Voitures-infos
**15éme Salon international de l’automobile s’ouvre officiellement aujourd’hui a Alger…du 15 au 25 mars 2012.
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*Le Salon pris d’assaut par les visiteurs
Le Palais des expositions des Pins maritimes, dans la banlieue est d’Alger, a été pris d’assaut ce week-end par des centaines de visiteurs pressés de découvrir les nouveautés de la 15ème édition du Salon international de l’Automobile, dès son ouverture.
Pare-chocs contre pare-chocs, les véhicules des visiteurs constituaient des files interminables sur les différentes routes menant vers les accès principaux du Palais des expositions, que les habitants de la capitale aiment à appeler « la Foire ».
Le coup d’envoi du Salon de l’automobile pour 2012 a été donné sans « fanfare ». Aucun officiel n’était présent à l’ouverture de ce rendez-vous annuel qui constitue désormais une opportunité pour les concessionnaires d’exposer et de vendre encore plus de voitures, moyennant des remises « alléchantes ».
Les stands réservés à toutes les marques de voitures ont connu une affluence sans pareil. Peu importe la nationalité ou l’origine des véhicules pourvu qu’il y ait de bons rabais, selon l’avis d’un groupe de jeunes venus s’enquérir des nouveaux modèles exposés.
Décidés au préalable, de nombreux « avertis » se sont précipités vers les stands des grandes marques notamment japonaises et allemandes pour passer commande, et être parmi les premiers bénéficiaires des promotions et cadeaux offerts par les concessionnaires tout au long de la tenue du salon, qui prendra fin le 25 mars courant.
« Je suis restée plusieurs mois sans voiture mais le fait de savoir que j’allais bénéficier d’une remise pouvant aller jusqu’à 150.000 DA durant le salon, m’avait aidé à tenir le coup », a expliqué à l’APS, Farida, une quinquagénaire, cadre dans une banque étrangère.
Beaucoup de curieux étaient également présents, comme Slimane, fonctionnaire de son état, venu de Boumerdès juste pour être parmi les premiers à découvrir les nouveautés du salon, organisé par la Société algérienne des foires et expositions (Safex) et l’Association des concessionnaires automobiles en Algérie (AC2A).
« J’ai pris plaisir, depuis quelques années, à être parmi les premiers à visiter le salon dès son ouverture. Je me suis arrangé avec mon responsable pour prendre la journée et pouvoir ainsi effectuer le déplacement jusqu’aux Pins maritimes », a confié cet accroc des dernières technologies automobiles.
La 15ème édition du Salon international de l’Automobile se tient dans une conjoncture où les pouvoirs publics sont déterminés à lancer une industrie nationale d’automobile susceptible de répondre à la demande locale et réduire la facture des importations de véhicules qui a dépassé 2,1 milliards dollars en 2011.
Des négociations sont en cours avec plusieurs constructeurs automobiles étrangers dans le but de monter des usines de fabrication de voitures en Algérie.
Outre les négociations engagées avec le français Renault ou l’allemand Volkswagen, les autorités algériennes restent ouvertes à toutes les propositions de partenariat, mutuellement bénéfique, pour se lancer dans la construction de voiture. (APS-16.13.2012.)
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**La 15e édition du Salon international de l’automobile d’Alger (SIA) s’ouvre officiellement aujourd’hui à la Safex (Société algérienne des foires et exportations) aux Pins Maritimes, à Alger. Comme de tradition, l’événement est organisé par l’Association des concessionnaires automobiles en Algérie (Ac2a) et la Safex. Cette manifestation, qui gagne en nombre de participants et de surface d’exposition, voit cette année la participation de plus de cinquante concessionnaires et autres enseignes qui gravitent autour de l’univers de la voiture.
Cet événement économique et commercial de premier plan, car immédiatement classé après la Foire internationale d’Alger, se poursuivra jusqu’au 25 de ce mois. Ce Salon s’étend sur une superficie de 30.000 m2, soit 10% de plus que l’année dernière.
En fait, l’événement qui gagne en maturité se veut plus que jamais professionnel et se hisse de par sa qualité aux standards d’exposition internationaux. Il fait ainsi honneur à cet objet tant convoité par les familles algériennes, à savoir la voiture.
