et de plus de 4000 blessés dans les raids sionistes à Gaza.*jeudi, 24 juillet 2014
**La terre engloutit 12 militaires sionistes
**le célèbre analyste de Yediot Aharonot, Shimon Shiffer reconnait la « défaite cruisante de l’armée israélienne à GAZA » : » le Jihad islamique et le Hamas ont fait preuve d’une étrange résistance depuis le début de cette offensive. la guerre est régi par le principe de surprise, ce qui nous met hors de nous, nous côute davantage de soldats et nous pousse à poursuivre notre offensive , une offensive qui n’a atteint aucun de ses objectifs »! dit Shiffer . « Le Hamas et le Jihad ont l’initiative de la guerre en main. ils bénéficient du principe de surprise, ce qui nous a mis dans une posture réactive »! . Ron Ben Yashai, expert militaire de ce même journal ajoute : » dès les premiers jours de l’offensive contre Gaza, l’armée israélienne a perdu quelques-uns de ses très bons officiers. elle a perdu des officiers qui dirigent ses forces élite qui en constitue l’échine dorsale. c’est un coup difficilement réparable »!! » depuis le début de la guerre nous avons largué 120 tonnes de bombe sur Gaza. mais rien n’a changé et notre armée continue à faire l’objet d’attaques palestiniennes « -*vendredi, 25 juillet 2014 -IRIB
*Défaite de la stratégie militaire israélienne face à la Résistance palestinienne
*les bateaux touristiques évitent le port de Haïfa
un malheur ne vient jamais seul!! depuis le tir des missiles de la Résistance contre le port stratégique de Haïfa, les bateaux touristiques évitent de se rapprocher de ce port !! selon les informations reprises par les réseaux sociaux, des dizaines de bateaux touristiques contournent Haïfa et choissent de jeter l’ancre dans les ports turcs et grecs. les campagnies aériennes dont le nombre atteint déjà plus d’une trentaine ont annulé leurs vols à destination de Tel-Aviv. Israël continue à subir coups sur coups. 17 jours d’offensive contre Gaza a coûté des milliards de dollars à l’économie israélienne !**IRIB–jeudi, 24 juillet 2014
**un désastre économique pour Israël
Voilà ce qu’a déclaré le journal Yediot Aharonot depuis le premier jour de l’agression contre la bande (de Gaza). Le secteur le plus touché, selon le journal, est le secteur touristique. Certains hôtels ferment complètement, et d’autres ne maintiennent qu’un niveau d’activité minimal, ce qui entraîne des pertes très élevées.
Le principal désastre pour l’économie de l’entité (sioniste) est l’annulation des vols des principales compagnies aériennes américaines, européennes et même russes à destination des aéroports sionistes, après qu’il ait été démontré qu’ils étaient à portée des roquettes de la Résistance. Les vols à destination de l’entité usurpatrice ont donc été bloqués, et cela a des conséquences très graves pour l’économie israélienne d’après les analystes sionistes.
L’aéroport Ben Gourion (à Tel Aviv) a été délaissé au profit de l’aéroport d’Eilat au Sud, à l’extrême Sud, ainsi que de l’aéroport Ovda dans le Néguev, des aménagements qui ont impliqué des dépenses colossales.
Le secteur agricole est dans le même état : les pertes se comptent en millions et les activités ont été paralysées, surtout dans les colonies et dans les zones occupées proches de Gaza.
Au niveau de l’industrie, les pertes sont lourdes. A Ashqelon et Ashkol, par exemple, les zones industrielles ont été complètement paralysées.
Quant à la bourse israélienne, elle a subi de fortes chutes, surtout lorsque les roquettes sont parvenues à Tel Aviv, Haïfa, et au-delà.
Selon des chiffres émis par des analystes sionistes, on s’attend à ce que les pertes de l’économie israélienne soient comprises entre 40 et 50 % du PIB.
Et selon des estimations faites par l’entité (sioniste), chaque journée de guerre coûte plus de 40 millions de dollars, auxquels s’ajoutent les coûts des dégats occasionnés par les pertes matérielles que causent les roquettes sur les bâtiments, les constructions, les rues, etc.
Ajoutons encore le prix de l’agression aérienne : chaque attaque menée par les avions de guerre coûte plusieurs centaines de millers de dollars.
De même, l’opération terrestre a des conséquences très douloureuses pour l’économie sioniste : lorsque 50 000 soldats sionistes sont appelés par précaution, cela implique que l’entité (sioniste) est obligée de les payer financièrement, d’après la loi qui a été appliquée après la guerre de juillet 2006 contre le Liban. Presque chaque soldat est dont compensé financièrement pour chaque jour de durée de l’agression (israélienne).
Et le prix exorbitant du Dôme de fer israélien, qui atteint les centaines de millions de dollars, reste l’exemple le plus éloquent de l’étendue des pertes subies par l’entité usurpatrice durant son agression.*Par Sayed Hasan-–jeudi, 24 juillet 2014
**Le tourisme israélien subit un impact négatif
Le tourisme israélien subissait de plein fouet le nouveau conflit dans la bande de Gaza comme l’illustre l’annulation de dizaines vols à destination de Tel-Aviv depuis mardi, selon des experts.
Le patron de l’Association des tours opérateurs israéliens, Ami Etgar, estime ainsi entre 30 et 40% la chute des revenus de la saison estivale.
« On a déjà subi un impact négatif pour juillet et août, et s’il n’y a plus de vols sur Israël la situation va bien sûr se détériorer encore », explique-t-il à l’AFP.
« On a déjà subi un impact négatif pour juillet et août, et s’il n’y a plus de vols sur Israël la situation va bien sûr se détériorer encore », explique-t-il à l’AFP.
