Une Japonaise sur 500 a déjà joué dans un film coquin
4122010*C’est par le biais d’un article sur « Yahoo Japan ! » que nous apprenons qu’un magazine japonais a observé d’après les 10 000 vidéos pour adultes publiées chaque année, qu’une japonaise sur 500 est déjà apparue dans un film pornographique !
9% des femmes se disent occasionnelles plus que professionnelles dans ce milieu.
Un ancien rédacteur en chef d’un magazine de gravure idols (photos sexy) avec une expérience de photographe sur plus de 400 femmes dit : « J’ai toujours eu l’impression que les femmes aimaient être photographiées nues [...] à première vue, elles pouvaient être gênées (au début) mais je n’en ai pas vu une seule qui n’aimaient pas ça. «Les réponses des professionnels sont bien entendu assez mitigées.Les médias coréens rapportent que les coréens en général considère la culture japonaise comme décalée. Si vous demandez à 100 japonaises de coucher avec vous, une seule le fera.Cependant, ce n’est pas le cas car si vous le demandez de façon subtile bien plus d’une le fera.
De plus, les groupes de femmes apparaissant dans des films changent considérablement chaque année (en particulier avec la courte durée d’une carrière pour une actrice), le chiffre 1 japonaise sur 500 pourrait au final sous-estimer significativement la réalité.
Ajoutez à cela le nombre de japonaises ayant travaillé (ou travaillant) dans le milieu des services (sexuels) ou s’étant déjà engagées dans une relation d’entraide (Enjo Kousai), sans mentionner la prostitution des collégiennes et lycéennes, il semble que le doute sur le caractère moral des femmes japonaises qu’ont les pays étrangers à leur égard, ne soit pas totalement sans fondement. (source: zigonet-30.11.2010.)
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**Danone condamné pour avoir licencié abusivement 19 salariés
La cour d’appel de Paris a donné raison à 19 anciens salariés de LU en jugeant leurs licenciements il y a plusieurs années sans cause réelle ni sérieuse, LU France et son propriétaire Danone n’ayant pas à l’époque de difficultés économiques prévisibles.
La cour a condamné jeudi LU France à des dommages-intérêts d’un montant de 50.000 à 100.000 euros par « p’tit LU », a indiqué vendredi à l’AFP un porte-parole de l’association de défense de l’emploi chez LU-DANONE, évoquant une « grande émotion ».
LU doit aussi rembourser à Pôle Emploi jusqu’à six mois d’allocations chômage versées.
« La preuve de la réalité de difficultés économiques prévisibles de la SA LU France comme du groupe Danone dont elle fait partie intégrante, n’est en toute hypothèse pas rapportée par l’employeur », indique la cour dans un des arrêts que l’AFP a pu consulter.
« La compétitivité du secteur d’activité n’était soumise à aucune menace particulière ni à des difficultés économiques objectivement prévisibles », contrairement aux « affirmations de l’employeur, selon lesquelles il y aurait un phénomène d’érosion généralisée de la présence de certains produits du groupe sur les marchés considérés, en particulier en Argentine et au Brésil », ajoute la cour.
« C’est ce que nous plaidions depuis des années », s’est réjoui Me Fiodor Rilov, un des avocats des salariés, tous anciennement employés à l’usine de Ris-Orangis (Essonne).
Devant les conseils de prud’hommes, ces salariés, licenciés entre 2004 et 2005 dans le cadre d’un plan lancé en 2001, n’avaient pas obtenu gain de cause.
De plus, en 2002, la cour d’appel de Paris avait confirmé la régularité de la mise en oeuvre du plan social.
LU France peut encore se pourvoir en cassation après l’arrêt de jeudi. Contacté par l’AFP, Danone n’avait pas fait de commentaire vendredi.
D’autres dossiers sont en attente, d’après l’association de défense des salariés.
En outre, 12 anciens représentants du personnel ont obtenu début 2010 de la justice administrative la reconnaissance de l’illégalité de leur autorisation de licenciement, d’après l’association. LU France n’a pas fait suffisamment d’offres de reclassement à ces salariés protégés, selon un des arrêts, rendu par la cour administrative d’appel de Versailles en avril, que l’AFP s’est procuré.