En effet, les ménages algériens, qui sont finalement dépités par les médiocres prestations du transport en commun, optent massivement pour cet irremplaçable moyen de transport qu’est le véhicule de tourisme. Une simple lecture des chiffres communiqués régulièrement par les concessionnaires nous renseigne sur ce besoin constant d’une mobilité autonome et digne ressenti par nos compatriotes qui répugnent à emprunter un transport en commun, souvent urbain, inefficace et méprisant toute notion de service public. La voiture devient finalement indispensable pour les Algériens. Notamment la gent féminine qui affiche son désir d’indépendance. Ainsi, nombreuses sont les familles algériennes à opter pour deux véhicules afin d’assurer l’autonomie de chacun. Cet engouement pour la mobilité aura vite fait de l’Algérie un authentique eldorado de la voiture. Ceci est d’autant plus vrai que les différentes enseignes qui ont pignon sur rue en Algérie affichent un optimisme que nourrissent des performances commerciales sans précédent.
En 2011, les importations de véhicules touristiques ont progressé de 36,73% avec un chiffre total de 390.140 d’unités importées contre 285.337 en 2010; ce qui s’est traduit par une évolution de 32,1% comparativement à l’exercice 2010. Cette embellie qui semble se poursuivre, intervient, paradoxalement, dans un environnement mondial qui voit la majorité des marchés accuser des déficits de près de 50%.
Le SIA a lieu alors que les négociations entre les autorités algériennes et des constructeurs automobiles étrangers pour la réalisation d’une usine de fabrication de voitures en Algérie et l’avènement d’un tissu industriel propre à la pièce de rechange automobile, sont toujours d’actualité. Néanmoins et même si les contours d’un réseau naissant d’équipementiers commence à prendre forme dans notre pays, le rêve de voir s’installer une usine de montage sur le sol algérien semble encore dans les limbes. En attendant, l’Algérie continue de jouer son rôle de niche de prospérité pour le commerce automobile.
Quoi qu’il soit, le rendez-vous de l’automobile est là et nombreux sont les citoyens qui vont se ruer dès aujourd’hui aux Pins Maritimes afin de matérialiser le projet d’acquisition d’un véhicule sinon de caresser le rêve d’en posséder un.
A ce titre, il faut se rendre à l’évidence que le pouvoir d’achat des Algériens reste déterminant et dicte souvent l’acte d’achat. Cette donne d’importance a été bien prise en compte par les concessionnaires qui l’intègrent dans leur politique des ventes. Aussi, misent-ils avant tout sur les modèles dits low cost lesquels dopent leurs scores annuels. Par ailleurs, tout en dévoilant des carrosses hors de prix pour le commun des citoyens, ont-ils le souci d’aligner sur leurs stands de petites citadines capables d’intéresser les modestes bourses. L’on évoque d’ores et déjà, à coups de messages publicitaires, des véhicules à moins de 500.000 dinars. Toutefois, les classes moyennes pourront se rabattre sur les produits surfant sur la barre du million de dinars (cent millions de centimes) et que proposent des concessionnaires qui détiennent pourtant des catalogues, où l’on remarque de fabuleuses berlines, à l’instar de Sovac qui communique sur la Fabia Monte Carlo ou encore Nissan qui réussit le pari de présenter sa petite à succès, c’est-à-dire la nipponne Micra qui affiche un rapport qualité-prix défiant toute concurrence. La marque au Lion, quant à elle, révèlera au public la très attendue Peugeot 208 qui vient remplacer la 207.
Notons enfin que les professionnels de l’assurance automobile s’afficheront en force dans ce Salon. Ils sont les acteurs d’un marché particulièrement dynamique.
**le Salon de l’automobile d’Alger …du 15 au 25 mars 2012.
Cinq millions de véhicules circulent dans le pays
L’automobile bouleverse la vie des Algériens
Manifestation incontournable et fortement attendue par le public, le Salon national de l’automobile d’Alger est devenu une destination très prisée des Algériens avides de véhicules neufs et de découverte de nouveautés.