« Le tourisme israélien était en pleine croissance, l’opération (militaire à Gaza) a mis fin à cela. Nous ne savons toujours pas à quel point (la chute) sera importante, ça dépendra comment tout cela va se terminer et combien Israël investira dans son marketing », observe M. Etgar.
Le taux d’occupation des hôtels est à tout juste 30%, contre 70 à 80% pendant les étés où « Israël » ne menait pas de guerre.
Outre l’absence de visiteurs étrangers, cette tendance a été renforcée par l’appel de dizaines de milliers de réservistes dans l’armée, déprimant le marché touristique intérieur. « Les pertes de revenus pour l’industrie du tourisme dans son ensemble, de juillet à septembre, va atteindre 2,2 milliards de shekels (644 millions de dollars, 478 millions d’euros), dont 500 millions de shekels uniquement pour les hôtels », estime Shmouel Tsourel, de l’Association israélienne de l’hôtellerie.*médias- 23 juillet 2014
*selon la chaine Al Aqssa, les bigades Qassam ont revendique le tir de missiles » Phoneix »contre les chars israéliens dans l’est de Al Moghazi !! ces missiles de fabrication américaines se trouvent aussi en Russie .
*un drone israélien abattu
Selon Al Mayadin, un drone de l’armée israélien a été abattu cet après midi dans le ciel du sud de Gaza par le tir d’un missile sol-air -jeudi, 24 juillet 2014
*Après avoir été le témoin d’une opération réussie contre sa brigade d’élite, Golani, l’armée israélienne en est au stade d’auto justification, d’auto consolation via la profération des médias mensonges! les brigades de Qassam a démenti formellement dans un communiqué une information selon laquelle l’un de ses commandants aurait été tué par les militaires sionistes : » il s’agit d’une guerre des nerfs lancée par le régime sioniste anémié par les coups fatals qu’il reçoit l’un après l’autre. Mohamad al Sanour, l’un des commandant de nos brigades est en vie et accomplit duement sa mission, celle de défendre le peuple de Gaza » Le commandant de la brigade Golani et son adjoint ont été tués en début de semaine au cours d’une opération commando à Chajaiya. mercredi , les unités blindées de l’armée sioniste ont été décapitées , leur commandant ayant été éliminé par les combattants palestiniens.*IRIB–jeudi, 24 juillet 2014
*les brigades Qassam ont pris pour cible de leurs roquettes RPG le QG des militaires sionistes à Gaza. c’est la Palestine al An qui rapporte cette information : » il s’agit d’une maison occupée et transformée par les soldats sionistes en QG . elle était située au nord est de Beit Hanoun . les combattants ont tiré plusieurs roquettes RPG en sa direction ».*jeudi, 24 juillet 2014
*12 missiles tirés contre la colonnie de Ashkol
Les Brigade Al Moujahedin ont tiré 12 missiles 107 cet après midi contre la colonnie de Ashkol au sud de la Palestine occupée!! une autre colonie , Kriat Melachi a été elle aussi prise pour cible des missiles qui lui ont infligé des dégâts *jeudi, 24 juillet 2014
*Purge au sein de l’armée sioniste
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les tactiques de guerre utilisées par les combattants de la Résistance
Reuters, l’agence de presse pro israélienne, aborde l’ensemble des tactiques de guerre utilisées par les combattants de la Résistance en 17 jours de combats contre Gaza: des tunnels sous terrains, des bombes aux bordures de la route, des guet-apens piégés, des snipers sont des tactiques propres aux combats de rue . or l’armée israélienne, une armée irrégulière semble bien désarmée face à ce genre de combat , en a subi de très lourds dégâts » et Reuters d’ajouter : » les autorités israéliennes affirment que la technologie et le savoir faire transmis par l’Iran et le Hezbollah aux palestiniens en ont fait de redoutables adversaires pour l’armée israélienne. les avions de combat israéliens bombardent depuis plusieurs jours la localité de Chajaiya mais l’armée israélienne est incapable de prendre totalement le contrôle de cette région. à Chajaiya, un guet-apens bourré d’explosif a explosé , a tué et blessé de nombreux soldats israéliens ( ndlr : Reuters évite de nommer la brigade Golani) . les chars israéliens pilonnent depuis cette explosion la ville sans être capables de s’en emparer totalement. en effet le Hamas attaque les militaires israéliens en utilisant un vaste réseaux de tunnels sous terrains. parfois sept tunnels intercommunicants lui permet de pouvoir pénétrer au coeur des colonies israéliennes . c’est ainsi que les palestiniens ont tué 33 soldats israéliens soit trois fois plus qu’en 2008-2009″ . Reuters oublie de consacrer un paragraphe aux missiles et aux drones de la Résistance qui eux aussi présentent désormais un réel défi pour Israël.*jeudi, 24 juillet 2014
* Six millions d’Israéliens sous la terre par crainte de la résistance
« Six millions d’Israéliens vivent sous la terre par crainte des représailles de la résistance palestinienne. Ils ne peuvent tolérer une telle situation. Mais, nous en dépit de tous les problèmes, nous gardons un très bon moral, tandis que les sionistes se trouvent dans une très mauvaise situation du point de vue moral et spirituel malgré de nombreux moyens dont ils disposent » a souligné, le Représentant du Hamas à Téhéran, Abou Sharif. « Tous ceux qui parlent, actuellement, du cessez-le-feu ont plutôt comme objectif de sauver Israël » a-t-il estimé.*jeudi, 24 juillet 2014
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*D’autres articles sur le même sujet
*cliquer ici:Ghaza héroïque face à la barbarie sioniste
**Israël, l’inévitable chute
Par André Chamy***cliquer ici: Israël, l’inévitable chute
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*Les avis des uns et des autres
Un armée de merde, sans honneur et sans loi
*Par Gilles Devers
**vidéo sur le génocide sionisteالصور الأولى لمجزرة حي الشجاعية
Lundi 21 juillet 2014
Ce 20 juillet 2014, le quartier de Chijaya à l’Est de la ville de Gaza a fait l’objet d’une attaque terrible par l’armée israélienne. L’armée a investi le quartier, tiré de partout, détruit les bâtiments et massacré les civils : 100 morts dont 30 femmes et 40 enfants, et 300 blessés graves. Un jour, tôt ou tard, la justice sera rendue.