En 2001, Danone avait annoncé la fermeture de six usines en Europe dont deux en France (Calais et Ris-Orangis), ainsi que des restructurations dans d’autres sites, soit la suppression de 1.780 emplois en sur trois ans, dont 570 en France. Ce plan avait conduit à un boycott du numéro un de l’agroalimentaire hexagonal.
Depuis, Danone a vendu en 2007 au groupe américain Kraft Foods son pôle biscuit et produits céréaliers, dont les célèbres « p’tits LU », pour 5,3 milliards d’euros. (20Minutes-03.12.2010.)
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***Les Français intéressés par les sites « Rencontres »
WEB – Pour une nuit ou pour la vie…
Un Français sur cinq a déjà été inscrit sur un site de rencontres, «à la recherche de l’amour pour une nuit ou pour la vie, d’un échange, d’une amitié», et les hommes sont plus nombreux que les femmes à faire la démarche, selon une étude CSA pour Orange et le magazine TerraFemina. Le succès de Meetic, poids lourd du secteur, a fait des petits: quelque 2.000 sites internet spécialisés existent, qui visent les quelque 15 millions de célibataires français.
Un Français sur cinq (20%) a déjà été inscrit sur un de ces sites, 8% l’étant toujours actuellement et 12% s’étant désinscrits. Les hommes sont un peu plus nombreux à avoir fait la démarche: 23% contre 17% chez les femmes, tous âges confondus.
Internet, un partenaire technologique
67% des femmes âgées de 25-49 ans indiquent s’être désabonnées car elles avaient rencontré quelqu’un – sans préciser si cette rencontre s’est faite grâce au site web ou pas – contre 46% des hommes du même âge. «Internet est devenu un partenaire technologique pour trouver quelqu’un pour la nuit ou pour la vie, on connaît désormais tous quelqu’un qui a trouvé quelqu’un sur internet ou qui y va dans ce but», souligne le sociologue Pascal Lardellier cité dans l’étude.
D’après ce baromètre, 62% des Français pensent que ces sites ne servent qu’à multiplier les conquêtes, et nouer des relations courtes. Les hommes le pensent plus que les femmes – 66% contre 58%. «Et d’autres en profitent pour se faire des amis, tout simplement», résume l’enquête.
«Il y a une dédramatisation de ces sites, y aller n’a plus rien de sulfureux», estime M. Lardellier, un phénomène qu’il nomme «droit au libertinage». Cette enquête a été réalisée auprès de 988 personnes interrogées en ligne du 18 au 22 novembre 2010. (20Minutes-03.12.2010.)
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Des divorces pour infidélité virtuelle
**Les couples à l’épreuve des nouvelles technologies
Une internaute devant un écran d’ordinateur, à Pékin le 7 novembre 2005
SOCIETE – Des divorces pour infidélité virtuelle, une paranoïa exacerbée par les SMS qui vibrent sur le téléphone de son/sa conjoint(e), un amant démasqué par le biais d’un nouveau personnage créé sur la console de jeu familiale…
Des divorces pour infidélité virtuelle en hausse, une paranoïa exacerbée par les SMS qui vibrent sur le téléphone de son/sa conjoint(e), un amant démasqué par le biais d’un nouveau personnage créé sur la console de jeu familiale: si les nouvelles technologies favorisent les échanges, elles rendent aussi parfois plus difficile la vie de couple. 20minutes.fr passe quelques cas en revue.
Cas numéro 1: Il/elle se dit célibataire sur le Net alors qu’il/elle est en couple dans la vie
Ils sont amoureux et partagent même un appartement. Pourtant, sur le réseau, ils s’affichent comme célibataires voire cochent la case «intéressé par des femmes/des hommes» sur Facebook.
Inconvénient ..L’un des deux finit toujours par se dire: «il/elle est en chasse ou quoi?»