L’engouement des Algériens, au Palais des expositions de la Safex, est assuré pour cette manifestation dès lors qu’on comptabilise jusqu’à 500 000 entrées pour ce genre d’événement, le deuxième, faut-il le préciser, après la Foire internationale d’Alger. Depuis quelques années, le Salon de l’automobile d’Alger est devenu un lieu où des nouveautés en deuxième mondiale, des «concept cars» et des véhicules hybrides et électriques sont dévoilés au grand public. «C’est la manifestation la plus dynamique en termes de nouveautés et de deuxièmes mondiales dans la région», dit Sofiane Hasnaoui, patron de Nissan et vice-président du groupe Hasnaoui.
Mais qu’est-ce qui explique cet engouement de l’Algérien pour les quatre roues alors que d’autres marchés «développés» accusent des déficits de près de 50%, comme c’est le cas de certains pays d’Europe ? En dépit de la suppression du crédit automobile, des taxes sur les véhicules neufs introduites en 2009, de la TVA et autres taxes à la charge évidente du client final, des délais de livraison de 3 à 6 mois (au lieu des 45 jours qu’impose la réglementation), le marché national de l’automobile a enregistré, en 2011, une évolution de 32,1% comparativement à l’exercice 2010, dépassant la barre des 300 000 unités.
DEUX VOITURES PAR FAMILLE
Ces chiffres classent notre marché dans la catégorie des plus rentables à travers le monde en termes d’évolution. Pour les concessionnaires et autres spécialistes de l’automobile, l’évolution du marché en 2011 s’explique par le besoin pressant du client algérien : «De nouvelles habitudes sont en train de se former dans la famille algérienne. Au lieu d’un seul véhicule, le couple avec ou sans enfant opte pour un deuxième véhicule afin de garantir l’autonomie de chacun des époux.» Pour notre vis-à-vis, la femme préfère être autonome et posséder son propre véhicule, «elle veut être indépendante, libre. Elle ne veut pas dépendre de son mari pour aller au boulot ou chez la coiffeuse. En plus, elle veut éviter les transports en commun du secteur privé où elle se sent mal à l’aise».
Les véhicules dont le prix varie entre 1 million et 1,3 million de dinars ont la cote ; ils représentent 40% du marché alors que ceux dépassant les 2 millions de dinars totalisent à peine 1 à 2% des ventes. L’introduction, depuis un certains temps, du crédit fournisseur devrait inciter d’autres ménages à acquérir un véhicule dans le cadre de cette formule. «Il existe des Algériens qui n’ont pas assez de ressources pour acheter un véhicule ; ils vont s’endetter auprès de la famille et des cousins pour gagner leur liberté. Le véhicule est quasiment devenu une question ‘‘d’honneur’’ auprès des voisins et de la famille. Les récentes augmentations de salaires dans le secteur public ont fortement favorisé cette donne», explique un concessionnaire. Pour cet autre, il existe «une demande structurelle du marché de l’automobile.
L’ouverture de l’autoroute Est-Ouest a contribué à l’augmentation de la demande ainsi que la décision des pouvoirs publics de soutenir le développement de la micro-entreprise via les dispositifs Ansej et CNAC». Des centaines de milliers de factures proforma ont été distribuées à la faveur de cette décision, qui a permis à des milliers de jeunes d’acquérir un véhicule utilitaire et se lancer ainsi dans une activité professionnelle.
Le secteur des utilitaires a enregistré une augmentation de 30% en 2011, selon le président par intérim de l’AC2A. Un organisme qui compte peser de tout son poids pour l’émergence de sous-traitants et d’équipementiers dans le but de lancer l’industrie automobile en Algérie. Mais cela, c’est un autre débat. (El Watan-14.03.2012.)
**Des concessionnaires optimistes
Le 15e Salon international de l’automobile d’Alger (SIA) ouvrira demain ses portes au public dans un contexte de marché très favorable. En effet, et même si le contexte est plutôt morose pour les quatre roues en Europe, c’est loin d’être le cas en Algérie. Ainsi, le cumul des ventes de l’ensemble des concessionnaires installés en Algérie pour la période allant de janvier à juin 2011, aurait dépassé les 155.000 unités vendues. Cette tendance haussière aura été confirmée par le Cnis (Centre national de l’information et des statistiques des Douanes).