Voici une vidéo tournée juste après l’attaque : pleurons nos morts, car ces morts, devant l’humanité, ce sont les nôtres.
Et pour le reste, chères amies, chers amis, deux choses.
Ne laissez plus utiliser ce mot de Tsahal, comme une appellation poétique. Rectifiez et utilisez les seuls mots justes : une armée de merde, sans honneur, et sans loi.
Ensuite, ne laissez plus un centimètre d’espace à cette théorie pourrie des civils utilisés comme boucliers humains. Ces cadavres dans la rue, ces corps d’enfants morts… Ils ont été tués délibérément par des soldats. Ils ont été tués parce qu’ils étaient Palestiniens.
Pour les soldats de cette armée de merde, sans honneur, et sans loi, être palestinien est un arrêt de condamnation à mort.*
**Un monde barbare et complice regarde des enfants assassinés par des hordes criminelles sionistes
En cette quatorzième année du troisième millénaire, le monde se retrouve à nouveau en stabilité précaire tant par les déséquilibres intrinsèques entre les nations, que par les oukases que les puissants veulent imposer au reste du monde.
Ce déséquilibre qui met en danger la paix de notre monde, nous le vivons en direct avec la crise en Ukraine laquelle pourrait, au regard de l’irrédentisme des uns, des faux mouvements des autres, ouvrir la voie à une nouvelle guerre mondiale. Cette éventualité, que personne ne souhaite, serait fatidique pour le genre et la civilisation humains, car une telle guerre serait à n’en pas douter, une guerre nucléaire. Nous le vivons au Proche et au Moyen-Orient où tous les ingrédients sont désormais réunis pour faire de cette région du monde le déclencheur d’un nouveau foyer d’incendie qui pourrait lui être fatal.
Le monde s’est déshumanisé, ce qu’illustre la tragédie de Ghaza qui nous en donne chaque jour l’exemple, quand ceux qui peuvent arrêter le massacre, trouvent plus urgent de regarder ailleurs, quand ils ne le justifient pas. Il était, il est possible d’arrêter ces forfaits d’Israël contre la population civile de Ghaza décimée par l’armée d’occupation israélienne, alors que le monde entier en est témoin, mais qui, à l’évidence, est impuissant, ne serait-ce, que de faire pression sur le sanguinaire Netanyahu, et le contraindre à raison garder. Des dirigeants de puissances mondiales incapables de faire pression – ne parlons pas de sanctions – sur le Premier ministre israélien, sont en revanche parfaitement dans leurs éléments et rompus à la chose de punir et sanctionner à tout-va. Il en est ainsi pour le dirigeant russe Vladimir Poutine, et son pays la Russie, sanctionnés par Bruxelles pour des crimes que, jusqu’à preuve du contraire, ils n’ont ni commis, ni commandité (cf; la révolte des Ukrainiens russophones et les développements dangereux qui s’en sont suivis). La même Union européenne qui vient donc de sanctionner des dirigeants russes cette semaine, lors de la réunion de ses ministres des Affaires étrangères à Bruxelles, avait eu à sanctionner durement l’Iran pour sa supposée volonté de produire une improbable bombe atomique. Cette Union européenne qui conteste à l’Iran la recherche scientifique et nucléaire trouve normal qu’Israël soit le seul pays de la région à posséder l’arme nucléaire et à ne se conformer à aucune loi qu’impose le droit international aux Etats (l’adhésion au TNP et au Ctbt). Il y a de par le monde d’autres cas qui confirment cette dichotomie dans l’appréciation des choses qui font que les uns ont des droits, droits dont on en prive les autres. Ce qu’illustre parfaitement, pour revenir à l’actualité immédiate, les cas de l’Ukraine et de Ghaza, deux faits, sans doute dissemblables, mais qui ont des points communs, outre de menacer la sécurité dans le monde, leur approche au «cas par cas» par les grandes puissances lesquelles envisagent toutes choses en rapport d’abord de leur puissance et de leur domination géopolitique et géostratégique.
Revenir à «l’équilibre de la terreur»
Comme le montre clairement la crise ukrainienne, attisée, alimentée, voire encouragée par l’Occident, notamment les Etats-Unis, la France et la Grande-Bretagne. Ces puissances occidentales ont un intérêt évident à faire basculer l’Ukraine dans le giron de l’Otan comme de la détacher de la Russie. Les nouvelles sanctions de Bruxelles contre la Russie découlent du nouveau rebondissement dans la crise ukrainienne avec la chute d’un avion de la Malaysia Airline touché par un missile sol-air. La Russie est-elle la responsable de ce développement tragique de la situation en Ukraine? Ce que semblent estimer les Occidentaux qui avant toute enquête attribuent le lancement du missile aux séparatistes russophones.