Avantage… Le jour où l’un des deux décide d’écrire sur le Net qu’il est «en couple avec…» ou «marié avec…», en l’assumant devant toute sa communauté d’amis, l’officialisation est vécue comme un acte de d’engagement. Non seulement la liaison est assumée dans la vraie vie mais aussi sur le réseau, face à des milliers d’internautes. Quasi des fiançailles pour ceux qui flirtaient, un mariage pour les amoureux, et un second mariage pour les déjà mariés.
Cas numéro 2: Il/elle écrit (et reçoit) des SMS au lieu de raconter sa journée en famille
L’un passe son temps à envoyer des SMS à tout son répertoire, «plus rapides que des conversations téléphoniques qui durent des plombes», arguent les intéressés. L’autre se demande ce qui peut bien provoquer le sourire de son/sa conjoint(e) à la lecture de ces SMS.
Inconvénient Impression d’être exclu d’une partie de la vie de sa/son conjoint. Et de fait, c’est vrai.
Avantage Quand vous lui envoyez un SMS, c’est grâce à vous qu’il/elle sourira. Pour le voir, envoyez votre SMS quand il/elle est assis sur le canapé à côté de vous. Même si ça coûte un 30 centimes d’euros le sourire.
Cas numéro 3: Il/elle se rend malade de jalousie à cause de signes virtuels
Avant, on était jaloux de voir son amoureux/se se faire brancher du regard par un pauvre type/fille de l’autre côté du comptoir. Sauf que maintenant, on est jaloux de lire, sur le mur Facebook de sa compagne/compagnon, les mots laissés par sa demi tonne de copines/copains du Net.
Inconvénient Celui dont le profil Facebook est très commenté s’expose à une série de questions intrusives de la part de sa moitié: «C’est qui, celui-ci? Et celle-là?» ou «Pourquoi elle/il te parle de truc à fêter au champagne?», etc.
Avantage Un mur bien garni sur Facebook restaure l’ego de n’importe lequel d’entre nous. Cela sert au moins à l’un des deux.
Cas numéro 4: Il/elle est infidèle et ça se voit
Sur l’ordinateur familial, les photos deviennent des armes de destruction massive de couple. Car si celui ou celle qui aura posé devant l’objectif avec son amant/maîtresse pense bien à ne pas stocker les preuves sur le bureau de l’ordi, il oublie souvent de «vider la corbeille», sourit l’avocat Jean Devalon, interrogé par 20minutes.fr. «Internet et les comportements que le réseau engendre apparaît de plus en plus dans les procédures de divorces, explique-t-il. Soit parce que des preuves numériques (photos ou mails) de fautes s’invitent devant le juge, soit parce l’un des deux passe trop de temps devant son écran, au risque de commettre une “violation grave et renouvelée des obligations et devoirs du mariage”.»
Inconvénient Tout fichier numérique (photo, mail ou vidéo) peut faire l’objet d’une reprise malencontreuse. Pire, d’une mise en ligne aux yeux du réseau entier. Très problématique en cas de personnalité en vue.
Avantage Les infidélités sont plus vite découvertes.
Cas numéro 5: Ils sont obligés de rompre plusieurs fois
Avant, quand un couple se quittait, ce n’était déjà pas facile. Désormais, il leur faut, en plus de se dire «adieu», continuer à vivre en ligne en voyant, sur les réseaux sociaux et messageries instantanées, si l’ex est «en ligne» et s’il/elle écrit sur le mur d’amis communs. Une situation paradoxale: alors qu’ils avaient décidé de ne plus partager leur quotidien, ils continuent à voir défiler la vie de l’autre via les photos du dernier week-end et des vacances estivales postées sur les comptes photos Flickr ou Picasa. Selon nos informations, certains séparés, après la rupture réelle, se séparent une deuxième fois en ligne en supprimant leurs ex de leur communauté d’amis virtuels. Un deuxième coup dur, parfois vécu comme un deuil encore plus grand que le premier.
Inconvénient Risque de craquage imminent. La souris peut vite riper sur «poker» ou chatter avec l’ex alors que non, vraiment, il vaudrait mieux pas.
Avantage Il n’y en a pas. (20Minutes-19.11.2008.)
Catégories : société
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