Selon ce dernier, en 2011, l’Algérie a vu ses importations de véhicules augmenter de 3673%, passant de 285.337 véhicules en 2010 à 390 140 véhicules l’année dernière. Selon la même source, ces chiffres se justifient par l’augmentation de 37% des importations des concessionnaires. Cette embellie s’est encore confirmée cette année, au vu de l’optimisme de la majorité des représentants de marques automobiles installés dans notre pays. Aussi, le marché automobile algérien, qui aura accusé, rappelons-le, une légère déprime en 2009, est plus que jamais vigoureux et ses résultats semblent même défier les scores enregistrés durant la période «faste» du crédit automobile.
Plus d’une cinquantaine d’exposants représentant les différents constructeurs d’automobile dans le monde sont attendus à la 15e édition du Salon international de l’automobile d’Alger. Nombreux sont ceux qui ont dans leurs gammes des nouveautés dont ils gratifieront les Algériens, et ce d’autant que cette manifestation annuelle consacrée à la promotion du véhicule de tourisme est destinée aux férus impatients de découvrir les derniers modèles fabriqués par les constructeurs mondiaux. L’événement, qui se déroulera donc entre le 15 et le 25 de ce mois de mars, est organisé, par la Société algérienne des foires et expositions (Safex) et l’Association des concessionnaires automobiles en Algérie (AC2A). Il voit cette année la naissance du Club des journalistes automobiles algériens (Cjaa) qui vient de décerner le premier trophée à Peugeot Algérie qui a mis dans la course pour le titre sa lionne 508. Cette initiative, appelée désormais à se renouveler, compte instaurer une véritable culture automobile en inculquant aux utilisateurs algériens le souci de la qualité et de la sécurité. Le Salon de l’automobile a d’ailleurs retenu comme axe prioritaire cette année la prévention et la sécurité routières en vue de sensibiliser le citoyen en général et le conducteur en particulier contre le «fléau» que représente les accidents de la route.
Outre l’organisation d’espaces d’exposition et de commercialisation de véhicules, les organisateurs du Salon comptent donc faire du SIA un espace pédagogique et de réflexion sur la prévention routière en associant non seulement les professionnels mais également la société civile pour élaborer une feuille de route et à l’avenir une plate-forme pour lutter contre ce phénomène. Le besoin d’une mobilité autonome et digne se fait de plus en plus sentir, face à une défaillance récurrente d’un transport en commun inefficace et où règnent incivilité et insécurité.
L’Algérien qui n’hésite pas à serrer la ceinture, à optimiser ses dépenses et au besoin faire appel à la solidarité familiale pour accéder au statut tant convoité d’automobiliste libre de ses actes et de ses déplacements, attend un renvoi d’ascenseur de la part des concessionnaires. Il escompte notamment de la part de ces derniers des tarifications «raisonnables» et surtout une politique de promotion convaincante. (L’Expression-14.03.2012.)
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*Citroën Tubik : le tube du XXIe siècle
En exclusivité, Le Figaro Magazine a suivi la gestation du nouveau prototype Citroën, exposé en première mondiale au Salon de Francfort à partir du 15 septembre 2011.
Parfois, on aimerait s’abandonner dans les méandres du cerveau des designers automobiles. Juste pour voir. Comprendre les neurones qui permettent d’accoucher d’une créativité débridée et discerner le tumulte de l’esprit qui conduit à s’orienter vers telle ou telle forme nouvelle. Remonter à la source de l’inspiration, puis descendre en luge le système nerveux du dessinateur. Serait-on plus avancé pour autant ? Pas certain, car le style d’une automobile découle de la maturation et de l’interprétation par les designers des demandes du marketing.
Chez Citroën, une structure « produits futurs », dirigée par Bruno Moïta, passe son temps à disséquer les études comportementales et à phosphorer sur l’évolution de la société. L’observation des grandes tendances se traduit par la définition d’un besoin et d’une architecture automobile. Le rôle des études de Salon est justement de préparer les automobilistes au changement et de les projeter radicalement dans la voiture d’après-demain. Mais aussi d’entretenir le rêve et d’attirer les visiteurs sur son stand. «Une étude de Salon participe également à la stimulation interne et aide à faire passer des messages auprès des décideurs de la marque», admet Thierry Metroz, patron du style des chevrons. Jamais innocent, un concept donne ainsi quelques pistes quant à l’évolution du style que l’on retrouvera un jour ou l’autre sur un modèle de grande diffusion.