Or, les dirigeants russes ne semblent ni hasardeux, ni fous, mais par des provocations, des a-peu-près, l’Occident tente le tout pour le tout pour faire revenir la Russie dans les rangs où elle semblait définitivement vouée après l’effondrement du bloc communiste. Il se trouve que la Russie recouvre peu à peu sa place de grande puissance – elle l’a prouvé l’an dernier dans la crise des armes chimiques syriennes, obligeant les Etats-Unis à renoncer à frapper la Syrie – rétablissant quelque peu le monde multipolaire qui sied à l’équilibre géostratégique et sécuritaire du monde. Les Etats-Unis ne paraissent plus à même de renouveler l’invasion de l’Irak de 2003, quand ils ont foulé au pied l’opposition du Conseil de sécurité de l’ONU, agissant alors en maîtres du monde. La parenthèse de l’unique superpuissance mondiale paraît ainsi fermée, ou sur le point de l’être. A moins que les Etats-Unis ne soient réellement désireux à une confrontation avec Moscou qui aboutira, il ne fait pas de doute, à une conflagration mondiale. Au lendemain de la Grande Guerre (1939-1945), le monde a vécu sous le «régime» de «l’équilibre de la terreur». Cet équilibre de la terreur aura au moins préservé un modus vivendi entre Soviétiques et Américains, mais aussi une paix mondiale fragile certes, mais qui avait le mérite d’exister. Il est patent qu’il faudra y revenir avec le retour au premier plan de la Russie, et l’émergence de la Chine comme puissance militaire mondiale. Un monde unipolaire sous la férule des Etats-Unis a fait son temps, n’est ni viable, ni crédible ayant largement prouvé ses limites. Les crises actuelles le montrent amplement. Et nous n’évoquons pas ici le chaos délibérément provoqué par l’Occident en Libye, en Syrie et en Irak, pays qui risquent, à brève échéance, de disparaître en tant qu’Etat. C’est en fait là un projet entrant de plain-pied dans la reconfiguration que les Etats-Unis envisage(ai)ent pour le Monde arabe et la région du Moyen Orient.
Le morcellement des actuels pays arabes en Etats communautaires et ethniques est d’ailleurs l’un des objectifs poursuivi par les Etats-Unis. Paradoxalement, il trouve son prolongement dans l’inénarrable «califat» de Mossoul en Irak, qui lève quelque peu le voile sur les accointances qui existeraient entre les pseudos groupes djihadistes et les services militaires et de renseignement des grandes puissances occidentales (Al Qaîda est d’abord une création de la CIA et du FBI américains, avec comme fondé de pouvoir l’agent de la CIA, Oussama Ben Laden, rappelle-t-on). Or, on nous ressasse la sécurité «existentielle» d’Israël. Justement, parlons-en! On s’est souvent gargarisé des causes justes pour mieux imposer ses choix et conceptions des rapports entre les hommes et les Etats. Les relations entre les nations sont ainsi faites et ce n’est point la légalité internationale, telle que conceptualisée par la Charte des Nations unies (notons que la Charte de l’ONU qui date de 1945 n’est plus adaptée au monde du troisième millénaire et doit absolument être réformée et dotée d’un droit international qui s’applique effectivement à tous y compris aux puissants et à Israël), qui prime, mais bien le rapport de puissance entre les Etats. Cela avait été, en son temps, illustré par les péripéties de la Guerre froide et les affrontements, par conflits locaux ou régionaux interposés, entre les deux superpuissances qui dominaient le monde. Quoique le veto des uns et des autres eût souvent paralysé le Conseil de sécurité, l’ONU avait cependant eu l’occasion de justifier son activité, ne serait-ce que par le fait d’avoir donné aux peuples de trouver une tribune où ils pouvaient s’exprimer et revendiquer leurs droits. Or, la disparition de l’Union soviétique avait induit l’émergence d’une unique puissance mondiale, les Etats-Unis avec, dans son sillage, ledit «nouvel ordre international».
L’ONU exigera-t-il l’usage du Chapitre 7 contre Israël?
Un ordre, dit-on alors, qui sera plus juste, plus à l’écoute des peuples qui n’ont eu ni droit au chapitre, ni de faire valoir leurs droits. C’est exactement le cas du peuple palestinien qui, spolié de sa terre, nié dans ses droits, avait cru trouver dans l’unique puissance mondiale ce juge juste qui saura maintenir l’équilibre, en le réhabilitant dans ses droits, jusqu’ici outragés, sans pour autant les favoriser. Cela par la seule application des résolutions pertinentes, singulièrement les résolutions 242 et 338, du Conseil de sécurité de l’ONU, seule voie vers une solution équitable du contentieux proche-oriental. Or, loin de trouver dans les Etats-Unis ce juge juste et impartial, les Palestiniens auront eu surtout à constater à leur détriment que cette superpuissance, en laquelle ils ont placé tous leurs espoirs, s’est singulièrement fait l’avocat de l’entité sioniste, justifiant ses crimes souvent connotés par les observateurs et ONG internationaux à des crimes de guerre et de crimes contre l’humanité. Se sachant protégé des condamnations de la communauté internationale, Israël, qui a fait de la force le seul vecteur de dialogue, nie le droit des Palestiniens d’ériger leur Etat indépendant. Cet Etat, créé – au même titre que l’Etat hébreu – par la résolution 181(I), de l’ONU, du 29 novembre 1947, confirmé par les résolutions 242 de 1967 et 338 de 1973, éprouve cependant toutes les difficultés à voir le jour du fait de l’obstruction d’Israël à son érection. Israël, qui refuse l’envoi par l’ONU d’une force d’interposition entre les deux parties, souhaite-t-il instaurer la paix? Les guerres de 1967, de 1973, de 1982 (rappelez-vous Sabra et Chatila) ou les plus récentes, de l’été 2006, de décembre 2008-janvier 2009 et celle en cours depuis le 8 juillet 2014 – qui peuvent être assimilées à des pogroms du peuple palestinien – illustrent le fait que la paix n’a jamais été la priorité ou la préoccupation de l’Etat hébreu dès lors que depuis 67 ans il a tout fait pour entraver une solution politique au conflit qui l’oppose au peuple palestinien.
