*Ces Algériens qui réussissent
*Plusieurs Algériens se retrouvent dans la liste des 500 personnalités les plus influentes dans le monde arabe.
La présentatrice de la chaîne qatarie Al Jazeera, l’Algérienne Khadidja Benguena, le cinéaste Rachid Bouchareb, l’industriel Issad Rebrab, le chercheur Yazid Sabeg et les joueurs de football, Madjid Bougherra, Hassan Yebda et Nadir Belhadj figurent parmi la liste des 500 personnalités arabes les plus influentes de 2011. Un classement établi chaque année par la revue Arabian Business. «Il s’agit de personnalités qui ont le plus influé sur leurs sociétés respectives», a précisé la revue.Habituellement, ce classement comporte 100 personnalités.
Cette année, il a été élargi à 500 personnalités. «Parmi elles, 40 femmes activant dans les secteurs des médias, des affaires, des arts, des lettres, des sciences et de la société civile. C’est une manière pour jeter la lumière sur le plus grand nombre de personnes qui activent dans le monde arabe», a indiqué Hassan Abderrahmane, rédacteur en chef de Arabian Business.
Les artistes Lotif Double Kanon, cheb Khaled et Manel Filali, le médecin Elias Zerhouni, le président-directeur général de Sonatrach, Noureddine Cherouati, le président de la Fédération algérienne de football, Mohamed Raouraoua, et la femme d’affaires Sonia Ziamni sont également portés sur cette liste. Yazid Sabeg et Khadidja Benguena sont les mieux classés. En tout, quatorze personnalités algériennes figurent dans cette liste prestigieuse, soit presque 4% de l’ensemble.
Ce qui est peu. Le prince saoudien, Walid Ibn Talal, est classé à la première position. «En termes de puissance et d’influence, personne ne peut concurrencer le prince Ibn Talal. Comme personne ne peut avoir sa fortune», a remarqué Hassan Abderrahmane. En deuxième position, vient le jeune ingénieur égyptien Wael Ghenim, devenu célèbre après son incarcération au Caire par les services de sécurité, au plus fort de la Révolution du Nil qui a accéléré la chute du dictateur Hosni Moubarak.
Le Qatari Mohamed Ben Hamam, président de la Fédération asiatique de football, est classé à la troisième position.
Ce choix est motivé par les efforts qu’il a déployés pour faire avancer le dossier du Qatar pour l’organisation du Mondial 2022.
Le président-directeur général de Emirats, la compagnie aérienne des Emirats arabes unis, Ahmed Ben Saïd Al Maktoum, est classé quatrième, suivi du patron du groupe émirati de construction Emaar, Mohamed Al Aabar.(El Watan-30.03.2011.)
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*Une conférence aura lieu les 3 et 4 décembre à Alger, pour «un partenariat entre la communauté scientifique algérienne établie aux Etats-Unis et son homologue en Algérie»,
a indiqué vendredi à l’APS, Farid Amirouche, président exécutif de la Fondation algéro-américaine pour la culture, l’éducation, la science et la technologie (Faacest). L’information n’est pas aussi anodine qu’elle puisse paraître. En effet, c’est un millier de scientifiques et chercheurs de haut niveau, d’origine algérienne, qui activent actuellement aux Etats-Unis. Que ceux-ci cherchent à rétablir le pont avec leur pays d’origine, est sans nul doute une excellente initiative, mais là, nous semble-t-il, n’est pas l’essentiel. La question qui se pose, en effet, est de savoir comment l’Algérie a-t-elle pu laisser partir un tel gisement de «matière grise» dont le pays a tellement besoin et qui lui fait tant défaut aujourd’hui? La réponse n’est ni simple, ni évidente quoique l’on peut toujours avancer l’hypothèse selon laquelle l’Etat n’a pas fait grand-chose pour retenir une intelligentsia qui ne trouvait pas à se réaliser en Algérie. Sans doute aussi, que le système politique ne permettait pas à nos scientifiques, intellectuels et artistes de s’accomplir totalement. C’est là une vérité qui ne peut être niée au regard des déperditions marquantes et dommageables de nos cerveaux au profit de l’étranger. Ainsi, au cours des deux dernières décennies, des milliers de cadres ont quitté l’Algérie, cadres et cerveaux qui font le bonheur de pays qui n’ont pas investi un pfennig pour leur formation. Et ces cadres s’adaptent et réussissent parfaitement dans leur nouveau milieu. Des Algériens ont ainsi réalisé, sous d’autres cieux, ce qu’ils n’ont pu faire dans leur patrie. Expliquant le choix de son départ aux USA, dans l’émission «Rendez-vous avec l’émigration» de la chaîne qatarie Al Jazeera (vendredi soir), le plus Algérien des Américains, le professeur Elias Zerhouni, a indiqué que ce qui l’a déterminé à choisir les Etats-Unis est le fait que ce pays a mis la science et la recherche au faîte de ses préoccupations quand ce vecteur demeure le dernier souci des responsables en Algérie. D’innombrables cas de réussite d’Algériens à l’étranger (comme celui du professeur Kamal Sanhadji, spécialiste mondial du sida, établi en France) peuvent illustrer notre propos. Il faut seulement relever que lors des deux dernières décennies (la tragédie nationale n’explique pas tout), les Algériens de toutes catégories et classes sociales, de tous niveaux d’éducation avaient eu le sentiment de ne pas trouver leur place dans l’échelle de valeurs de la société, ne pouvaient s’intégrer dans le tissu social du pays, ne vivaient pas réellement ni ne disposaient de moyens de se réaliser et de concrétiser leur ambition par le travail, par les études, par la recherche scientifique et la spécialisation. Dit plus sobrement, l’opportunité pour le citoyen d’acquérir un statut social, et de justifier ce statut par sa contribution au développement de la société et, partant, à la consolidation de l’Etat. Ce n’est pas plus compliqué que cela. Certes! Mais entre ces voeux et leur réalisation, il y a comme un impondérable qui fait que cela n’est pas aussi simple que cela pouvait paraître. Aussi, beaucoup d’Algériens ont-ils eu l’impression de n’être d’aucune utilité dans la société où ils vivent, comme d’être marginalisés. Beaucoup ont été condamnés à vivoter, demeurant en marge de leur devenir. Dès lors, était-il surprenant que nombre de ces laissés-pour-compte aient choisi de rompre les attaches, de s’expatrier, de construire leur avenir ailleurs? Cela a marché. Ainsi, nombre de ces exilés se sont rapidement fait une place au soleil dans leur pays d’accueil. Sortis du pays par la fenêtre, voilà qu’ils y reviennent par la grande porte et sont accueillis quasiment en héros. A méditer par nos gouvernants et autres décideurs. (L’Expression-28.11.2010.)
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