C’est nourri de ces réflexions que nous avons avons pu passer de l’autre côté du rideau pour suivre les dernières phases de la réalisation du concept Citroën Tubik, que le grand public découvrira au Salon de Francfort. Une pièce unique à plus de 1 million d’euros. Début mai, la salle de présentation des projets de l’ADN Peugeot Citroën, le centr e de design du groupe français basé à Vélizy, s’ouvre sur un choc indicible. Au milieu de la pièce trône un imposant fourgon immaculé presque aussi long qu’une C5 Break (4,80 m) et aussi large que haut (plus de 2 m). Bien qu’il n’ait pas le magnétisme des belles carrosseries, ce concept capte le regard. Spectaculaire par son gabarit d’armoire normande, Tubik ambitionne rien moins que de réinventer le grand monospace, en perte de vitesse depuis quelques années. «Aujourd’hui, ce genre automobile ne remplit plus son contrat. Le conducteur se trouve dévalorisé et l’espace arrière ne permet pas d’accueillir sept personnes et leurs bagages dans un confort suffisant», note Carlo Bonzanigo, responsable des concept-cars. Largement inspiré des grands vans américains et des shuttles de grands hôtels, Tubik répond à l’évolution de la société pronostiquée par l’équipe de Bruno Moïta et marquée par la prolifération des familles recomposées et des voyages en tribu. C’est un fait, de plus en plus de groupes d’amis partagent le même véhicule pour partir en week-end ou en vacances. «A travers ce véhicule, nous cherchons à renouer avec le plaisir de voyager et montrer que la destination est secondaire», affirme Thierry Metroz. Le Tubik serait donc l’Orient-Express de l’automobile. Un véhicule qui voyage à son rythme et qui émet peu de CO2 (autour de 100 g/km) grâce à la technologie hybride Diesel.
Esthétiquement, Tubik ne trahit pas ses ancêtres mais nous fait entrer dans un nouveau monde. Campé sur des roues de 22 pouces, il évoque tout autant le TUB, l’utilitaire Citroën produit au début de la Deuxième Guerre mondiale, que son successeur, le Type H commercialisé entre 1948 et 1981, avec le « nez de cochon » en tôle ondulée.
Un hayon couvre toute la largeur du flanc droit
Revêtant une teinte bicolore pour alléger les volumes, blanc nacré pour les extrémités du véhicule et gris métal pour la coque enveloppe, Tubik étrenne une nouvelle signature lumineuse qui pourrait être reprise sur les prochaines voitures de série.
Le conducteur accède au poste de conduite baptisé «cyclotron» à travers une porte en élytre s’élevant à 2,50 m de hauteur. Isolé dans son cylindre sur lequel est fixé le siège en cuir, le conducteur profite du modernisme des commandes. Outre la vision tête haute et les caméras surveillant les abords du véhicule, les fonctionnalités comme la reconnaissance digitale ou la navigation GPS sont commandées via un écran 7 pouces installé au centre du volant et via un iPhone. Côté droit, l’originalité de ce concept repose sur la porte de 4 m de large pesant 150 kg et articulée à l’aide de deux énormes vérins fixés au pavillon. Elle remonte à l’horizontale à la manière d’un auvent de véhicule de marché, tandis qu’un marche-pied se déploie automatiquement pour inviter les passagers à bord. Cette cinématique a jeté les bases du concept le plus difficile que Citroën a eu à réaliser. «Tubik a nécessité près de un an de gestation, depuis le choix du style relevant d’une compétition interne», détaille le responsable des concepts.