Les Etats-Unis, qui, par leur veto, ont bloqué toutes les résolutions de l’ONU (plus d’une cinquantaine lors des cinq dernières décennies), qui font chorus avec les extrémistes israéliens, sont-ils les mieux placés pour guider les belligérants, sont-ils même dans leur rôle de parrain du processus de paix? Un peuple se meurt, les tenants de la puissance mondiale trouvent le moyen de justifier ses assassins qui occupent et colonisent une terre ne leur appartenant pas. Que voit-on aujourd’hui? L’arbitraire fait loi, un Etat peut ordonner à son armée des meurtres ciblés, comme lui ordonner de détruire les bases de vie de tout un peuple – ce que l’armée d’occupation israélienne fait depuis plus de 18 jours à Ghaza – sans soulever autrement l’indignation de ladite «communauté internationale» plus préoccupée de justifier les crimes d’un Etat hors des lois internationales, que de condamner ses crimes et ses horreurs. Seule puissance mondiale durant près d’un quart de siècle, les Etats-Unis n’ont guère montré qu’ils étaient ce «juge juste» puissant mais sage, qui sait faire la part des choses. Ce sont pourtant les Etats-Unis qui ressassent l’antienne qu’Israël, puissance nucléaire, a le droit de se défendre, mais pas les Palestiniens avec leurs dérisoires roquettes. Dans ce contexte, on attend toujours qu’un secrétaire général de l’ONU, plutôt que de supplier l’Etat sioniste de cesser de martyriser le peuple palestinien, fasse usage du Chapitre 7 contre Israël. Ce n’est certes pas demain! Aussi, dans leur posture de seule puissance mondiale, les Etats-Unis se sont arrogés le droit de dire le bien et le mal, s’appropriant même le droit de mettre en marge de la société mondiale des Nations, de catégoriser les Etats selon un «axe du mal» qui nous renvoie à la triste époque des sorcières de Salem.
Si Israël est devenu la terreur du monde arabe, fait baisser la tête aux grandes puissances européennes, fait tout pour déclencher l’apocalypse avec l’Iran, ce n’est pas du fait de sa puissance – on voit comment des résistants avec de simples roquettes résistent et même donnent des coups à la seule armée professionnelle du Moyen-Orient – mais de la permissivité et de la protection que lui accordent les Etats-Unis. C’est avec les dollars américains que les colonies se sont étendues en Cisjordanie et à Jérusalem-Est occupées. Ce qu’il y a lieu de relever – fait unique dans les annales de la diplomatie internationale – est qu’Israël considère que les lois communes internationales ne s’appliquent pas à lui, cela d’autant plus que cet Etat, Israël, créé de toutes pièces par les Nations unies au prix du dépècement de la Palestine historique, impose aujourd’hui, dans l’impunité totale, sa volonté au monde sans qu’il y ait un Etat, une nation pour dire assez! Israël a dépassé toutes les limites de l’acceptable, mais il se trouve encore des dirigeants du monde, au lieu de condamner ses crimes contre l’humanité, s’appliquent à les justifier. Qu’a fait l’Occident pour amener Israël à plus de mesure et lui signifier où se trouve son intérêt? Soyons sérieux, qui menace la paix et la sécurité au Proche-Orient, le Hamas, qui lutte pour le droit à l’autodétermination (du peuple palestinien) droit reconnu à tous les peuples du monde, y compris par la violence, (cf; résolution 1415-XV de juin 1960 du Conseil de sécurité de l’ONU), ou Israël qui met Ghaza sous blocus depuis sept ans, occupe illégalement la Cisjordanie et Jérusalem-Est et cela en violation des résolutions 242 et 338, notamment, du Conseil de sécurité de l’ONU?
A quoi sert le droit international?
Aussi, quelle valeur peuvent, dès lors, avoir la charte de l’ONU, la légalité et le droit internationaux, devant le fait du prince que l’unique puissance mondiale s’est arrogée et impose au monde avec des retombées dramatiques sur, notamment, les peuples palestinien et arabes. Non, la puissance est rédem-ptrice lorsqu’elle est assortie d’humilité, elle n’est que brutalité et barbarie quand la force est utilisée pour ce qu’elle est: contraindre et soumettre. Ce que Benjamin Netanyahu, dans la lignée du boucher de Sabra et Chatila, Ariel Sharon, n’a jamais compris, lui qui croyait que la puissance de son armée est suffisante pour faire plier un peuple qui se bat pour ses droits depuis 67 ans, est que l’on ne soumet jamais un peuple par la violence. Ce que n’a pas compris également Barack Obama qui, par son attitude compréhensive envers un criminel patenté, Benjamin Netanyahu, a montré que son vernis de civilité est bien mince et son amabilité envers ses «alliés» arabes n’est que de circonstance. Comme ses prédécesseurs, le président américain est resté de marbre autant lors de son premier mandat – agression contre Ghaza en 2008-2009 – qu’aujourd’hui dans une autre agression toute aussi meurtrière, ne réagissant pas face aux massacres d’enfants par l’armée israélienne. On imagine mal que ce soit cela l’équité internationale et le droit pour tous les peuples de vivre libres et égaux, quand les Israéliens, sous l’oeil paterne des Américains, refusent aux Palestiniens ce que l’ONU leur a octroyé: vivre libre dans leur propre Etat.*Par Karim MOHSEN - Samedi 26 Juillet 2014*L’Expression
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*une nouvelle intifada
la radio du régime sioniste a fait l’écho de la terreur que partagent en ce moment la classe politique et l’armée israélienne : une nouvelle intifada !! selon cette radio, » plus de 10000 palestiniens ont manifesté jeudi soir en Cisjordanie et à Qods est pour exiger la fin de l’offensive israélienne contre Gaza ».la radio évite évidemment d’évoquer que la manif a eu lieu à la veille de la journée mondiale de Qods où des millions de musulmans et de non musulmans se sont donnés rendez vous pour crier leur honte , leur indignation et leur haine contre le régime criminel d’Israël! de très violents affrontements ont eu lieu toute la nuit entre les sionistes et les palestiniens de la Cisjordanie. deux palestiniens ont été tués et des dizaines d’autres blessés et arrêtés . un dernier bilan des affrontements établit à six le nombre de morts palestiniens et à 100, le nombre des blessés .. les sionistes ont utilisé des balles réelles pour disperser les manifestants *vendredi, 25 juillet 2014
**Journée mondiale de Qods
Les Algériens, les Tunisiens, les Iraniens et les citoyens d’autres pays à travers le monde, sont descendus dans la rue pour mettre en scène, encore une fois, leur unité et solidarité face à l’Arrogance mondiale et le régime sioniste. Des manifestations similaires ont eu lieu dans les pays arabes. Au Liban, les habitants de Beyrouth et les Palestiniens résidant dans ce pays ont manifesté tandis qu’en Syrie, les Syriens ont organisé des manifestations de solidarité avec les habitants de Gaza. A Bahreïn les manifestations des dizaines de milliers de citoyens bahreïnis ont été réprimées par les forces de sécurité. Au Yémen, les manifestants qui condamnaient les crimes du régime sioniste ont demandé la fermeture de l’ambassade d’Israël à Amman, tandis qu’au Koweït les citoyens s’étaient réunis dans la mosquée de l’Imam Hossein lors de la prière du vendredi, pour exprimer leur solidarité. Des manifestations similaires ont eu lieu en Turquie, en Inde et en Australie de même qu’en Europe entre autres en Allemagne alors qu’en France le gouvernement a interdit la manifestation prévue pour demain samedi. Plus loin aux Etats-Unis, les habitants de Portland et Los Angles ont organisé des manifestations pro-palestiniennes et anti-israéliennes. *vendredi, 25 juillet 2014
**des milliers de personnes manifestent à Alger
**La vidéo de la manifestation
Des milliers de personnes ont participé vendredi 25 juillet depuis 14h, à une marche de la place du 1er mai à la place des Martyrs dans le centre d’Alger en soutien à Ghaza. Un important dispositif policier est déployé autour de cette place. Au début, les manifestants se sont rassemblés à la place du 1er mai juste après 14h. La police, fortement déployée, a tenté de les empêcher de marcher vers la place des Martyrs, avant de céder. Des jeunes ont réussi à desserrer l’étau policier pour entamer une marche vers la place des Martyrs.
Des slogans de soutien à l’indépendance de la Palestine comme « le peuple veut libérer la Palestine » et hostiles à Israël et au président égyptien Abdelfatah Al-Sissi.*médias-Samedi 26 juillet 2014
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*Israël, vers le suicide final
«Je salue votre présence massive malgré les dangers sécuritaires qui nous ont poussés à éliminer les iftars communs de Ramadan cette année…Toutefois, les développements dans la Bande de Gaza nous obligent de nous rassembler ici pour rendre hommage à la population et à la résistance de l’enclave palestinienne. Avant de commencer, nous présentons nos condoléances aux familles libanaises qui ont perdu les leurs dans le crash de l’avion algérien.
En cette journée, nous saluons les âmes des martyrs palestiniens qui ont été victimes de l’agression sioniste. De plus, nous rendons hommage aux âmes des martyrs de la guerre de juillet 2006.
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*Des centaines d’intellectuels dénoncent le soutien du Canada à Israël
Près de 500 universitaires, juristes et défenseurs des droits de l’homme ont accusé jeudi le gouvernement de Stephen Harper de « discréditer » le Canada en adoptant une position « déséquilibrée et partisane » exagérément pro-israélienne dans le conflit actuel. Après avoir rappelé le lourd bilan humain des affrontements, les signataires de cette lettre ouverte publiée par le Globe and Mail estiment que « le mépris pour le droit international exprimé par le silence du Canada sur de potentielles violations très graves (des règles de la guerre, ndlr) discrédite le Canada ».
Allié inconditionnel d’Israël, le gouvernement conservateur de M. Harper n’a eu de cesse de rappeler son droit à se défendre depuis le début des hostilités, il y a 17 jours, sans toutefois l’appeler à la retenue à Gaza comme Washington a pu le faire. Ottawa a dénoncé mercredi l’ouverture d’une enquête de l’ONU sur les éventuels de crimes de guerre commis par l’armée israélienne dans la bande de Gaza lors de l’actuelle opération Bordure protectrice.
« (Nous) sommes profondément perturbés par la position déséquilibrée et partisane adoptée par le gouvernement canadien et les parties politiques fédéraux », écrivent les auteurs de cette lettre. « L’adoption d’une telle position manichéenne nuit aux propres objectifs de politiques étrangères (du gouvernement canadien, ndlr), à savoir la conclusion +d’un accord de paix global, équitable et durable+ entre Israël et la Palestine », remarquent les signataires. Les 500 personnalités concluent leur lettre en estimant que « plutôt que de garder le silence face à ces violations du droit international humanitaire, un vrai ami devrait agir avec responsabilité et appeler Israël à y mettre fin ».
Dans un courriel à l’AFP envoyé en réponse à cette tribune, un porte-parole du ministère canadien des Affaires étrangères, Adam Hodge, a souligné que « le Canada regrette les morts et les souffrances de civils innocents à Gaza ». Toutefois, a-t-il insisté, « le Hamas et ses alliés portent l’entière responsabilité » de ces pertes. Estimant que l’armée israélienne a « pris des mesures exceptionnelles pour réduire les pertes civiles », M. Hodge a fait valoir qu’Israël « devait être loué et pas critiqué pour ces efforts ».