La complexité de Tubik a doublé le nombre d’heures nécessaires à la conception réalisée par le logiciel de CAO Catia. Rien que l’agencement de l’espace intérieur a occupé les cerveaux des concepteurs pendant six mois. C’est que ce véhicule, qui peut recevoir jusqu’à neuf personnes sur trois rangées de canapés drapés de feutre Moroso explore une fonctionnalité inconnue jusqu’ici sur un véhicule. La banquette deux places du rang un pivote pour être face ou dos à la route. La banquette du milieu peut, selon l’humeur du moment, accueillir trois personnes, se replier en portefeuille pour créer une table basse, disparaître sous le rang 3 ou se déplier pour former avec ce dernier un espace de repos ou plus si affinités ! Dans tous les cas, l’intimité sera préservée grâce à la vitre panoramique fumée côté droit et côté gauche, aux alvéoles formant un moucharabieh.
Comme les plus récents prototypes Citroën, la réalisation de Tubik a été sous-traitée à la société Estech, installée en région parisienne. Tous les corps de métier ont été mobilisés pour étudier, concevoir et enfin assembler à la main les pièces de cet immense puzzle unique. Une vingtaine de personnes au total. Selon un schéma immuable, la confection et l’assemblage de Tubik s’apparente à de la haute couture. Le 26 juillet, dernière des quatre rencontres planifiées avec Tubik, Thierry Metroz passe une tête dans l’atelier. «Dans les allées de Francfort, Tubik va faire parler de lui», lâche- t-il, un brin amusé. C’est une certitude, Tubik est une pierre dans le jardin des Allemands.(Le Figaro-03.09.2011.)
***consulter d’autres articles sur le : **Salon mondial de Francfort
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**Showroom: les marques de A à Z
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*Sonic, Colorado et Camaro pour le Salon d’Alger… Un trio de choc chez Chevrolet
Diamal, le représentant de la marque américaine Chevrolet en Algérie, a dévoilé, jeudi, à la résidence du directeur général de CFAO Algérie, Pierre Labbé, le trio de choc qui fera son apparition au stand de la marque, à l’occasion du Salon de l’automobile d’Alger prévu du 15 au 25 mars.
Ainsi, la Chevrolet Sonic fera son entrée sur notre marché. Les négociations, nous apprend le DG du groupe, ont été rudes avec les responsables américains. «Nous n’avons obtenu l’accord pour la commercialiser que hier soir (mercredi soir ndlr).»
La Sonic sera proposée en version Sedan et Hatch Back, et sera positionnée entre l’Aveo et la Cruze. Elle sera équipée d’un bloc moteur essence, le 1.6 essence de 115 CV, associé à une boîte de vitesses manuelle à cinq rapports pour des tarifs de lancement de 1 350 000 DA pour la version LT et 1 550 000 DA pour la LS.
Le pick-up Colorado sera, lui aussi, au stand du représentant américain. Il sera disponible en simple et double cabine, en versions 4×2 et 4×4 et sera doté du tout nouveau moteur turbo diesel Duramax de 2.5 l, développant 150 CV. Il sera équipé en série dans sa version simple cabine de l’air conditionné, la direction assistée, les jantes en acier 15 pouces et le système antidémarrage, le tout pour un prix de 1 980 000 DA. La version haut de gamme (ou luxe) 4×4, quant à elle, s’affiche à 2 680 000 DA. L’attraction du stand Chevrolet sera sans contexte la Camaro, un bolide fabriqué en 1967, pour répondre au succès de la Ford Mustang, vendue à 100 000 unités en quatre mois.
«Ses lignes très pures, exemptes de toute fioriture, combinent harmonieusement volumes et rondeurs avec des éléments plus anguleux, un peu à l’image des plus prestigieuses productions italiennes», dira dans son intervention, Youcef Hadji, directeur commercial de Chevrolet, qui occupera, le mois prochain, le nouveau poste de directeur général de CFAO Mauritanie.
La Camaro est une «sportive de référence», dotée de performances de haut niveau et d’un prix défiant toute concurrence, ajoute-t-il. Le bolide Chevrolet accueille un V6 de 323 CV (des accélérations de 0 à 100 km en 5,2 secondes) et deux niveaux de finition, dont la version RS pour des tarifs de 5 500 000 DA pour la Camaro V6 et 6 200 000 DA pour la version RS Package. (El Watan-10.03.2012.)
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