Dans un autre texte diffusé séparément jeudi, l’organisation de défense des droits de l’homme Amnesty International interpelle le chef de la diplomatie canadienne, John Baird, à propos également du conflit israélo-palestinien. Demandant qu’Ottawa « insiste pour que l’escalade rapide de ces violations – perpétrées par les deux parties en cause – cesse immédiatement », Amnesty se dit « grandement préoccupée que le gouvernement du Canada n’ait pas, jusqu’à maintenant, condamné énergiquement la nature de l’offensive militaire lancée par le gouvernement israélien ».
Au 17e jour de l’offensive israélienne sur Gaza, les secours ont recensé 798 Palestiniens tués, dont 15 jeudi dans le bombardement d’une école de l’ONU, et plus de 5.000 blessés. 32 soldats israéliens ont perdu la vie ainsi que deux civils israéliens et un ouvrier thaïlandais.médias+ (Afp)*24/07/2014
**la Turquie vend du pétrole du Kurdistan irakien à Israël.
Le journal turc Hurriyet a révélé l’histoire complète de la vente par la Turquie du pétrole du Kurdistan irakien à Israël.Selon le rédacteur en chef du journal, Ertugrul Ozkok, « le 22 mai dernier, le pétrolier SCF-United Leadership, battant pavillon des Iles Marshall devrait transporter un million de barils de pétrole brut à Sicile.L’ambassadeur irakien en Italie a prévenu les autorités italiennes que l’achat de ce pétrole s’apparentait à un délit international, parce que le pétrole du Kurdistan appartient à l’Etat Irakien. Ainsi, l’Italie a rejeté à la dernière minute cette transaction.Le pétrolier a pris ensuite la route vers le Golfe du Mexique. Là encore, les autorités mexicaines ont refusé d’acheter le pétrole en question, et ce, après l’intervention américaine qui a exigé l’interdiction de l’arrivée de la cargaison au Mexique.De retour à la Méditerranée, le pétrolier s’est dirigé vers le Maroc, qui, lui aussi a refusé de l’acheter. Personne ne voulait donc se procurer du pétrole kurde. Mais, le 11 juin, lorsque les miliciens de l’Etat islamique en Irak et au Levant ont envahi Mossoul, les risques de la hausse du prix du pétrole augmentent.Directement après, le ministre israélien de l’énergie se dit prêt à acheter la cargaison pétrolière mais à un très bas prix, soit la moitié du prix international.La transaction a été conclue, mais le pétrolier qui s’est ancré dans le port d’Ashkelon le 20 juin portait un nom différent : « SCF-Altaï », et battait pavillon libérien.En effet, cette mesure visait à épargner à la Turquie une vague de critiques internes et étrangères pour ses liens économiques suspects avec l’Entité sioniste, au moment où elle tenait un discours opposé à Israël lors de la conférence de Davos.Le 23 juin, un journaliste demande au ministre de l’énergie turc si son pays a bel et bien vendu du pétrole à Israël. Sa réponse fut alors : « 93 millions de dollars ont été versées dans la Banque du peuple… Ce n’est pas le problème de la Turquie ».Alors que l’offensive israélienne bat son plein contre la Bande de Gaza, une autre question se pose : Le pétrole utilisé par l’armée israélienne dans son agression terrestre serait-il le même acheminé par la Turquie « Dites-moi maintenant, qui pourra prétendre dorénavant que la relation entre la Turquie et Israël est mauvaise ? », s’interroge le rédacteur en chef du journal Hurriyet, Ertugrul Ozkok, à la fin de son article.*IRIB–jeudi, 24 juillet 2014
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Au 17ème jour de leur lâche agression contre Ghaza
C’est un véritable constat d’échec pour les dirigeants israéliens
« La menace des tunnels n’est pas fictive mais un réel cauchemar qui inquiète les Israéliens qui vivent a proximité de Gaza », a déploré le quotidien israélien Haaretz, selon lequel l’objectif désigné par Netanyahu pour les détruire est pour autant légitime.Le journal s’interroge tout de même sur les raisons pour lesquelles « un danger stratégique de cette ampleur n’a été découvert qu’après l’invasion militaire de Gaza et la liquidation des cellules qui se sont infiltrés en Israël », d’après ses termes.Sachant que la présence de tunnels n’a rien d’un secret de coccinelle. Ils sont utilisés par les résistants depuis l’an 2000. Entre 2000 et 2004, 11 militaires israéliens ont été tués dans des opérations réalisées en traversant des tunnels au niveau de l’axe de Philadelphie.Le constat d’échec est d’autant plus gravissime qu’il s’est avéré que des tunnels ont été érigés dans le souterrain des territoires de 1948. L’armée en prévoyait une douzaine, mais il est question de 28 tunnels découverts dans ces territoires, officiellement. Le nombre de ceux qui n’ont pas été découverts pourraient être nettement plus grand.Au bout d’une semaine de l’incursion israélienne terrestre de la bande de Gaza, les autorités israéliennes commencent à répandre que rien ne garantit que les tunnels puissent tous être découverts, et personne ne peut en Israël mettre au point un mécanisme qui empêche la résistance d’en édifier de nouveaux.
Israël a utilisé tous les moyens, les plus primitifs et les plus sophistiqués sans pouvoir pour autant réaliser des résultats qui vaillent.
Aussi bien des robots que des chiens policiers ont été déployés. Souvent des civils palestiniens ont été kidnappés dans les régions frontalières pour leur extorquer des informations.
Selon le Yediot Aharonot, de nouveaux types d’explosifs liquides ont été conçus pour les détruire. De plus, les avions militaires israéliens larguent souvent des missiles de profondeur.
Difficile localisation
Mais le plus difficile semble être surtout la localisation des tunnels. Les techniques que les unités spéciales ont tentées de mettre au point se sont avérées vaines.
Selon un officier du front-sud, il n’existe pas dans le monde de solution durable à ce problème.
L’une des solutions préconisées est d’édifier des tranchées très profondes tout au long de la frontière. Mais elle risque elle aussi d’être inefficace. Sachant que leur profondeur actuelle est de 25 mètres, rien n’empêche les résistants de creuser leurs tunnels encore plus en profondeur.*Al Manar–jeudi, 24 juillet 2014
***Plus de 788 martyrs
La machine de guerre israélienne a intensifié ses attaques meurtrières jeudi, 24 juillet 2014. Au moins 107 palestiniens ont été tués dans différentes attaques et plus de 500 blessés.Le nombre des martyrs s’est depuis élevé en de 18ème jour de l’offensive israélienne à plus de 788 et celui des blessés à 4750. Des centaines de missiles israéliens se sont abattus sur les maisons palestiniennes, tuant leurs habitants en famille.Dans l’autre camp, 34 Israéliens sont morts depuis le début du conflit le 8 juillet: 32 soldats tués en majorité dans les combats à Gaza
L’attaque la plus meurtrière a été celle perpétrée contre une école de l’UNRWA, à Beit Hanoune. Cette école servait d’abris aux femmes, enfants et vieillards ayant fui les régions bombardées.17 palestiniens tués ont été recensés : tous des femmes et des enfants, en plus de 200 blessés.Le bombardement des écoles de l’UNRWA était prévu du moment que l’UNRWA a annoncé le 17 juillet dernier avoir découvert pour la première fois une vingtaine de roquettes dans l’une de ses écoles à Gaza. Cette annonce qui corrobore les accusations israéliennes que le Hamas utilise les civils comme «boucliers humains», permet de donner un alibi aux Israéliens pour leurs raids contre les civils palestiniens.Selon des observateurs, ces roquettes peuvent très bien avoir été déposées dans cette école par des collaborateurs à la solde d’Israël, pour justifier le bombardement prémédité des civils palestiniens.Selon le site Palestine Today, 10 missiles se sont abattus sur l’école. Un porte-parole de l’Unrwa a assuré pour sa part que son agence n’a pas été informée au préalable que l’école serait pilonnée.*Al Manar- jeudi, 24 juillet 2014
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le criminel de guerre Netanyahu envoie ballader John Kerry
On se souvient de Laurent Fabius, qui est ressorti décomposé après son entrevue avec le criminel de guerre Netanyahu, qui l’a envoyé paître ailleurs avec sa proposition de cessez-le feu. Aujourd’hui, c’est le tour de John Kerry de se faire jeter comme un malpropre. En effet, Israël, voulant montrer qu’il est le maitre du monde, a rejeté vendredi soir de façon cinglante, la proposition de Kerry, ce pauvre Kerry qui n’est d’ailleurs pas en odeur de sainteté dans l’entité sioniste.
« Le cabinet de sécurité a rejeté à l’unanimité la proposition de cessez-le-feu, en l’état, du secrétaire d’Etat américain John Kerry », a précisé la chaîne de télévision publique israélienne.
Toute la journée, les tractations diplomatiques se sont enchaînées pour arracher une « trêve humanitaire » dans la guerre entre Israël et le mouvement palestinien de résistance Hamas à Gaza.
Selon la télévision publique, le gouvernement de Benjamin Netanyahu exige que l’armée israélienne puisse rester dans la bande de Gaza pour poursuivre sa destruction des « tunnels d’attaque » creusés par le Hamas « même pendant la trêve ». Cette condition semble peu susceptible de recueillir l’agrément de la résistance
Le secrétaire d’Etat américain a déclaré, pour sa part, ce vendredi qu’aucun accord sur un cessez-le-feu entre le Hamas et Israël n’avait été obtenu, appelant avec le secrétaire général de l’ONU Ban Ki-moon à une trêve de sept jours. S’exprimant devant la presse au Caire aux côtés de Ban Ki-moon, il a expliqué que des divergences persistaient entre les deux parties sur la « terminologie » concernant un cessez-le-feu, ajoutant cependant qu’ils avaient « un cadre fondamental » pour une trêve.
Le ministre égyptien des Affaires étrangères Sameh Shoukri a de son côté affirmé qu’ »aucune des deux parties n’avait fait preuve d’une volonté suffisante pour négocier ». Il a en outre appelé à une trêve humanitaire de sept jours dans le conflit. John Kerry a d’autre part dit ne pas avoir soumis de proposition formelle de trêve, faisant en outre état de désaccords sur « certains termes » dans le cadre de l’accord de trêve.
850 morts, en majorité des civils,
Pendant ce temps, les bombardements israéliens continuent à un rythme infernal. 850 Palestiniens, en majorité des civils, ont été tués, ce qui suscite les critiques croissantes de la communauté internationale mais des critiques timides, inaudibles et qui en l’absence de sanctions contre l’entité sioniste ne seront d’aucun effet. Des quartiers entiers ont été dévastés comme celui de Chajia où un massacre à grande échelle a eu lieu à l’instar de ceux de Deir Yacine, Sabra et Chatila, Djenine …
Les bombardements sur la ville martyre de Gaza ont visé des immeubles, des écoles, des mosquées, l’électricité a été coupée, l’eau potable perturbée, plus de 100.000 personnes ont quitté leurs domiciles, une véritable catastrophe humanitaire dans l’indifférence des grandes puissances qui ne sont pas capables, quand elles ne sont pas complices, d’élever la moindre voix.
Le monde entier assiste, les bras croisés, à des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. Face à cette indifférence, la résistance palestinienne n’a pas d’autre choix que de combattre dans l’honneur, avec bravoure et courage, et elle le montre tous les jours sur le terrain.*algerie1.com- 25/07/2014 | 21:57
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